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la dame catéchiste – Chapitre 2




Je restais quelques semaines sans la revoir, et je nen fantasmais que plus. Vous lavez sans doute compris, je suis très cérébral, et imaginer me fait plus deffet quune terne réalité. Aussi me branlais-je souvent solitaire, en rêvant la bigote donzelle dans les situations les plus folles et les plus farfelues, la replaçant au temps de Dom B. de Latouche, ou séquestrée par Sade ou Casanova !!!… Tour à tour je la rêvais fausse prude et débridée en secret, ou au contraire quasiment coincée et découvrant un jour lorgasme au hasard dune occasion forcée. Bien sûr, mon éducation catholique remontait, tout au moins ma volonté den anéantir les derniers effluves en en transgressant excessivement les principes de pudeur. Et moines et curés « de tout poil » usaient et abusaient de la « dame catéchiste », laquelle offrait secrètement « au seigneur » les faiblesses de sa petite vertu

Jen étais à rechercher des putes qui ressemblassent à mon « égérie » de bénitier. Je trouvais un jour avenue Foch une « occasionnelle » qui en avait la silhouette assez fade et la chevelure commune. La dame légère de passage me fit en voiture une pipe moyenne techniquement mais je fantasmais lourd en voyant sa nuque monter et descendre avec application, et je mimaginais que cétait ma pileuse bigote qui me suçait ainsi, tant et si bien que je ne fus pas long à décharger !… A lépoque, cétait la parenthèse enchantée, et les gourgandines, surtout les moins habituées, suçaient « à cru » et jeus donc le plaisir de cracher ma semence en rêvant que cétait dans la bouche même de ma pieuse obsession. La coquine, peu expérimentée, me fit un prix pour une branlette pour me remettre en forme et lhonorer de nouveau, cette fois directement dans son con abondamment bordé de poils ! Là encore, mon imagination me fit prendre cette péripatéticienne anonyme et complaisante pour la terne mais bandante catéchiste. Je jouis alors une seconde fois comme un fou, et déchargeais à longs jets dans la chatte accueillante !!!…

Quelques temps après, je « la revis », une première fois entre deux portes, une seconde fois plus longuement car elle avait réuni les parents pour exposer son approche du catéchisme et les réactions des enfants, notamment face à la fameuse légende dAdam et Eve, assez malmenée depuis deux siècles par le darwinisme et la théorie de lévolution. Ces questions mintéressent et mon éducation religieuse ma bardé des connaissances bibliques suffisantes pour goûter la subtilité certaine dont la « dame » faisait preuve. Et tout en étant intéressé par son exposé je fantasmais aussi, et je me mis à bander en imaginant avoir un échange quasi scientifique et exégétique en tête à tête avec la dame, tout en la besognant avec ardeur, allongé entre ses cuisses écartelées, jupes troussée aux hanches !!!… Heureusement mon slip était serré et ferme et contint à peu près la visibilité de ma bandaison !!!…

La séance terminée, je restais un des derniers pour continuer à discuter, puis finalement le dernier. Elle se prit au jeu et nous parlâmes très sérieusement création, évolution, inceste, mythe, complexe dOedipe, etc . Je continuais de bander, mon pieu sans doute assez contenu dans mon pantalon pour que la catéchiste ne remarquât rien, ou tout au moins fît comme si !… Elle portait ce jour-là une jupe plissée sous le genou, un pull informe et ses inévitables chaussures à talon plat !!!… Apparemment jambes nues. A un moment elle me fit dos et se pencha pour prendre un document, et là mon sang ne fit quun tour et je lui fourrais la main sous la jupe, le long de la cuisse et remontais jusquà lentrejambe ; elle se redressa, se retourna vivement et me fit de nouveau face avec un « mais, enfin, Monsieur !!! » apparemment indignée et ce faisant essaya de se dégager. Mais je lui attrapais avec chance les poignets et parvenais à les maintenir dune seule main manifestement elle navait guère de force physique tandis que ma main sous sa jupe, glissée sous son entrejambe, lui enserrai une fesse et lattira contre moi

Elle se débattait sans succès avec des « mais lâchez-moi donc, enfin » et des « je vais crier » Je la maintenais toujours et parvins à masseoir sur une chaise en la forçant quasiment à sappuyer contre moi, javais changé de prise et lui tenais maintenant les mains dans le dos, dune seule de mes mains ; mon autre se mis alors à fourrager sans vergogne son entrecuisse, dabord sur la culotte, sentant nettement sous mes doigts les boucles de sa foufoune frisée, puis je parvins à glisser deux doigts sous le tissu. La donzelle se démenait, protestait, la larme à lil et glissait timidement des « arrêtez, on va venir » « je vais appeler » etc. mais sans vraiment faire mine délever la voix

Pour ma part, je bandais comme un fou, dautant plus que comme elle était quasiment assise sur moi, je me frottais maintenant sans vergogne contre elle, même si javais toujours la bite emprisonnée dans le pantalon !!!… Mes doigts gagnaient petit à petit du terrain, et je sentais que la culotte était en fine dentelle, aussi puis-je rapidement en déchirer lentrejambe mettant ainsi à disposition de mes doigts inquisiteurs, indiscrets et impatients, sa fourrure de louve et sa chatte inconnue Et soudain jeus une des plus intenses sensations de ma vie sexuelle pourtant bien remplie !!!… car en pénétrant deux doigts dans son con, jeus la surprise de le sentir tout mouillé, pas de pisse, mais de bonne mouille de fille avide !!!… Là encore, je me lâchais et me mis à la branler avec ardeur, index et majeur fouissant au maximum, tandis que le pouce essayait de titiller le clito.

Elle pleurait maintenant réellement en se tortillant et en gémissant, mais je ne lâchais pas prise, et je la sentis petit à petit se résigner. Je ne relâchais pas mon va-et-vient et quelques minutes plus tard elle eut une espèce de râle et saffaissa tout-à-fait. Je compris quelle avait eu un orgasme. Je me caressais de mon côté au travers de mon pantalon, et tout en finissant de lui peloter con clito et toison, jeus moi aussi mon plaisir, et je sentis mon foutre monter et sécouler dans mon slip, chaud et mouillé. Elle reprit vite ses esprits et se dégageant de moi, elle masséna une vigoureuse gifle avec un« espèce de salaud, je ne veux plus vous voir », se releva, rajusta sa tenue (hormis son slip à lentrejambe désormais béant !!!…), et me voyant pantelant encore sous lempire de lorgasme, me remis une paire de claques pour faire bon poids « butor, je vais porter plainte, vous allez voir, profiteur, obsédé ».

Elle attrapa son sac, rangea ses affaires et senfuit, apparemment davantage colère quabattue !!!… Pour la part, je cuvais mon orgasme avec délectation, heureusement jétais seul sans mon gamin, car javais mon pantalon de toile beige maculé par mon sperme que javais déchargé abondamment !!!…

Mais figurez-vous quen rentrant chez moi, en repensant à la mijaurée, je me remis à bander en pensant à son entrecuisse nu sous la culotte déchirée, et je me refis une bonne branlette. On dira « quelle santé !!!… » Mais aussi, quel effet elle me faisait cette sainte ni touche, visiblement pudibonde mais soumise à deux doigts qui la fouillent et à son orgasme !!!…

Un moment la « peur du gendarme me prit », si elle avait effectivement porté plainte Mais rien, elle disparut, et je confiais mon fils à un autre parent chargé de le conduire au catéchisme et de le ramener

Mais lhistoire sommeilla quelques temps, pour reprendre de plus belle

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