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Une dette d'honneur chèrement payée – Chapitre 1




Sophie et moi, nous nous sommes mariés voilà six mois déjà. C’est une chique fille et canon en plus ! 1m68, brune aux cheveux d’un brun foncé qui tombent sur ses épaules graciles. Je ne voudrais pas lui manquer de respect mais elle a des nichons à en devenir dingue. Cela doit être Michel Ange qui les lui a posé sur sa poitrine ! Elle vient d’avoir 21 ans. Presque deux de moins que moi.

Et moi, justement, je suis Serge ! 1m79, chatin, plutôt athlétique sans être baraqué. Je faisais surtout de la course à pied quand j’étais plus jeune.

En grande partie grace à la générosité des nos parents respectifs, nous avons pu acquérir une petite maison en banlieue parisienne avec un beau jardin qui présente l’avantage considérable de n’avoir aucun vis-à-vis. Sophie et moi, nous en profitons pour autant que le temps le permette pour faire l’amour en plein air, sur la terrasse ou directement sur le gazon ! Elle adore ça et moi aussi. Cela nous permet également de circuler nus dans la maison sans risquer de choquer quiconque !

Nous avons enfin eu tous nos meubles en début de semaine et aussi, livré le même jour, un superbe barbecue.

C’est pour étrenner tout cela que j’ai convié mes copains ce samedi pour passer l’après midi au soleil. La météo devait être au rendez-vous et elle l’est !

Nous attendons Greg, Antoine (qui tient à ce qu’on l’appelle "Toine"), Jeannot et Christian. Lui aussi préfère "Chris". Il dit que ça fait plus américain. Les connaissant depuis quelques années, je serais bien surpris qu’ils soient en retard pour l’apéro !

Effectivement, tous le monde est là à midi. Sophie fait visiter la maison pendant que je m’occupe des braises. Quand ils reviennent, tous est prêt, la table est mise. Il ne nous reste plus qu’à siroter un vieux whisky que nous avons ramené d’Ecosse pendant notre voyage de noce en attendant que les grillades soient cuites.

Le déjeuner se passe merveileusement bien. Chacun mange et bois tout son sou. Arrive le café que Sophie nous apporte sur un plateau. Puis tout le monde met la main à la pâte pour débarraser.

Nous, les garçons, nous avons projeté de faire un Poker. Sophie a préféré aller s’allonger au soleil. Au paravant, elle était montée dans la chambre. Quand elle est redescendue, mes potes en sont restés bouche bée. Sophie s’est pointée en deux pièces noir qui, je dois bien le reconnaitre, ne cachait pas grand choses des merveilles dont j’use et j’abuse à longueur de temps.

Ils ont attendu qu’elle soit installée sur un transat à une dizaine de mètres de nous pour faire des commentaires.

— Mon salaud ! Tu ne dois pas t’ennuyer avec un petit lot comme ça !

Ça, c’était Jeannot, la bouche pendante, qui avait suivi du regard ma chère et tendre jusqu’a ce qu’elle s’allonge au soleil.

— Bon ! Ça va, les gars ! C’est ma femme au cas ou vous l’auriez oublié.

— N’empêche qu’elle est bandante, ta gonzesse, excuse-moi !

Lui, c’état Greg, un bon gars mais qui n’avait guère de manières, surtout pas avec les filles.

— Alors vous jouez ou vous matez Sophie ?

J’ai commencé à distribuer les cartes mais je sentais bien que mes copains avaient encore en tête l’apparition de mon épouse, presque nue, surgissant de l’ombre en pleine lumière.

Dommage pour moi qu’ils ne soient pas restés distaits et déconcentrés plus longtemps. Je commençais à perdre et ça allait de mal en pis ! On avait convenu que nous ne jourions pas de grosses sommes mais, le temps passant et la chance allant surtout se nicher dans les cartes de mes potes, mon déficite devenait abyssal.

— T’en es où ? Me demanda soudain Chris.

— Ben autour des 2000, je crois.

C’est Greg qui, en tant que comptable, tient les comptes. Il a regardé son carnet et énuméré l’étendue du désastre.

