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Maman très chaude, enfants pervers. – Chapitre 22




Chapitre 22 : Photos de famille très coquines.

De retour à la maison après la séance photo avec les amis dEric, je prends une douche pour bien me nettoyer. Ensuite je me connecte et jenvoie un mail privé à Mick et Pierrot, pour leur signifier que je viendrais mardi prochain pour voir en détail les photos et quils ne fassent quoi que ce soit sans mon autorisation.

La pensée de ces photos qui pourraient être sur internet est très excitante mais cest aussi très dangereux. Mon coté salope revient au galop lorsque je pense à ces milliers de pervers qui vont se masturber sur mes photos. Toutefois, la chose la plus importante cest de sassurer que personne ne puisse me reconnaître.

J’ai préparé un délicieux dîner pour notre famille et cela ma valu beaucoup de compliments pour mes compétences culinaires et bien sûr Aurélie avait ses yeux souvent fixés sur son père et en lui parlant elle souriait en toute innocence mais dune façon enjôleuse. Je ne crois pas du tout à cette innocence de façade et jessaye de déchiffrer ce qu’elle a en tête. La seule chose logique qui me vient à lesprit cest quelle a prévu de séduire son père. Cest extrêmement dangereux et cela pourrait changer beaucoup de choses dans nos relations familiales.

Dun seul coup jentends ;

— Maman !

Tellement absorbée dans mes pensées je réalise que cest mon fils et je nai pas entendu ce qu’il ma dit.

— Heu, Quoi ?

Du coin de lil je vois Aurélie se pencher sur la table pour ramasser le sel. Je vois aussi les yeux de Paul qui fixent sa poitrine pendant un moment, avant quelle me fasse un clin dil.

Le décolleté profond de ma fille est très probablement la cause de la distraction de mon mari.

— Au fait on fait les photos de famille ou vous êtes trop fatigués ?

J’ai laissé échapper la première chose qui vient à mon esprit.

Les yeux de Paul arrivent à se détacher daurélie et il voit immédiatement le regard meurtrier que je lui lance.

— Bien sûr, pourquoi ne pas le faire dès maintenant.

Eric paraît un peu surpris mais dit rapidement,

— Papa, viens avec moi on va faire la vaisselle et les filles vont à l’étage se préparer. Et mettez quelque chose de sexy !

Paul sagite comme pour sortir dun rêve éveillé

— Oui bien sûr, vous deux, allez vous préparer.

Je ne peux pas croire ce que mon fils vient de dire. Sexy ! Moi, sa maman, porter quelque chose de sexy ? Et mon mari qui ne dit rien!

— Viens maman, nous ne pouvons pas décevoir nos hommes. Nous allons mettre des tenues sexy.

Ma fille monte dans sa chambre et je la rejoins quelques minutes après.

Jouvre sa porte pour voir ma fille complètement nue. Ses seins sont gonflés dexcitation anticipée et ses tétons rose sont sortis et durs… très dur.

Aurélie sourit quand je baisse mes yeux vers sa vulve fraîchement rasée avant de faire demi-tour en s’éloignant. J’avale ma salive et je ferme la porte derrière moi.

— Aurélie, que fais-tu ?

Dis-je en la regardant, non, en regardant son cul quand elle se penche et fouille dans le dernier tiroir, en bas de la commode.

Sa jeune fente est parfaitement visible, et ses fesses semblent frémir par moment.

— Je cherche le slip que je vais porter, que crois tu que je fais ?

Répond-elle sans changer de position.

— Et avec ton papa à quoi tu jouais ?

Elle se raidit un instant puis se relève et me regarde.

— Rien maman. C’est juste pour faire plaisir à papa. Il ne peut sempêcher de regarder mes seins et jaime le taquiner.

Elle resta là, me regardant dans les yeux, complètement nue. Tout à coup, elle fait un pas vers moi balançant ses hanches sexy et mes yeux glissent malgré moi vers le bas de son corps, vers son sexe nu, mais seulement un instant. Quand je regarde de nouveau ses yeux, je remarque un petit sourire coquin se dessiner sur ses lèvres.

— Maman, tu sais, quand tu mas laissé te regarder avec papa pour la première fois j’ai été tellement étonné non seulement par toi et ton corps de rêve mais aussi par papa… et…et sa queue.

Elle a fait un autre pas vers moi et mes yeux se redéploient vers le bas malgré ma volonté de les garder sur son visage. Les lèvres de sa chatte sont un appel au viol lorsquelles apparaissent furtivement entre ses jambes.

— Et puistu mas laissé y goûter Depuis quand jy pense, je me masturbe. Jen rêve, maman, je rêve de sa belle bite !

Elle est maintenant près de moi, et j’ai toujours mes yeux qui fixent ses lèvres de chatte entre ces cuisses laiteuses.

— Aurélie, je sais bébé, mais tu ne peux pas tamuser à séduire ton papa, ça pourrait être catastrophique pour nous, murmurai-je.

Elle vient contre moi et mattrape par le cou en me regardant profondément dans les yeux.

— Je le sais maman, mais je ne peux pas men empêcher ! Et sil veut franchir la ligne interdite je le laisse faire !

