Après cet orgasme interdit dans une cabine d’essayage d’un magasin de luxe, et ce, avec une cougar, je sens quelque chose se relâcher en moi. Outre ma tension liée à la libération d’endorphine, c’est mon filtre de « garçon sage » qui se délite. C’est toute ma partie perverse qui se réveille. Mais je me méfie encore de Marie. C’est un peu trop beau pour être vrai. Elle est canon et riche et veut me baiser. Ça sent un peu l’arnaque. Je vais la suivre et en profiter, mais je vais la tenir à l’il.

Marie marche d’un pas ferme devant moi, me tirant par la main. Je ne la rattrape pas car je préfère voir son cul se dandiner. Soudain, au coin d’une rue, elle me plaque contre le mur et m’embrasse.

— Hmm j’ai adoré essayer des vêtements avec toi… hâte de recommencer chéri

— Techniquement, c’est moi qui les ai essayés.

— Oui, d’ailleurs c’est mon tour maintenant. J’ai envie d’aller acheter une robe, un bikini et des sous-vêtements sexy pour ce soir…

Je laisse mon esprit dériver… j’ai du mal à imaginer l’impact de cette future nuit. Mon sexe lui, si. Il tressaute dans mon pantalon et commence à se remplir. Marie le sent et plaque son corps sur le mien. Je sens ses seins d’abord, vu qu’ils s’érigent en premier, mais je sens ensuite mon sexe entre ses jambes.

— Déjà prêt ? C’est tellement bon d’être jeune.

Elle se frotte un peu à moi, puis toujours aussi survoltée, elle repart. On entre dans un magasin Gucci. Décidemment, elle aime l’italien.

Elle me montre une robe rouge très élégante avec le dos nu et un beau décolleté, qui serre les jambes et s’évase au niveau des mollets.

— Elle irait bien avec ta chemise non ?

— Elle irait avec tout si c’est toi qui la portes.

Elle rougit et m’embrasse sur la joue en me remerciant.

Elle prend aussi une robe sans manche extra moulante et très courte. J’en salive d’avance.

Elle se dirige vers une cabine et je la suis comme un petit chien.

Je me dirige vers elle pour la déshabiller comme elle l’a fait pour moi mais elle me pousse pour que je masseye.

— Profite du spectacle mon chou… susurre-t-elle à mon oreille.

Elle commence par enlever des talons hauts. OK, ce nest pas le plus intéressant. Mais ensuite, elle attrape le bas de son tee-shirt et le soulève doucement en jouant avec. Elle se dandine dans un striptease sans musique mais je suis conquis.

Je commence à voir son nombril. Son ventre est tellement plat et musclé qu’il est presque plat. Ça y est, je vois la naissance d’un soutien-gorge noir en dentelle. Mais Marie s’arrête et commence à jouer avec ses seins. Elle s’approche vers moi et se penche pour les mettre au niveau de mes yeux. Elle les secoue ensuite devant mon nez.

Mais alors que je lève les mains pour les prendre, elle se redresse et me donne une petite tape sur le dos de la main

— Tu regardes et tu me laisses faire bébé.

Elle reprend sa dance lascive et fait passer le tee-shirt par-dessus sa tête. Je vois les seins rebondir, accrochés au tissu. Ils sont vraiment imposants, la raie entre les seins, mise en valeur par le soutien-gorge attire mon regard comme un trou noir. Puis, je m’abime les yeux sur le tissu peu dense pour entrapercevoir les mamelons, dont je devine juste la forme car ils pointent sous le tissu.

Je m’installe plus confortablement et pose la main sur mon sexe dur comme la pierre pour me caresser par-dessus mon jean.

Elle me jette un regard par-dessus l’épaule et semble apprécier ce qu’elle voit. Elle aime sentir mon regard brulant sur elle.

Elle me tourne maintenant le dos pour enlever son jean. Elle se penche en avant et se cambre pour faire sortir ses fesses et descend en même temps son pantalon.

Je vois sa magnifique croupe apparaître, seulement dissimulée par un string tanga noir en dentelle, comme le soutien-gorge.

Son cul est bien rond et musclé. Elle continue à se trémousser et pose ses mains sur ses fesses pour les écarter

— Tu aimes ce que tu vois ? me demande-t-elle d’une voix chaude.

Je grogne de plaisir en réponse et cela semble lui plaire. Elle se retourne et revient vers moi. Elle se penche à nouveau pour me montrer ses seins. Ils m’hypnotisent.

