Je vous ai raconté comment, à l’occasion d’une visite de mon cousin Patrick, ma compagne Bénédicte s’était retrouvée dans mes bras, a moitié nue, se laissant sucer son joli minou par son nouvel amant, pourtant très timide et sans doute puceau.

Lorsque nous l’avons rejointe dans sa chambre, elle nous attendait, nue sur son lit, les yeux brillants de plaisir, prête à être comblée, car je savais que ces deux petits orgasmes n’étaient pas suffisants pour la calmer, et que seule une vraie et vigoureuse pénétration pouvait apaiser ses sens, fortement enflammés par la présence de Patrick, la nouveauté de la situation et le champagne.

Nous nous sommes allongés de chaque coté d’elle, et tendrement, l’avons caressée. Je profitais du spectacle très excitant de la voir nue devant Patrick qui s’enhardissait à découvrir du bout des doigts ses seins, sa chatte, pendant qu’elle l’embrassait en lui caressant la nuque, et ouvrait gentiment les cuisses sous sa main. Excitant, mais aussi troublant, tant je me sentais un peu exclu devant cet abandon et la tendresse qu’elle témoignait à son nouvel amant. Je savais que ce jeu était dangereux, mais j’étais décidé à le jouer jusqu’au bout.

Visiblement Patrick n’osait pas prendre la direction des événements et se contentait de l’embrasser et la peloter. A mon étonnement c’est elle qui a glissé sa main jusqu’à l’entrejambe de Patrick et a entrepris de défaire son pantalon sans plus s’occuper de moi.

Réalisant qu’il devait être complètement dérouté par la situation, je me suis levé, après une courte hésitation, et les ai laissés.

J’étais dans le salon depuis une dizaine de minutes, lorsque Béné est apparue, seule, nue, les yeux chavirés et les joues roses.

— Viens ! Baises moi maintenant, tout de suite !

Je me suis levé et l’aie prise par la main pour l?emmener dans notre chambre

— Non ! Ici ! Prend moi par terre ! Maintenant !

Elle s’est allongée et a ouvert les jambes, me révélant sa cramouille béante et luisante de foutre. Je me suis dégrafé, allongé sur elle et enconné d’un seul coup de reins. Elle était brûlante et distendue comme jamais.

A la pression de ses jambes nouées dans mon dos j’ai senti qu’elle voulait que je la défonce, et je l’ai ramonée sauvagement, a grands coups de pistons, tandis qu’elle grimpait littéralement le long de ma queue en gémissant. Je ne sais combien de temps a durée notre chevauchée, mais nous sommes restés anéantis longtemps, imbriqués l’un dans l’autre.

Quand nous avons regagné notre chambre, nous avons parlé, et elle m’a raconté que Patrick était certainement puceau, qu’il avait sans doute été très ému par cette aventure inhabituelle, et qu’après l’avoir caressé et s?être laissé caressé par elle, il n’avait pas pu ou pas voulu lui faire l’amour, et avait préféré se retirer dans sa chambre seule. C’est sans doute ma présence qui le troublait le plus, et elle m’a remercié de la discrétion dont j’avais fait preuve en me retirant.

Ce samedi matin, Patrick, que j’avais rejoint dans la cuisine, souhaitait partir pour ne pas ennuyer Bénédicte. J’ai pu le convaincre de rester, lui assurant que nous étions trois adultes, parfaitement éduqués, et qu’il n’y avait entre nous aucun problème à profiter des choses de la vie, et que cette aventure resterait notre secret.

Lorsque Béné nous à rejoint, Patrick m’avait assuré ne rien regretter, si ce n’est de n’avoir pas osé nous rejoindre après avoir quitté Béné, et leur gène à tous les deux m’amusait. J’étais plus détendu encore que je n’aurai pu l’imaginer.

Leur tension s’est vite atténuée, et nous avons passé une bonne journée, ballade, resto et shopping.

Ma compagne avait une tenue plus sage que la veille, hormis son décolleté qui lui est permanent. Je surprenais des regards un peu brillants de mon cousin, mais durant la journée, aucune allusion n’a été faite à notre folle soirée.