Avant que je réponde, ma fille écrase ses lèvres sur les miennes. Sa langue serpente et se noie dans ma bouche pour trouver rapidement la mienne et linviter à un duel passionné. Dans mon esprit je vois limage mentale de ma fille baisée par mon mari et je gémis dans sa bouche.

-Tu ne pourras pas men empêcher, maman, il pourra me baiser n importe où et quand il le voudra et de la façon quil aura envietout comme tu peux me faire lamour à chaque fois que tu le désir.

Elle m’embrasse encore une fois, mais sans me quitter des yeux.

— Tas envie de moi, maman ? Tu veux me baiser la chatte ? Murmure-t-elle.

Je ne réponds rien. Jai peur de dire ce quil ne faut pas. Et elle à un sourire enjôleur.

— Tu nas pas besoin de répondre. Je vois dans tes yeux ta réponse.

Elle m’embrasse encore une fois, passionnément, explore ma bouche avec sa langue pendant que je respire lourdement sous ce désir et cette excitation quelle me procure. Enfin elle se détache, ses propres seins haletants, tétons érigés et tout durs.

— Tu pourras mavoir ce soir maman, si tu veux. Tu pourras me baiser, me manger ou tout ce qui te passe par la tête ! Tout ! Mais maintenant, il faut se préparer… aller, va te faire belle et sexy.

Je sors de sa chambre. Tout ce qu’elle dit est vrai, je laurais baisé tout de suite si elle mavait laissé faire, je ne peux le nier. Jétais même excitée quand elle a dit qu’elle laisserait son père la baiser. Je n’ai plus le choix car si vraiment cest ça quelle veut ça arrivera.

Une fois dans ma chambre, je nai aucune idée de ce que vais me mettre pour ces photos de famille un peu sopéciales. Et je ne sais pas non plus ce quAurélie allait porter. Je suis entrée dans sa chambre pour m’assurer qu’elle ne porterait pas quelque chose de provocant et jen suis sorti totalement troublée et confuse. Au moins, elle a dit qu’elle va mettre un slip, alors jen cherche un pour moi.

Je me décide pour un slip de coton blanc qui, même sil est mini, ce nest pas un string. En le tirant vers le haut je remarque que lon voit un peu de peau sur les cotés de ma chatte et quil fait un beau pli au milieu de ma chatte en senfonçant dans la fente.

Je hausse des épaules en me disant que ce nest pas une séance de photos à la « Pierrot » et je prends une jupe courte mais ample, un soutien-gorge en dentelle et un chemisier sexy a fines bretelles et des talons hauts.

Je remonte mes cheveux et avec une touche de maquillage frais et une paire de longues boucles d’oreilles, je suis prête.

Je descends, tous sont déjà là, et je remarque immédiatement Aurélie assise à côté de son père. À ma grande surprise, elle a passé une jupe qui arrive presque aux genoux et un chemisier qui nen montre pas tant que ça. Elle est vêtue décemment.

Tout d’un coup je réalise que je dévoile beaucoup plus mon corps quelle et que si il y a une salope dans cette maison cest moi !

Dailleurs tous les yeux sont fixés sur moi. Tremblant très légèrement je prends place à côté dEric en remarquant les yeux admiratifs de mon mari.

— Super, maman, tu es magnifique, dit Aurélie, en brisant ce silence inconfortable.

— Oui maman, tu es très belle.

Je le vois dans les yeux de mon fils car il est en train de me déshabiller du regard. Eric se lève et commence à prendre des photos. Mais Aurélie se lève aussi et s’approche de lui. La jupe que je croyais modeste est en fait assez courte.

— Cest quoi ce bouton ? Demande-t-elle penchée vers Eric en regardant la caméra entre ses mains.

Avec sa jupe courte qui laisse ses genoux et la moitié de ses cuisses exposés et un simple chandail pull-over couvrant ses seins fermes, elle est très séduisante etjeune. Je suis surpris par le regard que porte Eric sur elle, mais à part moi personne ne le remarque.

— Cela règle les ISO dans des situations d’éclairage difficile.

– Et celui là ?

Eric roule des yeux.

— Cest la position automatique.

Aurélie se pince les lèvres et réduisant la fente de ses yeux,

— Tu dois penser que je suis complètement conne pour les prises de photos.

— Ooh là, peut-être pas tout à fait, répond Eric et il prend une photo de sa sur.

Puis Paul demande.

— Au fait comment cest passé ta séance photos cet après midi ?

Mon estomac se sert immédiatement. Bien que je ne voie pas comment quelquun serait au courant de mes poses pendant la séance privée, je regarde Paul un peu inquiète. Saurait-il quelque chose ?

— C’était formidable papa, répond Eric en prenant une autre photo dAurélie.

— Gina est très photogénique, charmante et sexy. Nous avons pris des tonnes de photos et beaucoup d’entre elles vont se retrouver sur notre site.

— Attend, tu veux dire que cest ta petite amie qui a servie de modèle pour tes potes et toi,

Plus la conversation avance, plus je suis tendue.

— Oui, bien sûr.

Il semble quAurélie n’écoute pas la conversation. Paul et moi ne voyons rien dincorrect et sa jupe reste bien sur ses cuisse mais comme Eric cest agenouiller pour prendre des photos par le bas, il peut sûrement en voir un peu plus que nous.

— Oh, mais je pensais que vous vouliez des photos en bikini.

