Histoire de sexe fétiche Histoires de sexe de vacoisins

Romance en devenir – Chapitre 2




Malheureusement, je n’ai pas pu retourner à Paris pendant une à deux semaines.

Nous avons continué à échanger par IM pour les discussions osées et par téléphone pour le travail.

A chaque fois, il me relançait pour venir, et enfin une nouvelle vague de missions m’a été confiée.

Je viens la semaine prochaine sur Paris pour 3 jours … Tu crois qu’on pourra se voir ?

Petite effrontée, tu oses me poser la question, dit-il en rigolant.

Est-ce que je prends un hôtel ?

C’est à toi de voir, mais pour moi la réponse est non.

Je passais le week-end à réfléchir si je devais prendre un hôtel. Finalement, je le connais à peine. Pour cette fois-ci, j’ai pris mon Hotel, mais celui-ci est tout près de chez lui.

Ma valise prête, avec les vêtements de Carole, et j’ai eu du mal à trouver le sommeil le dimanche soir. La journée a été longue, mais j’ai pu vite m’échapper pour me préparer à l’hôtel.

Cette fois-ci, je pris le temps de bien me nettoyer, car j’allais tout faire pour que ce soir, ma chatte soit explorée. Ensuite, je me suis préparé au maximum de ce que je pouvais sans être reconnu par l’accueil de l’hôtel.

J’ai pris soin de garnir ma chatte d’un beau bijou rose. J’ai mis ensuite un boxer noir en dentelle et le soutien-gorge assorti. Enfin, j’ai mis des bas noirs avec le haut rouge : j’ai trouvé ce liseré rouge très salope. Un sac pour mettre tout le reste : perruque, chaussures à talons, micro-jupe et haut presque transparent.

C’est la première fois que je sors dehors avec un bijou dans mon petit trou. Quelle sensation de pouvoir marcher avec ce léger massage sans que personne ne se doute que je suis une petite salope qui va rejoindre son homme.

Je sonne chez lui :

Salut.

Entre, tu veux aller à la salle de bain te changer ?

Oui.

Les premières minutes ne sont pas toujours faites de grands dialogues. Néanmoins, je pus mettre ma jupe, mon haut et ma perruque. J’avais pris un peu de maquillage et surtout un rouge à lèvres très prononcés. Finalement, je crois que c’est la première fois que je me sentais autant femme. Effectivement dans la glace, je me trouvais très désirable, heureusement que j’avais mis ma cage, sinon ma jupe n’aurait jamais pu cacher mon petit clito.

J’arrive.

Je fais claquer mes talons sur le carrelage en essayant de tortiller mes fesses. J’arrive dans le salon, et il me regarde avec les yeux d’un homme qui a ramené sa proie à la maison.

Est-ce que Carole te plaît ?

Oui, tu es magnifique. Tourne pour tout me montrer.

Je tourne sur moi-même et je me penche pour lui montrer mes fesses. Je m’assois très près de lui pour l’embrasser amoureusement. Il répond à mon baiser tendrement et longuement. Ce baiser est tellement doux que mes mains ne quittent pas son visage.

… Je crois que les mots me manquent, dit Marc.

Ne dis rien, à partir de maintenant, tu vas me guider. Aujourd’hui, je suis ta femme, et je veux que tu me le prouves.

Je m’assois sur ses jambes pour l’embrasser à nouveau et lui défaire sa chemise. J’embrasse son torse, suce ses tétons qui pointent et je m’empresse de défaire son pantalon.

J’aime cette sensation de pouvoir caresser son membre au travers du tissu de son boxer. Je colle mes lèvres dessus et avec mes mains, je caresse ses boules. Je sens le tissu s’humidifier légèrement et ma langue, je lèche le tissu pour en aspirer le maximum.

Il ne tient plus, il repousse ma tête et enlève lui-même son boxer.

J’en peux plus, ça fait 3 semaines que je ne me suis pas touché pour toi.