— Mon pote, tu dois 800 à Toine, encore 800 à Chris, 200 à Jeannot et autant à moi soit, effectivement, un total de 2000€. Je crois que tu ne devrais pas insister plus longtemps. J’espère que t’as de quoi honnorer ta dette !

— Euh Justement en ce moment, Sophie et moi on est un peu raide, si vous voyez ce que

— Mon ami, je crois que tu viens de te mettre dans la merde jusqu’au coup ! Les dettes d’honneur, ça se paye rubis sur l’ongle sinon

Le ton de Jeannot était devenu menaçant. Les trois autres me regardaient avec un rictus au coin des lèvres qui était loin de me mettre à l’aise.

— Alors, Mec ! Qu’est-ce que tu propose ?

— Si vous n’êtes pas trop pressés

Sans se retourner, Chris, à haute voix a appelé Sophie. Elle dormait.

Jeannot s’est levé et est allé la réveiller.

— Viens ! Faut qu’on cause ! Lui dit-il, d’un ton sec.

Ma chérie papillonna des yeux pour s’échapper des langeurs de sa sieste puis, se tournant vers nous, posa les pieds à terre.

— Que me voulez-vous ? Vous ne voyez pas que je dormais ?

— Amène-toi ! Insista Greg, peu aimable.

Sophie, suivie de près par Jeannot, s’approcha de la table en repositionnant les bretelles de son soutien-gorge sur ses épaules.

— J’espère que ça en vaut la peine sinon vous allez m’entendre ! Articula péniblement Sophie encore endormie.

C’est Antoine qui prit la parole.

— Ton mec nous doit la bagatelle de 2000 € !

Sophie ferma les yeux semblant ne pas comprendre ce qu’elle venait d’entendre.

— T’as pigé ce que je viens de dire ?

— Ouais ! Mon mec vous doit 2000 €.

Elle avait dit cela à voix basse. Elle répéta la même phase mais deux fois plus fort en espassant chaque mot.

— Monmec..vous..doit2000Euros. Comme si elle voulait s’en imprégner, comprendre.

Puis une troisième fois, mais cette fois en me regardant droit dans les yeux et en hurlant.

-Tu leur dois 2000 Euros !!!!!!!!!!!!!!! Mais t’es complètement malade ! Non, mais je ne le crois pas !C’est pas possible d’être aussi con ! Tu te rends compte ? 2000 € alors qu’on bouffe que des saucisses parce que c’est pas dans nos moyens de manger un beafteck ! J’allucine !

Elle était hors d’elle, en colère comme je ne l’avais jamais vue !

Greg leva la main pour imposer le silence à Sophie qui en bavais de rage.

— J’ai une solution, cocotte ! Pas dit qu’elle te plaise mais il me semble que vous n’avez pas trop le choix ni faire les difficiles tous les deux, je m’trompe ?

C’était la première fois qu’il se permettait d’être aussi familier avec ma chérie.

— Ça m’étonnerait ! Rétorqua nerveusement Sophie.

— Si je me souvient bien, lors de votre mariage, vous avez signé tous les deux, "pour le meilleur et pour le pire ", Non ? Le pire, je crois bien que vous êtes en plein dedans ! Vous êtes, de par la loi, solidaires. Du coup, si Serge ne peut pas raquer, c’est toi qui va payer !

— Et comment, gros malin ? J’ai pas une forture personnelle ! Je n’ai même rien du tout !

— Ne crois pas cela, mignonne ! Au contraire ! Des trésors, t’en a à revendre !

— A revendre ! C’est tout à fait le mot qui convient ! Ajouta Chris avec un large sourire qui me fit frissonner d’engoisse.

— Je ne vous suis pas, les mecs. Soyez plus clairs.

Greg qui ne manquait une occasion de rappeler qu’il était comptable réclama une nouvelle fois le silence.

— On est quatre. 2000 divisés par quatre, ça fait 500 ! 100 € de l’heure me semble un tarif raisonnable pour une non professionnelle, d’accord ? Ça fait cinq heures. Pour te prouver qu’on est pas chien, on ne va pas les commuler sinon ça te ferait 20 heures ! On en finirait pas ! Mais nous quatre ensemble, ça peu être sympa et ça ne te prendra que l’après-midi. On bouffe un morceau après et on se casse ! Ça te branche, poulette ?

