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Déviation incontrôlable – Chapitre 7




Il est à présent midi, comme tous les jours Maryse prend sa pause déjeuné avant d’arriver chez monsieur Dubois. Elle ne cesse de repenser à la partie de jambes en l’air qu’elle vient de vivre avec monsieur Bouteille.

Le bas de son ventre vibre encore, les frissons d’excitation ne sont pas totalement partis. C’est une sensation plutôt agréable d’ailleurs, mais à la fois gênante. Mais c’est la vie. C’est en tout cas ce qu’elle se dit lorsqu’elle laisse échapper son esprit.

Maryse regarde l’horloge électronique de sa voiture, il est maintenant l’heure d’aller rendre visite à monsieur Dubois.

Elle sonne à la porte, l’homme l’accueille avec un grand sourire. La femme a à peine franchi le seuil de la porte que ce dernier l’embrasse à pleine bouche. Les échanges de salive durent facilement une bonne minute.

Visiblement, le monsieur est très excité en ce début d’après-midi. Pas besoin d’un film pornographique pour nourrir sa libido. Seule la présence de Maryse le rend dans cet état. D’ailleurs, la femme s’en aperçoit assez rapidement puisque ce dernier l’invite dans la chambre.

Elle essaye de meubler la conversation, en disant que c’est peut-être un peu trop rapide, qu’ils pourraient essayer de faire une autre activité avant de commencer une éventuelle partie de jambes en l’air, mais l’homme ne l’entend pas de cette oreille.

Depuis que la glace s’est brisé la veille, monsieur Dubois ne pense qu’à elle, d’ailleurs, il avoue clairement qu’il s’est masturbé hier soir avant de dormir en pensant à Maryse.

La femme rougit en apprenant cette nouvelle, puis fini par avouer qu’elle a effectué la même chose. Le sourire de l’homme en dit long, il vient ici de trouver une brèche de la part de sa maîtresse.

Il se rapproche une nouvelle fois de Maryse, glisse une main derrière le cou de cette dernière, puis lui offre un baiser langoureux. Il abandonne par la suite la bouche de la femme afin de continuer son jeu de séduction en lui embrassant le cou.

Elle ne résiste pas à cette provocation, l’homme connaît de par son expérience très bien le corps féminin et les points sensibles pouvant déclencher une envie sexuelle.

D’ailleurs, Maryse ne tarde pas à se laisser convaincre. Elle suit monsieur Dubois dans la chambre, ce dernier se retourne, embrasse une nouvelle fois la femme d’Antoine, puis commence à la déshabiller. Il commence délicatement par le pull, effectue un sifflement d’admiration en voyant le décolleté du débardeur qui ne tarde pas à suivre l’autre vêtement.

Elle est maintenant en soutien-gorge face à l’homme, ce dernier fait ressortir les seins de la femme, afin de les malaxer. Il en profite pour y faire quelques léchouilles, puis il continue de descendre sa main en direction du jean qu’il déboutonne. Il lui enlève, glisse ses doigts dans le string puis commence à caresser la vulve de la femme.

Cette dernière ne reste pas insensible à ces attouchements. Monsieur Dubois couche Maryse sur le lit, puis se déshabille complètement. Son sexe est en érection, il s’allonge à côté de la femme. Cette dernière se met à quatre pattes afin d’offrir une fellation à son partenaire.

Elle avale le membre, joue avec ses testicules puis pompe le gland de l’homme. Ce dernier adore ça, il en a le bassin qui ondule. Dans le même temps, monsieur, Dubois s’est positionné sur le côté afin de masturber Maryse.

Il entre deux doigts dans le vagin de cette dernière. Il effectue dans un premier temps des mouvements assez lents, puis au bout de quelques minutes, il accélère. La femme prend alors la décision de mettre ses genoux de part et d’autre du visage de monsieur Dubois.

L’homme a une vision totale sur l’anatomie cette dernière et ne se prive pas de lécher cet abricot juteux. Il passe aussi sa langue sur l’anus de Maryse. Les jambes de cette dernière tremblent. Elle finit par obtenir son premier orgasme et vient d’envoyer un long jet de cyprine sur le visage du monsieur.

