Eve1

Je mappelle Patrick, jai 52 ans et suis divorcé depuis quelques années. Mes deux garçons ne vivent plus à la maison. Ludovic a près de vingt sept ans et vit à Paris, toujours célibataire. Quant à Benjamin, il a vingt-trois ans et sest marié lannée dernière avec Eve une belle brune, dun an son aînée.

Lors de leur mariage, javais été subjugué par la beauté de ma belle-fille dans sa belle robe de mariée. Elle mavait jeté un petit regard complice mais mavait ignoré presque toute la soirée.

Comme ils habitaient à deux rues de chez moi, il était facile à Benjamin de venir me voir pour des conseils en bricolage ou pour memprunter des outils. Je voyais assez peu ma belle-fille et décidait de les inviter à dîner le samedi.

Elle ne voulut pas prendre dalcool, ni à lapéritif, ni lors du repas. Toutefois elle était enjouée et plutôt rayonnante. Cest vraiment une belle fille, au sens propre!

Je regardais, à la dérobée, ses formes moulées dans ses vêtements et labstinence sexuelle que je vivais narrangeait pas mon désir de la tenir dans mes bras.

Quand elle se penchait en avant, je matais ses fesses. Quand elle levait les bras, je regardais ses seins. Un vrai plaisir que cette jeune femme, mais ma belle-fille quand même. Je me devais dêtre respectueux à son égard..

Mon fils mannonça que son épouse était enceinte de près de trois mois. Jétais super heureux et fier, mais lui ne partageait pas le même enthousiasme. Il était un peu renfrogné et son attitude me surprit un peu. Eve était vraiment heureuse et serra sa robe légère entre ses jambes pour me montrer son ventre. Je regardais son corps entier et pas seulement son ventre. Elle sen rendit compte et réajusta sa robe.

Nous avons dînés tous les trois et au dessert, Ben quitta la table pour aller regarder du foot à la télévision. Eve était mécontente et allait faire une remarque à mon fils, mais je posais ma main sur la sienne pour la calmer et lui signifier que ce nétait pas grave.

Quand jai senti la douceur de sa peau, je navais pas envie de retirer ma main, cela dura une éternité de secondes où nous étions liés. Elle se retira lentement, sans quitter mon regard qui pétillait dadmiration pour cette femme, trente ans plus jeune que moi.

Elle se leva pour desservir la table et regagner la cuisine. Je la suivais, emportant quelques assiettes. Arrivée dans la cuisine, elle avait posé ses objets mais restait prostrée, me tournant le dos. Je lui ai tenu les épaules pour déposer un baiser dans le cou. Elle frissonna et me laissa déposer un deuxième baiser. Je lui demandai :

« Tout ne semble pas aller si bien dans votre couple? Je peux faire quelque chose ? »

Elle se retourna et je lui pris les mains dans les miennes, à lécoute de ce quelle voulait me dire.

« Patrick, vous savez ? Pour pouvoir être enceinte, jai dû pratiquement le violer. Jétais vierge et jai dû prendre linitiative et travailler beaucoup pour quil ait une érection ! »

« Vous navez pas de rapports ? »

« Jamais depuis que je suis enceinte et même avant ! Il ne ma pénétrée que trois fois en tout ! »

Je lui bisais les mains, compatissant. En même temps, mon cerveau tournait à plein régime pour comprendre lattitude de mon fils.

« Eve ? Crois-tu quil ait une autre femme ? »

« Une autre femme, non ! Un homme oui ! »

Jallais de surprise en surprise. Que voulait-elle dire par là ?

« Quoi ?? Un homme »

« Il passe son temps avec Christophe, un gros macho que je naime pas. Ils jouent aux jeux vidéo, soit disant ! »

« Tu crois quils font autre chose ? »

« Je me pose beaucoup de questions, jai retrouvé dans le panier à linge une culotte que je ne mets plus, elle était tachée de filets brunâtres séchés. Quand je lui ai posé la question, il a éludé et na jamais répondu. Je constate aussi que certains de mes dessous ont disparus ! »

Jallais me précipiter vers Benjamin pour demander des explications, mais elle me retint.

« Non, cest à moi de résoudre ce problème, de toutes façons, il ne vous écoutera pas ! »

Elle vint se blottir contre moi et dit :

« Merci de mavoir écoutée, je ne peux en parler à personne, surtout pas à mes parents qui sont trop coincés. »

Je la tenais dans mes bras et fis courir ma main dans son dos. Cet instant était merveilleux.