Eric prend encore quelques photos dAurélie alors qu’elle s’étire en levant ses bras. Je note quil faut que je regarde les photos plus tard pour savoir ce qu’il voit dans sa position.

— Cest ce que nous avons fait.

— Whaou, et tu es daccord ? Tu laisses tes copains photographier ta petite amie vêtue seulement d’un bikini ?

Paul commence à sintéressé à la séance photo.

Aurélie s’approche de la cheminée et samuse à faire des poses de starlette en posant sa main sur le manteau de la cheminé et en regardant lappareil photo.

— Bien sûr, papa. Mais cest seulement de l’art photographique. Il faut être capable de voir tout le monde et dans toutes les situations comme un objet d’art et non comme une amie ou une sur,

— Huuummm, je suppose que je n’ai pas pensé de cette façon.

Paul reste silencieux pendant les prochaines minutes en regardant son fils prendre des photos dAurélie qui se tortille, lève son menton, bouge ses bras et pose comme un modèle en montrant parfois une bonne partie de ses cuisses. Je vois bien quAurélie apprécie ce moment et quelle est probablement très heureuse en cet instant.

— Quelquun veut poser avec Aurélie ?

Paul et moi on se regarde mais, ni l’un ni lautre na cette envie en cet instant.

-Allez papa, pose avec moi,

Paul est simplement vêtu dun short et dune chemise légère comme son fis. Contrairement à Aurélie et à moi il est en tenu décontracté. Il se lève et vient se placer derrière Aurélie et appui sa poitrine sur son dos en regardant Eric. Eric prend quelques photos.

— Bon, maintenant Aurélie va faire comme si elle recevait un ballon de rugby et papa lattend par derrière pour lui prendre.

Je ne vois pas très bien ou il veut en venir, mais

Aurélie se penche immédiatement, écarte ses jambes et appuie son cul contre son père. Dans le mouvement sa jupe se déplace plus haut au point de couvrir à peine son cul. Paul négligemment penché derrière Aurélie met ses mains entre ses jambes comme si il était prêt à « recevoir le ballon ».

Je retiens mon souffle, c’est amusant comme photo mais aussi très provocateur. Aurélie est courbée et son chandail très décolleté retient à peine ses seins alors que son père a ses mains entre ses longues jambes lisses !

— Parfait, ça va être génial ! Déclare Eric en prenant plusieurs photos dans cette position.

Puis Eric les fait prendre dautre pose plus ou moins limites et je me dis quil est temps darrêter mon fils.

— Eric, nexagère pas trop ! Ne va pas trop loin

Il sourit et me regarde un instant avant de dire.

— Maman, dans des circonstances normales, tu auraispeut-être raisonmais là, je prends des photos artistiques de papa et Aurélie. Cest comme quand jai pris des photos de Gina posant en minuscule bikini devant mes amis. Personne ne pensait à mal. Cétait un modèle et papa et Aurélie sont mes modèles ce soir.

— Il a raison maman, nai pas lesprit mal placé, on samuse et on se fait plaisir.

Nest-ce pas papa, demande Aurélie en mettant ses bras en lair pour prendre son père par le cou, comme Eric lui avait demandé, et en le regardant avec un sourire enjôleur.

Cest sûr que ça ne la dérange pas de saccrocher à son père de cette façon, surtout après lui avoir fait une fellation la veille !

— Bien sûr ma puce, c’est amusant.

Tu parles ! Il doit aimer ça le salaud !

— Ok, Aurélie regarde lappareil, oui comme ça. Ressors tes seins le plus que tu peux, ouiii, parfait, et cambre ton dos.

Et Eric prend des photos tandis que le cul dAurélie se presse fortement dans l’aine de son papa. Je vois que Paul commence à avoir du mal à contrôler sa respiration.

— Bien ! Maintenant, papa, met tes mains sur les hanches dAurélie. Oui cest ça. Aurélie, la tête en arrière regarde papa. Papa, tiens là bien pour quelle ne tombe pas.

Paul la tient fermement par ses hanches et regarde sa fille. Je vois dans son regard de ladmiration (ou de lenvie) quand ses yeux fixent ses seins dans son large décolleté. En revanche, Eric à genoux prendre des photos du sol vers le haut et il doit avoir une belle vue sous sa jupe.

— Papa, embrasse Aurélie sur le front.

Paul instinctivement ferme les yeux et plante un baiser sur le front de sa fille comme il a déjà fait mille fois avant.

— Oui gardez la pose.

Tout à coup, il me lance un regard bizarre et avec un faible sourire il se couche devant sa sur et prend quelques clichés sous sa jupe.

Alors là, ce nest plus de lart ! Cest Eric le pervers. Je vais dire quelque chose quand il se relève vivement.

— Bon, vous pouvez vous détendre.

Aurélie se retourne et enlace son père.

— C’était amusant Papa, nous devrions faire cela plus souvent.

— Oui, bien sûr, et me regardant. Maintenant il faudrait prendre des photos de maman et Eric.

Aurélie me regarde de ses grands yeux qui tout à coup se rétrécissent et, se retournant, elle prend lappareil photo dEric.

— Va tasseoir avec Eric, maman.

