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Une stagiaire du tonnerre – Chapitre 1




Je mappelle Marc jai 35 ans, je suis responsable marketing dans une entreprise dinformatique à Paris. Mon travail me prend beaucoup de temps et dénergie, et je nai jamais vraiment eu loccasion de me poser avec une femme. Bien sûr cela marrive davoir des conquêtes dun soir et autres petites aventures, mais rien de sérieux.

Gérant un service composé de 3 personnes, jai pour habitude de faire appel à un ou une stagiaire pendant les phases de travail intense. La dernière stagiaire que nous avons accueilli, bien que très compétente, était loin dêtre un canon. Mais pour les 4 prochains mois, jétais tombé sur une véritable perle lors des entretiens dembauche : Ninon.

Cette jeune fille de 23 ans, en plus de disposer dun très bon CV, était une vraie bombe : 1m70, les cheveux châtains, des lignes fines, une poitrine plus quattirante, une bouche sensuelle et de jolies lunettes pour accompagner son visage dange. Ninon était plus que sexy et je me faisais une joie de laccueillir dans mon équipe.

Lorsque Ninon arriva au bureau le premier lundi du mois de mai, je la présentais à mes collègues et luis fis le tour de lentreprise. Les beaux jours arrivaient et Ninon lavait bien compris. Elle était habillée dune mini-jupe noire et dun débardeur couleur bleu clair, qui mettait bien en avant ses deux seins fermes. Faute de place au sein de lentreprise, javais décidé dinstaller le poste de la nouvelle stagiaire dans mon bureau. Cétait la raison officielle, mais en en réalité jétais ravi de pouvoir travailler en si bonne compagnie.

Ninon sintégra très facilement et son arrivée redonna un peu de dynamisme à notre équipe. Elle se montrait toujours très volontaire pour effectuer tous types de tâches, des plus intéressantes au plus rébarbatives. Deux semaines passèrent et javais remarqué chez Ninon un côté très aguicheur, voir provocateur. Elle ne manquait pas une occasion pour se dandiner sur sa chaise de bureau, bomber son torse ou bien tortiller son petit cul en marchant. Cela ne me laissait pas indifférent et souvent je me perdais dans mes pensées, à imaginer ma nouvelle stagiaire dans toutes sortes de situations.

Ninon habitait dans une banlieue proche de Paris et parfois, il nous arrivait de faire une partie du trajet de retour ensemble. Ce fût le cas un soir, où la ligne 4 du métro était tout simplement bondée. Les gens sentassaient, nous avions pu rentrer mais nous étions serrés comme des sardines. Ninon était placée de dos juste devant moi et son corps était plaqué contre le mien. Ma tête était au-dessus de son cou et je pouvais sentir son parfum enivrant. Je pouvais surtout sentir son petit cul bien rebondi au niveau de mon entrejambe. Ninon profitait clairement des secousses du métro pour se frotter encore plus à moi. Ce traitement me fit de leffet et ma queue commençait à se raidir sous mon pantalon de costume, ce qui encouragea Ninon à continuer ce traitement. Mon sexe, devenu dur comme de la pierre, était maintenant calé entre ses deux belles fesses. Même si plusieurs couches de vêtements nous séparaient, je pouvais sentir son excitation. Je plaçais ma queue juste à lentrée de sa rondelle, lorsque dun coup sec elle recula son bassin. Je cru un instant pouvoir la pénétrer, même avec les vêtements. Alors que je restais la queue plaquée contre son cul, Ninon se dégagea et descendit du wagon. En me gratifiant dun grand sourire elle me lança :

— Salut Marc, à demain !

— Heuu salut passes une bonne soirée Ninon, à demain.

Le lendemain en arrivant au bureau, je me sentais à moitié gêné et excité par ce qui sétait passé la veille. Lorsquelle arriva au bureau, je vis de suite que Ninon, contrairement à moi, ne semblait pas du tout dérangée. Elle portait une jupe encore plus courte que la veille, avec un chemisier très ouvert, dévoilant sa belle poitrine. Je lui avais demandé de travailler sur une analyse concurrentielle pour un de nos plus gros clients, et de me remettre le dossier en fin de journée. Tout au long de la journée, elle ne manquait pas une occasion pour maguicher ce qui avait pour effet, depuis lépisode de la veille, de mexciter terriblement. Vers 18 heures Ninon sapprocha de mon bureau en dandinant. Elle sassit à moitié sur mon bureau en croisant les jambes.

— Tiens Marc voici mon analyse, jespère que ça ira

Assis sur mon fauteuil de bureau, javais une superbe vue sur les jambes croisées de ma stagiaire. Tout en essayant de me concentrer je lui répondis :

— Merci Ninon, je regarde ça tout de suite et reviens vers toi dans 5 minutes, le temps de lire le dossier

— Je peux rester là tu sais, ton bureau est plutôt confortable

— OK si tu veux, à ton aise

En réalité je nai pu lire son dossier quen diagonal, car je ne pouvais mempêcher de jeter des petits coups dil à ma petite cochonne de stagiaire. Ninon quant à elle reluquait mon entrejambe, et narrêtait pas de gesticuler sur mon bureau. Au bout de 2 minutes de lecture et darrière-pensées, je commençais à bander. Bizarrement je ne fis rien pour le cacher à Ninon, qui remarqua tout de suite la grosse bosse qui émanait de mon pantalon. Bien que la situation était des plus excitantes, nous nétions pas tous seuls dans les bureaux et je dû y mettre fin.

— Merci Ninon ton dossier est très bien, il y a deux ou trois choses à revoir mais on verra ça demain, tu peux y aller

— Ok super merci Marc à demain !

Lorsque Ninon fût partie, je poussais un grand soupir de soulagement. Tout en reprenant mes esprits, japerçus une petite tâche sur mon bureau en verre, là-même où Ninon sétait assise. Japprochais alors mon visage et je su tout de suite de quoi il sagissait. Ninon avait mouillé sur mon bureau, tout en reluquant ma queue. Cela voulait dire aussi que cette petite chienne ne portait pas de culotte aujourdhui. Toutes ces pensées et la vue de la mouille de Ninon me fit rebander aussitôt. Comme par instinct, je récupérais à laide de mon index le fameux nectar posé sur mon bureau, et le portais à la bouche. Le jus de Ninon sentait fort et était très goûtu. Je récupérai sur mes doigts les restes de mouille de ma stagiaire et me dirigeais vers les toilettes de lentreprise. Ma queue bandée sortit delle-même de mon pantalon, et je commençais à me masturber, prenant le soin détaler la mouille que javais récupérer sur le long de mon sexe. Je ne tardais pas à jouir dans ma main, mêlant mon sperme avec la mouille de Ninon, sensation exquise qui me procura énormément de plaisir.

Ma nouvelle stagiaire était une vraie allumeuse ! Et ce nétait que le début de son stage Que va-t-elle me réserver pour la suite ?

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