Ma femme est restée impassible pendant une petite minute. Ça devait bouillonner dans sa tête.Moi, j’étais pétrifié à l’idée que j’étais l’unique responsable de ce qui se décidait en ce moment.

Et puis, comme un diable, elle s’est redressée, l’oeil vif, le visage détendu.

— Si je vous comprends bien mes amis, je me fais baiser par vous quatre voyons il est 14h30 jusqu’à 19h 30 et après ça, on fait comme si rien ne s’était passé, on dîne et chacun rentre se pieuter. C’est bien ça ?

— T’as tout pigée !

— Et on ne parle plus des 2000 € ?

— Non ! Plus de dette. Effacée ! Confirma Greg, appuyé par les murmures d’assentiment des trois autres.

Sophie s’est approchée et a posé ses deux sur la table face à moi. Par reflexe je n’ai pas pu m’empêcher de jeter un coup d’oeil sur ses seins qu’elle me présentait sans le vouloir en se penchant ainsi sur moi. Pourtant, sûr que je n’avais pas la tête à ça !

— Et bien tu vois, connard, j’accepte ! Rien que pour te faire chier. Et puis, économiser 2000 € en prenant du plaisir, je ne vois pas pourquoi je m’en priverais. N’est-ce pas les gars que vous aller me donner du plaisir ?

— Plus que ça encore, mignonne ! Répondit Jeannot visiblement très excité.

— Chérie ! Tu ne va quand même pas

— Si! Si, mon gars ! Et mieux que ça encore!

Elle s’est redressée, m’a tourné le dos et s’est adressée à mes quatre "ex-copains".

— Je tiens en plus à que ce con ne rate rien de la partouze ! Faites ce qu’il faut pour ça ! Vous avez carte blanche. De mon côté, je vous promet que vous n’allez pas le regréter. Je ne suis peut être pas une "professionnelle" comme vous dites mais je ne suis pas non plus une gourde ni une sainte nitouche. Quatre, c’est vrai, je n’ai jamais fait mais deux, ça oui, souvent et j’aime bien !

— T’as déja baisé avec deux mecs ? M’insurgeais-je.

— Ta gueule ! Fut la seule réponse que j’ai obtenu de sa part.

— Bon ! On y va les gars. N’oubliez pas de vous occuper ce celui-là.

Le "celui-là" en question s’est vu prendre par les bras par Greg et Chris, certainement les deux plus costaud des quatre. Dire que je marchais serait exagéré tant les deux qui m’avaient empoigné me menaient manu militari vers la chambre, suivant Sophie qui ouvrait la marche précédant Antoine et Jeannot qui se donnaient des coups de coude en matant le petit cul de Sophie qui ondulait devant eux. Ils se voyaient déjà dedant, j’en mettrai ma main au feu !

Qu’est-ce qui m’a pris le jour où j’ai choisi ce lit doré et argenté avec des barreaux à la tête et au pied. Un meuble en bois n’aurait pas permis de faire que j’y sois attaché comme Sophie leur en donna l’idée. Mieux encore. Elle s’est accroupie devant la commode et a sorti du dernier tiroir un tas de vieux collants.

— Tenez ! Je crois que ça devrait faire l’affaire. Dit-elle en les jetant sur le lit. En l’attachant là devant, il sera au plus près de l’action.

Toujours fermement maintenu par mes deux cerbères, Antoine et Jeannot se sont chargés de me ligoter sur la partie transversale du pied de lit en m’ayant préalablement déshabillé entièrement. Ils ont fait passer ma tête sous la barre. Un collant noué autour du cou m’empêchait de baisser la tête. Si je ne voulais rien voir je n’avais d’autre solution que de fermer les yeux quant aux sons, là, je n’avais d’autre option que de tout entendre. Le lit faisant 180 de large mes mains arrivaient juste jusqu’au pomeau en haut des montants verticaux. C’est autour d’eux qu’ils ont noué les collants m’interdisant le moindre petit mouvement de mes épaules. La seule position acceptable pour ne pas me briser le dos était de demeurer sur les genoux.

