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Guillaume, le joyeux zoophile – Chapitre 3




(Avant de commencer, sachez que le titre "Guillaume, le joyeux zoophile" désignera désormais des histoires qui se dérouleront parallèlement à celle d’origine. Leur point commun sera uniquement le personnage de Guillaume, qui n’aura aucun souvenirs de ses vies antérieures. Représentant ainsi, une sorte de réincarnation qui se découvrira toujours zoophile. Bonne lecture.  GuiZoo.) 

Quand elles ont un but commun, deux personnes aussi différentes qu’elles soient, peuvent s’entendre à merveille pour mener à bien un projet.

C’est ce que ma compagne Gisèle et moi avons fait. 

Bien que beaucoup de choses nous opposaient elle et moi, notre passion pour les animaux nous a réuni pour le meilleur et pour le plaisir. Nous nous sommes rencontrés à un salon canin il y a quelques années. Et depuis nous avons tout fait pour être ensemble. Célibataires tous les deux, nous n’avions aucun engagement ailleurs. Mais la distance géographique, les métiers que nous exercions, la différence de caractère, nos préférences de vie,… Bref, nous n’étions pas vraiment faits l’un pour l’autre.

Mais nous nous posions beaucoup de questions sur les règles établies et ce que l’on appelait: La Morale. Un concept qui semblait régir l’existence de toutes sociétés et qui semblait immuable. Nous n’étions pourtant pas des rebelles, mais notre envie d’émancipation et notre soif de découverte nous poussaient à théoriser sur notre façon de vivre et à chercher s’il n’y en avait vraiment qu’une seule.

Le labrador était notre race de chien préférée, symbole à la fois de fidélité, de loyauté et d’affection. Nous en avons fait les valeurs de base pour notre relation. Et nous nous y sommes tenus. A force de discussions, nous avons fini par nous avouer notre attirance sexuelle pour les chiens. L’idée qu’une femme se donne à un partenaire canin, ou qu’un homme monte une chienne, nous était très excitante. Et ce qui n’était qu’une idée au départ, devint assez rapidement un projet qu’il nous fallait réaliser.

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Je m’étais souvent demandé comment pouvait-être un accouplement avec une chienne. Quelles sensations on pouvait ressentir lorsque l’on pénétrait un animal. Clairement la bestialité m’excitait. Gisèle aussi avait ce désir. Elle appréciait beaucoup l’idée de se faire saillir par un animal. De se sentir comme une femelle qui se faisait féconder avec vigueur et autorité par son mâle.

Nous avions des vidéos, mais pas les sensations. Nous avions des lectures, mais pas de marche à suivre. Et quel que soit notre choix, nous nous exposions à des risques. Si l’on menait à bien notre projet, nous serions confrontés à d’éventuelles maladies, sans compter notre mort sociale si cela s’apprenait. Et si nous ne tentions rien, nous connaîtrions une grande frustration sexuelle, conséquence de la non réalisation d’un fantasme qui nous tenait à coeur. Remettant en cause, la nature même de notre relation.

Alors on a pris différentes informations sur internet et nous avons réfléchi. Les zoonoses ou infections transmises par les animaux sont très nombreuses. Cela nous a refroidi dans un premier temps, car les conséquences de ces maladies pouvaient être très désagréables, voire mortelles dans certains cas. Et puis on a constaté que le manque d’hygiène et l’état de santé des animaux y étaient pour beaucoup. Ce qui ne signifiait pas que l’on pouvait atteindre le risque zéro, malgré les précautions.

Mais nous savions Gisèle et moi, que nous voulions le faire. Et qu’à défaut du risque zéro, nous pouvions l’amoindrir pour ne rien regretter. Nous voulions réaliser notre fantasme avec des labradors. C’est pourquoi nous en avons adopté deux à peine sevrés. De cette manière, nous avions le contrôle sur l’environnement dans lequel ils grandiraient.  

Vaccinations, vermifuges, bilans de santé, nos deux boules de poils étaient sous surveillance. Nous veillions à limiter les contacts avec d’autres chiens, jusqu’à même emménager dans une petite maison avec cour. Ce fut salvateur pour nous, car nous n’avions plus à les promener dehors. Nous avions hâte qu’ils grandissent, mais nous avons su nous montrer patients. Pendant ce temps, nous nourrissions nos fantasmes d’histoires zoophiles, ainsi que de vidéos impressionnantes de saillies complètes, où le noeud du chien prenait parfois une dizaine de minutes avant de pouvoir sortir du vagin de la femme. Gisèle en était toute émoustillée et me regardait en se mordillant les lèvres.

