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Claude, cette femme en moi. – Chapitre 3




Ma charmante métamorphose avait l’air de plaire à Aude, ma petite tenue noire sexy à souhait faisait son effet.

Pour une première fois, j’avais choisi mes dessous avec soin, noir et dentelles, féminin et coquin, et cela me plaisait.

J’assumais pleinement cette nouvelle personnalité équivoque. Au fur et à mesure je me sentais de plus en plus féminine.

Le garçon efféminé que j’étais, il n’y avait pas si longtemps, disparaissait irrémédiablement au profit de cette délicate jeune fille que je devenais jour après jour.

Cela me ravissait énormément, je me sentais enfin en accord avec moi même.

J’étais femme jusqu’au bout des ongles.

Aude était dans tout ses états, je devinais entre ses cuisses, les auréoles luisantes de sa mouille.

En montant chaque marche qui nous menait à sa chambre, je regardais son derrière tout charmant qui se dodelinait sous mes yeux. Moi pendant ce temps là, je passais la main sur sa vulve, dans sa raie, et mes doigts fouillaient consciencieusement tout ses orifices, à chaque petit palier.

Aude état excitée et moi aussi… je faillis même la prendre immédiatement dans les escaliers, tellement le temps pour aller jusqu’à sa chambre me paraissait long.

A peine dans l’embrasure de la porte, Aude se jeta sur moi, elle colla ses lèvres au miennes et m’embrassait avec passion.

Je sentais sa main s’agiter sous la soie de mon bustier et aussi l’autre dans ma petite culotte.

Sa main caressait mon sexe, mes bourses, ma raie, mon trou.

Entre chaque baiser, elle me murmurait des "merci", des "je t’aime", nous finîmes par tomber sur le lit.

Aude roula sur moi, souleva mon top comme une folle et commença à me sucer un sein.

Son autre main enfoncée dans ma culotte frottait sans relâche ma verge, mes couilles, mes fesses et mon anus.

Elle me cajolait avec force, et je sentais de petits mouvements circulaires sur mes testicules, d’abord douloureuse ses petites câlineries devaient de plus en plus agréable.

Je n’avais jamais été attouché de la sorte, avec tant de force et de désir.

Ses petits sévices sur mon anatomie intime mexcitait, elle tournait ses doigts sur mon entrecuisse comme si elle frottait un clitoris.

Elle desserra l’étreinte de ses lèvres de mon téton qu’elle avait commencé à mâchouiller, glissa ses deux bras sous mes fesses, et m’enleva la petite étoffe de soie qui cachait ma verge.

Aussitôt après, elle jeta sa langue sur mon petit trou, et commença à le lécher goulûment, enfonçant sa langue au plus profond de mes plis.

Aude se redressa, se mit à califourchon sur moi et frotta sa vulve sur mon pénis et mes couilles.

Je sentais sa mouille couler entre mes jambes, parfois une main caressait mes bas, mes jarretelles et la peau de mes cuisses.

Elle frottait sa vulve détrempée sur mes bourses et ma verge, comme si alors pour elle j’avais un vagin.

En vrai furie lesbienne, elle donnait la mesure, mes couilles me faisait un peu mal, mais l’excitation était plus forte. Ma verge ramollit par tant d’outrages suivait au diapason.

J’étais inondé par son plaisir, et je sentais de plus en plus ce liquide qui coulait abondamment sur mes testicules, sur mon sexe.

J’étais au anges.

Aude avait maintenant attrapé mes seins. Elle les tenait serré entre ses doigts comme pour les grossir d’avantage.

Elle s’était penchée sur moi pour les téter, les lécher, les mordre à pleine dents.

Les mouvements de son bassin se firent plus rapide, et en pantin mécanique, disloquée par le plaisir, elle poussa un grand cris de jouissance.

Au même moment, ma bitte toujours aussi molle cracha sa semence, moi aussi, à cet instant, en même temps qu’elle, jeus un orgasme fulgurant.

Mon sperme se répandit sur mon ventre tendu, l’éjaculation était énorme, moi qui étais déjà un gros "gicleur", j’étais fasciné par la quantité de foutre que je venais de décharger.

Une mare blanche nacrée tapissait mon abdomen. Elle était bien épaisse, le sperme compact ne coulait pas.

Aude se souleva pour venir sasseoir sur mes cuisses, la texture des bas sur sa chatte éclaira son regard d’un émoi bouillonnant.

D’une main elle entreprit de ramasser ma semence, et commença à la laisser couler sur mes bourses, sur ma verge.

Elle reprit le chemin de la flaque, et lentement la vidait sur mes attributs masculin.

Je pouvais contempler le spectacle, mon pénis et mes gonades était recouverte d’une consistante blanchâtre, j’avais l’impression d’avoir une paire dîle flottante à la crème entre les jambes.

Déjà Aude étalait le précieux liquide partout sur mes attributs, elle faisait rouler mes testicules entre ses doigts, elle répartissait avec dextérité mon fluide, lentement, avec malice et application.

Le liquide était maintenant parfaitement réparti de manière uniforme, en un précieux lubrifiant.

Aude attrapa ma verge et mes testicules, et les présenta à l’entrée de sa grotte grande ouverte.

Elle fit entrer l’ensemble dans sa chatte, mes bourses et ma bitte étaient serrées dans son vagin, avec au moins trois de ses doigts, peut-être quatre. Elle les maintenait en place de sa main gauche, tandis que l’autre allait et venait sur son clitoris.

Elle hurla dans un grand cri:

" – Tes boules de geishas… j’ai tes boules de geishas dans mon ventre !!!" .

Moi, je malaxais ses seins, puis très vite, j’entrepris de torturer un peu ses mamelons. Je les tordaient dans tout les sens, et Aude me répondait par de petits couinements stridents.

Aude était maintenant bien assise sur mon ventre, et tout mon appareil génital et une douzaine de ses phalanges était maintenant calés bien au chaud au fond de sa chatte.

A l’intérieur de sa vulve, elle tripotait mes bourse et mon pénis.

Elle faisait bouger l’ensemble dans son conduit serré, les malaxait, les faisait rouler…

J’étais au bord de la syncope, submerger de délectation.

Elle, accentuait encore et encore son plaisir par de vives caresses sur son clito.

Nous poussâmes ensemble un grand cri libérateur, nous venions de jouir ensemble.

Mon sperme à l’étroit dans son vagin se rependait sur mes attributs, sur ses doigts insérés, s’était chaud, moite et serré.

Je sentais la puissance de mon éjaculation, elle devait encore être copieuse, plus encore que la précédente.

Je lâchais sa poitrine pour reprendre mes esprits, Aude se pencha vers moi et m’embrassa.

Elle se leva soudain, et dégagea ma virilité de son étui, elle prit cependant soin de boucher son trou béant de sa main, pour garder en elle les précieuses liqueurs.

Elle approcha lentement sa chatte de mon visage, puis de ma bouche… Jentrouvris les lèvres d’abord timidement, puis bientôt toutes grandes.

Aude posa son vagin sur mes commissures, du sperme coulait d’entre ses doigts.

Elle dégagea sa main pour me laisser me repaître de ce précieux nectar.

Le foutre et la cyprine coulaient dans ma gorge en flots abondants.

Oui j’avais jouis comme jamais, comme si en une seules fois, j’avais fini par me vider les couilles dans sa vulve.

Je buvais et gouttais tout ce qu’elle m’offrait, sa mouille exubérante, ma semence surabondante.

Je la mangeais avec béatitude, je la buvais avec gourmandise.

Intérieurement, soumis et obéissant, je jouissais de nouveau avec félicité et jubilation.

Aude continu un moment à se flatter son petit appendice dressé, le temps que finisse de lui nettoyer totalement son intimité.

Je venais de me repaître de foutre, certes c’était le mien, mais contre toute attente cela ne m’avait pas dégoûté, bien au contraire…

Elle se leva, m’embrassa tendrement, d’une main affectueuse, elle effleura ma joue, mon front, mes mèches longues, puis elle se dirigea vers son dressing.

Moi à demi inconscient, je la suivais du regard, elle sorti une grosse boite en carton de sa penderie, la posa sur sa coiffeuse, et fouilla un instant dedans.

Elle en sortit un gode ceinture qu’elle enfila aussitôt, comme une culotte.

l’olisbos avait une forme étrange, cannelé, il était formé par une succession de boules de taille croissantes qui à la fin, atteignaient des dimensions impressionnantes.

Dans la lumière tamisée de la chambre, je voyais luire le plastique.

Aude revint sur le lit, pour se placer entre mes jambes, un tube de lubrifiant à la main. Elle enduisit à foison de gel l’extrémité de l’engin, puis introduisit doigt après doigts sa menotte graissée dans mon rectum.

Silencieux, je la laissais faire, appréciant sa délicieuse préparation rectale.

Aude allait m’enculer et je la laisserais faire.

Elle attrapa mes cuisses, puis en les soulevant elle posa mes jambes sur chacune de ses épaules, moi écartelé, offert, j’attendais sans appréhension, confiant, presque impatient.

Elle présenta à l’entrée de ma grotte son nouveau jouet coquin, et par d’habile petit coup de rein elle le fit rentrer.

Les boules m’écartelaient avec délice, Aude m’ouvrait en deux, et accéléra sa cadence.

Le sextoy entrait maintenant entièrement dans mon cul, mes sphincters lubrifiés lors de mon lavement répondait favorablement.

J’avais un instant en voyant la taille des cannelures, craint de ne pouvoir subir pareil outrage…

Mais il en était autrement, j’aimais cela.

J’aimais que Aude me défonce, mécartèle.

J’aimais que Aude me prenne, qu’elle me possède comme on possède une femme… sa femme.

A cette simple idée, je fus pris de spasmes violents et involontaires, accentuant d’avantage la pénétration du gode dans mon fondement.

Aude me taraudait à présent de plus en plus fort, de plus en plus vite.

Mon cul relevées acceptait sans broncher ses coups de butoir, ma bitte encouragé par ma prostate flattée s’était dressée.

Ma divine persécutrice haletait en cadence, et de sa bouche sortais parfois quelques insanités aussitôt timorées par de petits mots doux d’amour.

" – Tu aimes quand je te prends, hein ?, quand je te défonce, mon cur, mon amour, ma beauté !!!".

Moi pendant ce temps là, dans un état second, je tirais frénétiquement sur mes tétons, déformant ma poitrine à l’excès, la vive douleur décuplait mon plaisir, une douce folie envahissait tout mon corps.

En sentant ma délivrance proche, Aude saisi ma verge turgescente à pleine main, et la dirigea en direction de ma figure.

C’est pris de formidables convulsions, que je jouis, anal comme jamais je n’avais pensé l’être un jour.

Je déchargeais tout le foutre qui me restait dans les couilles, sur mon ventre, éclaboussant au passage mon visage ébahi.

Aude vint se coucher contre moi, elle me cajola longuement, me caressa, m’embrassa, puis se reput longuement des gouttelettes de sperme répandu sur ma face.

Elle pris alors un petit tube dans le tiroir de sa table de nuit, s’en badigeonna la main.

" – C’est une pommade apaisante, pour ton "petit" trou" .

Sans mots dire, elle introduisit sa main dans mon rectum, et délicatement, dans les profondeurs de mon trou béant, commença son massage cicatrisant.

" – Je t’aime mon amour !, je t’aime mon cur !, Je t’aime ma beauté !," me répétait-elle, puis elle rajouta:

" – Je t’aime ma chérie ?!?…" .

Et dans la pénombre de la pièce, je m’entendis lui répondre:

" – Oui, Aude, je suis ta chérie… et moi aussi je t’aime !" .

Nous nous endormîmes comme cela, collés l’un contre l’autre, elle enfoncée dans mon cul jusqu’au poignet .

Au petit matin, à notre réveil, sa main y était toujours, pour mon plus grand contentement.

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