Toine est venu se pencher au-dessus de moi.

— Putain, mec ! T’es aux premières loges ! Dommage que tu n’aies pas une main de libre pour te branler. Je ne voudrai pas être à ta place. Tu va avoir sacrément mal à la bite à force de bander sans jouir. Cinq heures comme ça ! Bon courage !

Chris est déjà nu. Greg jete son froc sur une chaise. Il bande déjà, le salaud.

Sophie, à genoux sur le lit tourne le dos à Antoine.

— Tu m’aides ?

Il aurait pu tout simplement faire sauter l’agrafe pour libérer Sophie de son soutif mais il a préféré entourer ses bras autour d’elle, lui prendre les seins à pleine main en soulevant le rempard ridiculement innéficace devant sa volonté de la désnuder. Le sous-vêtement s’est de lui-même décroché restant suspendu un moment par les bretelles puis a disparu quand Sophie s’est retournée.

Antoine lui a prit la bouche sans cesser de la peloter. Ma petite chérie a passé ses bras autour de son coup et l’a suivi dans sa chute quand il s’est laissé tomber en arrière.

Ils sont désormais tous à poil, la queue tendue, prête à pourfendre ce que j’ai de plus précieux et tout cela pour une idiotie, un vice, de l’orgueil aussi. Pourquoi n’ai-je laissé tomber quand j’ai vu que ce n’était pas mon jour ? 500, 1000, 2000 euros. Et si Greg ne m’avait pas arrêté, j’en serai où à l’heure qu’il est ?

En tout cas, là, maintenant, Jeannot vient de descendre le bas du maillot de bain de Sophie. Il lui enlève délicament et le jette vers moi en me faisant signe que la fête va commencer !

Chris profite que Sophie soit allongée sur Antoine pour lui tendre sa queue. Ma petite chérie, la salope, cesse d’embrasser Toine et gobe le gland que ce salaud lui propose. La voir avaler cette bite me rend malade. J’ai l’impression que je vais gerber. Ce qui m’en empêche, c’est Jeannot, la bite à la main, en train d’écarter du bout de son gland les lèvres intimes de Sophie. Il crache, attend que sa salive vienne couler entre et pousse son sexe et contractant les muscles de ses fesses. Il s’enfonce sans résistance au plus profond du ventre de ma femme. Sophie gémit longuement d’un son grave. Je connais ce cri. C’est celui qu’elle pousse quand je la prends et qu’elle se donne à moi sans retenue. Il est perturbé par les va et vient de la queue de Chris dans sa bouche mais ça me suffit pour comprendre qu’elle est toute à eux, qu’elle va prendre son pied une fois, dix fois, cent fois. En cinq heures, elle n’a pas fini d’en avoir des orgasmes avec quatre lascards comme eux ! J’ai envie de hurler, de leur dire d’arrêter mais non, je ne leur ferai pas ce plaisir.

 Qu’ils la baisent après tout ! Je ne dirai pas un mot !

Les minutes passent, les heures passent.

Sophie est dans tous ses états. Elle se donne à corps perdu, accepte tout, n’importe comment.

Elle vient de terminer un 69 avec Chris agrémenté de la présence de Toine dans son cul.

Elle avale son foutre avec, me semble-t-il, une satisfaction évidente et attend que Toine se décharge en elle en jouant avec les couilles qu’elle a sous son nez. Toine jouit et laisse sa place à Greg qui l’encule à son tour. Alors, Sophie reprend le sexe de Chris et entreprend de le remettre en forme en le branlant vigoureusement.

Au loin, la pendule du salon égraine ses coups : un, deux, trois, quatre, cinq Cinq seulement ! Il leur reste encore deux heures et demie à forniquer avec ma femme.

La chambre pue tellement le sperme que s’en est incommodant.

Jeannot est venu se joindre au trio. Je suis estomaqué de voir Chris prendre la queue de Jeannot dans sa bouche avant que celui-ci ne l’enfonce dans la chatte de Sophie. Greg s’est avancé un peu au-dessus de ma femme pour laissé un peu de place à Jeanoot sans arrêter pour autant de la sodomiser. Ils se synchronisent tous les deux. Chris avance quand Jeannot recule et inversement. Sophie gueule. Elle adore visiblement. C’est la tige de Chris qui en fait les frais. Elle la branle comme une folle puis l’avale jusqu’aux couilles, les yeux écarquillés. L’orgasme monte. Il explose et Sophie se met à hurler des horreurs.

