Chapitre 3 : Annie et ses neveux

Toute la famille s’est réunie chez les grands-parents pour fêter leur anniversaire de mariage.

La veille au soir tout le monde s’est retrouvé dans la grande maison des grands-parents Pierre et Juliette.

Leur fils Eric avec sa femme Sylvie et eux-mêmes ont dormi au premier étage. Leur fille aînée, Annie ainsi que les enfants d’Eric et Sylvie, Béatrice et Marc, accompagné de sa petite amie Claude, ont, quant à eux, dormi au second étage. La nuit au premier étage a été assez mouvementée. (voir les chapitres précédents)

Béatrice est une jeune fille pas très grande et pleine de rondeurs qu’elle ne supporte pas. Le bain finit de couler, elle ferme les robinets et entre dans la baignoire. Elle a pris son petit déjeuner dans la cuisine près de sa grand’mère qu’elle adore. C’est toujours à elle qu’elle confie ses petits secrets !

Elle rêvasse, détendue, jouant avec la mousse du bain. Sa tante Annie passe la tête dans l’encadrement de la porte.

–  ? Oh ! Excuse-moi, je peux entrer ? J’en ai juste pour un instant, je voudrais me recoiffer avant de descendre déjeuner.

Sans attendre la réponse, Annie, vêtue d’un simple peignoir entre et se penche pour embrasser sa nièce.

–  ? Bonjour ma chérie. Tu as bien dormi ? Mais dis-moi, tu es devenue une vraie jeune fille. Mon Dieu que tu as de jolis seins ! Je peux toucher ?

— ? Tatie ! que fais-tu ?

—  ? Je ne fais rien de mal, je regarde ma nièce….

D’un doigt, elle caresse d’abord les petits bouts rosés, puis prend chaque sein à pleines mains pour en tester la fermeté.

Béatrice est potelée à souhait et ses seins sont volumineux, ronds et lourds, bien séparés sur la poitrine. Sa peau est douce et dorée.

Ses seins flottent au dessus de l’eau et Annie s’amuse à les faire bouger. La mousse du bain s’est dispersée dévoilant le reste du corps de sa nièce. Celle-ci tente de dissimuler son bas-ventre. La tante se penche et dépose un baiser sur chaque mamelon. Puis une sa main descend doucement sur le ventre et découvre le sexe. Béatrice se laisse faire lorsque la main se faufile entre les cuisses.

— ? Que ta peau est douce ma chérie, laisse moi te caresser. Tiens soulève-toi que je puisse t’admirer. ?

Le peignoir d’Annie s’est largement ouvert et dévoile ses formes généreuses. Elle aide Béatrice à se mettre debout face à elle et s’agenouille devant la baignoire. Elle lui écarte délicatement les cuisses et colle sa bouche sur le sexe encore plein de mousse. Elle écarte les grandes lèvres et passe sa langue sur la fente rose. Elle glisse un doigt tout le long pour l’ouvrir davantage et, de son autre main, tout en suçotant le clitoris, elle lui caresse lentement les fesses, avant de les écarter pour atteindre l’anus. Béa a une vue plongeante sur l’intimité de sa tante.

- ? Tiens, pose une jambe sur le bord de la baignoire, montre-toi bien à ta tatie. ?

—  ? Mais que fais-tu ? J’ai honte, ce n’est pas bien. ?

Elle obtempère cependant sans trop résister. Elle admire le corps dévoilé de sa tante. Le peignoir a glissé sur ses épaules et Annie s’en débarrasse aussitôt. Elle est nue devant sa nièce qui, ébahie découvre son corps de femme plantureuse.

- ? Ne me dis pas que tu n’as jamais vu une femme nue ! ?

— ? Si, bien sûr, j’ai déjà vu maman ! Mais ce n’est pas pareil ! ?

Annie se redresse et s’offre au regard de la jeune fille. Elle est forte, grosse même pourrait-on dire.

Surtout le bas de son corps. Ses hanches sont larges et bien en chair, les cuisses grasses et marquées de cellulite, les mollets gros et bien formés.

Le ventre tombe en un bourrelet sur un pubis abondamment poilu. Ses seins sont énormes. Ils pendent comme des outres et ballottent au moindre mouvement. Elle sait qu’elle est grosse mais cela ne lui déplait pas. Plusieurs de ses amants, même, la traitent de grosse vache ou de truie. Elle aime entendre ce genre d’obscénités, elle aime qu’ils se branlent entre ses gros nichons. Sa position favorite est d’être à quatre pattes et de montrer son gros cul bestial.

Excitée par le regard surpris de sa nièce devant tant de viande étalée, elle pivote sur elle-même, pour se faire contempler. Elle se penche en avant et de ses deux mains écarte ses énormes fesses pour lui exhiber son trou du cul.