Cette fois pourtant, elle ne se contente pas de les secouer. Elle les plaque sur mon visage. Elle attrape ma tête pour me serrer contre elle et frotte sa culotte sur la bosse de mon pantalon.

C’est trop bon !! Quelle douceur ! Jen profite pour sentir son odeur. Je sens aussi sa chatte brulante. Soudain, elle prend mes mains et les plaquent sur ses fesses. Je les malaxe alors avec l’énergie du désespoir. Heureusement, mes grognements sont assourdis par sa poitrine. Elle a repris ma tête entre ses mains et me caresse les cheveux

— Oui… tète mon bébé, tète ta maman…, j’ai envie de te téter moi aussi, cette grosse bosse que je sens sous ma chatte trempée, qui n’a envie que de l’avaler…

Cependant, la voix de la vendeuse nous arrête !

— Tout se passe bien Madame ?

— Oui ! très bien, j’essaie la robe rouge

Elle s’enlève à regret de moi et saisit la robe en question.

— Tu peux me l’enfiler s’il te plaît.

J’entends toute autre chose mais je m’exécute. Ma queue me fait mal mais je me mets à genoux devant elle, à ses pieds et prends ses jambes pour les faire passer dans la robe. L’un, puis l’autre. Je ne peux m’empêcher de caresser ses chevilles. Elle a une petite rose tatouée sur la cheville. J’ai soudain envie de lui caresser les pieds, mais je me contiens.

Je remonte ensuite doucement, faisant couler le tissu de satin sur sa peau. Je sens une petite résistance quand je rencontre sa poitrine, mais je force un petit peu pour rentrer ses airbags dans le tissu. Je lui fais enfiler les manches avec douceur, puis attache le haut de la robe.

Elle me remercie et sort pour avoir l’avis de la vendeuse, qui la complimente sur son corps de rêve.

Elle recentre et tourne sur elle-même pour faire voleter le tissu

— Tu aimes Chriss ?

— Beaucoup… tu es à croquer dedans.

— Ne t’inquiète pas, tu pourras me croquer tout cru…

Ensuite, je recommence mon manège pour la déshabiller et elle se retrouve en sous-vêtements devant moi. Je suis à genoux devant elle et commence à embrasser ses fesses, ses cuisses, son ventre… je passe même devant sa culotte et inspire pour sentir son odeur. Elle attrape mes cheveux et retient gémissement. Puis, je me relève et l’embrasse sur la bouche en prenant ses seins en main. Elle me fait reculer et je me rassois.

Quand le baiser prend fin, elle se retire doucement, un grand sourire aux lèvres.

— On ne fait pas de bêtise cette fois mon lou, sinon on ne va jamais sortir…

Elle prend donc l’autre robe et l’enfile par le haut. Elle est torride dedans, elle ne fait vraiment pas son âge… cette robe la moule à la perfection

— Et celle-là tu l’aimes ?

— Oui, elle moule bien ton corps de rêve… mais je te préfère sans.

— Hmmm coquin…

Elle prend finalement les deux et c’est avec le cur battant à la chamade et le souffle court qu’on sort du magasin.

A nouveau, elle me replaque contre un mur et me chuchote à l’oreille tout en le mordillant et en couvrant mon cou de baiser

— Je ne vais pas tenir jusqu’à ce soir chéri…

— Allons-y maintenant alors !

— Hmmm non, je veux acheter de la lingerie pour toi ce soir. Un truc sexy…

— Tu l’es déjà.

— Hmm j’ai une idée, je connais un magasin, avec des cabines insonorisées… on pourra peut-être faire quelque chose…

C’est presque en courant qu’on s’y dirige. Ça me fait bizarre d’entrer dans cette boutique remplie de sous-vêtements tout en froufrou. Marie choisit assez rapidement quelques articles et nous entrons dans la cabine. Elle ferme à clé, et semble bien isolée. En plus, il y a des miroirs partout.

Marie ne perd pas son temps et se jette sur moi.

— Déshabille-moi !! m’ordonne-t-elle

Je me mets à genoux devant elle et dégrafe fébrilement son jean pendant qu’elle se débarrasse de son tee-shirt. En quelques secondes, elle est de nouveau en lingerie devant moi.

— Tu es prêt pour le spectacle ? Va t’assoir Chris et profite de la vue.

Je me rassois presque à contrecur. J’aurais préféré la déshabiller moi-même. Je mets la main dans mon pantalon pour caresser ma queue dure comme l’acier et à l’étroit dans mon jean.