Ma petite chérie, elle si bien élevée, si réservée! Elle jure comme un charetier, en redemande dans des termes impossibles à transcrire. Je suis effaré.

Ça va faire trois heures que je bande. Je n’en peux plus. Soudain, c’est la délivrance. Le sperme coule de ma queue sans que j’aie ressenti le moindre orgasme ou alors j’ai l’orgasme depuis tellement longtemps que je ne m’en rends même plus compte !

C’est la première fois que je crie. J’ai, jusqu’à présent, réussi à me contenir même si parfois ça ressemblait à de la torture mentale. Antoine s’en est aperçu. Il m’a entendu. Je crois sincèrement qu’ils m’avaient tous oublié, tant ils étaient occupés à baiser Sophie de toutes les manières possibles et imaginables.

Il a contourné de lit pour venir se mettre derrière moi.

— Ça te plaît ? Tu prends des notes ! Derrière ça, après nous, ta gosse va te trouver un peu tarte si tu ne lui sors pas le grand jeu. Elle va aller se faire reluire ailleurs, c’est comme si c’était fait, c’est moi qui te le dit !

A son tour Greg s’approche. Sa bite s’égoutte encore après avoir fourré le cul de ma femme. Jeannot, lui aussi vient d’en finir en gueulant sur les derniers coups de rein avant de gicler dans le vagin de Sophie. Chris fait rouler Sophie sur le coté. Elle a réussi à le faire jouir encore une fois. Sur le dos, elle se lèche les doigts dégoulinant du foutre de Chris. Lui aussi s’approche de moi. Ils sont là tous les quatre.

— Vous ne croyez pas, les gars, qu’il est un peu dommage de ne pas faire participer notre ami à cette petite fête ? Dit Jeannot d’un air sarcastique.

— C’est vrai ! T’as raison ! T’as une idée, j’ai l’impression. Répond Toine

— Mouais ! Et je pense qu’elle va vous plaire. Et à Sophie aussi ! Ajouta-t-il en se rapprochant de la commode d’où ma femme avait extrait les collants.

Il revient avec deux collants et en donne un a Toine.

— Toi, connard, lève-toi !

Ankylosé, j’ai eu du mal à me mettre sur mes jambes. Le pied de lit étant assez bas, je suis plié en deux et je rappelle que je suis entièrement nu.

Il a un beau petit cul, ce con ! Remarque Chris.

Justement ! Toine, fais comme moi et toi, tend ta guibole.

En fait, Jeannot me saisit la cheville et tire dessus pour l’approcher du pied gauche du lit. Toine, de l’autre côté fait exactement la même chose. Deux minutes plus tard j’ai les deux jambes étroitement liées aux deux pied du lit.

Je voudrais un instant que vous fassiez la même chose que moi. Imaginez-moi, Essayez de bien visualiser la position dans laquelle ces fumiers m’ont fait mettre. Je n’ai pas d’équilibre, mon corps m’emporte en arrière. Je ne risque pas de tomber, ça non mais la position est vraiment stressante. Je tends mon cul comme si le leur disait "servez-vous".

J’ai les jambes écartées autant qu’il est possible de le faire. Ça me tire derrière les cuisses et dans l’aine. Je ne sais pas à qui appartient la main qui vient de me saisir les couilles. Elle serre, serre encore. Je retiens le cri que je vais forcement me mettre à pousser quand ma résistance à la douleur aura perdu la partie. Je crie, non, je hurle. Je ne peux en aucune façon me dérober. Les larmes commence à couler sur mes joues. Non, je ne leur demanderai pas d’arrêter, jamais.

Sophie a refait surface après cette séance de double pénétration collective. Elle rampe à plat ventre et s’arrête à quelques centimètres de mon visage. Elle est dans un état ! Ses longs cheveux noirs adhèrent par mèches gluantes sur ses joues elles- mêmes luisantes par le sperme qui commence à sécher sur sa peau. Elle empeste le foutre mais, dans ses yeux brille une étincelle de joie.