En effet, à peine mis dans la bouche, que je reçois son jus abondant. Comme la première fois, j’avale tout en gardant son sexe dans ma bouche.

Tu veux bien me montrer ta chambre ?

Il me prend la main et m’emmène dans sa chambre. Devant son lit, il m’embrasse à nouveau et me fouille la bouche comme s’il voulait goûter à son jus.

Il me jette sur le lit et c’est à son tour de me déshabiller. Il enlève mon haut, mais garde mon soutien-gorge. Il aspire mes seins, ce qui m’excite énormément. Il continue plus bas et malaxe ma cage pour essayer de me faire bander. C’est cette sensation que j’aime, cette douleur de ne pas pouvoir bander. Avec son doigt, il remarque mon bijou qu’il ne manque pas de commenter :

Tu ne pouvais pas me faire plus plaisir. Je crois que je t’aime. Tu es vraiment une femme parfaite.

Merci mon chéri, je suis à toi. Fais de moi ta femme.

Il me retourne et me met à quatre pattes et continue de jouer avec le bijou. Il le fait sortir, rentrer pour bien dilater mon trou. Je lui demande de venir en 69 pour que je puisse redonner sa splendeur à ce membre tant convoité.

Je te veux en moi, je veux t’appartenir.

Il met un préservatif, me rapproche du bord du lit. J’écarte bien les genoux pour être offerte au maximum. Je me sens tellement salope dans cette position avec un homme qui me regarde. En même temps, j’ai peur : ce n’est pas moi qui vais contrôler la pénétration cette fois-ci, ce n’est pas du plastique, mais bien un homme viril. Il pose ses mains sur mes fesses pour les caresser, me retire le bijou et glisse un doigt : quelle sensation !

Enfin, il s’accroche à mes hanches et je sens son sexe appuyer sur ma rondelle. Heureusement, j’avais pris soin de mettre du gel dans ma chatte avant. Je sens ma rondelle s’ouvrir sous la pression. Il est lent, précis. Je n’ai pas mal grâce à sa douceur et mon habitude de m’enfiler des gros godes. Enfin, le gland est en moi et maintenant, il progresse et je le sens vivre.

C’est un moment magique : sentir un sexe en soi, venir et repartir, rentrer de plus en plus profondément sans rien contrôler. C’est magique.

Je sens maintenant son ventre toucher mes fesses, il est entièrement au fond de moi

Tu peux y aller je n’ai pas mal, c’est trop bon.

Tu es sûr ?

Oui, baise-moi, encule-moi …

Ces derniers mots ont eu raison de sa volonté. Il se met à accélérer et à taper bien fort au fond de mon ventre. C’est tellement bon de le sentir. Je n’ai pas envie que ça s’arrête.

Tu veux changer de position, dit-il.

Non continue, je veux que tu jouisses, je veux jouir.

Je me secoue mon clito, je crie. Et là, il me crie qu’il jouit au fond de moi. Cette dernière phrase déclenche ma jouissance et je m’affale sur le lit alors qu’il est encore au fond de moi.

C’est tellement bon, tellement plus fort que tout autre orgasme. Je suis incapable de bouger.

Finalement, il me retourne et m’embrasse, tout en secouant mon petit clito. Je l’enlace et lui crie mon amour.

Je suis ta petite femme maintenant, je t’appartiens. Ça été magique.

Je te remercie, mais tu sais, je ne suis pas un apollon non plus.

Oui, peut-être, mais tu es mon homme, et c’était vraiment trop fort. Maintenant, je vais faire comme Cendrillon et rentrer à mon Hotel avant que le carrosse se transforme en citrouille.

Un dernier baiser, un passage par la salle de bains.

Tu reviens demain ?

Oui, et demain je dors avec toi …

Et je me suis enfuie tellement heureuse…

Related posts

Ma drole de famille – Chapitre 1

historiesexe

Mon enfer – Chapitre 8

historiesexe

Dépucelé par la grande et plantureuse Marianne – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .