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L'héritage de Franck ou Histoire de Famille. – Chapitre 5




Cela faisait maintenant 3 mois qu’il était son amant. Il l’avait débridée au lit et elle n’avait plus honte à laisser échapper ses râles de plaisir. Elle le suçait aussi sans problème maintenant, il n’avait pas encore joui dans sa bouche, mais savait qu’elle accepterait cela aussi un jour.

Elle s’était toujours habillée avec élégance et maquillée avec soin, surtout pour plaire à Franck, mais depuis qu’elle était la maitresse de Marc, elle était plus féminine.

Elle avait changé sa coiffure, appuyé aussi un peu plus le maquillage, même si celui-ci restait encore élégant et ne sombrait pour autant dans le vulgaire.

Franck lui offrait toujours un parfum fleuri qu’elle aimait beaucoup. En effet, elle n’aimait pas les senteurs De l’ambre, du gardénia ou du musc trop forts et provocant  à son goût, pourtant elle portait maintenant et quotidiennement  le parfum que Marc lui offrait : Crystal noir de Versace.

 Ses tenues se firent de plus en plus féminine et sexy, si elle s’autorisait le pantalon, c’était souvent un jean moulant, mais le plus souvent, elle était en jupe ou en robe et la longueur était de plus en plus courte, tout en restant dans la limite de l’élégance et de la bienséance.

Elles étaient cependant toutes d’une longueur au-dessus du genou.

Ses jambes avaient banni le collant et ne s’habillaient que de bas, il lui arrivait même de mettre des porte-jarretelles.

Même avec Franck, sa lingerie avait toujours été belle et choisie avec goûts, Marc aurait aimé qu’elle porte des tenues plus provocantes, surtout ces sous-vêtements, mais il ne chercha pas à lui imposer ce style de tenue trop rapidement

Charlotte ne savait rien de cette liaison entre Marc et Chantal, mais elle avait remarqué que sa mère avait changé de style et de parfum. Elle ne lui en fit cependant pas la remarque.

Un soir, il l’appela alors que sa fille était là, elle décrocha sans regarder qui l’appelait.

–    J’ai envie d’une petite pipe.

Il n’était pas rare qu’avant même de la saluer et sans même prendre la précaution de savoir si c’était bien elle qui répondait ni si elle était seule, qu’il commença par ce style de phrase.

Elle rougit sans rien dire. Charlotte était dans la même pièce qu’elle, mais pas assez prêt pour avoir entendu, mais Chantal était mal-à-l’aise.

–    Oh bonjour Marc, comment vas-tu ?

–    Mal, ma bite me fait mal, je pense trop à ton p’tit cul.

Elle se leva, toujours perturbée par les propos de Marc.

–    Attends, je vais voir dans le bureau

–    Charlotte est là ?

–    Oui

Elle s’isola dans le bureau.

–    Pourquoi m’appelles-tu ?

–    Je veux te baiser maintenant !

–    Arrête tes conneries.

–    Enlève ta culotte.

–    Ça ne va pas

Il avait souvent eu des mots crus avec elle, que ce soit lors de leur rencontre ou au téléphone et elle n’aimait pas cela.

Au départ, elle s’offusquait de son attitude, mais voyant que cela l’excitait plus qu’autre chose, elle le laissait maintenant souvent dire sans rien dire.

–    Tu n’aimes pas quand je te baise ?

–    Si, mais là nous sommes au tel… donc

–    Donc quoi ?

–    Nous sommes loin

–    Et alors, tu aimes quand je mets mes doigts dans ta chatte ?

–    

–    Et quand je prends les tiens pour te forcer à te caresser

Il lui avait ordonné 2 ou 3 fois de se caresser devant lui, elle y était toujours réticente, mais avait toujours cédé à ses demandes. Et elle devait avouer qu’elle y prenait ensuite du plaisir.

–    Alors, enlève ta culotte.

–    Pourquoi ?

–    Pour que tu te caresses jusqu’à te faire jouir pendant que je t’écoute au tel.

–    T’es malade ?

–    Non en manque.

Il éclata de rire.

–    Assied-toi dans le fauteuil de ton bureau et enlève ta culotte.

–    Non

Il était plus facile à Chantal de résister  au téléphone qu’en vrai. Elle ne céda pas.

–    OK, nous verrons cela plus tard

–    Jamais.

–    On verra

–    T’es malade.

–    Bon, pour me faire pardonner, je t’invite ce weekend, pas chez moi, mais pour une escapade. Cela te dit ?

–    Je ne sais pas

Elle avait déjà passé plusieurs fois la nuit chez lui, mais elle n’était pas encore partie en weekend avec lui. Elle hésitait, il insista et finalement elle accepta.

Le samedi matin, il arriva vers 8h00, Chantal était sous la douche quand il sonna, elle enfila un peignoir pour aller lui ouvrir.

–    Et bien ma belle, par encore prête.

–    N’avions-nous pas dit départ à 8h30 ?

–    Oui, mais je voulais te surprendre sous la douche.

–    Et bien t’a gagné.

–    Enlève ton peignoir.

–    Si je le fais, nous ne partirons pas à 8h30.

–    Pourquoi ?

–    Parce qu’il faudra que je reprenne une douche.

–    Ou voyager avec mon sperme dans ta chatte.

–    T’es un pervers toi

Elle avait presque souri en disant cela elle était bien loin la Chantal, épouse de Franck et pas certain qu’elle apprécierait la maitresse de Marc qu’elle était devenue.

–    T’inquiète je ne te baiserai pas promis.

Elle  se dirigea vers sa chambre pour s’habiller.

–    Te fait pas prier, enlève ce peignoir que je vois ton cul.

Sans rien répondre, elle continua sa route, mais enleva son peignoir.

Il s’approcha d’elle, donna une tape une claque sur ses fesses.

–    Ça c’est du cul

Il éclata de rire en ajoutant

–    Pouvoir baiser une nana avec un cul pareil, c’est vraiment avoir un sacré cul une vraie chance.

Il attrapa Chantal par la main, l’attira vers elle et l’embrassa violemment. Sa langue força les lèvres de Chantal, sa main se glissa sur son sexe et ses doigts la pénétrèrent. Elle le repoussa.

–    Tu avais dit que tu ne ferais rien

–    Non, que je ne te baiserais pas et là, je ne te baise pas.

Il l’attira à nouveau vers elle, cette fois, elle se laissa faire.

–    Allez, va t’habiller.

Il entra dans la chambre derrière elle. Elle avait posé sur le lit ses affaires.

–    C’est quoi ça ?

–    Mon jean

–    Tu n’as pas l’intention de mettre cela ?

–    Ce sera plus confortable pour voyager.

–    Interdit !

Hurla-t-il.

Il fouilla dans la garde-robe et trouva une petite jupe bleue marine.

Sans rien dire, elle rangea son jean, mis ses sous-vêtements, enfila une paire de bas. Elle hésita un peu, puis remis dans son placard le haut qu’elle avait choisi et sorti un chemisier.

–    Il ira mieux avec la jupe.

Dit-elle.

Enfin prête, il prit la valise de Chantal et ils se dirigèrent vers sa voiture.

–    Fais attention quand tu appelles, Charlotte était dans la pièce quand tu as appelé.

Chantal avait attendu d’être sur l’autoroute pour lui faire ce reproche.

–    Elle m’a entendu ?

–    Non, heureusement.

Marc avait posé la question, mais surtout par curiosité, voire excitation, cela lui aurait finalement bien plu qu’elle entende ce qu’il disait.

–    Où m’emmènes-tu ?

–    Surprise

Il avait réservé dans un relais-château en bourgogne, un lieu qu’elle connaissait déjà, car elle y avait été avec Franck.

Marc avait délibérément choisi ce lieu et il avait été jusqu’à demander la même chambre. Repensait à Franck et à cette escapade qu’il avait eu, Franck, avec Chantal dans cet hôtel, fit naitre chez Marc un début d’érection.

Marc n’ignorait rien de ce weekend, car Franck lui racontait tout.

Franck, l’homme distingué et vertueux  dans la vie de tous les jours, dans sa vie de couple aussi, se libérait totalement quand il était avec Marc.

En fait, Franck a toujours préféré les hommes aux femmes. S’il s’est marié, c’est surtout par « convenance » et sur les conseils de Marc. En effet, il connaissait Marc depuis longtemps.

Marc était déjà libertin, il aimait beaucoup les femmes, mais n’avait rien contre le fait de prendre un homme. Il était « bi actif » comme on dit. Il aimait se faire sucer, même par un homme, mais il n’a jamais sucé de mec. Il aimait aussi prendre un homme, mais ne se faisait pas prendre pour autant.