Je me fige, les yeux écarquillés, alors que Marie enlève son soutien-gorge. C’est la première fois que je vois des vrais seins nus. Et les siens sont juste… énormes et bien ronds. Avec des mamelons parfaits et des tétons à croquer. Elle passe la main sous sa poitrine pour les redresser

— Alors ? Tu les trouves comment ?

— Je… euh

Je balbutie, hypnotisé. Elle rigole et sans prévenir, baisse sa culotte. Elle est maintenant nue devant moi.

Alors là, je crois que mon cerveau déraille. J’alterne entre sa chatte et ses seins, la bouche grande ouverte.

Je sens ma bite tressauter dans mon jean, douloureuse et trop serrée.

— Je crois que ton ami veut sortir…

Marie avance vers moi. Je suis pétrifié. Elle s’agenouille devant moi et commence à me caresser par-dessus mon jean.

— Tu ne crois pas qu’il serait plus juste que je puisse la voir aussi ? Après tout, tu me vois entièrement nue…

J’acquiesce sans réfléchir et je la vois déboutonner mon jean et le baisser lentement. Elle réserve le même sort à mon boxer et ma bite se dresse maintenant devant son visage ravi.

— Oh… une belle bite, j’ai tellement envie de…

Elle ne finit pas sa phrase, exprès pour me faire délirer. Puis elle l’attrape à une main pour la caresser un peu. Je grogne de plaisir, priant pour qu’elle continue.

Je la vois doucement approcher sa bouche de mon engin… elle va le faire elle va le…

Elle pose un baiser dessus, et je ressens une décharge électrique partant de mon gland. Mais un seul, car elle se relève.

— Tu vas tenir hein ? Il faut que je teste d’abord mon bikini et un ensemble. Tiens, tu peux avoir ma culotte en attendant.

Elle me la lance sur le visage. Je sens son odeur intime avec délectation, puis j’essaie de la poser sur mon sexe pour me branler avec, mais je la reprends et continue à respirer dedans de temps en temps.

Je ne lâche pas son corps du regard, essayant de mémoriser chaque courbe. Elle m’aide en se penchant en avant et en me montrant ses fesses. Elles s’écartent et je peux voir son anus rose et sa chatte luisante. Elle est excitée.

Elle sourit en coin en voyant l’effet qu’elle me fait. Mais elle continue son essayage sans vraiment s’occuper de moi. Elle enfile d’abord un bikini, qui se résume à une ficelle qui cache sa chatte et son anus et remonte ensuite pour cacher ses tétons. Au final, elle est encore plus bandante que nue. Je commence à caresser mon membre, faisant de longs va-et-vient sur mon sexe pour décalotter entièrement mon gland.

Marie me fixe et se mord la lèvre.

— Hmm tu me tentes chéri, ton gland est si beau, j’ai envie de l’embrasser.

Un autre courant électrique me parcourt le bas-ventre. Elle sait qu’elle est bien plus tentante que moi. Elle enlève son bikini et essaie un string ficelle avec un corset et des jarretelles. Je hausse les sourcils. Il y a bien trop de vêtements pour moi.

Ensuite, elle essaie un ensemble Calvin Klein, avec une culotte haute et une brassière. J’aime bien. Enfin, elle met un ensemble rouge en résille. Je peux voir par transparence sa chatte et ses tétons au travers du tissu.

— Tu as l’air d’aimer celui-là… alors je vais le garder.

Le garder ? Oh ! Marie s’approche de moi.

— Je ne peux plus tenir Chris. J’ai envie que tu me touches.

Elle prend ma main qui était sur ma bite et la pose sur sa culotte, au niveau de sa chatte. Elle est brûlante et humide. Je fais des petits cercles pour sentir les creux et bosses, et Marie semble aimer ça. Elle tient ma main pour m’aider et a laissé tomber sa tête en arrière pour profiter de mes caresses.

Je me redresse et me remet à genoux devant elle. Je pose mon nez sur sa culotte et caresse du bout du nez sa chatte. Elle gémit et plaque ma tête dessus. Je respire son odeur. Ma queue est tellement dure, mais je la délaisse, je préfère goûter ce minou.

J’attrape la culotte et la baisse lentement jusqu’à ses chevilles. Je vois maintenant sa chatte de près. Marie me regarde faire, le souffle court. Je m’approche et sort ma langue pour embrasser ses lèvres du bas.

— Oui !!!!! Gémit-elle. C’est trop bon.