Et elle se met à prendre des photos un peu comme le faisait Eric en tournant autour de moi, se mettant à genoux et remuant tellement que son chandail glisse assez pour montrer son ventre et une partie de ses hanches au dessus de sa jupe taille basse.

Eric secoue sa tête et dit.

— Attend Aurélie, tu ne ty prends pas bien.

Il se lève rapidement et se place derrière elle. Mais en voulant lui montrer comment se placer, Aurélie perd son équilibre et tombe sur le côté, jambes écartées, en essayant de protéger lappareil, et nous avons tous sous les yeux le spectacle merveilleux du slip de ma fille.

Son slip est minuscule et couvre à peine son sexe. On voit bien le pli au milieu qui dessine merveilleusement la fente de sa chatte humide qui fait tache sur le tissu. C’est tellement visible quEric et Paul n’ont aucun problème pour sen apercevoir.

— Oups, Désolé surette,

Murmure Eric, mais ses yeux toujours sur son entrecuisse. Comme Paul dailleurs qui détourne rapidement ses yeux quand il voit que je le regarde.

— Eric, aide ta sur à se relever !

Enfin, lorsque quAurélie est debout, Eric, par hasard se dirige vers le canapé et sassied à côté de moi mais fait attention de ne pas me regarder.

Aurélie recommence à prendre des photos sans tirer sur sa jupe et ses longues jambes sont complètement exposés jusqu’à ses fesses et personne ne dit rien. Même pas moi !

Le visage un peu rouge, Aurélie écarte un peu plus ses jambes et se penche vers l’avant en sachant que son père, juste derrière, est bien placé pour lobserver. La jupe relevée elle lui présente carrément son cul.

Eric, près de moi, met son bras autour de moi sur le dessus de mon épaule et comme par hasard, pousse du doigt une de mes bretelle sur le coté de mon bras.

En voyant le regard de mon mari je baisse mes yeux pour mapercevoir que mon haut, qui nest plus retenu par sa bretelle, dévoile une partie de mon sein juste à raz de mon téton.

Je vois Aurélie qui zoom sur cette partie de mon corps pendant que la main dEric glisse sur mon bras en entraînant la bretelle au risque de dévoiler complètement ma poitrine.

— Aurélie, Tu ne pense pas que lon devrait changer de pose ?

Aurélie cligne des yeux comme surprise, Paul prend une profonde inspiration et se passe la main dans ses cheveux et Eric me sourit.

— OK, Maman, assis-toi devant Eric et toi prend là dans tes bras. Tu voisune étreinte mère/fils.

Eric suit ses instructions et menveloppe dans ses bras forts. Ça me fait du bien indépendamment de la situation ce qui me fait sourire devant lobjectif.

— Maintenant, Eric, glisse la bretelle du chemisier de maman juste comme avant. Demande soudainement ma fille.

— Aurélie, pas question !

-Maman ! On fait des photos artistiques ! Comme Eric.

L’art cest une chose mais moi, nue devant mon mari et mes enfants sen est une autre.

— Non, ça va trop loin.

— Papa, dis à maman quelle nest pas une vieille prune ridée. Et on ne prend quand même pas des photos de nus !

« Vieille prune ? Vieille prune ? »

— Chérie, c’est juste pour samuser. Laisse faire Aurélie.

Mais en disant ça, ses yeux nont pas quitte le cul Aurélie un seul instant.

Vieille prune ! Je nen reviens pas quelle a osé dire ça !

Je sens la main dEric sur mes épaules et tout à coup mon top glisse à nouveau le long de mon bras.

— Oui, comme çà cest beaucoup mieux.

— Je suis loin dêtre une vieille prune ridée, mon enfant !

J’utilise sciemment ses mots parce que je sais quAurélie n’aime pas être prise pour une enfant. Dailleurs elle plisse son front et me jette un regard mécontent. Bon, ca fonctionne.

Mais je réalise aussi quEric a glissé l’autre bretelle sur mon épaule et mon chemisier est tombé, juste retenu par le bout de mes seins, et la seule chose qui lempêche de tomber plus bas, cest mes tétons érigés et durs.

— Oh oui maman, alors prouvez-le.

Elle me défie cette petite garce. Elle va voir de quoi je suis capable !

Je saisi les mains dEric et je les place sur mes cuisses.

— Maman, que fais-tu, murmure Eric dans mon dos.

Je regarde mon mari et jattends quil me dise quelque chose. Il a enfin détaché ses yeux du cul de sa fille et les fixe sur les mains de son fils, posées sur mes cuisses.

Lentement je guide les mains dEric sur les côtés extérieures de mes cuisses, et je soulève ma jupe avec. Regardant lappareil je donne à ma fille mon look le plus sexy possible.

— Alors comment est-elle la vieille ?

Aurélie me regarde en oubliant de prendre des photos et je me rends compte que mon chemisier est maintenant sur ma taille et que je me retrouve en soutien-gorge. Sans men rendre vraiment compte mes mains ont continué à tirer les mains dEric le long de mes cuisses et je regarde audacieusement ma fille. Ce n’est plus une séance photo, il s’agit dune lute intestine entre une mère et sa fille. Ses yeux se plissent quand ma jupe est remontée à tel point quelle aperçoit mon slip.