Malgré moi, je me mis à bander et nous étions si proche quelle le sentit.

Elle me déposa une bise sur la joue et séloigna. Je regardais onduler sa croupe quand Ben apparut. Cétait la mi-temps de son match, il venait chercher une bière dans la cuisine. Je regardais mon fils autrement. Cest vrai quil avait les traits fins, presque efféminés, toutefois il avait eu des petites copines et rien ne me laissait présager quil puisse être homosexuel.

Le reste de la soirée fut particulier. Lui regardait le match dans le salon, alors que ma belle-fille et moi conversions dans la salle à manger. Nous parlions de tout et de rien, jétais fasciné par sa beauté et ses yeux menvoûtaient. Je faisais tout pour garder le contrôle de moi-même et de cacher ma tentation pour elle. Toutefois, les femmes ressentent fortement les petits signes et elle se mit à rougir quand je lui ai touché la main. Je tremblais et malgré ce doux contact, jai retiré mes doigts, me sentant coupable de ce geste.

Cest elle qui ma rassuré en effleurant mes doigts tout en me fixant dans les yeux.

Bon sang ! Elle était magnifique ! Jaurais voulu la serrer contre moi. Elle lisait dans mes pensées et pour rompre ce lien éthéré, elle se leva pour aller aux toilettes.

Jai rejoins mon fils au salon et me mis derrière son fauteuil en appui sur le dossier.

Il était sur son téléphone et jai pu entrapercevoir la photo dun grand membre masculin en érection. Rapidement, il pianota sur son smart phone et le rangea sous lui. Je lavais surpris, mais je fis semblant de navoir rien vu. Je regardais le score dun match qui me semblait sans intérêt.

Eve nous rejoignit et se mit dans la même posture que moi. Nos bras se touchaient, ou plutôt seffleuraient périodiquement jusquà rester collés. Ce contact mélectrisait et je me mis à bander. Je lui jetai un regard et elle me sourit, innocente ! Je pus voir combien elle était cambrée et cette posture provocatrice renforçait ma bandaison. Jéprouvais le désir de la prendre, là ! Sur le champs ! Près de son mari. Tout se bousculait dans ma tête, jai passé mon bras autour de sa taille pour la presser contre moi. Elle ma laissé faire, par contre quand ma main sest posée sur sa fesse, elle a vite réagit et ma repoussé, séloignant un peu de moi.

Je ninsistais pas et repris une attitude plus digne.

Le match se terminait et ils prirent congé. Au moment de lui faire la bise, je voulais goûter à ses lèvres mais, elle tourna bien la tête pour ne proposer que ses joues.

Jétais déçu mais en même temps je concevais que notre différence dâge était rédhibitoire. Quest-ce que jespérais ?

Je suis allé me coucher et me suis masturbé en mimaginant avec Eve. Plusieurs jours de suite, elle fut au centre de mes phantasmes. Toutefois, je navais plus de nouvelles deux depuis plusieurs semaines et commençais à minquiéter un peu.

En passant près de leur maison, je vis la voiture de mon fils garée dans la rue. Il était chez lui et cétait une occasion de lui donner le bonjour. Jai sonné plusieurs fois et il est venu mouvrir la porte. Il était échevelé, le visage rouge et cherchait de la main à cacher sa bandaison. Il me fit entrer et je vis sur le canapé un gars en train de se réajuster tranquillement. Lui aussi avait le pantalon déformé par une grosse bosse. Il se présenta comme étant Christophe un ami de mon fils.

Je compris que je dérangeais et dis à Ben :

« Je vais te laisser, pourrait-on se revoir prochainement, vous venez ? Je viens ? »

« Tu viendras, jen parle avec Eve »

Il était penaud et avait compris que javais compris ce quil était en train de faire.

Deux jours après, jétais invité chez eux. Benjamin nosait pas me regarder, moi je faisais comme si je navais rien remarqué et petit à petit, mon fils se détendit. Jétais un père très tolérant, ce que me reprochait mon ex épouse, mais javais gardé de bons contacts avec mes enfants et ça me réconfortait.

