Nous sommes le 5 juin, tout de suite après le minuit. Je me glisse dans sa chambre pour lui donner le cadeau pour son anniversaire. Je bouge lentement jusqu’à son corps de 18 ans, je regarde ses seins nus et son corps découvert, ses hanches et sa chatte chaud sont vêtus avec une culotte de bikini bleu pastel. J’y remarque une petite tâche mouillée devant.
Je tire son bras droit jusqu’à la tête du lit et je ferme la menotte à son poignet et au pied de la tête du lit. En descendant à sa jambe je l’attache au pied du fond du lit. Je fais le tour du lit et je répète les mêmes opérations de l’autre côté de son corps.
Je bande ses yeux et me penche pour sucer ses gros seins.
— AH OUI !
Lisa s’est réveillée et a gémi. La sensation quand j’ai sucé ses longs tétons, lui a procuré un bien-être doux mais instance.
— Papa! C’est bon comme ça !
— Bon anniversaire !
Je descends ma main en bas jusqu’à son vagin mouillé. J’attrape sa toison et je tire ses poils fortement.
— Tu as besoin de raser cette chose si tu veux que Papa la mange la prochaine fois.
Je tire encore une fois, en la faisant gémir de douleur.
— Je vais le faire Papa, ne me fais plus mal.
Dit-elle en cambrant le dos.
Je continue de sucer sa poitrine et commence à faire glisser mes doigts dans son con mouillé. Elle est trempée, mouillée; mes doigts sont entrés facilement dans son trou vierge.
— Tu es comme une chienne excitée baisant. Toute trempée pour ton Papa. Peut-être je te baiserai vraiment très fort, et je ferai éclater ton pucelage. ta petite cerise.
— Ah oui! S’il te plaît !
Supplie-t-elle. Elle pousse son minet suintant contre ma main. Ses doux gémissements remplissent la pièce sombre quand mes doigts forcent son trou serré. De plus vite en plus vite je baise son petit chat serré avec mes doigts. Je n’avais pas eu de baise au cours des derniers mois. Ma femme s’est transformée en grande, grosse vache et elle n’est plus désirable. Donc ma fille allait être ma chose dorénavant. Elle est agréable et jeune et prête à baiser.
Elle a des yeux marron et des cheveux châtain descendant jusqu’aux épaules. Quand je la regarde s’habiller je ne peux pas m’empêcher de bander. Plusieurs fois je l’ai trouvée dans la salle de bains et l’ai prise dans mes bras, en poussant ma bite bandée entre ses jambes potelées. Un jour elle avait une mini jupe agréable et des bas, je l’ai prise si bien et si fort que nous avons jouis ensemble. Je ne l’ai baisée que quand elle a été majeure.
Je donne une sur son minet, elle sursaute et crie.
— Aie ! Papa, ça fait mal.
Elle essaye de se défiler mais il n’y avait aucune possibilité dans la situation ou je l’ai mise.
— Quoi ? Tu n’as pas aimé ?
Lui demande-je, alors je lui donne une claque un peu plus forte sur son con mouillé. Elle pousse des cris de douleur.
— Tu vas apprendre juste à l’aimer un peu mieux et te taire ou tu ne goûteras pas à ma bite bien raide.
Je frotte mon pieu bien raide sur un de ses seins. J’entends un gémissement doux sortir de sa bouche.
— Oh oui, Papa.
Elle ronronne doucement.
— Mets-le en moi s’il te plaît. Il y a si longtemps que j’ai envie que tu me baises. S’il te plaît !
— Pas question petite garce, je te baiserai et la petit Nicole aussi quand nous ferons du camping demain. Je te donne juste un petit aperçu de ce qui va arriver.
J’approche ma queue à ses lèvres.
— Lèche-moi. Tu vas me permettre de baiser ta bouche.
Nicole est l’amie de Lisa. C’est une beauté à cheveux châtain, menue avec un magnifique corps. Elle vient d’avoir dix-huit ans et elle aime m’aguicher en portant souvent soit des petits shorts moulants soit les jupes au ras de la chatte. Une autre chose qu’elle a dit c’est qu’elle m’appellerait toujours Monsieur malgré tout ce que je pourrai lui faire. La langue rose de Lisa lèche mon pieu comme elle le fait depuis toutes ces années. Elle le titille comme une reine. Je me suis rapproché, en plaquant le gland contre ses lèvres et elle me suce comme un bébé tète un biberon.
