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La fille du douzième – Chapitre 1




Vous ne me croirez jamais les mecs mais je me suis fait la fille qui vit au Douzième B. Ouais, la vieille fille, celle qui fait ses courses avec son petit filet rouge et qui fait toujours la gueule quand on la croise dans le couloir. Non, je vous assure, ça pas été trop difficile. En fait, elle attendait que ça, la chienne, qu’on la prenne de force. Et, c’est ce que j’ai fait… Enfin, moi et mon copain. Ouais, tous les deux, l’un après l’autre. Comment ? Ouvrez bien vos oreilles, je sens que ça va vous plaire :

Bah, on glandait tous les deux devant l’ascenseur, comme dab, quand je l’ai vu passer la porte de l’immeuble. Au moment où elle nous a aperçu, elle s’est mise à foncer, tête basse et poings serrés. On dirait qu’elle à toujours peur de nous cette fille. Pourquoi ? Pars’ qu’on est jeune et mal fringué, eh ouais, ça doit-être ça ! Donc, elle passe devant moi. Mon copain tournait le dos parce qu’il me parlait des trucs qu’il avait vu à la télé la veille, j’sais plus. Et alors là, je vous jure, elle me lance un regard ! J’ai tout de suite compris qu’elle en voulait ! Alors, avant que la porte de l’ascenseur se referme, je tire mon pote par le col de son survet’ et on rentre tous les trois dans la cabine. Comme y a pas beaucoup de place, on était serré là dedans ! Et puis il faisait chaud. Tant mieux j’ me dis, et puis je la regarde droit dans les yeux. Elle, je la sens gênée : elle baisse les yeux, essaye de regarder ailleurs, le plafond, ses pieds, n’importe quoi sauf nous, quoi ! Mais rien à faire, je la lâche pas, fallait pas qu’elle m’allume ! Mon pote commence à comprendre le plan. Je le regarde : il souriait comme un gosse en imaginant la suite. Alors, je lui demande comment elle s’appelle. Elle me répond pas. Normal, on est de la racaille et c’est tout. Sauf que là, la racaille, elle en a envie. Alors je franchis le pas. Avec les filles, faut faire comme ça, toujours faire le premier pas. Sinon, t’es pas un homme. Et puis je sens qu’elle attend que ça. Je lui mets direct une main entre les cuisses, pour voir. Elle bondit en arrière, mais pas loin vu le peu d’espace. T’inquiète pas, j’ai de l’expérience, j’ lui dis comme ça pour la rassurer. Et elle, elle se cambre contre la paroi d’alu toute sale de la cabine en écartant un peu les jambes. Très vite, je passe ma main sous sa jupe. Bah ouais, à son âge, elle porte encore des jupes comme une collégienne. Mais c’est comme ça les vieilles filles, c’est comme si elles se foutaient de leur apparence. Faut pas avoir peur, je lui sors. Alors là, les mecs, je la sens fondre sous mes ’ doigts experts ’, comme on dit dans les bouquins de cul. Elle mouillait dur la pauvre. Manque de pot, on arrive au douzième.

Mon copain et moi, on voulait pas en rester là. Surtout qu’on bandait déjà comme des cerfs, si vous voyez ce que je veux dire. Et là, à deux pas de sa porte, elle se tourne vers nous et nous dit : Venez !

Tu parles si j’ai obéit !

On entre chez elle. Pas terrible. Bah ouais, c’est l’appart’ d’un fille seule, tu vois, sans gosse ni mari pour s’occuper. Ce qui te faut, c’est un homme, je lui lance. Elle, elle nous fait seulement signe de la suivre, en nous souriant un peu. En fait, elle nous entraîne dans sa chambre. Là, un grand lit, qui m’a tout de suite fait bander tellement je m’y voyais déjà, une commode en pin avec un miroir et des tas de petits trucs en porcelaine et aussi des nounours. La fille, avec ses, j’ sais pas moi, 35 ou 40 ans, elle attendait peut-être encore son prince. Et comme ce con venait toujours pas, bah, du coup, elle avait décidé de s’amuser avec les petits mecs du coin. Toujours disponibles eux !

Elle nous demande de nous désaper. On a fait aussi vite qu’on a pu. Mon copain à même failli se casser la figure en enlevant son pantalon. Vous imaginer l’excitation ? Pendant ce temps, madame s’était enfermé à double tour dans son cabinet de toilette ! J’sais pas trop pourquoi mais ça m’a énervé, parce que, franchement, ça prouvait un manque de confiance, non ? Et puis on est des vrais mecs, des vétérans et on aime ça nous, voir les filles se foutre à poil. Mais bon, on a passer sur l’insulte, vu que c’était sûrement sa première fois et qu’en plus, elle devait bien avoir vingt de plus que nous. On est galant qu’en on veut nous aussi. Baiser une vieille, c’est le genre de phantasme qui m’a toujours fait kiffer. Mais de là à passer à l’acte, faut vraiment qu’on ait traversé une longue période d’abstinence mon pote et moi !

Au bout d’un quart d’heure, ouais, d’un quart d’heure ! la porte s’ouvre, et on voit la nana sortir pieds nus, en nuisette transparente, le genre de truc en soie et dentelles qu’offrent les vieux cochons à leur copine pour s’exciter. Elle avait du acheter ça dans un sex-shop en pensant à un jour comme celui-là. J’vous ai dis qu’elle en voulait !