— Ça va être ton tour, mon salaud ! C’est moi qui leur ait soufflé l’idée. Tu vas voir. Au début, ça fait un peu mal et puis ça fait bizarre. On sait plus trop si c’est douloureux ou agréable. Ça vient d’un coup ! Tu gémis, tu soupires, tu couines mais tu te retiens de dire ce que tu resens. Tu ne peux pas l’avouer. T’es un homme, pas une tapette ! Et puis c’est trop fort ! Alors les mots t’échappent, malgré toi. Tu dis que c’est bon, tu crie "encore !"

Crois-moi ou ne me crois pas, ça ne changera rien. Dans pas longtemps je vais t’entendre gueuler à pleins poumons : "Enculez-moi ! Oui, plus fort ! Défoncez moi le cul ! Tu paries ?

— Je ne te ferai pas ce plaisir, salope !

On en reparle tout à l’heure si tu veux !

Ah! Au faite, je ne t’ai jamais demandé s’il t’es déjà arrivé de sucer un mec. Si c’est non, rassures-toi, tes petits copains vont t’initier. Tu va devenir un as de la pipe !

Toujours incapable de savoir qui faisait quoi dans mon dos et pour les même raisons j’ai senti un liquide froid couler de mes reins dans ma raie des fesses puis aussitôt, des doigts me tripoter autour de l’anus.

— Ça ne te servira à rien de serrer ton cul, tu sais. C’est pas ça qui va nous empêcher d’y entrer.

Les rires gras de mes définivement anciens copains fusèrent à la remarque que venait de faire Toine.

— Qui commence ? Je crois qu’il est assez ouvert comme ça. Et puis, c’est bon quand c’est étroit, vous ne trouvez pas ?

Accord unanime des trois autres.

— Sophie ! Qui commence ?

— Euh ! La plus grosse. Greg ! C’est toi qui a la plus grosse bite si mon anus ne m’a pas raconté d’histoire !

— T’as raison, ma chérie. C’est vrai que j’ai eu un peu de mal à te la mettre au fond !

Les grosses paluches de Greg m’ont écartées les fesses. Le bout de sa queue est entrée en contact avec ma pastille qui devait certainement plus resembler à une bouche de métro qu’à un trou du cul. J’ai dû serrer les yeux, la bouche et tout ce qui pouvait se serrer en moi pour ne pas crier. J’aurais juré qu’on m’enfonçait un tronc d’arbre dans le fion. Greg me déchirait littéralement le cul. Son membre énorme investissait lentement mes boyaux. Une sensation de vide dans le ventre a failli me donner la nausée. Il était à fond. Pour preuve, je percevais la caresse de ses couilles sur les miennes. Il s’est mis à naviguer en moi. Doucement d’abord en me tenant par les hanches. Il a fait des va et vient une dizaine de fois avant de s’extraire.

— Là, il est bien ouvert ! Commenta Jeannot. Je peux ?

— Va ! Profite ! C’est gratos !

Cette queue là n’avait rien avoir avec la précédente. Cependant, elle devait être plus longue par ce que ce malaise, ce creux dans l’estomac est revenu me hanter à chaque fois que le sexe butait dans le fond du colon. Jeannot ma sodomisé pendant une minute ou deux avant de céder la place à Toine. Les paroles de Sophie me tournaient dans la tête comme un rêve obsessionnel.

Elle avait dit vrai même si je me refusais toujours à la croire. La douleur des premiers instants avait totalement disparue. J’étais dans la phase qu’elle avait décrite. Ni bien, ni mal.

Greg était monté sur le lit et s’était placé à genoux devant moi, les cuisses écartées au-dessus de la tête de Sophie qui ne cessait de me fixer au fond des yeux. Elle savait que j’allais fatalement lui donner raison !

— Tiens, regarde ! Greg veut de faire un cadeau ! C’est mal poli de refuser un cadeau. Allez ! Ouvre ta bouche et suce-le !

Je ne pouvais m’empêcher de penser que cette bite venait tout juste de sortir de mon cul.