— Oh oui! C’est ça ma Puce. Suce la queue raide de Papa. Suce-la bien ma petite fille bien chaude.
Je gémis sous le pompage de sa bouche chaude.
Les doux bruits de succion et ses gémissements de plaisir résonnent dans toute la pièce. Je baise lentement la bouche chaude de ma fille.
— Oh tu vas faire une bonne petite trainée. Mon petit esclave sexuel va apprendre toutes les bonnes choses à faire pour le plaisir de Papa.
Elle suce de plus en plus fort et remue la tête pour mieux baiser ma pine.
— Oh toi la petite, tu veux plus de bite ? D’accord prépare-toi gamine.
Je pousse ma bite entière dans sa bouche. Elle est complètement bâillonnée. Mais je continue jusqu’au fonds de sa gorge à. Je vais l’éduquer afin de la rendre la meilleure baiseuse qu’un homme peut avoir.
Je me couche sur son visage avec mon pieu entier au fonds sa gorge.
— Suce-moi chienne, j’ai besoin d’éjaculer.
J’arrive à son con et je prend un bourrelet de chair et tire fort. Un gémissement de douleur sort de sa bouche.
— Continue de sucer !
Je lui donne une autre claque bien appliquée sur son minet.
Elle continue sa fellation et je baise bouche plus vite. La position de mon pieu au fond de sa jeune gorge autant qu’il irait.
— Ah oui! Ah oui !
Je soupire quand je lui balance toute ma semence dans sa bouche et au fond de sa gorge.
— Suce chienne !
Je donne une claque sur ses gros seins aussi fort que je peux. Sa bouche se bloque et elle aspire fort pour ne pas en perdre une goute plus que l’on m’a jamais fait.
Je suis tombé sur son corps potelé et me suis reposé à côté pour reprendre mon souffle.
— Pas mal du tout. Tu vas faire une bonne petite pipeuse.
Je mate le bas de son corps et entre ses jambes. Elle est trempée, la pauvre fille est complètement en chaleur.
— Tu as besoin de jouir Bébé ?
Je lui demande avançant ma main sur sa fente trempée.
— Oui, Papa. Je suis en feu.
Elle geint en remuant sa tête vers moi. Elle a encore les yeux bandés mais je sens ses yeux de chien battu sur moi. Elle a des yeux les plus tendres que je n’ai jamais vus dans ma vie. Ils sont toujours remplis d’amour. Je souhaite lui donner du plaisir mais j’ai aussi fait des plans pour baiser Lisa et Nicole en même temps. Alors il mer vient une idée. Son cul plaisant qu’elle frotte toujours sur moi pour arriver à ses fins. Je vais la tourner et baiser son cul serré. Ce sera comme la prendre par sa chatte, peut-être bien plus agréable encore.
— Tourne-toi vers moi. Je vais t’enculer. Tu vas aimer !
Je ris en la posant sur le ventre. Le bord de la culotte est entrée sa raie. Elle se rebelle un peu pendant que je tente de la retourner mais je lui donne une claque sur son cul ferme.
— RETOURNE TOI MAINTENANT !
Je lui balance une autre claque et elle se met à plat ventre.
— Toutes les bonnes baiseuses aiment se faire prendre par là et toi aussi tu vas aimer. Tu vas voir.
Je l’attrape par les cheveux et relève sa tête brusquement.
— OUI ! OUI !
Elle crie de douleur.
— Baise mon cul, Papa. Encule-moi à fond !
Ses bras et jambes sont été tournés.
— Je vais libérer tes jambes. Ne bouge pas d’un pouce, pigé ?
Je saisis les poils de sa toison pubienne et je tir.
— Dorénavant quand je te baiserais tu m’appelleras ’MONSIEUR’ compris ?
Je tire ses poils de nouveau.
— Oui, Monsieur. J’ai compris.
Elle gémit quand je détache ses jambes grassouillettes et je lève son cul.
Je cours à la salle de bains et prends un tube de vaseline. J’arrache sa petite culotte et fait gicler la gelée sur son petit trou du cul serré.
— Ça va être si bon.