La femme se retourne, se met à califourchon au-dessus du sexe de l’homme, puis s’empale d’un coup sec. Elle reste quelques secondes immobiles, comme si ce moment devait durer une éternité, puis elle effectue des mouvements avec son bassin.

Visiblement, ces derniers ne sont pas assez rapides, puisque monsieur Dubois saisit les fesses de la femme afin d’imposer son rythme. Elle monte et descend sur le pieu avec beaucoup plus d’envie. Mais cette position est un peu traitre, puisqu’elle jouit une première fois sous les coups de butoir de ce sexe noueux.

La femme est un peu essoufflée, elle s’allonge sur le dos, mais l’homme ne semble pas vouloir diminuer l’intensité de cette partie de jambes en l’air. Il se positionne entre les jambes de Maryse, puis lui offre un missionnaire classique. Ce dernier la propulse une nouvelle fois vers un orgasme d’une puissance incroyable.

Le cri qu’elle vient de pousser en est la preuve. Afin d’avoir une attitude un peu plus calme, l’homme installe la femme sur le côté, ils sont à présent en cuillère. Monsieur Dubois pénètre la vulve humide, et saisit les seins de la femme en même temps. Il s’accorde pendant quelques secondes, puis redevient une fois de plus bestial. Son côté tendre a disparu.

L’homme maintient une cadence infernale, et finit par répandre son sperme dans le vagin de Maryse.

Il est quinze heures, les amants s’octroient une micro-sieste d’une demi-heure puis prennent une douche en commun. Il est maintenant seize heures. La femme embrasse son amant puis retourne à son domicile.

Elle attend son époux dans le sofa. À dix-sept heures trente ce dernier arrive, embrasse Maryse, puis se prépare afin d’honorer l’invitation de Marcel le cousin éloigné de la famille.

La femme d’Antoine s’habille d’une façon plutôt classique. Elle enfile un ensemble de sous-vêtements blanc, et par-dessus, elle met une robe noire qui lui arrive au-dessus du genou. Son époux la contemple et par la même occasion la complimente sur sa tenue.

Elle le remercie avec un baiser chaleureux. Il est maintenant dix-neuf heures trente, le couple est devant la maison de Marcel, ils signalent leur présence en sonnant à la porte.

Ils sont accueillis chaleureusement par le cousin éloigné. Sophie fait de même. L’ambiance est conviviale, il y a des gâteaux apéritifs sur la table basse du salon, le tout accompagné d’une soupe de champagne.

Le genre de breuvage un peu explosif lorsque l’on n’a pas l’habitude de boire de l’alcool. Les couples bavardent, ils parlent de leur travail, des problématiques sociales puis passent au dîner.

Le repas est succulent, ce dernier est accompagné d’un petit vin de producteur. Les discussions sérieuses changent rapidement, place maintenant à quelques blagues. Les garçons et les filles rient de bon cur. Après avoir débarrassé la table, les quatre compères se retrouvent une nouvelle fois dans le salon.

Marcel offre un digestif à ses hôtes, puis leur propose de tester le nouveau spa qu’il vient d’acquérir. Antoine semble épuiser par sa semaine de travail et ne souhaite pas participer à la suite des activités. Sophie et Maryse tentent de le convaincre, mais rien y fait.

Il est un peu bougon en cette soirée, pourtant il n’y a aucune raison que ça soit le cas. Sophie propose alors à Maryse d’aller dans ce fameux bain de bulles, mais cette dernière hésite. Elle avoue à demi-mot que ses sous-vêtements sont blancs et qu’avec l’eau ça risque de devenir transparent.

La quadragénaire tente de la convaincre qu’il n’y aucun risque, qu’elle est en famille ici, et qu’elles seront deux femmes dans le bain. Dans un dernier baroud d’honneur, l’épouse d’Antoine renouvelle la proposition à son mari, mais celui-ci n’est pas du même avis.

Marcel qui s’était absenté quelques instants afin de mettre le bassin en action, pose une nouvelle fois la question à ses invités et sans demander son reste, Sophie lui explique qu’il n’y a aucun souci.

Maryse grogne un peu, mais valide tout de même le choix. Après une semaine de travail difficile, et surtout après quelques erreurs de comportements ça ne pourra que lui faire du bien.