— ? Tu me trouves grosse, n’est ce pas? Ca plait aux hommes, tu sais ! Ils adorent les grosses. Ils ont l’impression de retrouver leur mère ou bien de baiser avec un animal. Tu verras, ce sont tous de gros cochons. Tripatouiller, voilà ce qui les excite !

— ? Tu es très belle tatie. On a envie de toucher. Je peux ? ?

—  ? Viens petite vicieuse, viens, on va se faire du bien. As-tu déjà fait l?amour avec une fille ? T’es une cochonne, je le vois dans tes yeux ! ?

La jeune fille ne répond pas, mais sort de la baignoire et se colle contre sa tante. Elles étendent une serviette de bain et s’allongent sur le carrelage. Elles frottent lascivement leurs corps l’un contre l’autre. D’instinct, Béatrice se met à califourchon sur sa tante et lui colle sa chatte sur le visage. Elle lui écarte les cuisses et contemple, sidérée la chatte de sa tante. Les grosses lèvres gonflées et pulpeuses s’ouvrent sur un vagin déjà tout humide. Il ressemble à ce coquillage appelé ’porcelaine’ ou mieux ’coquille de vénus’. Elle dégage le clitoris et entreprend de le lécher avant de fourrer son nez au plus profond. Elle a du mal à respirer car la chatte de sa tante sent fort. Mais elle aime cette odeur de femelle négligée. De ses deux mains, elle écarte les fesses flasques pour regarder la raie du cul. Elle chatouille l’anus avec son index puis essaye de l’ouvrir davantage. L’odeur, là aussi, est très forte et l’enivre. Sa langue plonge sur l’anneau en essayant de le pénétrer. Elle y parvint sans mal, tant les chairs sont molles et relâchées.

- ? Attends ma chérie, je viens juste des toilettes et je ne me suis pas encore lavée. Je vais me passer un coup d’eau. ?

- ? Non laisse, j’aime sentir ton odeur, tu pues, ça m’excite. C’est moi qui vais te nettoyer avec ma langue. Tu veux bien ?

- ? Dis donc t’es une sacrée petite vicieuse ! Tu aimes ça, hein, On est toutes les deux pareilles !

Elle n’attend pas la réponse et entreprend de lécher sa tante, allant du trou du cul jusqu’au clitoris et recommençant avec application le va et vient. Son visage est barbouillé de la mouille odorante de sa tante. Ca ruisselle de partout et lui colle au visage !

Annie, gagnée par le plaisir, serre convulsivement ses cuisses. De savoir que sa nièce lèche sa chatte qu’elle n’a pas lavée depuis quelques jours l’achève. L’orgasme est rapide et violent. Elle jouit sous cette langue experte.

- ? Tu m’étouffes ! Ecarte tes cuisses, grosse vache !

—  ? Oui, oui, c’est ça, je suis ta truie ! Dis-moi des cochonneries, j’adore ça, insulte-moi !

— ? Putain que tu sens fort. TU PUES espèce de femelle en chaleur !! Tu m’as juté dans la bouche.

— ? Tu m’as bien fait jouir. Continue de me lécher, surtout le trou du cul ! Dis le que tu l’aimes le gros cul de ta tante !?

Alors que Béatrice s’active entre ses grosses fesses, Annie suce et branle sa nièce. Elle aime cette petite chatte et ce mignon petit trou, à peine marqué.

- ? Est-ce que tu as déjà baisé petite salope ? Est-ce que tu t’es déjà fait mettre dans ta petite chatte ? Et dans le cul ? Il m’a l’air vierge encore ! Tu es si serrée. Tu vas voir comme je vais te défoncer. Putain si j’avais une bite tu le sentirais passer ! ?

— ? Oh, oui tatie, fais-moi des choses, sois une vraie salope. ?

Annie lui écarte encore plus fort les fesses pour y enfoncer sa langue. Béatrice ne peut se retenir et lâche un pet.

— ? Oh, excuse-moi Tatie, je l’ai pas fait exprès !

—  ? Petite vicieuse, tu vas être encore plus salope que moi. ?

—  ? Sens mon cul, sens-moi bien Tatie ! Dis-moi que t’as aimé que je te pète dessus !! ?

—  ? Mais tu es encore plus vicieuse que je ne le pensais ! Oui, pour toi ma chérie, je ferai tout ce que tu voudras. Je serai ta chienne et je t’obéirai. ?

Béatrice se prend au jeu de la domination et écrase son cul sur la bouche de sa tante qui y enfouit son nez et sa langue Elles se branlent et se lèchent comme des furies. Béa a enfoncé un doigt dans le trou du cul de sa tante et lui dilate l’anus. Elles laissent monter leur plaisir jusqu’à ce que la jouissance les submerge. Béa, s’écrase littéralement sur sa tante.