La main de Greg s’est refermée dans mes cheveux et m’a tiré la tête en arrière, autant que lui permettait la barre du pied de lit qui bloquait ma nuque.

J’aurai voulu de pas ouvrir ma bouche mais Greg me faisait très mal. Alors, pourquoi résister. De toutes les façons, maintenant ou plus tard, j’allais devoir me taper toutes les pipes qu’ils auront décidé de me faire faire !

Ce gland était ce que j’avais jamis mis de plus gros dans ma bouche ! J’en avais mal à l’articulation des machoires.

— Suce-moi et fais ça bien !

Derrire moi, ça pilonnait sérieux. Un truc bizarre commençait à monter en moi mais j’étais accaparé par le sexe de Greg qui me troublait bien plus que je ne l’aurai spontanément avoué. Je ne comprenais pas la métamorphose qui était en train de se mettre en place dans mon corp, dans ma tête, surtout dans ma tête. Je me suis surpris à vouloir procurer un maximum de sensations à Greg, un peu comme si je me sucais ma propre bite. Il avait l’air d’apprécier et ça m’encourageais à en faire plus et mieux.

Sophie venait de se mettre sur le dos. Elle prenait les couilles de Greg dans sa bouche, l’une après l’autre, les léchait, les gobait, les embrassait. Sans en être absolument certain, à voir les mouvements de son bras droit, j’ai pensé qu’elle lui stimulait la prostate en lui masturbant de trou du cul.

Soudain, alors qu’un des mecs prenait son pied en extrayant puis en l’enfonçant en moi de manière répétitive sa queue, une bouffée de chaleur a inondé ma poitrine immédiatement suivie par un frisson intense. Bien qu’attachées, j’ai senti mes jambes, mes cuisses trembler. La gorge serrée, les yeux écarquillés, je n’ai pas pu retenir le cri qui me venait de loin, du fin fond de mon ventre. Un cri grave et sourd au tout début qui est devenu plus audible, plus aigu aussi. Même le manche qui m’emplissait la bouche n’a pas suffit pour retenir mon râle.

Celui qui s’amusait à entrer et sortir s’est enfoncé brutalement et s’est mis à me pilonner sauvagement en m’agrippant par les épaules.

— Tu le tiens, Toine ! Le lâche pas ! Écoute-le ! Il en redemande !

C’était donc Antoine qui, comme l’avait assuré Sophie, allait me faire jouir du cul.

L’orgasme m’a submergé progressivement, implacablement, irrésistiblement.

Nous avons joui tous les deux en même temps, lui au plus profond de mon cul, moi, sur la moquette de la chambre.

Certainement stimulé par mon orgasme que je gueulais à tue-tête, Greg s’est vidé à son tour au fond de mon gosier, me faisant tousser comme un perdu en pleine extase.

Sophie est repassée sur le ventre abandonnant les boules de Greg.

— Alors ! Je n’avais pas raison ! C’était bon hein, pédale ?

Après Toine, ça a été le tour de Chris. Rebelote ! Nouvel orgasme, nouveaux cris, et comme l’avait prédit Sophie, c’est moi qui en redemandait !

Jeannot a pris la relève. Même résultat, mais seulement au bout d’un bon quart d’heure durant lequel je me suis entendu dire des trucs pas possible.

Enfin Greg, qui avait retrouvé toute la raideur nécessaire pour ce genre d’exercice a parachevé mon intronisation. Avec son membre deux fois plus gros que les trois autres, j’ai goûté aux délice d’une sodomie méthodiquement menée. Les autres m’avaient fait jouir. Lui m’a fait grimper au rideau, m’a envoyé au Paradis vitesse grand V. Le plus extraordinaire c’est qu’il est parvenu à m’y maintenir très longtemps sans pour autant que j’éjacule. C’est en sentait le flot saccadé de son sperme frappant le fond de mes entrailles qu’à mon tour j’ai ouvert les vannes. Sous moi, la moquette verte amande montrait une marre de foutre blanchâtre large comme une assiette à dessert.

— Vous savez l’heure qu’il est ? Demanda Sophie. Il est exactement 19h 53.

Vous savez quoi ? Je vous fais cadeau des 23 minutes de dépassement !

(à suivre)

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