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Cours particuliers de rattrapage. – Chapitre 1




Chapitre unique.

Au tournant de la nouvelle année, des parents attentionnés viennent au secours de leur fille qui a des difficultés scolaires… Cette dernière n’est pas très en avance, car à 18 ans passés, elle est seulement en terminale… Il faut dire que Sidonie est quelque peu nunuche, toujours dans les jupes de sa mère, et peu au fait de la vie…

Après de multiples recherches, ces parents finissent par trouver sur la toile un professeur qui s’accorde une année sabbatique, mais qui n’est pas contre le fait de se faire un peu d’argent frais… Rendez-vous est donc pris pour le jeudi de la semaine…

La première leçon est consacrée à faire le bilan des lacunes… et elles sont nombreuses ! Madame Verbier met au point avec Sidonie le programme des révisions pour les semaines à venir.

Sidonie a tout de l’adolescente montée en graine, elle mesure près d’un mètre soixante-dix, mais elle est plate comme une limande… Elle est blonde aux cheveux longs filasse tant, ils sont décolorés, ses seins sont à peine dessinés, mais elle a une petite bouche mutine. Par contre, Madame Verbier est une femme dans la pleine maturité de ses 40 ans… Grande brune pulpeuse, elle a des formes avantageuses, de grands yeux noirs rieurs et une bouche aux lèvres ourlées… Les deux femmes sont complètement différentes… l’une est effacée, d’une timidité presque maladive, l’autre est exubérante, pleine de vie, mais peu à peu le contact devient plus chaleureux, au fur et à mesure des heures de cours de soutien.

En plus des cours, Madame Verbier tente par tous les moyens de décoincer Sidonie, jouant le rôle de la grande sur à qui on peut se confier… rien n’y fait dans les premiers temps… Les semaines se suivent et se ressemblent… puis un jour qui, peut-être n’était pas fait comme les autres, Sidonie dit qu’elle a faim en plein milieu de l’heure de cours et elle prend une banane dans la coupe de fruits qui trône au milieu de la table de la salle à manger…

Voyant cela, la prof’ tente une allusion grivoise, en espérant provoquer une réaction chez Sidonie qui se contente de baisser la tête en rougissant, mais ne sait plus quoi faire avec sa banane à moitié épluchée… Soudain, Madame Verbier s’exclame :

Je vois… Tu es gênée… Tu ne sais pas comment manger une banane sans attirer le regard des hommes… Cela est courant et souvent, ils font exprès de dévisager une femme qui mange ce fruit ! Mais je vais te montrer une autre manière… de déguster une banane… Cela pourra te servir.

Et Madame Verbier se saisit de la banane à moitié épluchée, et la place devant sa bouche, puis elle sort sa langue pour lécher le bout et le sucer comme si c’était un bâtonnet glacé. Sidonie est rouge comme une pivoine… Mais son regard ne peut quitter la bouche de Madame Verbier qui a avalé quelques centimètres de ce fruit exotique qui coulisse entre les lèvres carminées.

Ne fais pas ta mijaurée ! Je suis certaine que tu n’as jamais sucé un garçon !

Oh NON… je n’ai jamais couché avec un copain !

Ce n’est pas ce que je te demande… Tu n’as jamais vu de garçon à poil ?

NON, jamais… Je n’ai pas de copain et personne ne veut de moi !

Alors… Tu as tout à apprendre. Et bien puisque ta mère n’a pas su t’ouvrir les yeux, je vais le faire si tu veux ?

Rougissant encore un peu plus, Sidonie répond dans un souffle :

Oui… je veux bien…

Dans ce domaine, les leçons ne te coûteront rien ! Allez, mets-toi nue, que je te fasse découvrir ton corps… Je suis sûre que tu ne t’es jamais fait plaisir ?

Comment ça ?

Ne me dis pas que tu ne t’es jamais caressée sous la douche ou dans ton lit !

Non jamais… Pourquoi ?… Ca se fait ?

Décidément, tu as vraiment tout à apprendre !

Sidonie finit par se déshabiller, elle ôte son sweatshirt, fait glisser son jean et sa culotte et croise les mains devant son pubis.

Pas de ça… Laisse-moi le voir… Nous sommes entre femmes…

Mais ma mère ne m’a jamais vue nue depuis que j’ai dix ans !