Quand je vis Eve, je fus subjugué par sa beauté rayonnante. Son ventre avait grossi et ses seins aussi. Elle portait une brassière et un pantalon moulant. Son ventre lisse était apparent. Son nombril était retourné, saillant. Après lui avoir fait la bise, je ne pus mempêcher de toucher son abdomen pour en palper la rondeur.

Elle me laissa faire et Benjamin nen prit pas ombrage.

Lors du repas, étant assis près delle, jai tenté dapprocher mon genou du sien. Comme elle avait les jambes légèrement écartées par son ventre, ce fut facile dentrer en contact. Elle se retira, puis après quelques secondes, le contact de nos corps fut rétabli. Plus le repas avançait, plus nous étions soudés du pied au genou. Frottements et pressions de nos mollets nous excitaient lun et lautre. Javais un peu honte de séduire la femme de mon fils, mais jéprouvais une forte attirance pour elle.

Benjamin sactivait pour nous servir et ses plats étaient vraiment copieux.

Nous sommes passés au salon pour boire le café et Ben alluma la télévision sur une chaîne érotique du câble. Eve et moi étions sur le canapé, Benjamin sétait adossé à un fauteuil distant nous tournait le dos. Il me demanda si ce programme ne me gênait pas et je lui dis que je navais pas ces chaînes et que ça me changeait.

Cétait un film plutôt sado-masochiste et je mintéressais davantage à la cambrure du dos de ma belle fille, qui ne semblait pas passionnée par les images. Je me suis risqué à poser ma main dans son dos. Elle a frémi, mais na rien dit. Jai glissé mes doigts sous sa brassière et pus confirmer quelle navait pas mis de soutien gorge. Ma main glissa vers sa nuque et la massa. Elle frissonnait de tout son corps, mais me laissait faire. Je suis redescendu en bas de son dos et de mon autre main jai caressé son ventre et effleuré ses seins gonflés. Ben allait se retourner, aussi je repris une attitude plus neutre, et elle aussi, malgré la bouffée de chaleur quelle ressentait.

Pour être plus discret, jai mis ma main entre ses fesses, en forçant un passage vers sa vulve.

Elle se pencha sur le coté pour me faciliter la tâche et reprit sa position. Mon poignet était prisonnier de son entre fesses. Ben se retourna pour nous parler, mais elle se frottait la chatte sur ma main tout en lui répondant.

Je sentais la moiteur de son sexe se propager sur ma paume. Du bout des doigts, je pus toucher son clitoris, à travers son pantalon incrusté dans ses lèvres, et tentai de le masser. Cest elle qui trouva les déplacements idéaux pour se branler sur ma main. Ses mouvements étaient de plus en plus rapides et les frottements du tissu commençaient à sentendre. Elle comprima ses jambes sur ma main, son corps semblait électrisé et elle réussit à jouir en silence, ou presque.

Javais une trique denfer et mis un coussin entre mes jambes pour cacher mon érection.

Elle avait repris son souffle, mais ma main était toujours prisonnière et je faisais tout pour continuer à la caresser. Elle se laissa faire jusquau moment où le film se terminait.

Benjamin se leva pour aller aux toilettes et jen profitais pour lattirer à moi pour un moment de tendresse. Elle souleva le coussin que je serrais entre mes jambes et observa la bosse de mon pantalon. Du bout de lindex, elle appuya sur mon gland pour en tester la dureté.

Ce geste, presque innocent, me parut dun érotisme extrême et jai crû que ma bite sautait dans mon slip. Un bout de mon gland sortait de mon pantalon et une colonne déformait ma braguette. Tout aussi innocemment, elle posa son doigt sur mon méat et le tapota. Cen était trop ! Je bandais comme jamais et mon fils allait revenir dans quelques minutes. Jétais brûlant denvie pour elle et voulus lembrasser, mais elle se recula, puis se leva.

Benjamin revint et constata la bosse de mon pantalon. Il me fit un sourire complice et me glissa à loreille :

« Si tu aimes ce genre de films, jen ai téléchargés plein. On pourrait sen regarder un autre »

« Euh Oui, mais pas ce soir, je vais rentrer ! »

Je leur ai fait la bise avant de prendre congé et le parfum quexhalait Eve me resta dans les narines un long moment.

De retour à la maison, je me suis branlé en reniflant à pleins poumons la main qui lui avait fait plaisir. Cétait fantastique, même si je me sentais coupable de tromper Benjamin, mon fils.

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