Quand il avait croisé Franck, ce bel étudiant distingué, il avait tout de suite vu que sous ses airs de bel hobereau dont toutes les filles étaient amoureuses, une frustration, un désir qu’il n’osait avouer. De nombreuses étudiantes se seraient offertes sans problème à n’importe quel caprice de Franck et lui les ignorait toutes.

Franck n’avait pas encore franchi la ligne, mais il savait. Il était mal à l’aise face à ses pulsions, à ses désirs, il aimait les hommes et cela le perturbait.

Franck cachait se « vice non assouvi » à merveille, mais Marc avait percé ce secret.

Si Marc aimait les femmes, il savait aussi reconnaitre la beauté de certains hommes et il trouvait Franck magnifique.

Souvent, quand il se faisait sucer par un homme, c’était lors d’une partouze ou d’un trio.  Certains hommes aiment se faire prendre devant leur femme et Marc n’y trouvait rien à dire plus d’une fois il s’est retrouvé la bite dans le cul du mari alors que l’épouse l’embrassait.

Par contre, des rencontres avec des hommes seuls, il avait dû en faire 2 ou 3 et à chaque fois c’était des hommes mariés. Soit il les mettait dans son lit pour pouvoir ensuite baiser leur femme, soit pour les remercier de lui avoir prêté leurs épouses.

Franck fut finalement le seul célibataire qu’il dragua.

Ce souvenir augmenta encore son érection. Il conduisait silencieusement, Chantal n’était guère plus bavarde.

Marc libertinait souvent avec un couple d’enseignant, le mari était aussi l’un des professeurs de Franck. C’est ainsi que Marc fit la connaissance de Franck.

Franck et d’autres étudiants étaient dans un bar à proximité de l’université avec leur professeur.

Marc  connaissant les habitudes du professeur et passant dans le quartier était venu le saluer.

Il a tout de suite remarqué Franck et à sympathiser.

Un jour, il lui a proposé de passer chez lui pour lui passer un bouquin. Il lui a donné rendez-vous vers 18h30.

Quand Franck arriva, il lui proposa un whisky sans lui laisser vraiment le choix.

–    Avec ou sans glaçon le whisky ?

 Franck n’avait pas l’habitude de boire et encore moins ce style d’alcool, mais il accepta comme s’il était un habitué.

–    Sans

Il ne savait pas ce qu’il préférait, mais penchait que cela ferait « plus viril » de le boire sec et sans glaçon.

Ils discutèrent de tout de rien, Marc s’était assis à côtés de lui et avait posé son bras sur le dossier du canapé. Il cherchait de plus en plus souvent son regard et Franck était mal à l’aise.

Il ne trouvait pas Marc particulièrement beau, mais il était attiré par lui.

Marc parlait et le regardait, Franck était rouge comme une pivoine, Marc sentait son trouble et savait qu’il n’était pas loin de lui céder.

Finalement, il se tût, mais continua à fixer Franck. Celui-ci baissa les yeux. Marc prit le verre de Franck et le posa sur la table du salon, puis s’approcha doucement de Franck. Ce dernier les yeux baissés ne bougeait pas; Tétanisé par la situation.

Marc posa ses lèvres sur celles de Franck. Aucune réaction de sa part, ni positive, ni négative. Il ne chercha pas à fuir ce baiser, mais ne l’encouragea pas pour autant.

Marc força les lèvres de Franck avec sa langue et finalement ils s’embrassèrent.

Chantal regardait la route, mais ne pouvait s’empêcher de jeter de temps en temps un petit regard en direction de Marc. Elle avait remarqué la petite bosse au niveau de son pantalon, mais ne pouvait imaginer que celle-ci était occasionnée par les souvenirs du dépucelage de Franck par Marc.

Marc s’était levé sans dire un mot, avait pris la main de Franck et l’avait conduit jusqu’à sa chambre. Franck l’avait suivi sans rien dire. Honteux et peureux, il savait ce que voulait Marc et savait aussi qu’il le voulait aussi.

Marc se mit nu, Franck n’osa pas le regarder, il avait déjà vu des hommes nus, bien entendu, mais là, la situation n’était pas celle de vestiaire d’une salle de sport Marc s’approcha de lui, pris la main de Franck et la posa sur son sexe qui avait une petite érection.

–    Tu n’as jamais caressé un autre homme ?

–    Non !

Marc avait posé la question, mais il connaissait la réponse. Franck avait répondu timidement mais n’avait pas enlevé sa main du sexe de Marc.

