Je m’appelle Mélane et je demeure dans la région de Québec. Il m’est arrivé quelque chose de très sensuel dernièrement, dont je voudrais vous faire part. J’ai rencontré un charmant jeune homme à la buanderie de mon quartier. Pour tuer le temps, nous avons entamé une petite conversation sur les bienfaits des assouplisseurs liquides. Il était célibataire lui aussi et était plutôt seul dans cette ville. Comme une certaine chimie passait entre nous, nous avons convenu de nous retrouver le soir même, sur les Plaines d’Abraham afin d’aller voir la beauté du fleuve par un soir d’été. Nous savions très bien que le fleuve n’était qu’un prétexte et que c’était une toute autre beauté que nous allions admirer?
Le soir venu, nous nous sommes rencontrés au point de rendez-vous convenu. Nous avons marché et parlé jusqu’à la brunante. Ayant marché assez longtemps et désirant activer les choses il m’a désigné un banc public, retiré de quelques mètres du chemin mais presque invisible grâce à l’ombre que lui procurait l’arbre qui trônait derrière. Pour les connaisseurs, nous étions près du Musée, un endroit sécuritaire donc assez éclairé. Nous pouvions très bien voir les passants mais eux ne nous voyaient pas facilement. Je me suis collée sur lui prétextant la fraîcheur de la soirée. Sautant sur l’occasion il m’a pris les épaules et m’a pressé contre lui. J’ai commencé à avoir chaud un peu partout. Je ne me souviens plus comment c’est arrivé mais en une fraction de seconde il m’embrassait dans le creux du cou en me caressant la taille de son autre main. J’étais assez réceptive, alors sa main a continué son ascension en se faufilant sous ma blouse. Il m’a caressé le ventre quelques temps et est monté, en même temps que ma respiration, jusqu’à mes seins. Je les sentais durcir et je cabrais instinctivement le dos pour qu’il en ait beaucoup à caresser. Il avait les mains chaudes et m’embrassait comme un dieu; doucement mais avec fermeté en alternant avec ses lèvres et sa langue.
Il me chuchotait de sa voix grave qu’il me trouvait belle et que je l’excitais énormément. Que si je voulais et que je me laissais faire, il aimerait découvrir ce corps qui le faisait rêver et bander depuis des heures. J’adore les hommes qui me stimulent le corps et l’esprit en même temps. C’est la recette presque assurée de mes orgasmes. Sentir qu’elle excite son partenaire est le meilleur aphrodisiaque pour une femme et je crois qu’il était dans le secret des dieux à ce sujet.
?videmment je l’ai encouragé à continuer en lui prenant à pleines mains le pénis et les testicules. Je crois qu’il a apprécié. Moi j’ai pu appréhender la suite en sentant cette barre de fer cachée sous ses vêtements.
Sa respiration s’accentuait lui aussi. Il aimait bien mes petites caresses. ?tant trop impatiente de voir la chose toute nue, je me suis empressée de déboutonner son pantalon et d’y plonger la main. Il a soupiré lorsque j’ai empoigné son membre. Je n’arrivais pas à faire le tour de son sexe avec ma main et je sentais qu’il possédait un gland énorme et pointu. En le masturbant doucement je m’imaginais toutes les façons de se servir de ce bijou et surtout tous les orifices qu’il pouvait visiter.
Pendant mes fabulations personnelles, qui servent surtout à m’exciter, il avait déboutonné ma blouse à moitié et avait défait mon soutient-gorge. Comme il s’agrafait par-devant, on ne le voyait plus. Il regardait mes seins qui pointaient vers lui et qui semblaient vouloir sortir de ma blouse à moitié ouverte. Il a commencé à embrasser mes seins et à les masser à deux mains. Moi je tenais encore son sexe dans ma main et je le voyais qui lubrifiait énormément. Je lui ai murmuré que son pénis voulait qu’on s’occupe un peu de lui. Je crois que cette idée lui a plu, car il s’est adossé et m’a carrément présenté son sexe qui était maintenant à l’air libre. Je me suis levée, j’ai soulevé ma jupe et fait glisser ma petite culotte. Debout devant lui j’ai levé et appuyé une jambe sur le banc pour qu’il voie bien ma chatte qui était gonflée et très humide. Comme je suis entièrement rasée, il voyait très bien mes deux doigts glissés dans mon sexe et en ressortir mouillés. Je me caressais les seins en même temps que je me masturbais devant lui. Pendant mon petit manège érotique, il a sorti un condom et l’a enfilé en se masturbant et en ne quittant pas des yeux ma chatte.
Avec ses mains il m’a fait signe de venir m’asseoir sur lui et avec ses yeux il m’a clairement dit qu’il n’en pouvait plus. Je ne me suis pas fait prier. Je me suis assise sur lui en plaçant mes genoux de chaque côté. Il n’avait pas besoin de soutenir son gros pénis qui était encore très dur, alors il me tenait les hanches et me pressait vers son sexe. Il s’est glissé en moi tout doucement. Au diamètre qu’il avait je l’ai très bien senti entrer et se frayer un passage. Je suis resté quelques secondes immobile afin de bien sentir cette pénétration. J’ai commencé à contracter mes muscles et à le serrer de plus en plus fort. Je bougeais le bassin délicatement de haut en bas en frottant mes seins sur son visage. J’ai commencé à sentir une chaleur entre les jambes et mon corps est devenu hyper sensible. Je priais pour qu’il n’éjacule pas toute suite. À ce moment je ne pensais qu’à moi en bougeant le bassin doucement mais efficacement pour me mener à l’orgasme que je sentais venir. Il me regardait me faire jouir sur son pénis, les seins nus et la bouche ouverte. Me voir m’activer ainsi l’excitait.
Quand j’ai senti l’onde de choc je me suis agrippée à lui en lui enfouissant le visage entre mes seins. Ayant le sexe extrêmement chaud et mouillé après l’extase, il est sorti de sa torpeur et m’a invité à bouger plus rapidement pour en profiter lui aussi. Ses mains posées sur mes hanches, il guidait mes mouvements de va-et-vient et fixant mes seins qui bougeaient au même rythme. Je n’ai pas eu à bouger énormément, car le spectacle et la situation d’interdit l’excitaient tellement que je l’ai senti jouir quand il m’a agrippé les seins en les serrant entre ses doigts et sa bouche en gémissant.
Nous sommes restés dans cette position quelques minutes, le temps de revenir à la réalité et de s’apercevoir qu’un couple nous regardait. Je ne sais combien de temps ils nous avaient observés mais ils semblaient également excités car la femme tenait le sexe de son compagnon dans une main. Comme pour nous la tension sexuelle venait de tomber et que l’échangiste ne fait pas encore partie de mes activités sexuelles, nous nous sommes rhabillés rapidement et avons quitté le site du délit. Il est venu me reconduire et nous nous sommes quittés sur un baiser très pudique devant chez moi.
Nous allons sûrement nous revoir souvent à la buanderie car depuis quelques temps je m’arrange pour avoir beaucoup de lessive à faire…
Mélane