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La saga de Zak Goldblum – Chapitre 2




Je tenais à me corriger : Zak est dans léquipe de rugby et non de basket. Veuillez mexcuser.

Chapitre 2a

Les jours qui suivirent se ressemblaient dans le sens où rien ne se passait. Rien nest plus déprimant que de sennuyer à 16 ans, ma frustration empirant les choses. Mes fantasmes devenaient de plus en plus fou, le simple fait de voir une passante bien roulée dans la rue suffisait à me faire voir moi même en train de la déshabiller sur place et la prendre sur place devant tout le voisinage Ca devenait grave.

Un jeudi soir, je rentrai chez moi, épuisé par lentrainement de rugby et nayant quen tête mon lit bien douillet. Trois maisons avant la mienne jentends une voix féminine au loin criant mon nom :

— Zak ! Zak !

Je me retournai. Julie, la petite brune aux yeux verts me hélait du bout de la rue. Je lai donc attendue et lorsquelle fut assez proche lui demandai :

— Quest ce quil y a ?

— Mais tas oublié ou quoi ? Tu réponds pas à mes messages

— Oublier quoi ?

— Cest la fête chez Louise ce soir !

— Oh merde

Louise était mon ex, mon manque denvie de la voir sexpliquait par le fait que depuis notre rupture assez violente on ne sétait ni beaucoup vu ni beaucoup parlé.

— Ecoute Julie, je suis vraiment crevé et

— Oh bordel Zak ! Quest ce qui tes arrivé ? Avant tu savais tamuser, me coupa Julie, maintenant tu ne fais que glander tout le temps.

Je fermai les yeux, pinçai mon arrête du nez et soupirai.

— Bon ok je viens, donne moi juste une heure.

— Super ! Tes le meilleur ! Me dit elle en membrassant la joue, on se retrouve là bas.

Une heure et demie plus tard, après mêtre changé je sonnai à la porte de la maison de Louise. Bien évidemment ce fut elle qui mouvrit. Louise était une jolie rousse denviron 1 mètre 70, fine avec de jolis seins et un sacré cul. Ses yeux bleus étaient toujours grands ouverts et brillaient de luxure. Ce soir là elle portait un short noir très serrant, son haut blanc lui moulait pas mal sa poitrine. Elle portait des bottines cloutées.

— Hey

— Salut, lui répondis-je un peu gêné.

— Cest cool que tu sois venu, me souris-t-elle, rentre.

Elle se retourna et là je vis son petit cul serré se dandinant alors quelle marchait. Je faillis même le pincer mais me retins au dernier moment Surement lhabitude. Elle ferma la porte et se tourna vers moi :

— Je vais moccuper des boissons Merci dêtre venu. A plus tard.

Je lui souris. Eh bien ça sétait pas si mal passé, peux être aurais je pu laccoster plus tard dans la soirée. En rentrant dans la maison, une forte odeur dherbe et dalcool me vint au nez. La musique très forte faisait vibrer les vitres et les types bourrés, ou shootés, dansaient comme des tarés au milieu du salon ou sur les tables. Je scannai alors la foule pour savoir à qui parler : Je vis Lisa, la jolie brune qui mavait fait me branler devant elle, entrain de se faire draguer par un mec Je préférai les laisser tranquilles. Plusieurs autres gars de léquipe, quelques filles que je connaissais Jhésitais. Soudain je fus tiré de mes songes par une voix assez aigue, pour la deuxième fois de la journée :

— Eh Zak, te voilà hihi !

Cétait encore Julie. Elle avait déjà bu 2-3 verres visiblement. Elle sétait fait une tresse et avait mit de grandes boucles doreilles dorées. Ses seins se voyaient insolemment dans son haut à manches longues en dentelle noire qui contrastait avec ses leggings dorées très serrées. Elle était perchée sur des escarpins noirs vernis mais faisait toujours une bonne tête de moins que moi.

— Tu mas pas attendu pour boire, je lui dis en souriant.

— Je mennuyais Dit moi tu me trouves jolie ? Elle me fit un clin dil.

Evidemment que je la trouvais jolie Elle était carrément bonne. On discutait un moment et on but quelques verres.

— Viens Zak on va danser !

Elle me prit par la main mais tituba. Je la retins de justesse.

— Tu devrais pas boire autant Julie

— Oh pardon papa tu vas me punir ?

Elle me lançait un regard tellement entrainant, tellement coquin un vrai regard de salope ! Ma meilleure amie jouait la pute avec ses yeux verts de biche. Lalcool et lambiance renforcèrent mes pulsions :

— Suis moi.