Je ne vais pas plus loin car Eric, pressé contre on cul, commence à avoir un début dérection et si je continue il va être en pleine érection et je ne peux me permettre daller aussi loin. Pas ici… pas devant mon mari.

— Je crois que lon cest assez amusé pour ce soir, vous ne pensez pas ?

Et je me lève en me dégageant dEric.

Bien que sa bite ne soit pas complètement dure, elle fait une belle bosse dans son short que fixe maintenant Aurélie. Eric réalise quil montre létat de sa bite à demi bandée et il se retourne rapidement alors que je tire ma jupe vers le bas et réarrange mon chemisier.

Silence total pendant un moment et cest Eric qui réagit le premier en sapprochant dAurélie pour lui prendre lappareil de ses mains.

— Tu es dangereuse avec ça dans tes mains.

Elle sourit en regardant son entrejambes,

— Oui, et je suis sûre que tu as détesté chaque instant de cette séance photos. Murmure-t-elle.

Gêné, il regarde au loin, alors que je vais dans la cuisine pour me servir un grand verre de vin en pensant à ce que jai fait. Mes mains tremblent encore de l’excitation que jai ressentie.

« SALOPE, tu nes quune salope ».

Mon esprit est impitoyable.

Paul entre dans la cuisine et se penche sur le comptoir à côté de moi en me faisant un faible sourire. Il croit sûrement que je suis en colère, mais il n’a aucune idée de mon excitation qui mouille mon slip en ce moment.

— Paul, je… mais il minterrompt.

— Ca va, je sais que tu es contrariée et quoi que ce soit, entre toi et Aurélie, cest terminé maintenant. Dit-il en se référant à notre face à face.

— Paul, il faut quand même quon en parle.

— De quoi ? Des mains dEric sur tes cuisses ou dAurélie qui me laisse volontairement regarder son cul alors quelle a sa jupe autour de sa taille ? Demande-t-il soudainement.

L’audace de ses paroles me fait sursauter, mais il a réussi à frapper directement là ou ça fait mal. Je baise ma tête, un peu gênée de ce que j’ai fait.

— Oui… les deux… Chuchotais-je.

Il se met à rire. IL SE MET À RIRE !

Je suis sur le point de dire quelques mots méchants, quand il m’arrête de nouveau.

— Est-ce que tu te rends compte à quel point je t’aime ?

Ses yeux doux et ses paroles font fondre toute ma colère à ce moment-là.

— On doit faire preuve dun peu de liberté à notre époque. Combien de femmes de nos jours en montre beaucoup plus que vous, ce soir ? Et pense aux familles qui vont avec leurs enfants dans des camps de nudiste, qui enlève tous leurs vêtements et qui caracolent tous nus sur la plage avec leurs enfants.

A lentendre, jai limpression quil croit vraiment à ce quil vient de dire.

— Paul, c’est quand même différent dans un camp de nudistes. Nous sommes dans notre salle de séjour et je laisse Eric me toucher les cuisses

Paul se met devant moi et attrape mes bras en me regardant profondément dans les yeux.

-Kate, considérons ca comme des poses artistiques et rien dautre. Il ny aura rien de déplacé entre nous, rien.

Tout ce que je vois c’est son visage beau et puis ses lèvres pressent les miennes dans un baiser. J’ouvre ma bouche et laisse sa langue entrer, en encerclant lentement la mienne dans une joute passionnée. Quand il quitte mes lèvres je respire profondément et suis surprise par l’intensité de son baiser. Le regardant je ne vois que de lamour.

— Je t’aime aussi, murmurai-je en posant ma tête sur sa poitrine.

— D’ailleurs, Eric a juste toucher tes cuisses. Aurélie, par contre, ma fait voir un aspect delle totalement nouveau. Dit-il en gloussant.

Je lève les yeux vers lui et je ris aussi.

— Oui elle à jouer à la petite salope. Murmurai-je, avec une pensée amoureuse pour ma fille.

— Elle était… elle … mouillait dit-il.

— Paul, on ne doit pas parler de sa fille comme ça.

— Je sais bien mais je nai pas pu mempêcher de regarder.

— Oui, ca je lai bien remarqué.

— Tu pense que ça fait de moi une horrible personne… un papa incestueux ?

— Non, bien sûr que non. Cest elle qui naurait pas dû se permettre de safficher ainsi devant toi. Je ne te blâme pas du tout. Paul. Qu’allons-nous faire ? Que doit-on leur dire ?

Je suis surtout préoccupée par mes propres relations avec mes enfants en lui posant cette question.

— Rien, nous ne dirons rien parce que rien n’est arrivé.

— Kate chuchote Paul.

— Oui

Il ne répond pas pendant un instant, puis hésitant,

— Nous pouvons… tu peux heuuu

— Quoi ?

— On peut encore faire un très gros câlin coquin ce soir ?

— Bien sur mon chéri.

— De la même façon que lautre soir ?

L’autre soir ? Veut-il dire avec Aurélie ?

— Tu veux dire avec ma mystérieuse amie ?

— Oui

-Je ne sais pas Paul, je ne sais pas si elle est disponible, murmurai-je.

— Ok, je pense juste que ca peut-être être amusant… plus érotique

Je vois quil apprécie les talents de ma fille et il en veut encore.