Et bien alors, je ne m’étonne plus ! Tu as un joli corps d’adolescente, un peu maigrelet et peu développé au niveau de la poitrine pour ton âge…

C’est vrai, Sidonie n’a pas besoin de soutien-gorge… Ses seins sont à peine renflés comme la poitrine d’un jeune garçon. La prof’ passe ses doigts sur les tétons, les frôle, les caresse puis les titille de ses ongles longs arrachant des soupirs à son élève.

Tu vois, cela te fait déjà du bien !

Oh oui, continuez…

Non, c’est assez pour les seins ! Je vais descendre plus bas, mais on va aller dans la salle de bains. Nous serons plus à l’aise pour continuer la leçon de sexe ! Guide-moi…

Deux minutes plus tard, les deux femmes se retrouvent à l’étage, et Madame Verbier place Sidonie face au grand miroir dans lequel elles se reflètent. Placée derrière son élève, la prof descend ses mains dans la fourche intime de Sidonie, une fourche à peine voilée de quelques poils roux, et commence à caresser le capuchon du clitoris qu’elle ne tarde pas à débusquer…

Sidonie tente dans un premier d’échapper à cette caresse en disant que c’est sale, mais son corps dit tout le contraire : elle écarte légèrement les cuisses, et presse ses fesses contre le pubis de Madame Verbier en laissant échapper de soupirs de plus en plus convaincants : le plaisir qu’elle éprouve pour la première fois n’est pas feint ! Bientôt, ce ne sont plus deux doigts qui vont et viennent entre ses lèves intimes, mais une main qui les ouvre et se glisse dans le vagin inondé de mouille. Sidonie respire de plus en plus vite… son souffle devient court, et elle se met à trembler de tout son corps avant qu’un râle plaisir ne s’échappe…

Oh… Que c’est bon…

Tu vois, tu as manqué quelque chose. Il n’y a pas qu’avec les doigts que tu peux te faire plaisir.

Comment ça ?

Attends… Je me mets à mon aise.

En quelques instants, Madame Verbier se retrouve en soutien-gorge et string de dentelle et fait asseoir son élève sur le coin de la baignoire. Elle s’agenouille devant elle en disant :

Après la main, tu peux te laisser caresser la foufoune par une copine… Je vais te montrer… C’est d’ailleurs comme cela que les coquines lesbiennes se donnent du plaisir.

Mais je ne suis pas lesbienne !

Comment peux-tu le savoir ? Tu découvres les joies du sexe aujourd’hui ! Je ne suis pas lesbienne, mais j’adore me faire bouffer la chatte. Tu vas voir… C’est très bon et jouissif !

Tout en lissant la fine toison d’une main, Madame Verbier avance sa bouche face à la bouche intime de Sidonie où elle darde une langue pointue qui s’agite avec une agilité folle… En moins de deux minutes, les cuisses de Sidonie se mettent à battre en enserrant la tête de sa prof’ qui ajoute un doigt à sa langue, pour faire jouir son élève qui se tétanise une nouvelle fois en lâchant un jet de cyprine…

Tu vois comme c’est bon !

Oh oui, c’est génial… Merci !

J’ai senti que tu étais vierge et je n’ai pas voulu forcer ton hymen.

Oui, j’ai senti une petite douleur quand vous avez mis les doigts !

Je t’ai taquinée avec la banane… Tu peux aussi t’en servir pour te donner du plaisir à défaut d’un gode.

J’ai déjà entendu ce mot dans la bouche des copines, mais je ne sais pas ce que c’est !

Je t’en apporterai un la prochaine fois… C’est une imitation de sexe masculin !

Wow ! Et on peut se donner du plaisir avec ?

Oui… tu vas voir avec la banane !

Sur ces mots, Madame Verbier sort de la poche de son pantalon un préservatif et en couvre la banane qui désormais, est entièrement épluchée. Elle humidifie le sexe factice improvisé en l’embouchant brièvement, puis elle le fait entrer doucement dans la chatte de son élève avant de la faire coulisser jusqu’à la membrane de l’hymen. Les râles de plaisir de Sidonie sont de plus en plus intenses jusqu’à ce que la jouissance l’emporte une nouvelle fois :

Ce n’est pas tout, je t’ai fait jouir trois fois, et moi, je reste sur ma faim.

Que voulez-vous ?

Eh bien, je vais voir si tu as retenu la leçon… Tu vas me faire un beau cunni pour m’envoyer en l’air. Cède-moi la place, et mets-toi à genoux entre mes cuisses !