C’est en dégageant son nez et sa langue du cul de Béatrice qu’Annie aperçoit son neveu dans l’encadrement de la porte entrebâillée. Marc doit regarder la scène depuis un moment, à en juger par la bosse que fait son short.

— ? Eh bien ! Marc, t’as pas honte de nous regarder comme ça. Allez entre, petit vicieux. Approche et fais-nous voir ce que tu caches dans ce short. ?

Il avance vers Annie qui s’est relevée et le tire au milieu de la salle de bain. Elle le prend par les épaules, caresse son torse et colle son ventre contre celui de son neveu. Marc se laisse faire lorsqu’elle introduit sa langue dans sa bouche. Il serre sa tante contre lui. Ce corps de femme mûre l’excite. Il ne compte plus les fois où il s’est masturbé en y pensant ! Et, là, maintenant son rêve devient réalité et en présence de sa soeur ! Il a bien essayé une fois avec elle, mais elle a refusé et il n’a pas osé insister.

Annie, est déchaînée, elle a envie de son neveu. Il faut qu’elle se le fasse ! Elle fait glisser le short et dégage une bite plutôt fine et longue, raide comme un bâton. Le prépuce dissimule encore le gland.

Béatrice n’essaye pas de cacher sa nudité devant son frère. Elle est encore sous l’effet de son orgasme. Elle n’est pas davantage choquée lorsque sa tante s’agenouille, prend la bite de son frère dans sa main et tire sur la peau pour décalotter le gland et l’avaler. Tout en le pompant, elle masse de l’autre main les couilles, les faisant rouler entre ses doigts. Béatrice croise le regard de son frère. Il lui sourit. Il se déhanche en gémissant dans la bouche de sa tante comme il l’aurait fait dans une chatte ou un cul,

— ? Oui tatie, suce ! suce-moi bien ! pompe-moi ! Depuis le temps que je rêve de faire l’amour avec toi. Des années que je me masturbe en regardant ta photo. ?

— ? Eh ben mon petit salaud, tu n’as rien à envier à ta salope de soeur ! Vous êtes deux beaux vicelards tous les deux! Attends, tu vas voir, j’en ai pas fini avec toi ! ?

Annie se relève. Tenant toujours Marc par la queue, elle oblige sa nièce à se baisser et la lui fourre sous le nez.

- ? Allez Béa, suce ton frère !!

Elle lui enfonce de force la bite de Marc dans la bouche.

— ? Alleeez, applique toi petite cochonne ! Il va te baiser après !

Béatrice suce son frère avec application. Sa langue enrobe le gland puis descend le long de la bite. Elle avale ses couilles, le branle puis revient téter le bout. Une vraie professionnelle. Sa tante, rassurée sur les compétences de sa nièce se met à quatre pattes derrière le garçon. Elle lui écarte les fesses et y glisse sa langue.

— ? Mmmmh petit salopiot, tu sens fort du cul ! Tu t’es pas lavé ce matin petit cochon… j’aime ça… !!

— ? Tatie, arrête de dire des cochonneries, t’es vraiment une chienne. ?

— ? Eh oui ! Et je me régale avec ton petit cul… ?

Sa langue joue avec son anus. Elle lèche toute la raie puis se vrille dans son trou du cul. Elle a le visage collé entre ses fesses, à s’en étouffer.

— ? Mmmppfff… ch’est booon. Y pfue tfon cul… ? marmonne t’elle.

Marc est aux anges… Il se fait divinement sucer par sa soeur pendant que sa tatie lui bouffe le cul…

Annie se redresse un peu mais c’est pour mieux lui enfoncer un doigt dans l?anus. Sous l’assaut, Marc serre instinctivement les fesses sur le doigt.

— ? On dirait que ça ne te déplait pas dis moi… Je me trompe ? Un vrai petit cul de pédé ! T’as aimé que je te lèche hein petit salopard…

— ? Attends que je te baise…. ?

—  ? D’abord tu vas prendre ta soeur. Je sais que ça va lui plaire à cette cochonne. Comme deux chiens, je veux voir ta bite la défoncer et j’irai lécher ton sperme sur sa chatte ou dans son cul. Allez en position, les tourtereaux !

Annie dirige les opérations : elle fait mettre Béatrice en levrette et dit à Marc de se positionner à genoux, derrière sa soeur. Elle prend la bite du garçon, la suce un peu et l’enfile dans la vulve ouverte de sa nièce. Elle lui écarte les fesses pour mieux voir sa queue aller et venir.