Je lentrainai vers la salle de bain, vide, la poussa dedans et fermai la porte à clé. Je plaquai ma proie contre la porte et on se roula une pelle qui ne dura pas longtemps.

— Putain Zak, chui trop en chien ce soir !

— Ta gueule et mets toi à genoux !

La petite sexécuta en souriant. Elle était là par terre me regardant de ses grands yeux ivre. Elle enleva ma ceinture et se la mit autour du cou comme un chien jen croyait pas mes yeux. Ensuite, avec ses petites mains vernies de noir, elle défit ma braguette. Mon érection était tellement forte que ma bite en sortant lui cogna le menton. Jentrepris alors de lui biffler le visage assez fort. La belle rigolait.

— Arrête de rire!

Elle posa sa petite main sur mon gland. Je fus tétanisé : la sensation était incroyable. Elle posa de petits bisous sur mes abdos et descendit en prenant soin de contourner ma queue quelle garce. Elle lécha alors mes cuisses, jen pouvais plus !

— Julie je ten supplie !

Nouveau regard de pute Elle fit un bisou sur mon gland. Je soupirai de bonheur. Et dun coup elle me gobait, léchait, mordillait la teub tout en me caressant les burnes. Cétait divin. De temps en temps, je saisis sa tresse afin de forcer ma tige au plus profond de sa gorge la faisant beaucoup baver, lui faisait couler son rimmel et mettant de son gloss sur mon pubis. La situation était irréelle : jétais dans la salle de bains de mon ex en train de me faire royalement piper par ma meilleure amie ! Je sortis mon chibre et lui matraqua le visage encore. Julie riait bêtement, sa salive coulant sur ses gros seins. Je lui dis denlever son haut et son soutif pendant que jenlevai mon jean. Je plaça alors ma bite entre ses deux gros obus et me mis à me glisser frénétiquement, le bout de ma queue tapant le menton de Julie.

— Vas y baise moi les nibards Zak !

— Oh ouais cest trop bon !

Après lui avoir défoncé sa poitrine pendant un bon quart dheure je la fis se relever. La pauvre tenait à peine debout sur ses talons. Je lui indiquai un meuble assez large et long. Elle y dandina son petit cul doré, ses seins rougis se balançant. Je la tenais par sa laisse de fortune, mamusant à la tirer et à la faire tomber de temps à autres. Elle se relevait tant bien que mal pendant que je me branlais. On arriva au meuble, je la saisis alors et la posa dessus, son ventre contre la surface du meuble. Je présentai mon dard recouvert de salive et de gloss à la beurette.

— Attrape tes talons.

Elle sexécuta, saisissant ses talons, à plat ventre.

— Bien pompe moi et sans les mains pétasse !

Elle releva à peine linsulte, sappliquant à sa tâche.

— Oh ouais ! Pompe petite garce !

— Gulp gulp gulp

Je me croyais dans un film de boules ! Je naurai jamais cru que Julie faisait ça une fille si sage dhabitude, si seulement ses parents la voyaient… Le plaisir quelle me procurait était fou. Je ne pourrai pas tenir très longtemps.

— Vite Julie à genoux !

Elle se retourna alors, descendit du meuble et se mit à genoux. Je lui enfonçai mon braquemard très, très profondément sans la prévenir en tirant de toutes mes forces sur sa tresse un peu trop même. Elle me tapa la cuise et vomit beaucoup de bile.

— Tes taré Zak !

— Entraine toi poufiasse !

Je massis sur la toilette entrainant la beurette par sa laisse.

— Finis moi ma belle.

Elle me lapait les couilles pendant que je me branlais. Ca montait, ça montait vite. Je me levai, mastiquant furieusement le manche devant la petite pendant quelle me bouffait carrément les boules.

— Vas y crache sur ma jolie gueule de salope ! Taimes ça hein te branler sur une petite pute espèce denculé ! Allez donne moi ton sperme !!!!

Ces obscénités machevèrent.

— Julie ! Jai besoin de spermer !

— Jute sur ma gueule de chiennasse !

Mon orgasme fut explosif, jen eut le souffle coupé et lâchai une douzaine de jets de sperme bien épais sur la figure de Julie qui ouvrit même la bouche. Elle était là à genoux, ne portant que ses escarpins noirs et ses leggings dorées, ma ceinture autour du coup. Son joli visage était bariolé de maquillage, de bile, de salive et de mon foutre qui coulait sur les seins et le long de sa tresse. Je cherchai mon portable et pris une photo delle qui prit la pose en souriant comme une conne.

Mais je sentis que ma trique revenait, ce nétait pas fini

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