Souvenir
Véritable
Ou simple fantasme
Je vous laisse libre de votre choix
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Une belle soirée de fin d’année dans Paris
Tu t’es habillée sexy, comme j’aime.
Et cela te va si bien : une robe courte plutôt près du corps pour mettre en valeur ton corps et laissant voir la large bande en dentelle de tes bas lorsque tu t’assoies, un décolleté permettant à la dentelle du haut de ton soutien-gorge d’être visible, des talons hauts, et un trench-coat léger que tu n’as pas fermé.
Tes longs cheveux bruns ondulés encadrent ton visage dont le maquillage est présent mais sans vulgarité. Seul le rouge de tes lèvres contraste avec ton teint, la couleur de tes cheveux, ta robe et ton trench noirs, et s’harmonise parfaitement avec le cuir rouge de la ceinture qui serre ta taille.
Un seul détail pourrait éveiller l’intérêt d’un initié : ce large collier en dentelle que tu portes avec fierté autour du cou, affirmant ainsi à tous ta soumission, ton appartenance.
Nous allons dîner comme prévu dans ce petit restaurant. On nous place dans la deuxième salle, il n’y a qu’un autre couple présent. La femme te regarde avec un il sévère : jalousie de ta beauté, de la sensualité que tu dégage, ou compréhension de la relation qui nous unit ? Peut être tout cela en même temps
Tout au long du repas nos doigts se touchent, nos regards se cherchent, nous imaginons la suite de la soirée.
Je te dis que tu es belle, excitante, sexy, bandante, que j’ai envie de toi, de te prendre, de te baiser, partout, ma salope, ma petite pute
Tu me dis ton envie de me sucer, de me sentir dans ton cul, d’être prise à 4 pattes, de te sentir chienne
Je pense à ton cul qui mouille lui aussi à peine je le pénètre, à la jouissance que la sodomie te procure à chaque fois
Tu es si vicieuse et pourtant toujours timide, réservée. J’aime ce contraste.
Je te dis de venir à coté de moi pour prendre le café, mais d’enlever d’abord ta culotte et de me la donner.
Ton string est trempé de ton humidité. Je te vois rougir et baisser les yeux.
En suivant ton regard, j’arrive sur la table où l’autre couple dîne un peu plus loin de nous. La femme te regarde me donner ta culotte d’un air choqué.
Cela me fait sourire, j’aime l’effet de la gêne, de la honte que cela produit sur toi.
Comme je te l’ordonne, tu lèves ta robe avant de t’asseoir à coté de moi, dévoilant ainsi tes jambes gainées de tes bas.
Je t’écarte les jambes pour caresser ton sexe à la peau si douce, si fine, parfaitement épilé.
Ta fente est trempée, tu me regardes droit dans les yeux, la bouche entre-ouverte, un léger voile dans ton regard, concentrée sur ton plaisir.
Je passe et repasse sur ton clitoris, dur et si sensible.
Très vite tu te raidis en poussant un soupir de jouissance, puis en laissant ton corps reposer contre moi.
Tout c’est passé si vite, presque en silence.
A l’autre table, la femme ne cesse de demander à voix plus ou moins base à son compagnon de ne pas tourner sa tête vers nous, alors que celui-ci n’a qu’une envie, celle de se rincer l’il et de profiter du spectacle que nous offrons.
Nous nous levons et partons du restaurant, ton visage est rouge d’excitation mais aussi de la honte d’avoir ainsi été exhibée.
"Depuis que je vous connais, j’ai l’impression de devenir tellement vicieuse" me dis tu en rougissant les yeux se baissant .. "Mais j’aime ça" ajoutes tu dans un soupir.
"J’ai justement envie d’être sucé, là maintenant, ma petite chienne, ma salope, voir ta bouche s’arrondir autour de ma queue, te voir boire mon sperme, et t’entendre me dire merci"
Tu me regardes bouche ouverte et l’envie se lit dans tes yeux.
Je te pousse sous un porche resté ouvert, comme par hasard.
Notre soirée ne fait que commencer
Pour notre plaisir
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