Je continue mes caresses et me concentre comme si ma vie en dépendait pour lécher ce puits de bonheur. Je goûte enfin une vraie chatte et j’adore ça. Mes mains volent, caressant ses cuisses, ses fesses, son ventre. Je remonte aussi vers ses seins, et elle attrape ma main pour le plaquer sur sa poitrine. Elle me caresse les cheveux de l’autre main en retenant à grand-peine des petits cris.

— Je crois… OOOOHHHH… Je vais… OUIIIII… JouIIIIIIIIR !!!!

Je la sens se contracter et continue pendant qu’elle jouit. Je la sens s’appuyer sur moi, rendue groggy par le plaisir.

Quand elle se reprend, elle me regarde par le haut en caressant doucement mes cheveux.

— Ohh chéri, c’était si bon… maintenant je vais m’occuper de toi.

Elle me pousse pour que je me rasseye sur le siège et s’accroupit à nouveau devant moi.

— Elle est si dure… déclare-t-elle en empoignant ma verge. Comment vais-je pouvoir la faire ramollir

— Hmm, en t’asseyant sur elle, en l’avalant avec ta chatte.

J’ai tellement envie de sentir mon sexe en elle.

— Hmmm non, je veux attendre ce soir pour prendre ta virginité mon lou, là je vais utiliser mes gros seins que tu aimes tant.

Mince, je voulais vraiment la baiser maintenant là, contre la vitre, en levrette. Mes instincts me hurlent de la prendre violemment et je n’ai plus aucune logique m’empêchant de le faire. Mais quelque chose arrête mes plans…

Un déferlement de douceur inonde mon sexe. Marie a enlevé son sous tif et a coincé ma queue entre ses énormes seins, la recouvrant totalement. Elle se penche et embrasse mon gland pour l’enduire de salive et lubrifier mon sexe. Elle serre ensuite ses seins avec ses mains pour bloquer mon sexe et commence à frotter. Ma première branlette espagnole… j’adore.

Quelle vision de paradis que de voir Marie, cette cougar si chaude, à genoux devant moi, faisant apparaître et disparaître ma bite entre ses gros nibards.

Je sens la jouissance venir et me tends sous la vague de chaleur. Mais Marie le sent aussi et s’arrête juste avant, me laissant brûler de désir

— Hmmm non, je ne peux pas te laisser jouir comme ça. Tu vas en mettre partout. Je crois que la meilleure solution c’est de te prendre en bouche pour avaler ce sperme. J’ai trop envie de te goûter… hmm miam

A ces mots, je me redresse. J’ai toujours rêvé de me faire sucer. Je trouve ça presque mieux que de baiser, sur une vidéo porno.

J’attends avec une impatience fébrile qu’elle m’avale. Ça y est ! je sens sa langue humide et son souffle chaud envelopper ma queue. Je sens ses lèvres caresser mon gland. C’est encore mieux que dans mes rêves !

— Ohhh c’est trop bon ! J’adore

Marie ne me répond pas, elle a la bouche pleine. Elle avale de plus en plus de ma queue avec des bruits de succions jouissives. A mon tour de me laisser aller au plaisir.

Elle caresse mes boules en même temps et j’attrape sa tête. Alors, elle s’enfonce encore plus et me laisse la guider pour baiser sa bouche. Mais elle reprend vite son rythme pour me pomper.

Je ne résiste pas longtemps et cette fois elle me laisse jouir. J’ai l’impression que mon cerveau grille sous la surcharge de plaisir. C’est un ouragan qui me saisit.

Je serre les dents pour retenir un cri.

— Gnnnnnnn !!!!

Ça y est j’envoie la sauce. De longs jets brulants. Marie garde mon sexe en bouche pour contenir cette lance à incendie. Elle semble savourer.

Je suis vidé de toutes mes forces et tout mon sperme. Je pousse un énorme soupir de bienheureux.

Marie se relève et ouvre la bouche pour que je puisse voir tout le sperme dans sa bouche. Cette femme est une vraie cochonne et j’adore. Elle avale ensuite tout et s’assied sur moi pour m’embrasser

— J’ai adoré cette séance shopping… me chuchote-t-elle… j’ai hâte d’aller à l’hôtel pour continuer, pas toi ?

— J’acquiesce lentement.

Nous nous rhabillons et je quitte Marie un instant pour aller aux toilettes. Une fois revenu, je la retrouve à la caisse. Puis nous partons nous balader un peu dans la ville et prendre un café pour nous remettre de nos émotions… jusqu’à ce soir.

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