Je suis une call-girl.
Lagence mappelle dès quun « client » se manifeste pour avoir une compagnie pas trop désagréable à voir.
Je suis trop souvent obligée de faire lamour à des hommes qui me feraient vomir en dautres occasions. Je suis obligée de faire semblant, de jouir. Pour moi, cest facile, comme pour toutes les femmes, je simule un orgasme quand le besoin sen fait sentir. Je men sors toujours.
Pourtant jai un faible pour celui qui se conduit en galant homme. Cest le seul qui me sort au théâtre au concert, bref qui ne pense pas dès que nous sommes ensemble à prendre son pied aussitôt vu. Il ne memmène dans sa chambre de son hôtel**** que tard. Il membrasse toujours avec grande ferveur. Pour lui je suis une femme à qui il va faire lamour pour elle et pour lui.
Nos baisers sont de vrais baisers profonds: sa langue vient dans ma bouche. Il me pelote un peu avant de me déshabiller. Quand je suis nue il me branle: je jouis pour de bon. Enfin il se met nu également. Je regarde toujours sa bite, comme si elle avait brusquement changée depuis la dernière fois: Elle nest que normale, ni trop grosse, ni trop longue. Je le branle un peu: je sais quil ne jouira pas facilement comme chaque fois Il me pousse sur le lit pour que jaie les jambes hors du matelas: il les écarte pour venir lécher lintérieur des cuisses. Il monte lentement vers le haut. Il me tarde quil arrive sur mon sexe. Quand enfin il y arrive, il me le prend en entier dans sa bouche. Sa langue par à sa découverte en me léchant à peu près partout. Il sarrête juste un court instant sur mon anus, alors que jaimerai quil y rentre un peu, il rentre dans ma vulve et enfin il me lèche le clitoris à sa façon. Jai cet organe assez long. Il le prend comme une petite bite laspire pour ne lécher que lextrémité. Il me fait jouir. Nous, nous allongeons enfin collés. Il me pelote un brin avant de me sucer les tétons. Je reprends sa queue pour le masturber avant me pencher vers cette bite qui attire mes lèvres. Je le décalotte sans les mains, je caresse avec ma langue le gland bien luisant et enfourne le plus possible sa bite. Je le suce ainsi un instant avant de faire une orge profonde. Jattends vainement quil jouisse: jaime bien le goût de son sperme.
Lui mattire vers lui, me met sur le dos et me prend à la missionnaire. Il rentre en moi facilement tellement je suis relie de cyprine. Jaime ses allers et venues que jaccompagne avec un plaisir qui monte de plus en lus jusquà une première jouissance avec sa pine dans mon con. Il continue à me limer. Je jouis plusieurs fois encore quand enfin il crache son sperme au fond de mon sexe. Jen jouis encore une fois.
Ce nest pas cette première jouissance qui le fait débander. Il me tourne pour que je sois en levrette. Je rends de ma cyprine, men tartine le cul et enfin il me fait ce que jaime le plus: il me sodomise. Il me la met à fond: je sens ces couilles contre mes fesses. Il me caresse un sein, le gauche et sa main droite se perd sur mon clitoris en mélangeant les deux façons de me faire jouir, je ne tiens jamais longtemps. Je jouis plusieurs fois encore. Et enfin il éjacule dans mon cul.
Nous, nous endormons couchés sur le coté, lui juste derrière moi, toujours bien collé à mon corps. Le matin il bande comme un adolescent. Comme il est toujours contre moi, dès quil bande, sa queue se trouve prisonnière de mes fesses. Il fait quelques aller et venue entre elles. Il me réveille en mexcitant. Je reste comme je suis, jécarte les fesses avec mes deux mains et il me sodomise une dernière fois. Je jouis encore deux ou trois fois avant de le sentir se répandre dans mes intestins.
Pour moi la journée commence bien avec cette queue dans mon cul et cette première jouissance. Nous, nous séparons et dès que je suis chez moi, je passe sous la douche pour le branler avec le jet et me mettre aussi mon gode dans le cul. Je vais dormir encore un peu en espérant que lagence me fiche la paix.
Jai besoins parfois dautres caresses plus câlines: je sais à qui madresser. Une ex copine de classe avec qui nous baisions quand nous étions jeunes et qui garde pour moi les yeux de Chimène. Quand elle arrive chez moi je sais que je vais bien jouir: cest pour ça quavant son arrivée je suis déjà prête, cest-à-dire nue. Si elle tarde trop je me caresse un peu; il marrive même de me faire jouir ainsi. Quand elle est enfin avec moi, nous nous embrassons longuement: je la laisse faire, cest sa langue sui vient à la recherche de la mienne. Elle me caresse partout où elle sait que jaime. Nues toutes les deux, nous nous pelotons longuement avant de passer à lacte principal. Si nous nous branlons, si nous jouissons ensemble, si nous faisons des 69, lobjet principal est que nos deux clitoris se caressent ensemble. Jaime sentir son bouton contre le mien quand elle le fait passer dessus. Nous sommes face à face, les jambes emmêlées, nous pouvons en nous penchant un peu échanger des baisers légers. Quand nous jouissons cest toujours ensemble. Rarement elle me demande de lui mettre mon gode dans sa vulve. Toujours nous nous doigtons.
Ainsi va ma vie de prostituée de luxe.