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L'aire d'autoroute – Chapitre 1




Je suis souvent sur la route pour mon travail et j’ai déjà eu un aventure avec un autre homme dans un hôtel, mais il ne m’était jamais rien arrivé sur une aire d’autoroute. Il est vrai que je n’ai jamais rien cherché non plus et surtout, je ne vais jamais dans les sous-bois ou ailleurs que dans les toilettes.

Cette histoire est arrivée il y a quelques semaines. Je montais d’Angers à Paris et une envie pressante m’a prise et je sortais sur la première aire à disposition. Il s’agissait d’une petite aire avec seulement les toilettes, un petit parking et rien d’autre. IL y avait un petit bosquet pas loin mais comme je vous l’ai dit, je ne m’y aventure pas. Je rentre donc dans les toilettes et me poste devant les urinoirs. Un homme vient à côté de moi et urine également. Il finit rapidement, et reste là, faisant de lents allers retours sur son pénis. Je regarde machinalement et voit son sexe en semie érection. Je me rends compte que j’ai fini depuis quelques secondes et que je n’arrive pas à lacher des yeux cet homme qui se masturbe devant moi. Mon sexe commence à réagir et je regarde l’homme, 35/40 ans, brun, 1m75 environ, assez svelte, de beaux yeux verts clairs. On se sourit et je commence alors clairement à me caresser moi aussi. Je bande assez rapidement, je me regarde et il fixe avec envie ma bite maintenant bien tendue et atteignant les 19cm. Il tend sa main, et prend mon sexe pour me masturber lentement. Le moment est super excitant, personne alentour mais si quelqu’un arrivait, voyant un homme en branler un autre dans un lieu public. Je tends ma main et je touche cette bite un peu plus petite que la mienne mais assez épaisse. Elle est bien plus épaisse que la mienne une fois complètement bandée.

— J’ai envie de te sucer, me dit-il

— ok, mais pas ici, viens dans les toilettes fermées

Il me précède et sassoit sur les toilettes. Je ferme la porte et me plante devant lui. Sans attendre, il gobe ma queue. Le ressenti est divin, sa bouche moite et chaude englobe ma bite, il va doucement, ressort le tout, lèche mon gland, bouffe mes couilles, bref la meilleure pipe que j’ai jamais eue. Je sens que je vais venir

— Arrête je vais jouir

Il sourit et reprend, je ne me retiens pas et jouit pleinement dans sa gorge, je sens mon sexe expulser plusieurs jets et lui avale tout en me regardant, le regard plein d’une perversité que je connaissais pas encore.

— T’es un coquin toi, lui dis-je

— j’aime le sexe, le sperme et faire jouir quelqu’un, si c’est ça être coquin alors j’assume

Je n’ai pas envie de partir, je me mets donc à genoux, il se lève et me présente son vit tendu. Il est bien épais et j’ai un peu de mal à le prendre en bouche, mais même après avoir joui, j’ai encore envie de sexe. A mon tour de lui montrer mon savoir-faire, et je m’applique à le sucer doucement, le regardant dans les yeux, gobant ses couilles, léchant son méat tout en le branlant.

— Tu as un regard de salope quand tu suces

— Et tu aimes te faire sucer par une salope ?

— Oui, pompe moi bien salope

Je reprends de plus belle, je veux le sentir se vider sur ma langue, le sentir prendre son pied. Il ne lui faut pas trop de temps et il se vide en me tenant fermement la tête. Je rebande, je suis une chienne qui a eu son du et j’aime être à genoux devant un homme que je viens de vider.

— Tu bandes encore mon salaud, tu crois que tu pourrais me baiser  ?

Je ne réfléchis pas du tout et me relève

— Bien sûr, tu as une capote ?

Il me tend un préservatif que j’enfile pendant qu’il se retourne et s’appuie sur le mur. Je présente mon sexe à l’entrée de son cul qu’il ouvre avec ses mains. Je rentre doucement mais facilement dans ce trou qui semble habitué à la pénétration. JE commence mes va-et-vient, je prends ses hanches et accélère le rythme. Il gémit doucement. Je le relève, prend ses bras et les passe autour de mon cou. Ma bouche est tout contre son oreille et doucement je lui parle :

— Tu la sens bien ma queue hein ?

— Oui

— Vas-y bouge, baise-toi

Je m’arrête et le laisse prendre le rythme qu’il veut. Je pince ses tétons, lui triture les seins, les caresses comme ceux d’une femme. Je garde une main sur un téton et le branle maintenant doucement

— JE sens que ça vient, me dit-il

— Laisse-toi aller, empale-toi bien profond, fais-toi jouir

Il n’accélère pas mais va plus profond, s’empale d’un coup puis remonte tout doucement, c’est divin. J’ai laché sa bite pour uniquement jouer avec ses tétons. JE vois sa queue dure comme du bois aller et venir dans l’air, le gland luisant de mouille et ma sève monte aussi plus à cause de son souffle et de l’érotisme torride du moment que par la pénétration elle-même.

— Branle-moi, je veux jouir, branle-moi

— Tu veux pas jouir juste avec ton cul ?

Je prends son sexe et le branle. En quelques secondes, il jouit et envoie son sperme jusque sur le mur d’en face, en une giclé incroyable. Je dois le retenir pour ne pas qu’il tombe.

— C’est incroyable comme sensation, faut que tu essayes

Il prend une capote, l’enfile et sans attendre ma réponse, me retourne et présente sa queue. Je m’empale en douceur et me mets en position, bras derrière sa nuque, cambré au max et commence à me baiser doucement sur sa queue. Il prend mes tétons entre ses doigts et très vite, une sensation de bonheur m’envahit, je sens ma jouissance qui monte mais à 2 à l’huere, comme si elle montait le lus doucement possible.

— Tu sens la jouissance qui monte avec ma bite dans ton cul ?

Je rejette ma tête en arrière, soufflant et gémissant de plus en plus fort, oubliant où nous sommes.

— C’est ça salope, prend ton pied en te baisant sur mon pieu. Je vois ta mouille, tu sens que ça monte hein ? Tu veux quej ete branle ?

— Oui

— Non tu vas attendre, tu es une salope qui dois jouir avec son cul, c’est ta chatte qui va te faire jouir.

Je n’en pouvais plus, je mourrais d’envie de me branler, mais sentir monter la sève était hypnotisant, je me sentais en dehors du temps. Les yeux fermés, je haletais pendant qu’il continuait à me dire que je n’étais qu’une salope qui allait jouir comme une femme, comme une pute et j’adorais entendre ça.

Tout à coup il pris mon sexe en main, me branla et je jouis comme jamais. Je criais et envoyait de nombreuses giclées sur la porte et tentait de rester debout.

J’ai eu l’impression de perdre connaissance quelques secondes tant la jouissance fut énorme. Je le sentis sortir de mon trou, il m’embrassa et nous nous rhabillâmes sans se parler. Nous sommes sortis des toilettes, toujours seuls sur cette aire, puis arrivés à nos voitures il me dit:

— Ca a été la meilleure baise de ma vie, merci

— Merci à toi répondis-je, de m’avoir permis de vivre ça

Nous sommes repartis chacun de notre coté, je suis repassé sur l’aire

fois depuis mais seules des familles s’y trouvaient. J’espère le revoir un jour ou l’autre pour rejouir intensément comme je le fis ce jour.

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