Madame Verbier fait glisser son string et s’assoit à la place de Sidonie, qui découvre une chatte aux lèvres bien ourlées et gorgées de sang, sous une toison drue et brune taillée en triangle.

Sidonie s’extasie :

Oh… Que c’est beau !

Vas-y… Reproduis les caresses que je viens de te faire… à ton tour de me faire jouir.

Timidement, Sidonie commence à lisser la toison sous la paume de sa main, et descend sur le capuchon du clitoris qu’elle masse doucement… puis elle découvre le clitoris qui, dardé hors de son étui, suinte abondamment.

Vas-y, tu commences bien !

Forte de cet encouragement, Sidonie approche alors ses lèvres de celles du sexe qui s’offre à elle, et reproduit instinctivement ce que Madame Verbier lui a fait quelque temps auparavant. Elle darde sa langue entre les lèvres gorgées de sang, les mordille, puis glisse sa langue au plus profond de ce sexe… et lape comme un jeune chat.

Oui… C’est bon… Glisse la banane et fais la coulisser !

Sidonie suit les instructions à la lettre et fait aller et venir le fruit emballé dans le préservatif. Il est littéralement avalé si bien qu’elle est obligée de mettre les doigts pour le récupérer et poursuivre le va-et-vient jusqu’à la jouissance de sa prof’

Bon… C’est assez pour aujourd’hui… La semaine prochaine, tu viens chez moi !

La semaine suivante, Sidonie, tout émoustillée par ce qu’elle a vécu lors de la dernière leçon, se rend au domicile de Madame Verbier qui l’accueille avec effusions :

Viens… Entre vite, j’ai hâte de poursuivre ton éducation sexuelle… Pour les maths, tu en sais assez ! C’est en matière de sexe que tu as des lacunes !

Sidonie découvre avec étonnement la tenue de sa prof’. Chaussée de mules à talons très hauts, elle ne porte qu’un déshabillé qui lui arrive à mi-cuisses, et un ensemble composé d’un soutien-gorge à demi bonnets et d’un tanga qui remonte sur ses hanches. Elle ne s’y attendait pas et s’extasie :

Wow… Que vous êtes belle !

Mais c’est pour toi belle enfant ! Mais désormais, nous allons nous tutoyer… Appelle-moi Corine !

Oh merci !

Viens, nous allons dans ma chambre, nous y serons mieux !

Sidonie découvre avec surprise la chambre de sa prof’… Un immense lit rond meuble un angle de la pièce et les murs sont garnis de tableaux d’uvres licencieuses, reproduisant un certain nombre de positions sexuelles très explicites qu’elle regarde avec intérêt.

On peut faire tout ça ?

Et bien d’autres choses ! Dans quelques semaines, je t’aurai fait découvrir beaucoup de choses… et si tu es d’accord, je te ferai connaître un de mes amants qui fera de toi une femme à part entière !

Oh oui, je veux bien !

Là-dessus, Corine fait déshabiller son élève pendant qu’elle ouvre un magnifique coffret de marqueterie dans lequel elle range ce qu’elle appelle ses jouets ! Sidonie écarquille les yeux… Il y a des sexes factices de toutes les formes et de toutes les tailles, des menottes garnies de tissus veloutés, des chaînes et des sangles… et même un harnais garni d’un phallus de bonne taille. Elle interroge en désignant ce dernier objet :

à quoi cela vous sert-il ?

N’avions nous pas convenu de nous tutoyer ?

Si… alors, explique-moi…

Je dois te dire que je suis bisexuelle… J’aime autant les hommes que les femmes… mais il arrive qu’une de mes amantes ait envie d’être pénétrée comme si j’étais un homme… En plus, tu vois, vers l’intérieur, il y a une protubérance qui me fait du bien à moi aussi ! Mais passons aux choses sérieuses.

Oh oui… J’ai envie d’apprendre !

Tout d’abord, nous allons nous mettre en conditions avec un 6 9… Je vais me coucher sur le dos, tu vas me manger la chatte pendant que tu seras au-dessus de moi, j’en ferai autant avec la tienne !

Encore un peu malhabile, Sidonie se rappelle des conseils donnés la semaine précédente… Elle lisse avec sa langue les nymphes sexuelles de sa prof’, puis elle glisse sa langue à l’orée du sexe qu’elle titille d’un bout pointu. De son côté, Madame Verbier en fait autant tout en faisant courir une main dans la rue culière, agaçant du bout des ongles, la peau sensible du périnée et l’antre secret qui se referme sous cette intrusion… Ce ne sont que halètements, soupirs, râles de plaisir jusqu’à ce que Madame Verbier jouisse une première fois.