Je suis sûre que ça ne déplairait pas à Aurélie de sucer la bite de son père et je suis aussi excitée. Pourquoi pas.

— Ecoute, je ne te promets rien mais je vais lappeler pour savoir si elle est libre ce soir.

— Tes la meilleure des femmes, et je taime encore plus fort.

Eric et Aurélie sont déjà dans leur chambre, donc je prends mon portable pour faire semblant dappeler et discrètement je me dirige vers la chambre de Aurélie.

— Chérie, je peux entrer ?

— Bien sur, maman.

Aurélie est assise sur son lit et je me mets à coté delle.

– Beau spectacle que tu as donné à ton papa aujourd’hui.

— Ce nest rien comparé au tien, répond-elle.

— Je lai seulement fait parce que tu mas traité de vieille.

— Oooh, et moi je suppose que je suis encore une gamine, une enfant !

Il est temps denterrer la hache de guerre.

— Aurélie…Je me demandais si tu avais envie de prendre du plaisir ce soir ? Dis-je avec prudence.

— Que veux-tu dire

-Comme la dernière fois avec ton père que tu as bien excité

Ses yeux s’écarquillent et elle se redresse en saisissant mes mains.

— Oh, maman, vraiment ?

Je lui souris. Cest une vraie une nympho que jai maintenant devant moi.

— Oui, ce soir, si tu en as vraiment envie

— Oui, oui, oui, je veux.

-Mais juste oral, tu suces la bite de ton père mais c’est tout. Tu mas bien comprise ?

Et dun regard d’innocente gamine en battant des cils,

— Bien sûr, maman.

— Tiens-toi prête pour 11 heures. Je viendrais te chercher.

Huuummm, Je suis impatiente de rejouer avec ma fille tout en baisant mon mari. En regardant l’horloge, ils nous restent 1 heure. Je décide de prendre un bain et de raser ma chatte pour quelle soit parfaitement lisse pour l’occasion. J’ai dit à Paul que mon amie ne sera pas là avant 11 heures et quil peut prendre sa douche en attendant.

Finalement, il nous reste tous juste un quart dheure et il est temps daller ficeler mon cher mari.

— Chérites prêt.

Il sort de la salle de bain avec son short, déjà déformé par un piquet de tente. Je porte ma main à ma bouche feignant dêtre surprise.

— Oohh, cest pour moi ?

— Kate, cest plus fort que moi. Ca monte tout seul !

J’ai déjà préparé les liens et je mapproche de lui avec une forte attraction vers son short que je baisse à ses chevilles. Sa grande bite se balance de haut en bas en face de moi. Je la saisi et je la caresse un peu, tendrement.

— Huuummm, quel bel engin. Tu vas me baiser avec, mon amour ?

Rien qua dire çà, cela excite mon corps.

— Ooh, oui ! Tu vas te la prendre dans ta petite chatte, ma chérie.

Je le pousse sur le lit et je tire sur sa bite et la relâchant, elle rebondi sur son ventre. Je suis nue, sauf un mini slip rouge.

Je me penche sur lui et tout en attrapant sa queue jécarte bien ses jambes pour pouvoir les attacher. En attachant ses bras, je fais exprès de passer mes tétons à raz de sa bouche. Il lève sa tête pour essayer de les atteindre mais pour le taquiner, je me recule pour quil ne puisse les happer.

Il est prêt et il est presque 11 heures.

— Ne bouge pas mon chéri, je reviens vite et pas toute seule.

Étant donné quEric est encore dans la maison je passe une robe de chambre et je sors dans le couloir en fermant la porte de ma chambre derrière moi. Le couloir est à peine éclairé par une faible lampe au milieu.

Je pense qualler directement à la chambre dAurélie pourrait lui mettre la puce à loreille. Je décide donc de passer par en bas comme si jallais ouvrir à quelquun. En bas je me dirige vers la porte d’entrée.

— Hé maman, où vas-tu ?

Cest Eric qui me fait sursauter.

Il est sur le canapé, la télécommande pour la TV dans sa main. Il sapprêtait à lallumer.

— Doux Jésus Eric, tu mas fait peur !

Il se lève rapidement toujours habillé de son short.

— Je massurais que la porte est bien verrouillée

Eric s’approche de moi et me saisi par mes hanches pour me tirer contre lui.

— Maman, tu me manques

Je mets mes mains sur ses bras et levant mes yeux vers lui je reçois sa bouche sur la mienne dans un baiser langoureux, tandis que ses mains fouillent déjà sous ma robe.

— Maman, jai tellement envie de toi.

Ma robe est ouverte devant et je me dévoile à lui, seins en avant, les tétons durs et avec juste mon mini slip. Je chuchote en me reculant.

— Eric, on ne peut pas. Ton père est en haut.

Et jai failli ajouter « Et il est ligoté prêt pour se faire baiser. »

Eric me tire vers lui et commence à vouloir retirer ma robe de chambre.

— Il est probablement endormi maman, s’il te plait, jai envie de baiser. Tu mas excité tout à lheure.

Une nouvelle fois il prend mes lèvres et je me sens faiblir quand une de ses mains trouve un de mes seins. Je sens ma robe glisser et mon fils la fait tomber au sol.

— Mon dieu que tu es belle, maman.

Rapidement, il s’agenouille devant moi et tire sur mon slip pour me lenlever.