Je grommelle en poussant mes doigts profondément dans son trou vierge. Ses sphincters serrent mes doigts.
— Baisez-moi oh. préparez votre esclave.
J’enduits mon gland avec la vaseline et l’approche jusqu’à son cul serré.
— Viens ici ma petite chienne !
Je rentre le gros bout contre son puits. Ses muscles se crispent en le serrant.
— OH TU ME BLESSES ! PAPA TU ME BLESSES !
Elle hurle de douleur et tente de s’éloigner de moi. Son cul bouge pour essayer de faire sortir ma bite mais je maintiens fermement ses hanches. Je m’enfonce plus à fonds, elle crie de nouveau. Je pousse un peu plus. Encore une forte poussée dure et ma tige de plus de vingt centimètres est complètement entrée dans son cul. Je suis entré jusqu’aux couilles.
— C’est bon non ? Tu aimes ma petite pute ?
Elle ne m’a pas répondu, donc je lui donne une claque sur ses fesses dodues.
— Comment trouves-tu cela !
— C’est bon maintenant.
Elle a gémi en se reculant sur ma bite. Ses muscles serrent doucement ma tige raide. Ses petits gémissements paraissent être de plaisir. Je l’ai déjà gémir de la sorte auparavant quand nous jouons à nos jeux amoureux, mais jamais comme cela.
Je commence à la pilonner. Quand je suis sorti ses muscles m’ont retenu à l’intérieur et m’ont pompé la bite.
— J’aime ton cul ! Je vais me régaler de cette chose sensuelle.
Je tiens ses hanches et commencé à accélérer le rythme. Elle crie en bougeant son cul autour de mon vit.
— Oui Papa, oui, oui !
De plus en plus vite j’encule le trou serré de ma fille. Je l’utilisée comme une prostituée à cent balles. Je ne me suis pas soucié de ce qu’elle voulait. elle m’a excité pendant ces dernières années. C’est à mon tour d’arriver à mes fins.
— Je ne vais pas tarder à balancer ma semence. Vais-je te la mettre dans ton petit trou du cul ou arroser tes gros seins ?
Lui demande-je tout en fouillant son adorable petit cul. Je m’agrippe fermement à ses hanches quand ma bite dure lâche mon sperme dans ses intestins.
Lisa se trouve à plat ventre sur le lit avec son cul grassouillet venant à la rencontre de mon pubis.
— Balance tout dans mon vagin. Fais-moi un bébé, Papa.
Elle halète quand mon pieu continue à baiser son trou serré.
— Jute dans moi, remplis-moi !
— Bien, ma chienne! Prépare-toi !
Je commence à claquer ses fesses le plus fort que je peux. Il me faut jouir dans cette fille sensuelle. Elle a un petit peu de poids excessif mais elle est la fille la plus douce dans le monde. c’est ma fille.
— OUI! OUI! BAISEZ OH!"
Je crie quand ma bite commence à lancer mon sperme chaud dans ses intestins. Lisa hurle avec un mélange de douleur et de plaisir.
— PAPA ! OH PAPA !
Elle a fait un bond sur le lit comme je continue à pilonner son cul plein de sperme. Je m’allonge sur son corps pompant encore son trou serré.
— Bon Dieu ! que c’était bon.
Lisa me serre dans ses bras.
— Merci, le Papa. Qu’as-tu pensé en lisant ma note?
Me demande-t-elle a avec un petit rire. Elle avait m’a écrit un mot en me disant qu’elle voulait être attachée et baisée comme une prostituée. C’était mon cadeau pour elle. Je lui rends son étreinte et me donne un de ses grands mamelons bien dur pour que je le suce.
— Je suis heureux que tu me l’ais écrit. Je vous ai désiré depuis un long, long moment.
Ma bite recommence à frémir.
— Je ne peux pas attendre plus longtemps pour me taper ta minette bien excitée.
Je me suis frotté sur son minet vierge.
— Je vais te baiser toi. et Nicole à mort !
— Elle attend impatiemment ce moment. Elle t’aime tellement.
Lisa me sourit.
— Nous voulons que tu nous le fasses en même temps.
Sa main se place sur ma tige et la caresse doucement.
— Papa, je ne peux pas l’attendre d’avoir ta bite en moi."
Elle soupire et m’embrasse sur les lèvres.
Je regarde sa pendule.
