Nous sommes la fin septembre, il fait encore chaud, c’est l’été indien. Je suis Adrien, jeune homme de taille moyenne, plutôt athlétique, les cheveux châtains et les yeux marron. Nous vivons dans le centre-ville de Nantes avec ma petite amie Amélie, plutôt petite, avec de jolies formes, les cheveux raides et châtains eux aussi, une poitrine généreuse et de jolies fesses bien rondes. Nous sommes un couple assez ouvert et aimons réaliser nos fantasmes. Le dernier en date, se promener avec elle la moins habillée possible…
Aujourd’hui, c’est le grand jour pour réaliser ce fantasme. Il fait plutôt beau les températures sont douces, nous sommes un samedi les gens se promène en ville et dans les parcs. Nous nous préparons à sortir ma copine et moi. Mais avant je rajoute une règle de dernière minute à ce fantasme. Je lui demande de mettre le nouveau jouet que nous venons d’acheter. C’est un genre d’uf vibrant en forme de baleine, il est de couleur bleu pâle et se contrôle via le téléphone. Il s’appelle Dr Whale.
Je choisis avec Amélie la robe qu’elle va porter. C’est une robe de couleur rouge avec soutien-gorge intégré et plutôt légère en bas. Le soutien-gorge intégré permet à Amélie de ne pas mettre de soutien-gorge et bien sûr elle ne porte pas de petite culotte. En fin de compte Amélie ne porte que sa robe et Dr Whale… excitant non ?
Je vérifie si Dr Whale fonctionne. En effet dès les premières vibrations, Amélie se tortille déjà. Ça promet d’être amusant une fois dehors.
Nous sortons alors de notre appartement nous descendons les trois étages. Arrivée devant le prote qui donne sur la rue, Amélie marque un temps d’arrêt.
— Tu ne veux plus le faire ? Lui dis-je
— Si si, mais j’ai un peu peur… me répond-elle
— Ne t’inquiète pas ça va aller, on ne fait rien de mal !
— Oui …
Nous passons la porte, ça y est, c’est parti, que le fantasme commence. Nous nous dirigeons le long de l’Erdre, il y a un léger vent qui fait voler le bas de la rode d’Amélie. Qu’elle tente de retenir à la Maryline Monroe. Je marche à côté d’elle, main dans la main. De temps en temps, j’active les vibrations dans son vagin qui la font instantanément rougir et serrer les jambes. Je prends un malin plaisir à mettre des vibrations de plus en forte ce qui a tendance à la faire marcher d’une façon peu naturelle.
Nous nous dirigeons maintenant vers le jardin de Versailles. Sur le chemin, nous croisons d’autres promeneurs. Ainsi, quand ils passent à notre hauteur, j’active les vibrations les plus fortes dans l’antre d’Amélie. Cela la stoppe nette face à ces inconnus qui la regardent en se demandant ce qui se passe. Elle se recroqueville sur elle-même les mains entre les jambes à se tenir l’abricot. Elle est rouge, et n’ose même pas lever les yeux. Ensuite, elle me regarde comme pour dire "mais tu es complètement fou. Arrête ça de suite" mais je lis aussi "continue, je suis trop excité, j’en peux déjà plus".
C’est là qu’elle me confie qu’elle sent son nénuphar trempé, et que de la cyprine commence à couler le long de ses cuisses.
Nous arrivons au jardin de Versailles. Il a beaucoup de monde sur l’herbe, les gens profitent des derniers rayons de soleil avant l’hiver. Dautres se promènent simplement. Et nous… Nous jouons à des jeux sexuels au nez de toutes ces personnes. Amélie est complètement excitée et commence à se désinhiber.
Je lance les vibrations sans prévenir et dans tous les sens, elle n’en peut plus, elle peine à retenir ses gémissements. Ceux qui passent près de nous au bon moment l’entendent forcément et ceux qui ne l’entendent pas, la voie se tortiller dans tous les sens avec ses mains au niveau de son bijou.
Cela m’excite, moi aussi, de la voir dans cet état. Et de voir les gens poser sur elle des regards interrogateurs. Je sens mon sexe grossir dans mon short. Je veux aller encore plus loin. Je veux que les gens puissent la voir, puissent voir son excitation, puissent voir la tension sexuelle qu’elle dégage et pour les plus chanceux, puissent voir qu’elle est nue sous sa robe volante. Je décide donc en accord avec elle de nous éloigner l’un de l’autre. Je me mets donc quelques mètres derrière elle et nous marchons maintenant comme si nous n’étions pas ensemble.
De ma position en retrait, je peux encore mieux voir tous les regards se poser sur ma chérie. Je suis fier de voir ces regards, ma chérie attire les mâles, mais seul moi peux la toucher. J’active alors toujours plus et toujours plus fort les vibrations de Dr Whale. La démarche d’Amélie est saccadée. Elle se plie en deux, s’accroupit, se relève, croise les jambes, met ses mains sur son minou. Dorénavant, il est impossible pour les autres personnes ne pas comprendre qu’il se passe des choses entre les jambes de cette jeune fille.
Amélie est toute rouge et tout excitée, elle ne fait même plus attention à la petite brise qui fait voler sa robe et laisse de temps en temps apparaître un bout de fesse par ci, une fesse entière par là. Ceux qui se trouvent devant elle ont même peut-être la chance d’apercevoir Germaine, la chatte d’Amélie.
Sur la fin du parcours, il y a moins de monde, je décide donc de revenir vers Amélie non pas pour rentrer, mais pour la dévoiler encore plus au monde. Dr Whale vibre maintenant en permanence dans le mont de Vénus de ma dulcinée. Cela lui procure de telles sensations qu’elle marche machinalement, les yeux roulés en arrière, la bouche grande ouverte comme pour crier son plaisir. Les bons observateurs pourront apercevoir un liquide luisant couler le long de ses jambes.
Pour ma part, je bande comme un fou, mon sexe me fait mal serré dans mon short qui forme maintenant une grosse bosse et ne demande qu’à sortir.
C’est alors que ma main passe sous la rode d’Amélie au niveau de ses fesses et révèle à ceux qui la regardent un magnifique fessier bien rebondi, je lâche sa robe après quelques secondes et fais la même manuvre avec l’avant de sa robe. Amélie complètement sous l’effet d’un orgasme imminent ne se rend même pas compte de la scène qui est en train de se passer. Trois jeunes hommes d’un peu plus d’une vingtaine d’années arrivent vers nous alors que je tiens la robe relevée et leur dévoile le sexe luisant de ma copine. Les trois garçons n’en ratent pas une miette, mais ne font aucune remarque en passant près de nous. Je sens simplement leur regard se retourner pour continuer de mater le plus longtemps possible.
J’arrête les vibrations de Dr Whale, Amélie se calme un peu et nous rentrons calmement à notre appartement en débriefant les évènements de cet après-midi. Amélie me dit qu’elle a beaucoup apprécié et qu’elle était prête à recommencer. Arrivé l’appart, même si ces scènes mon moi aussi procuré beaucoup de plaisir, je reste sur ma faim. C’est alors à Amélie de s’occuper de moi maintenant.
