Anne est là, à m’attendre devant la bouche du métro…et rien que de savoir qu’elle ne porte plus sa culotte met mon imagination en ébullition.

Nous nous engageons dans la rame en silence. La foule présente fait que nous étions relativement serrés et je peux donc en profiter pour la taquiner un peu. Je veux la tester, voir ses réactions, voir si elle se dérobe à mes caresses en public. Je laisse dériver sa main le long de son échine profitant de la secousse d’un arrêt pour m’appuyer sur le bas de ses reins la faisant légèrement sursauter de surprise. Elle ne bouge pas, me laissant agir à sa guise.

Une fois arrivé à destination, je décide de la faire mariner un peu et d’aller déjeuner avant de passer à tout autre chose…

Le repas se déroule tranquillement et j’apprécie de la savoir nue sous sa jupe…et le fait qu’elle se tortille sur sa chaise n’arrange rien. Je devine à ses regards qu’elle ne souhaite qu’une seule et unique chose : que le déjeuner se termine…vite. J’ai pensé à lui demander de me retrouver aux toilettes pour qu’elle m’octroie un petit plaisir…j’en ai l’envie sur l’instant et je projette tout à fait ce qui se serait passé.

Elle sort de table pour se rendre aux toilettes. Peu de temps après, je vais la rejoindre, tel un félin avançant sûrement vers sa proie, la surprenant avant qu’elle ne sorte. J’entre dans la cabine et je m’appuie à la porte faisant barrage à sa sortie. En étudiant ses réactions, je lui demande alors de prendre place devant moi, à genoux. Je l’invite à ouvrir sa bouche pendant que je déboutonne mon pantalon et sors mon sexe déjà tendu et lui intime ensuite l’ordre de me sucer…chose qu’elle fait…avec, hummm, délicatesse, douceur puis ardeur… en alternant les caresses de la pointe de la langue, et les prises en bouche plus ou moins profondes. Au moment de jouir, je me retire pour jouir sur ses joues, son nez, sa bouche…la marquant.

Mais, je ne le ferais pas…du moins, pas encore. C’est selon moi, encore un peu trop tôt…mais, bientôt, si tout allait bien.

Une fois sortis de la petite brasserie où nous avons déjeuné, je m’aperçois qu’il ne nous reste que peu de temps avant de devoir reprendre le travail…après, il est tout à fait possible de nous octroyer un après-midi relâche. Nous avons tous les deux emmagasiné quelques heures supplémentaires les semaines passées…oui…nous pouvons faire cela.

Après avoir prévenu le bureau, je décide de l’emmener dans un petit hôtel de ma connaissance. Nous entrons dans la chambre, petite et coquette, et je lui ordonne de se mettre en sous-vêtements…autant lui montrer de suite à quoi elle doit s’attendre si nous devons continuer à avoir ce genre de petits rendez-vous clandestins.

Elle ne s’en offusque pas et se déshabille en soutenant mon regard, yeux dans les yeux…elle rougit sentant mon regard posé sur elle.

Je la fais se mettre à genoux devant moi et lui demande de me sucer, sans un mot de plus, avec une légère intonation un peu sèche.

Elle s’exécute docilement, sans un mot ni un bruit, ouvrant ses jolies et douces lèvres pour les refermer ensuite sur ma queue et commencer de lents et langoureux va-et-vient, me menant au bord de la jouissance…mais j’ai décidé de faire durer le plaisir et la stoppe.

Je la relève et viens lui mordiller la base du cou, ce qui la fit frissonner de désir…

Hum ! Elle est si réactive à mes caresses.

Je lui fais prendre place sur le lit et commence à la caresser, mordillant ses tétons érigés à travers son soutien-gorge pendant que ma main titille son clito, qui très vite, se durcit sous le bout de mes doigts… hummm, elle est si mouillée.

Je veux la faire languir, je veux qu’elle me dise de quoi elle a envie, qu’elle prononce ces mots dont elle n’a pas l’habitude, je veux la voir rougir en me demandant de la prendre, car oui, je lui ferai dire des mots crus, je veux la faire limite, supplier que je la prenne fort…sans aucune délicatesse.

Plusieurs fois, je l’amène au bord de l’orgasme et à chaque fois je ralentis en la frustrant un peu plus.

Ne tenant plus, elle me crie de la prendre sans ménagement, sauvagement comme elle l’a déjà imaginé.

Sa demande me surprend au premier abord. Je ne pensais pas qu’elle pouvait se libérer comme cela, aussi vite en ma compagnie. J’apprécie qu’elle ose me dire ce qu’elle veut vraiment. Je la retourne sur le ventre et lui relève les fesses, les claquant par la même occasion ce qui lui tire un gémissement…Pour pimenter un peu, je lui demande de se mettre en levrette, les fesses bien offertes.

Je la prends vite, fort comme elle le souhaite, la faisant gémir, puis crier de plaisir, lui faisant rougir le cul sous les fessées que je lui administre. Je la pilonne, en règle, de manière assez brutale, et je sens au travers de son corps, de ses réactions qu’elle se libère, qu’elle adore cela…se révélant à elle-même.

Je sens Anne qui d’un coup se met à aller au-devant de mes coups de boutoir, se met à agiter son bassin, puis se plaque sur le lit et se met à feuler…à crier…elle ferme ses poings qu’elle frappe sur le matelas… je suis moi-même proche de l’orgasme. J’accélère mes va-et-vient et au moment ultime, je me retire et me répands sur son joli cul et sa chute de reins la marquant de mon plaisir.

Une fois que nous avons repris nos esprits, nous nous sommes rhabillés dans un silence qui n’était aucunement gênant. Au moment de repartir, je la regarde, content de ce moment, heureux pour elle, qu’elle puisse se découvrir, et je me dis que ce n’est que le début de bons moments que nous allons partager ensemble.

Oui, décidément cette semaine commence sous les meilleurs auspices.

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