Le soir venu, nous sommes allés voir un spectacle. Bénédicte était assise entre nous et l’envie de lui faire l’amour me tenaillait à nouveau. Au moment de l’entracte, Patrick s’est absenté pour nous offrir une boisson. Béné et moi sommes restés à notre place.

— Et bien, lui ai je dis, tu vois que mon petit cousin sait parfaitement se tenir !

— Lui oui ! Mais toi j’en suis moins sure ! m’a t elle répondu en souriant

— Il meurt d’envie de te faire l’amour, et il est toujours puceau !

— Tu es machiavélique ! Tu ne voudrais pas que je le viole ?

— Non, seulement que tu l’encourage ! Quand on a dans sa vie une aussi jolie fleur, on a le droit de souhaiter partager ce bonheur avec quelqu’un qu’on aime bien et qui saura apprécier un si beau cadeau !

— Tu es un beau salaud, mais c’est joli quand même ! Et elle a serré ma main en posant la tète sur mon épaule, en ajoutant :

— Tu joues un jeu qui peut être dangereux !

Je n’ai pas répondu. Patrick est revenu, puis le spectacle a repris. Je sentais Béné un peu tendue. Par instant, sa main se crispait sur la mienne. Puis elle a posé son autre bras sur l’accoudoir, sa main frôlant celle de Patrick. Ni l’un ni l’autre n’ont fait aucun geste de plus, jusqu?à ce qu’elle pose doucement sa main sur celle de son nouvel amant.

J’ai vu leurs doigts se nouer, et là j’ai réalisé que mon jeu pouvait devenir dangereux, mais je souhaitais quand même aller jusqu’au bout.

J’ai posé la main sur sa cuisse. Au bout d’un moment, en serrant fortement la mienne, elle a amené la main de Patrick sur son autre cuisse. L’atmosphère était devenue soudain très dense. Jusqu’à la fin du spectacle, lui et moi l’avons caressée, remontant progressivement au-dessus de ses bas, jusqu?à toucher le fond de son slip, nos doigts se frôlant.

Elle s’était enfoncée dans son fauteuil, les fesses au bord du siège, les jambes légèrement ouvertes et se laissait faire

Nos caresses avaient remonté sa jupe un peu au-dessus de la naissance de ses bas. Elle était superbe, abandonnée, consentante, et pour mon plus grand plaisir, il me semblait que mon voisin avait remarqué notre manège et semblait s’y intéresser.

Au bout d’un moment, j’ai senti du bout des doigts le fond de son slip s’humidifier. Elle avait ouvert un peu plus les jambes et sa respiration s’était accélérée.

Nous avons quitté la salle dès la fin de la représentation, sans un mot, et sommes rentrés. Dans la voiture le silence était lourd et l’excitation palpable.

Arrivés à la maison, j’ai pris sa main pour l?entraîner directement dans notre chambre. Elle s’est tournée vers Patrick, et lui a tendu son autre main en lui disant, d’une toute petite voix :

— Viens ! –

Je l’ai allongée sur le lit ; Patrick est venu s’étendre à ses cotés. Sur le dos, entre nous elle semblait vouloir se laisser faire. J’ai déboutonné son chemisier et fais glisser son soutien gorge par-dessus ses seins, puis me suis un peu écarté. Patrick s’est penché sur elle. Elle lui a offert ses lèvres tandis qu’il empaumait ses seins et les pelotait délicatement tour à tour.

J’ai glissé au pied du lit, à ses pieds, et passant les mains sous sa jupe, j’ai crocheté la taille de son slip. Elle a soulevé les reins pour se laisser déculotter, et j’en ai profité pour retirer aussi le vêtement. J’ai écarté ses jambes et posé les lèvres sur sa chatte. Elle était déjà trempée, ouverte, et je l’ai entendue gémir dans les bras de Patrick quand j’ai passé la langue dans son sillon rose et luisant.

En lui léchant la chatte, j’apercevais mon cousin l’embrasser à pleine bouche en lui tripotant les seins : C’était très excitant.

Je me suis levé et déshabillé, faisant signe à Patrick de faire de même, tandis qu’elle se débarrassait de son chemisier. Nue avec ses seuls bas, elle était superbe. Je me suis allongé sur elle, mais sans la pénétrer. Je voulais laisser la primeur à notre complice.