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Neuf mois plus tard, nos deux chiens que l’on avait baptisé "Mâle" et "Femelle", ont commencé à montrer des signes de maturité sexuelle, en essayant de s’accoupler. Nous les avons laisser faire, car il était apparemment préférable de saillir une chienne lorsque celle-ci avait déjà eu une portée. Et un peu plus de deux mois plus tard, trois petits labradors virent le jour. J’adorais regarder ma Femelle donner la tétée à ses petits. Je la caressais en même temps et m’émerveillait devant le spectacle de la vie. 

Quand Gisèle fut totalement décidée à passer à l’acte, nous avons laisser ma Femelle dans une pièce tranquille avec ses petits, pour nous concentrer sur le Mâle. Nous avions déjà réaliser quelques prémisses avec lui. Il connaissait l’odeur et le goût intime de Gisèle. Il était temps de passer aux choses sérieuses.

Alors après un bon shampoing, nous l’avons séché et nous lui avons enfilé des chaussettes aux pattes. Là aussi, nous l’avions habitué quelques semaines plus tôt à les garder. De cette manière, sa partenaire risquait moins de griffures lors de la saillie.

Gisèle s’est alors mise levrette sur le lit. Elle était déjà toute mouillée d’excitation et attendait son Mâle avec impatience. Moi je devais veiller à ce que tout se passe bien. Le Mâle se montra très indiscipliné et maladroit pour saillir sa partenaire, mais avec mon aide et après quelques essais, Gisèle se prit la grosse bite de l’animal comme elle l’avait espéré. Une dizaine, une quinzaine, une vingtaine de coups de reins en quelques secondes!  Ce fut comme dans les vidéos que l’on matait, mais avec pour Gisèle, les sensations en plus… 

L’intensité était bien au rendez-vous et j’ai trouvé cette saillie tellement bandante, que je me suis masturbé à leurs côtés. Gisèle en a redemandé plusieurs fois et en bon assistant, j’ai aidé le Mâle à la saillir de nouveau. Ce fut une étape dans notre relation. Gisèle et moi, sommes devenus plus complices après ça.

Quand le noeud se trouvait bien logé en elle, je m’approchais de son oreille et lui susurrais des insultes. Elle adorait ça quand elle était dans cet état d’extrême excitation.

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Puis ce fut à mon tour de saillir ma Femelle. Nous nous étions concentrés sur le plaisir de Gisèle, le temps que les chiots soient sevrés. Et quelques semaines plus tard, nous les avons revendus. Ma Femelle était désormais libre de me satisfaire. Bien que la présence de Gisèle n’était pas nécessaire, j’appréciais qu’elle me regarde prendre du plaisir.

Les mesures d’hygiènes respectées, je me suis adonné à une pénétration délicate de ma partenaire. Son conduit vaginal était agréable. Plus chaud que chez une femme, mais tout aussi satisfaisant. Nous utilisions la mouille de Gisèle comme lubrifiant naturel. Ce partage de sécrétions était aussi à risque, mais au point où nous étions…

Gisèle éprouva beaucoup de plaisir à me voir monter la chienne, mais ce n’était rien comparé à ce que j’éprouvais! Lors de mes caresses pendant la tétée, j’avais déjà effectué quelques pénétrations digitales à ma Femelle. C’est pourquoi cette dernière ne fut pas surprise d’être pénétrée par son maître et accepta de se soumettre à mes avances.

Jouir dans une chienne est vraiment agréable. J’ai pris plaisir à m’enfoncer en elle pour libérer ma semence. Je suis resté en elle, tout en lui prodiguant des caresses. Ses mamelles encore pleines de lait, étaient d’une grande douceur. Puis il me vint l’idée saugrenue de vouloir la féconder. Je me suis dit qu’il ne devait pas être désagréable de baiser cette chienne, alors qu’elle donnait la tétée à ses petits. J’ai alors regretté d’avoir vendu les chiots avant que cette idée ne me vienne. Mais dans six mois, ma Femelle serait à nouveau fécondable… Et tout recommencerait. 

Cette idée perverse guida mes pensées vers Gisèle. J’avais déjà vu une femme donner le sein à un chiot. C’était touchant.

— Gisèle… Et si tu tombais enceinte? 

A suivre…

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