Bravo… Tu as bien retenu ce que je t’ai enseigné… Je vais te faire partir aussi.

Moins d’une minute après, Sidonie se tétanise aussi… Il faut dire que sa prof’ a glissé un petit gode vibrant dans son sexe pour accélérer la montée du plaisir.

Humm… c’est bon de sentir ces vibrations.

Tu vois, je suis sûre que tu vas y prendre goût…

La prof’ et son élève, assises en tailleur sur le lit découvrent en détail le contenu du coffret. Sidonie se saisit d’un gode long à double tête et interroge :

Comment s’en sert-on ?

C’est pour faire l’amour entre femmes… mais c’est trop tôt pour toi… Il faut d’abord que tu sois déflorée ! Je t’explique vite fait !

D’accord, j’ai compris, ce doit être moins violent que le gode ceinture !

Ce n’est pas pareil. L’étreinte est effectivement plus douce ! Viens, je vais te faire essayer des pinces à tétons vibrantes…

Madame Verbier titille d’abord les tétons à peine sortis, puis elle place les pinces qui tiennent avec une petite ventouse. Quelques minutes plus tard, elle les retire et Sidonie s’aperçoit que ses tétons ont pris du volume… Ils ressemblent désormais un petit pois et sont très sensibles à la caresse qu’elle se prodigue.

L’heure de cours se prolonge, et plusieurs fois, les deux femmes se pâment de jouissances partagées… Madame Verbier fait découvrir à son élève les attouchements rectaux, tout d’abord avec la langue, puis un doigt, avant de glisser un gode fin, enduit de gel qui ouvre un peu l’antre secret de Sidonie qui finit par aller au-devant de l’introduction… Quand sa prof’ caresse sa chatte avec sa main libre :

Tu comprends que l’on peut faire l’amour aussi par-derrière. C’est très prisé par les hommes qui ainsi nous imposent leur domination…

Je n’y crois pas…

Si, les hommes croient qu’en sodomisant une femme, ils la dominent… Je ne suis pas d’accord… Pour moi, c’est le contraire et j’y prends beaucoup de plaisir. D’ailleurs, je suis très ouverte grâce à une bonne préparation que j’ai faite avec mon ex-mari.

Comment as-tu fait ?

C’est simple, nous avons expérimenté les doigts, puis des godes fins et de plus en plus gros jusqu’à ce que je porte en permanence ce joli plug qui maintenait mon sphincter ouvert…

Wow… quel diamètre, je n’aurais jamais pensé qu’une telle taille pourrait entrer…

Tu sais, certaines femmes acceptent carrément l’introduction d’une main… je l’ai vu à plusieurs reprises… mais je n’ai jamais osé aller jusque-là !

Ce jour-là, les deux femmes se sont séparées sur une ultime jouissance… mais elles ont pris l’habitude d’alterner les rencontres… Le jour où le cours particulier a lieu chez Sidonie, c’est du sérieux… Quand cela se passe chez Madame Verbier, c’est beaucoup plus HOT ! Ainsi, Sidonie découvre peu à peu les joies de l’amour entre femmes. Mais elle a continué de découvrir les jouets de Madame Verbier…

Au lendemain des épreuves écrites du bac, elle a goûté à la joie d’un Plug de belle taille, enfoncé avec douceur dans son sphincter anal et en même temps, à la présence d’un uf vibrant glissé dans son vagin… Elle en avait déliré au moment de la jouissance tant, c’était DIVIN selon son expression.

Mais la fois suivante, à la veille de partir en vacances avec ses parents, aussitôt arrivée chez sa prof’ elle demande :

Tu m’as dit qu’un de tes amants ferait de moi une femme à part entière… Je suis toujours vierge, même si mon sphincter anal est déjà bien ouvert.

Oui, puisque tu le demandes… c’est prévu aujourd’hui.

Bravo… J’ai hâte !

Tu verras, il sera doux et tu jouiras bien. C’est mon amant de cur… D’ailleurs, il t’attend dans la chambre.

Depuis ce jour-là, Sidonie est devenue accro au sexe… faisant l’amour aussi bien avec des femmes que des hommes et elle a eu son bac avec mention… Les leçons particulières de Madame Verbier ont porté leurs fruits…

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