Elle suit alors Sophie, les femmes se mettent en sous-vêtements puis entrent dans le spa. Marcel arrive avec cinq minutes de retard, il a récupéré une bouteille de champagne dans sa cuisine. Il remplit trois coupes, puis les offres.

Tout le monde se lève et trinque en criant santé. Et ce qui devait arriver arriva, puisque l’homme resta bouche bée face à Maryse. En effet, les sous-vêtements de cette dernière sont devenus effectivement transparent au contact de l’eau.

Les tétons de Maryse sont clairement visibles. L’homme est un peu émoustillé, et s’assoit dans le bain. Le trio discute brièvement, puis Marcel se lève, s’essuie et s’échappe quelques minutes.

Il contrôle Antoine, il veut être sûr que ce dernier soit dans un sommeil profond. Il entre dans le salon et le mari de Maryse est effectivement en train de ronfler assez fortement.

Il retourne dans la salle d’eau, se remet dans l’eau. Maryse lui demande ce qu’il avait fait, et bêtement ce dernier lui dit qu’il avait un besoin urgent.

Les coupes de champagne se remplissent une seconde fois. Marcel qui est un boute-en-train recommence à faire des blagues. Il faut avouer qu’au cours du repas ces dernières étaient plutôt correctes, mais à présent, elles tournent beaucoup plus autour du sexe.

Les femmes rient de bon cur une nouvelle fois, puis c’est Sophie qui quitte la pièce.

Le cousin en profite alors pour faire des avances auprès de Maryse. Il n’y va pas par quatre-chemins, il la complimente sur la beauté de ces seins, sur celle de ces fesses. La femme d’Antoine est un peu gênée d’entendre ces paroles, mais remercie tout de même l’homme.

Ce dernier l’invite à se lever, il souhaite voir une fois de plus les parties intimes de la femme. Elle est un peu perturbée par cette proposition. Elle a un bu un peu d’alcool, se demande si les paroles de Marcel sont bien réelles ou si elles ne sont que le fruit de son imagination.

Le cousin éloigné est plutôt un bel homme, il a environ quarante ans, et il possède un corps musclé. Il ne laisse pas Maryse indifférente, mais tout de même, il fait partie de la famille, ce n’est pas une personne inconnue. Dans quelle situation se retrouverait-elle si un écart de conduite se saurait ?

Elle est rapidement sortie de ses pensées par la voix de l’homme qui renouvelle sa demande. Cette dernière lui signale tout de même que son mari est présent dans la maison. Marcel coupe court à la conversation en disant à la femme que son époux dort les poings fermés sur le canapé.

Maryse est rassurée ; elle se relève, et tourne sur elle-même. Le cousin est très excité en voyant le corps de cette dernière. Il met la main dans son boxer et entame une masturbation. Il y va avec précaution pour ne pas faire de remous. Malgré tout, la femme s’assoit et s’aperçoit du manège.

Elle n’est pas surprise par cette réaction, elle s’y attendait un peu à vrai dire. Elle fait mine de ne rien voir. Pourtant, son esprit lui dit de sauter le pas, de franchir de nouveau le cap de l’interdit. Elle regarde discrètement les gestes de l’homme.

Quand soudain, les regards se croisent. Marcel lui demande si elle souhaite voir le sexe qui se cache sous ce boxer. La femme reste bouche bée, elle ne sait pas quoi répondre puis effectue un geste d’approbation avec la tête. L’homme glisse ses doigts entre les élastiques de son sous-vêtement, puis le jette sur le côté.

Il se lève, exhibe fièrement son sexe, puis fait un tour sur lui-même. Il demande alors à Maryse de faire pareil. Une nouvelle barrière vient de tomber. Elle fait ce que l’homme lui demande. Elle dégrafe son soutien-gorge, puis enlève sa culotte blanche.

Depuis qu’elle habite dans cette nouvelle bourgade, ça fait la troisième fois qu’elle se montre nue face à un autre homme que son époux. Elle y prend vraiment goût. Son désir de sexe, et surtout ses envies sont toujours de plus en plus présentes dans son esprit.

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