– Eric, mon bébé, nous ne pouvons faire ça ici. Ton père et ta sur sont en haut.

Mais il ne mécoute plus et bientôt ma culotte est autour de mes chevilles. Il me regarde dans l’expectative et mes jambes se lèvent delle-même pour jeter au loin mon slip déjà bien mouillé.

Je pense à Paul ligoté qui mattend ainsi qua Aurélie, elle aussi en attente de ma venue.

Il se relève pour encore membrasser tout en enveloppant mon cul pour les caresser savamment et me rendre folle denvie.

Je veux lui dire darrêter mais tout ce qui sort de ma bouche ce sont des petits gémissements étouffés par la sienne.

— Maman, je dois te baiser, tout de suite.

Nous sommes sous les escaliers hors de la vue directe du haut. Il me retourne et tenant ma hanche il pousse mon dos pour me pencher en avant jusqu’à ce que je sois complètement pliée en deux, la tête en bas. Je sais ce qui va arriver, je suis sur le point de recevoir sa grosse bite bien dure.

— Eric, pas ici, que se passera-t-il si Aurélie vient en bas ? Arrête ! Aaaaaahhhhhhh !

IL vient de me pénétrer dun mouvement souple, dun seul coup, et sa queue est au fond de ma chatte très humide et accueillante.

— Oh Eric, oh… mon Dieu… Huuuummmm.

Sa bite est dure, très dure et longue. Je sens chaque centimètre, chaque veine de cette queue qui va et vient dans mon vagin affamé. Penchée comme je suis, tout ce que je peux faire cest décarter mes jambes un peu plus, et trouver une position confortable pour profiter de sa magnifique bite et de m’accrocher.

— Ooh oui maman, tes brûlante. Tu la sens ma queueelle est bonne, hein ?

Il me baise de plus en plus vite et ses couilles viennent frapper mon clito à chaque fois quil me percute. Je ne peux quavoir de petits gémissements de plaisir, de peur de faire trop de bruit.

Je ne sais pas depuis combien de temps il est en train de me baiser mais soudain, je vois de la lumière en haut sur le palier. Rapidement je me redresse en appuyant mon cul et mon dos contre Eric, sa queue toujours enterrée profondément dans ma chatte.

– Chuutttt, quelqu’un vient, murmurai-je.

Nous restons tous deux figés dans cette position et je commence un peu à paniquer. Ca ne peut être quAurélie car Paul est ligoté sur le lit.

Les mains dEric glissent le long de mon ventre jusqu’à mes seins pour les prendre en ventouses. Je tourne ma tête un peu pour lui donner un avertissement, mais au lieu de cela, il prend mes lèvres et fourre sa langue dans ma bouche. Instinctivement je lembrasse et nos langues font un duel érotique à l’intérieur de ma bouche alors que mes yeux restent collés sur le couloir au-dessus de nous.

Soudain, je vois lombre dAurélie à la hauteur de ma porte de chambre juste au moment où les doigts dEric trouvent mes tétons pour les tordre fermement.

Je ne peux empêcher quun faible gémissement sorte de la bouche de mon fils et jespère quAurélie n’a pas entendu.

La porte de ma chambre souvre car une lumière inonde le couloir juste assez pour voir Aurélie, complètement nue, entrer furtivement dans ma chambre.

« Oh Dieu, Et Paul, il est toujours ligoté et aveugle ! »

Je regarde mon fils mais il na rien vu occupé à martyriser mon corps et me faire du mal aux seins. Je narrive pas à me concentrer. J’ai besoin de surveiller ma fille dans ma chambre mais je ne peux pas, empalée sur la bite de mon fils !

Le plaisir de sa queue profondément enfoncée dans ma chatte, mélangé avec une légère douleur due au traitement de mes tétons, obscurci mon jugement. Je fais de mon mieux pour ne pas faire de bruit, alors que ma fille se glisse à l’intérieur de ma chambre et referme la porte derrière elle. Alors je chuchote à mon fils,

— Ooooooh, Eric, baise moi, baise moi fort. Prend moi bien à fond

Je nai pas à le dire deux fois. Mon fils lâche mes seins, mattrape par les hanches et commence à me baiser vivement de sa grosse bite palpitante en la faisant aller et venir en moi, de plus en plus vite et de plus en plus fort.

La force avec laquelle il me baise engendre des bruits autour de nous quand ses cuisses frappent mon cul et que ses couilles claquent sur mon clitoris.

Mon seul espoir cest quil jute rapidement avant que je ne hurle de plaisir sous un orgasme que je sens venir.

Je ne peux, en même temps, mempêcher dimaginer ce que ma fille fait en ce moment avec mon mari. Il est attaché et incapable de voir qui soccupe sûrement déjà de sa bite. Est-elle en train de se baiser sur sa queue ? A-t-elle rampé sur le lit et guider sa bite dure pour se lenfiler comme une chienne dans sa chatte trempée denvie ?

— Oh Eric, Eric tu vas me faire jouir !

Jai presque crié oubliant que ma chambre nest pas loin.

Mes mots ont seulement réussi à exciter encore plus mon fils qui me baise encore plus violemment. Comme une bête lubrique et sauvage. Comme un chien voulant que la chienne quil baise sente sa virilité le plus loin possible en la défonçant complètement.