- ? Allez, bourre la, cette petite pute, défonce la, je veux l’entendre gueuler. Enfonce toi jusqu’aux couilles ! Oui, comme ça ! Dis-moi, petite salope, tu l’aimes cette bite, hein ? Surtout que c’est celle de ton frère. T’as vraiment pas honte. Rien ne te dégoûte, plus c’est sale et mieux c’est ! N’est ce pas ?!

— ? Oui, oui tatie, tu as raison, je suis une grosse sale, une vraie chienne en chaleur, comme toi !

— ? Allez Marc, fais-lui mal ! Tu vois bien qu’elle n’attend que ça. Va-y mon salaud. Sors ta bite que je la suce un peu… Putain elle est trempée, qu’est ce qu’elle mouille ! Tiens maintenant tu vas l’enfoncer dans son petit trou. Je veux que tu l’encules !!

Annie pointe le gland sur la rondelle de Béatrice et force jusqu’à ce qu’elle cède sous la poussée. Un cul, une chatte, Marc s’en fout. Il ne pense plus qu’à son plaisir. Il donne de grands coups de reins de plus en plus brutaux et saccadés jusqu’à ce que, n’y tenant plus, il éjacule dans le rectum de sa soeur.

Béatrice serre son sphincter autour de ce pieu qui l’empale. Elle sent en elle tout ce foutre qui lui tapisse les muqueuses. Elle aurait voulu que son frère la pistonne encore. Mais elle le sent ramollir.

- ? Oh ! Putain que c’était bon ! ? grogne Marc. ? Je ne sens plus ma bite…. Putain, quel paquet j’ai craché ! ?

—  ? Maaarc ! Retire-toi, je ne prends pas la pilule !! ?

—  ? Que t’es conne ! Dans le cul, ça ne risque rien ! ?

Annie prend les couilles dans sa main et attend, impatiente et fébrile, la bouche ouverte, que le garçon se retire..

Lorsqu’il ressort, le jus s’écoule de l’anus encore béant. Annie se précipite et lèche ce sperme chaud et odorant. Elle enfonce sa langue pour ne rien perdre. Elle glisse à genoux et enfouit son visage entre les fesses de sa nièce.

Marc ne perd pas une miette de ce spectacle : les seins de sa tante pendent et ballottent comme deux gros sacs ; le ventre également, avec ses gros bourrelets de graisse ;son gros cul et sa grosse chatte poilue sont vulgairement exposés : une grosse vache… en train de bouffer le cul d’une chienne !

— ? Quel magnifique tableau, vous faites toutes les deux ! Ca mériterait une photo ! Ah, zut  ! J’ai besoin de pisser. ?

Comme il allait sortir, sa tante l’arrêta.

- ? Non reste, on veut voir. Tu vas nous pisser dessus, j’adore sentir l’urine chaude couler sur mes seins et dans ma bouche. Viens, on va se mettre dans la baignoire et tu nous pisseras dessus. Ca aussi, il faut que ta soeur y prenne goût ! Tu vas voir petite cochonne comme c’est bon, une bonne rasade de pisse chaude ! ?

Assises dans la baignoire, tête contre tête, bouches grandes ouvertes, elles sont tournées vers Marc. Celui-ci, debout, sa bite dirigée vers les deux salopes, les arrose copieusement secouant sa queue pour bien les asperger.

–  ? C’est nettement mieux que de pisser sur les mouches ! ?

Langues mêlées, elles avalent la pisse chaude.

- ? A notre tour, maintenant de te pisser dessus petit salaud ! Allonge-toi dans la baignoire !

Debout, écartant bien leurs chattes pour que Marc puisse voir l’urine jaillir, elles lui pissent dans la bouche.

— ? Alors Béa, c’est pas bon une rasade de pisse chaude dans la bouche ?

— ? Si Tatie, tu as raison, j’en ai même avalé une gorgée !

— ? Et toi Marc, comment tu la trouves, notre urine ?

—  ? Mieux que les grandes eaux de Versailles !

—  ? Quand on en aura besoin on te fera signe, hein ! Béa, t’es d’accord ? Bon, c’est bien beau tout ça, mais j’ai à faire.

Annie enfile son peignoir et descend à la cuisine.

Marc et sa soeur, toujours nus, se collent l’un à l’autre et s’embrassent tendrement, échangeant leurs salives.

— ? Tu sais petite soeur, il faudra que tu partages nos ébats avec ma petite amie Claude. Je suis sur que ça te plaira et encore plus à elle. Je vois déjà le spectacle, tous les trois au lit !

— ? Il faut qu’on descende, Marc. Si quelqu’un nous trouvait ensemble, je ne te dis pas le scandale !

Marc fait pencher sa soeur une dernière fois sur le rebord de la baignoire et lui enfonce son majeur dans le cul.

- ? Pour penser à toi, un petit souvenir ? ajoute-t-il en reniflant son doigt !

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