Le lendemain je me réveille doucement, l’odeur du café plane, Sarah est déjà debout. Je la rejoins à la cuisine et la trouve attablée devant son bol, elle est en teeshirt long et elle est belle.
En me voyant, elle me sourit tendrement, me dit bonjour et me propose de me servir. Je lui réponds par un grand sourire, moi aussi en teeshirt je nous trouve sexys. Je m’assois en face d’elle et commence la discussion.
— Dis donc hier tu as deviné qui était cette femme ou ce couple ?
— Tu en es encore là ? Tu as envie d’une soirée intime ?
— Non, mais sérieux, tu n’as pas envie de savoir ?
— Si je te disais ce que j’ai envie
— Vas-y dit ?
Elle se lève se met derrière moi et commence à m’embrasser dans le cou, juste au-dessous du lobe de mon oreille, je frissonne.
— Non, allez, ne fais pas ça
— Hummm vue comment tes seins pointent, tu n’es pas insensible
— Bien sûr que non, mais, oh nonn
— Laisse-toi faire et ferme les yeux.
J’obéis, je ferme mes yeux, je sens son souffle chaud sur ma nuque, ses mains sous mon teeshirt. Puis je sens qu’elle cherche à ôter ce dernier, je me lève un peu pour faciliter la tâche. Me voilà nue, à ça merci. Sa main descend doucement sur mon ventre, la chaise bouge un peu, son souffle chaud est maintenant à hauteur de mon pubis, j’écarte mes jambes, enfin sa langue se pose sur mon abricot comme pu papillon qui viendrait butiner son nectar. Oh que c’est bon, elle sait y faire, elle me lèche, me pénètre de sa langue, aspire mon clitoris, je commence à gémir. Un doigt force un peu mon entrée secrète, je lève mes genoux pour faciliter la visite, je n’en peux plus et je jouis bruyamment.
Je reprends mes esprits, elle est là, la tête sur ma cuisse, je luis caresse les cheveux et me demande si en fait elle ne serait pas plus lesbienne que bi. Elle devine mon interrogation et en souriant elle me dit, qu’avec moi n’importe quelle fille deviendrait lesbienne, je rougis, lève la tête et là, malheur, je vois l’heure, il est tard. Nous devons être à midi chez moi, il y a mon oncle et ma tante qui viennent manger. Donc pas question d’être en retard, nous partons ensemble nous doucher en nous promettant de ne pas succomber sous la douche.
Nous arrivons chez mes parents pour le repas, un peu en retard, mais bon, comme le dit ma maman « les jeunes ne sont bons qu’au lit » . Mon oncle nous accueille en acquiesçant, et en rajoutant, au lit ou en soirée Pensant à la soirée d’hier je rougis un peu et cette idiote de Sarah lui répond du tac au tac « ah vous avez dû avoir vous aussi une belle jeunesse ». Pourquoi a-t-elle dit ça ? Ma tante la regarde en rigolant et mon oncle lui fait remarquer que le aussi était prometteur.
Bon ma mère calme tout le monde, papa, vient nous faire la bise et nous passons à l’apéro. Le repas se passe bien, sans aucun incident notable, quand vient le digestif, la discussion repart sur les jeunes et leurs soirées. Mon Oncle demande à Sarah si nous vivions une « bonne jeunesse ». Sarah botte en touche en disant que nous étions jeunes et que la vie était trop courte pour ne pas en profiter. Je rougis encore, surtout quand je vois ma tante me regarder avec un sourire amusé et coquin. Mes parents viennent prendre part à la conversation et nous donnent raison, tout en précisant qu’il n’y a pas d’âge pour s’amuser et que les « vieux » ont aussi le droit de s’amuser quand les enfants ne sont pas là. Cette conversation devient, à mon gout, gênante, et prétextant notre départ pour Bordeaux, je demande à Sarah de rentrer chez elle pour y prendre mes affaires. Surprise, elle ne dit rien, mais accède à ma demande. Nous faisons la bise à tout le monde, ma mère me donne des conserves maison pour la semaine ou plus. Je mets le carton dans la voiture et nous voilà parties chez Sarah. Dans la voiture, Sarah, persuadée que la conversation m’avait excitée me demanda « alors petite cochonne on veut son câlin de l’après-midi ? » Je souris, et lui mets la main entre les cuisses pour vérifier qu’en fait c’est elle qui est cochonne. Je ne me trompais pas, elle était très sensible, soupira et me dit « tu ne perds rien pour attendre ma gouinette ». Sarah se gare, et m’embrasse goulument, j’adore ça, je lui dis « vas ouvrir, je sors les conserves pour voir ce que l’on prend cette semaine ». Le carton dans les bras je rejoins Sarah qui m’attend derrière la porte, elle est nue, je pose mon « colis » me rue sur elle et nous nous retrouvons au sol, comme deux furies et en position 69 nous jouons toute les deux de nos langues et nos doigts, elle me dévore littéralement le sexe, lèche mord, fouille avec sa langue, doigte mon petit trou, je mouille terriblement et jouis sans retenue. À mon tour, je m’attaque à son abricot juteux, j’adore son goût, sa douceur, je m’applique doucement sur son clitoris, la pénètre de ma langue en essayant d’aspirer son clitoris insolent, elle gémit, je le doigte en courbant mes doigts pour parvenir au point G, elle crie et jouit aussi. On se repositionne toutes les deux, face à face, sur le sol. Sarah me dit, il va falloir passer la serpillère avant de partir, et nous partons oui, mais dans un grand fou rire. Je me lève, reste nue et prends le colis qui était resté juste derrière nous. Sarah me rejoint et pendant que j’ouvre le colis, tout en e caressant les seins, me fait remarquer que, d’après elle, mes parents en oncle et tante étaient sûrement aussi coquins que nous. Je lui pince son minou en lui disant de sa taire. Je sors les conserves et là. Stupeur, dans le fond du carton il y a un loup. Le même que celui du couple de la boite. Propre, sûrement neuf, mais il est là.
À qui est-il ? Pourquoi l’avoir mis ? Milles idées plus ou moins perverses nous traversent l’esprit et si c’était mes parents ? Non ça ne peut pas, mon oncle et ma tante ? Non je ne peux y croire, mais alors qui ?
Sarah propose une idée, un plan :
— Appelle Samir et Fatiha et de leur proposer de nous rejoindre le weekend prochain dans la boite.
Pendant ce temps, elle appelle chez moi, pour être sûre que tout le monde y est encore, pour les prévenir que nous serons sur Pau le Weekend prochain pour une soirée, non prévue, entre amis.
Les deux compères acceptent notre proposition, trop contents, et nous proposent même de nous rencontrer chez eux. Je leur promets qu’on le fera, mais d’abord on aimerait un retour à la boite. Samir me traite de coquine exhibi, mais ils acceptent.
Mes parents, sont contents de savoir que nous serons sur Pau dans une semaine, préviennent mon oncle et tante et veulent qu’on passe un petit moment le dimanche à la maison avant de remonter.
Le chemin de retour sur Bordeaux est calme, silencieux même, je n’arrive pas à imaginer qui aurait pu mettre ça dans le carton. Sarah, pragmatique m’énumère les solutions :
Soit mes parents, soit mon oncle et Tante, soit un des quatre, soit le voisin, qui est passé pour le dessert et que nous avons croisé en sortant. Le colis était dans le garage ouvert. La solution du voisin me plait, mais il y a un problème, il vit seul