— Je suppose que nous nous levons et finissons de charger le camping-car.
Je promène mon doigt le long de la festine de son minet.
— Plus vite nous arriverons. et plus vite je pourrais baiser les deux jolies filles que j’emmène en camping.
Nous avons chargé le camping-car et sommes passés prendre Nicole. Je ne peux attendre plus pour mettre mon pieu profondément dans son très petit corps. J’ai eu envie d’elle depuis aussi longtemps que je la connais. Et, quand elle s’est transformée en adolescente chaude, sexy ma bite se déchaîne toute seule juste en pensant à elle.
Je gare le camion complètement chargé dans l’allée de sa maison et la vois sourire quand elle sort de la maison. Mon camping-car est des mieux aménagé, Lisa dort à l’arrière. J’ouvre la porte et sors pour aider Nicole à entrer ses sacs à dos. Elle porte une petite blouse qui me donne un aperçu de ses très petits seins. Ses jolies fesses sont serrées dans un petit short qui semble trop petit pour elles.
— Bon dieu, que tu es belle !
Je lui souris, mes yeux prennent possession de tout son corps. Ses très petits mamelons sont aussi durs des petits cailloux dans l’air frais du matin. Son petit cul se sent un peu juste dans le short. Je voir sa culotte blanche qui couvre son petit minet.
Elle me lance un petit regard de fille innocent et dit :
— Merci, Monsieur. Je suis heureuse de vous plaire.
Elle se penche pour ramasser un sac et frotte son très petit cul sur ma bite.
— Viens ici fillette.
Je l’attire dans mes bras et dirige ma main entre ses jambes en saisissant son petit minet. Et, de mon autre main je caresse ses fesses.
— J’espère que sais que je vais te baiser et Lisa aussi. jour et nuit. tout l’été.
— Ah oui, monsieur ! Je ne peux pas attendre plus pour vous plaire, Monsieur !
Elle gémit d’une voix soumise, un afflux de sang arrive directement dans ma bite.
Je la tiens plus serré contre moi.
— Tu vas te préparer cela pendant que nous roulerons.
Lui ordonne-je quand mon pieu entre dans son minet moite.
— Oh, Monsieur, je vais tout faire vous plaire.
Elle gémit de nouveau quand sa petite main se glisse le long de mon vit bien dur.
— Oh, Monsieur, cela va remplir mon petit minet. Il est grand ouvert.
Sa très petite main se déplace sur ma tige dure.
Je la plaque contre moi.
— Partons. Je veux que tu suces mon pieu pendant que je conduis jusqu’aux montagnes.
Ma main caresse ses doux cheveux châtain.
— Ah oui, Monsieur !
Elle soupire.
— Je veux plaire à mon Maître !
Elle me regarde avec ses charmants yeux marron. Nicole se trouve à travers le siège avec sa bouche sur ma bite. Elle tient la base avec une main pendant que l’autre était autour de mon dos. Sa très petite main ne fait pas le tour de mon pieu épais mais sa bouche a pris mon gros gland facilement. Sa langue chaude danse autour du bout, en taquinant.
— Oh fillette, c’est géant !
Je gémis en prenant à main pleine ses cheveux et plaque sa tête pour me sucer plus fort. Je l’entends pousser un petit cri, mais la colle plus.
— Suce-moi plus fort !
Ordonne-je à Nicole en tirant ses cheveux plus durement. Sa très petite bouche suit mon ordre et commence à me sucer bien fort. Je sens ma semence chaude bouillir dans mes lourdes bourses. C’est seulement une affaire de secondes avant que je remplisse sa bouche de sperme.
Alors ça arrive, je jouis dans la bouche mouillée de la jeune fille.
— AH OUI !
Je crie. Elle encaisse au début quand la charge massive de sperme arriver dans sa bouche. Mais, elle réussit à avaler tout cela au fond de sa gorge.
— Continue à sucer ma petite esclave. nettoie bien tout
Je soupire et je caresse son beau visage, pensant qu’une magnifique jeune fille sage s’est transformée en chienne complètement excitée-.
Elle est restée sur mes genoux me suçant comme un petit bébé tétant. Elle a gardé mon gland dans sa bouche chaude pendant le reste du trajet jusqu’au lieu de notre campement dans les montagnes.
A suivre…