Elle ouvre son lit avec soin et s’y installe, comme si allait s’y coucher pour la nuit et comme si nous on était pas là. A la fin, elle nous dit que ce lit avait appartenu à ses parents et qu’elle avait dut être conçu ici. On s’en foutait grave ! Tous les deux on s’était remis à bander, et on le cachait même pas pour qu’elle voie bien notre impatience. Mon copain tenait la sienne braquée vers la meuf, comme une lance à incendie.

Au bout d’un moment, après avoir bien reluqué nos queues, elle nous appelle avec sa petite voix fluette. On sentait l’émotion qui lui serait la gorge. Elle se couvrait les seins avec le haut de ses draps. Moi, ça me faisait saliver.

Donc, on passe à l’attaque tous les deux. Mais, comme je suis un peu le chef, c’est moi qui commence. Je me jette sur elle, comme ça ! Vous me connaissez les gars, quand j’ai le feu, je fonce ! Et quand il s’agit d’un dépucelage…

D’abord, j’ lui arrache d’un coup son drap et je vois la fille qui cri et qui se recroqueville tellement elle a peur. Je lui tâte un peu la chatte pour la faire mouiller et pour qu’elle se tranquillise. Après, je lui mordille le cou tout en lui massant les tétons, et je passe ma langue un peu partout pour la faire jouir. Et puis je m’installe sur elle, je lui écarte les jambes avec les genoux et je la pénètre. Elle ne savait plus comment me contenir tellement j’avais envie de la baiser ! Y’ a ses mains qui glissent sur mon dos trempé par la sueur et elle, elle fait des ’ Ooooo ’ et ’ Aaaaa ’ et je vois sa gueule qui devient toute rouge. J’ l’ai prise tellement bien à fond qu’elle a gueulé sa douleur cette chienne ! Après, j’ai tout de suite joui en balançant une très grosse sauce. Bon sang, y’en avait tellement, sur sa chatte, sur ses draps, que j’en revenais pas moi-même ! Et puis, comme je bandais encore, j’ l’ai encore un peu baisé, surtout pour qu’elle pense pas que j’ suis un mec rapide. Pendant ce temps, je voyais mon copain qui se branlait très tranquillement à côté du lit. Il a toujours eu une très grosse bite, même plus grosse que la mienne en fait, et là, je lui offrais une occasion en or de s’en servir. J’espère qu’il s’en souviendra !

La première fois, il a fait ça presque aussi vite que moi, en plus brutal même. Faut le comprendre, il avait attendu. Il l’a prise deux fois, la première donc, rapide comme un taureau, la deuxième en prenant son temps, genre mec tendre. Elle a commencé à jouir vraiment dans ses bras. Je trouvais ça un peu vexant vu que c’est moi qui avais ouvert la route. Il glissait en elle en vrai expert, comme un vrai piston de locomotive, et des fois, il bougeait presque plus et lui donnait des tous petits coups qui la faisaient frémir. Et elle, la chienne, elle s’accordait à son rythme avec ses jambes enroulées autour de ses cuisses et ses mains baladeuses qui lui tâtaient son gros cul poilu ! Après, c’est moi qui l’ai reprise, mais par derrière cette fois, pour changer, et parce que ça me fait l’impression de baiser comme un bête. J’ai joui encore une fois et on s’est tous levé, en sueur qu’on était.

Devant le lit, elle a commencé à jouer avec nos couilles. Moi, j’aime pas trop ça, parce que ça me chatouille, mais elle, elle faisait ça bien en nous disant des trucs dégueulasses du genre : ’ Baise moi ’, et ’ Vide toi encore en moi ’ . Je bandais dur à l’idée d’avoir fait d’une vierge effarouchée une vraie salope. J’étais assez fier de mon oeuvre ! Alors, elle s’est mise à nous sucer. Moi d’abord, et puis l’autre. Au début, c’est à peine si elle osait nous goûter du bout du gland, mais à la fin, elle avalait le sperme comme une vraie pro ! En plus, elle me caressait les cuisses en jouant avec mes poils et elle me léchait les bourses ! Une vraie experte déjà !

Après, je crois qu’elle nous a foutu à la porte, mais c’est pas grave, parce que je sûr qu’on se reverra bientôt. J’ lui ai même demandé s’il avait rien contre le fait de faire ça à plusieurs ? J’ai tout de suite vu que ça lui plaisait comme idée. Alors, les mecs, attendez-vous un de ces jours a vous la faire. Pour son pucelage, c’est trop tard, mais faute de mieux, et vu que cette salope en veut, c’est un bon coup !

— Journal de Mlle X :

’ J’ai reçu ces deux garçons que j’avais remarqué dans le hall de l’immeuble, deux jeunes hommes simples et virils, avec des têtes de petits footballeurs brésiliens, et j’ai souhaité qu’ils me fassent l’amour. Ils ne se sont pas fait prier.

Le premier m’a prise avec brutalité, et j’ai aimé ça. Enfin, un homme se vidait en moi et je sentais sa liqueur chaude envahir mon ventre ! Il est entré avec vigueur, sans se soucier de mon confort, mais, au bout de quelques instants, j’ai compris en quoi consistait le bonheur des femmes ! L’autre s’est montré plus éduqué et aussi plus performant. J’ai eu envie de hurler, de les griffer, de mourir. Je les ai récompensé par une fellation. Leur sperme avait un goût de vie et d’océan !

Après leur départ, j’ai contemplé mon sexe, dévasté, béant et couvert de foutre, ces lèvres retroussées, tuméfiées par l’assaut de mes deux jeunes béliers, et je me suis caressé. J’ai aimé l’idée de conserver leur semence mêlée dans mon ventre. Je me suis senti femme, femelle prise, souillée et honorée à la fois. ’

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