Dès qu’il a été nu, -j’ai vu qu’il bandait comme un âne- j’ai roulé à coté d’elle, et timidement, il s’est rallongé à ses cotés avant de ramper sur son corps offert. Elle le guidait de ses bras et à même du saisir la queue raide de son cavalier pour l’introduire très lentement dans son ventre.

J’étais complètement tétanisé par la vision de ma petite pute écartelée sous un autre homme. Ils sont restés longtemps soudés, sans bouger. Puis les jambes nouées dans le dos de son amant, elle lui a imprimé de légers mouvements de va et viens. Elle le guidait complètement. Ils ont jouis ensemble, sans un mot, et elle l’a gardé longtemps en elle, très tendrement pour cette première fois, et je suis resté silencieux et un peu ému.

Puis c’est lui qui a amorcé un nouveau va et viens ; plus profond, saccadé et rapide. A nouveau ils ont jouis après une très longue chevauchée.

Quand il s’est dégagé, j’étais dans un tel état que je me suis abattu sur elle et l’ai prise d’une seule poussée, jusqu’au fond de son vagin. Je la baisais comme un forcené et elle criait en grimpant le long de ma queue, les cuisses autour de ma taille. Elle a hurlé quand j’ai déchargé dans son vagin en lui disant des obscénités comme elle les aime dans ces moments là :

— C’est bon hein ma salope ! Deux bittes pour toi toute seule ! tu vas pouvoir te faire ramoner ta petite chatte de pute toute la nuit !

— Oh oui ! Salaud ! J’aime ça et tu le sais ! Baisez-moi tous les deux !

Quand je me suis retiré, Patrick avait retrouvé sa pleine forme et s’est à nouveau allongé sur elle. Lui aussi s’est déchaîné et leur chevauchée a durée longtemps. Elle délirait et avait abandonné toute retenue :

— Oh oui ! Vas-y, fort, très fort ! Je te sens bien ! Tu baises bien ! tu vas encore me faire jouir ! Oh c’est bon ! Je vais jouir ! …

Je crois qu’elle a jouit avant lui, mais a continué à l’encourager jusqu’à ce qu’il explose en elle.

Nous nous sommes calmés, avons pris une douche, et au moment ou Patrick voulait regagner sa chambre, elle lui a demandé :

— Reste, si tu veux !

Nous avons continué à la caresser longtemps avant de nous endormir chacun d’un coté d’elle.

Plus tard dans la nuit, j’ai été réveillé ; Patrick, couché sur elle était à nouveau entrain de la baiser.

Elle a jouit en silence, puis est venue s’allonger sur moi, s?empaler sur ma queue. Je me suis laissé guider.

Une autre fois encore, j’ai été réveillé par sa bouche qui cherchait la mienne, puis descendait le long de mon torse pour atteindre et emboucher ma queue. Le temps de reprendre mes esprits, j’ai réalisé qu’elle était à quatre pattes et que Patrick la prenait en levrette…

Au petit matin, j’ai à nouveau été réveillé par leurs mouvements, et je les ai découverts tète bêche, elle dessus, se suçant copieusement. Et elle nous a sucés, tour à tour, durant un moment, avant de se relever, de s’allonger en s’empalant sur Patrick, et de me demander :

— Prend moi en même temps par derrière ! …

Inutile de dire que nous nous sommes réveillés très tard le lendemain, sans plus aucune gène entre nous, et quand Patrick nous a quitté, le dimanche soir, il avait l’air transformé, et nous savons qu’il a maintenant une petite amie.

Bénédicte m’a avoué qu’il avait passé la nuit à la peloter et à la sucer, et que plusieurs fois, ils avaient fait l’amour sans même me réveiller. Elle m’a même raconté qu’a un moment elle s’était levée et l’avait sucé jusqu?à ce qu’il lui décharge dans la bouche, et que peu de temps après que nous l’ayons prise en sandwich, il l’avait enculée.

Je crois que cette nuit là, il avait découvert beaucoup de choses.

Lorsque nous nous sommes revus, quelques temps plus tard, nous l’avons véritablement trouvé transformé.

Pierre et Bénédicte.

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