–    Mais je sais que tu en as envie depuis longtemps.

Franck caressa doucement la queue de Marc sans répondre.

–    Dis-le que tu en avais envie pas de la mienne bien sûr, mais de le faire.

Chantal n’aurait jamais cru Marc s’il lui avait raconté cette « première » de Franck.

Avec Franck, il formait un couple idéal, il faisait l’amour de manière classique et à une fréquence raisonnable. Elle l’aimait et il l’aimait, elle en était certaine.

Franck n’était pas aussi dévergondé de Marc, elle avait appris bien plus avec ce dernier qu’avec son mari, mais elle n’aurait jamais imaginé qu’il puisse préférer les hommes aux femmes.

Il aimait Chantal, cela était certain, mais son amour n’était pas charnel.

Il était conventionnel avec elle, car il lui faisait l’amour par convenance et cela se faisait entre un homme et une femme quand ils sont mari et femme. Mais aussi parce que Marc lui demandait de le faire.

En fait, c’est Marc qui lui avait présenté Chantal, elle lui plaisait et il voulait se la faire comme il aimait à le dire, mais il savait aussi qu’elle était très prude.

Franck avait branlé Marc et y avait pris gout, quand son sexe fut assez dure, il lui demanda de le sucer. Celui-ci le fit sans même hésiter.

Marc le guida et lui donna des conseils, mais il était naturellement doué pour cela et en plus, il aimait ça.

–    Déshabille-toi.

Franck avait obéi. Pendant qu’il enlevait ses vêtements, Marc s’absenta pour revenir quelques minutes plus tard  avec du gel.

Franck s’était mis sous les couvertures. Marc vint le rejoindre.

–    Met-toi nu.

Il avait laissé son caleçon, il l’enleva sans rien dire. Marc lui demanda de se mette à quatre patte.

–    N’aie pas peur, je sais que ce sera une première pour toi.

Il s’exécuta et mis sa tête entre ses bras. Marc mit un peu de gel sur ses doigts et badigeonna l’anus de Franck. Il inséra ensuite 1 puis 2 doigts

 

Chantal pensait qu’elle était à l’origine de l’érection de Marc. En effet, sa petite jupe était remontée pour laisser voir la lisière entre la peau nue et le bas, il l’avait remonté lorsqu’ils étaient arrivés sur l’autoroute et elle ne l’avait pas réajusté pour lui faire reprendre une position plus convenable.

Elle imaginait donc que c’était cette vision qui le mettait dans cet état.

Cette pensée l’amusait et l’excitait un peu. Jamais à l’époque, quand Franck était encore vivant, elle n’aurait imaginé un homme faire cela et encore moins, y prendre plaisir. Franck était si « puritain », elle l’était à l’époque autant que lui, pensait-elle.

Elle était loin d’imaginer que le puritanisme de Franck cachait bien des choses

Ayant bien préparé Franck, il positionna son sexe contre son anus.

Franck ferma les yeux, mais ne chercha pas à fuir le contact.

Marc poussa un peu, il s’aida de la main pour guider son membre pour ce petit trou inexploré jusqu’alors. Doucement il força le passage. Le gland à moitié entré, il s’arrêta un peu, Franck avait un peu peur.

Pour l’instant, ce n’était pas douloureux. Un peu étrange mais rien de douloureux.

Marc poussa encore un peu et le gland fut totalement englouti.

Franck laissa échapper un cri, maintenant ça faisait mal. Marc marqua un nouvel arrêt, le temps de lui laisser le temps de s’habituer à cet intrus. Puis doucement il avança dans l’étroit conduit la douleur se mélangea doucement à une sensation plus agréable, le sexe de Franck commençait à durcir  Marc commença de léger va-et-vient, Franck apprécia de plus en plus pour finalement se laisser aller complétement et ces derniers cris n’étaient pas de douleur, mais de plaisir.

Jamais il n’aurait pu croire avoir un orgasme ainsi, pourtant il jouissait.

Soudain, il fut envahi d’un liquide chaud, il sentait chaque  soubresaut de Marc ainsi que ses jets de sperme  et la sensation était agréable.

Ils s’écroulèrent tous les 2 sur le lit, Marc l’embrassa.

Marc fit comprendre à Franck que leur relation devait rester secrète et Franck était du même avis. Il ne se voyait pas dire à ses parents qu’il aimait les hommes, ni même à affronter le regard de ces camarades de classe.

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