« UNE SALOPE » ! Voila ce que je pense de moi au bord de lextase.

— Oh oui… jaime te baiser maman ! Oui… Maman, ta chatte est tellement chaude et étroite !

Je sens sa transpiration, sa sueur dégouline sur le dessus de mon cul. Je suis tétanisée prête à jouir quand, enfin, Eric crie et explose en moi. Pendant quil jouit et déverse son sperme, je pense que ma fille se baise aussi avec la bite de son père et cela déclanche mon orgasme, et libère toute la puissance sexuelle de cet acte incestueux en longs spasmes continus.

— Aaaaaaaaaahhhhhhhhh

Criais-je en mettant ma main sur ma bouche et sur celle dEric.

Eric narrête pas de gicler et de remplir ma chatte de son foutre incestueux tout en gémissant derrière moi. Je ne peux mempêcher de profiter de ce moment merveilleux et je ne fais rien pour me retirer de sa queue qui palpite en moi.

Quand je sens son sperme couler sur mes cuisses il va falloir que je me force pour retirer sa bite de ma chatte bien que mon corps se tord encore sous leffet de mon orgasme qui nen finit pas.

Finalement je mécroule en avant sur l’escalier et la grosse bite dEric sort de mon trou avec un bruit de succion, pour une fois assise, planer au dessus de moi encore à demi bandée et très humide.

Avec ma chatte pleine de sperme, je serre mes cuisses ensemble en espérant ne pas en laisser couler de trop. Restant assise je regarde mon fils, mes mains sur mes cotés pour me soutenir.

Eric me regarde aussi et incroyablement sa queue est toujours à moitié bandée et comme il a une sacrée queue cela fait un beau morceau devant ma figure. Il fait un pas en avant et écarte ses jambes pour se retrouver juste au dessus de moi et il me dit.

— Maman, je pense que tu tu enfin tu vois ce que je veux dire

Incroyable, il a dix-huit ans et capable de me baiser à chaque fois qu’il en a envie et il est toujours gêné de me demander de sucer sa bite. Ou est-ce parce que sa bite est couverte de son sperme ? Dieu quil a le don de mexciter !

— Tu veux que je te suce ? Apres que tu mas baisée et rempli ma chatte de ton sperme ! Tu veux que je suce ta bite comme une salope ! Comme une putain !

Il hésite un instant et me regarde dubitatif mais en voyant lexcitation dans mes yeux il se rappelle que jaime être traitée de salope.

— Oui, maman, suce-moi.

Il abaisse sa bite humide à mes lèvres.

– Suce-moiMaman… soit ma salope maman, juste pour moi. Suce putain !

Bien que ma fille soit dans ma chambre sans doute empalée sur mon mari, je pousse un faible gémissement de plaisir d’être appelée salope. Eric plie ses jambes écartées et abaisse sa bite jusqu’à ce que son gland humide touche mes lèvres pour les enduire de sperme.

Sans changer de position, je le regarde dans les yeux et jouvre ma bouche.

— Voila, tes une grosse cochonne maman. Avale ma bite et suce !

Encore une fois, mon fils a réussi à me traiter comme une salope. Mais jaime ça ! Jadore être à sa merci, son esclave.

Et sans rien dire je lui permets de glisser sa bite humide dans ma bouche ouverte jusqu’à ce que son gros gland sappui contre le fond de ma gorge. Je ferme ma bouche et je le suce comme la bonne salope que je suis à cet instant.

— Huuuummmm, je l’aime Maman, tu es vraiment une belle salope, en insistant sur le mot magique.

Et je suce et je lèche en gémissant jusqu’à ce que celle-ci soit complètement propre et que je lui permets de la sortir de ma bouche.

Il recule et je me lève en gardant mes jambes serrées pour éviter des dégâts.

Je suis prête à monter et pourtant jhésite. Être avec Eric signifie tellement de chose pour moi. Comme si il lisait dans mes pensées, il s’approche et membrasse.

— Merci, maman. A chaque fois que je suis en toi cest spécial. Je me sens si bien et cest si incroyablement merveilleux, je nai pas de mots assez fort pour décrire mon plaisir. Jaimerais juste le faire plus souvent. murmure-t-il à mon oreille.

Je lembrasse avec tout lamour dune mère pour son fils et tout lamour dune amante pour son maître.

— Je t’aime mon chéri, mon bébé, je ressens la même chose, j’aime être avec toi.

Il faut néanmoins que je me dégage de lui.

— Mais maintenant il est temps pour ta grande salope d’aller à l’étage et de prendre soin de ton père, murmurai-je.

— Maman, tes complètement folle ! Pas après ce nous venons de faire et tout ce que je tai envoyé dans ta chatte !

Il semble préoccupé.

— Tu me taquine nest ce pas ? Ce nest pas vrai. Je suis tombé dans le panneau

Je lui souri et après un dernier baiser je monte à létage.

Devant la porte de ma chambre je marrête un instant et jécoute. J’entends des sons étouffés qui ressemble à des gémissements qui pourraient signifier quune seule chose, ma fille se fait baiser par son père.

Prenant une très grande respiration j’ouvre la porte et la referme derrière moi et je suis surprise par ce que je vois.

A suivre

Phantome

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