Après un pause, je reprends la suite de cette histoire… jour après jour je deviens l’esclave sexuel de Bruno.
Après avoir pris une bonne douche, je rejoins mon amant dans la cuisine. Un petit café bien serré et c’est déjà l’heure de retourner au boulot pour moi.
— Tu n’as qu’une heure de cours cette aprem Chris, c’est ça?
— Oui, pourquoi?
— Tu veux pas repasser ici après ton cours, avant de rentrer chez toi?
— Quoi? T’en as pas eu assez? Tu veux qu’on remette ça?
— Allez, s’il te plaît…
— OK Bruno. Je repasse vers 15h mais je ne resterai pas longtemps…
— Comme tu veux. Ça me va.
Sur ces paroles, je file au collège… En chemin je me rends compte que mon anus est encore bien ouvert, tellement il a été dilaté ce matin et avec ce que j’ai pris à midi… mais je n’ai pas mal, j’ai juste l’impression de sentir l’air emplir mon cul et je souffre d’un manque intérieur. Mais je me reprends et parle à voix haute dans la voiture :
— Quel con! Tu vas quand même pas te plaindre de ne plus avoir ce plug en toi!
Je recentre mon attention sur la route et arrive assez vite sur le parking où je me gare. Je rejoins mes collègues dans la salle des profs.
— Ah! Salut Christophe, on s’inquiétait, on t’a pas vu ce matin. (me dit un collègue)
— Ouais. Je t’ai vu t’enfuir à midi, je t’ai dit bonjour mais tu m’as pas entendu. (rajoute un autre)
— Salut. Oui, j’étais un peu barbouillé mais ça va.
On discute, on plaisante puis, à la sonnerie, chacun file chercher ses élèves dans la cour. L’heure se passe bien, aucune pensée sur ce que j’ai du subir le matin même (lire l’histoire précédente). Je suis à fond dans mon boulot. A la fin du cours, je prends le temps de ranger mes affaires et de répondre aux questions des élèves… je quitte la salle de classe en vérouillant la porte, je redescends dans la salle des profs, regarde à l’intérieur de mon casier : pas de nouvelle information. Je me dirige ensuite sur le parking et monte dans ma voiture. Je démarre et c’est au moment de m’engager sur la route que j’ai un flash :
— Bruno! Oups, j’ai failli oublier…
Lorsque j’arrive chez Bruno, je sonne à la porte… il m’ouvre et m’attire à l’intérieur de sa maison, puis il me prend dans ses bras musclés :
— Tu sais que tu mas grave manqué mon bebichou! Jai pas arrêté de pensé à toi depuis ton départ.
Je nai pas le temps de répondre, je sens déjà ses lèvres sur les miennes et nos langues se mélangent. Dune main il me saisit par le cou et de lautre il descend vers mes fesses il glisse sa main entre mon jean et mon boxer. Je suis excité au plus haut point, jécarte un peu les jambes pour linviter à aller plus bas et sa main entame une lente progression vers ma raie. Je frémis dexcitation et ne peux mempêcher de soupirer lorsque Bruno me caresse doucement au travers du tissus de mon boxer tout en continuant à membrasser, je suis trop bien, je me laisse faire. Je ferme les yeux et soupir daise lorsque sa main sintroduit sous le tissu et que je sens un doigt caresser le bord de mon anus. Bruno fait de petits ronds autour, de petites pressions dessus. Je ne peux mempêcher donduler et bientôt un de ses doigts me pénètre doucement…Bruno menlève mon tee-shirt pendant que je fais tomber mon jean et mon boxer sur mes chevilles. Il sagenouille devant moi, je sens sa langue me caresser le sexe puis sa bouche lenvelopper. Il aspire mon gland, le lâche et le reprend plusieurs fois de suite ce qui me fait gémir de plaisir. Mon amant suce divinement bien.
Bruno me fait asseoir au bord du canapé, les fesses dans le vide, et il vient se placer à genoux entre mes jambes qu’il place sur ses épaules. Quelques lèchouilles sur mon ptit trou avant d’y introduire sa langue, je gémis plus fort encore sous cette caresse qui me fait monter au 7ème ciel. Je ne peux mempêcher donduler et la langue de Bruno est bientôt remplacée par un doigt qui me pénètre doucement tandis que sa bouche revient soccuper de mon sexe. Mon dieu que cest bon ! Je sens à peine un deuxième doigt me pénétrer puis un troisième, un quatrième je suis tellement excité et mon anus ne s’est pas vraiment refermé depuis sa dilatation intense de ce matin. Lorsque les doigts de Bruno commencent à faire des aller retours je crie de plus belle et ondule à leur rencontre.
— Prends-moi maintenant Bruno!
Et je sens ses doigts me quitter pour être aussitôt remplacés par son sexe qui rentre très facilement, comme dans du beurre. Je sens son gland me pénétrer, il reste un moment sans bouger puis commence de tous petits va et viens. Je sens Bruno entrer de plus en plus profondément. Cest bon de le sentir coulisser en moi, je ne peux mempêcher de gémir à chaque pénétration. Quand enfin il est entièrement en moi, il magrippe par les hanches pour essayer de senfoncer encore davantage puis il se penche vers moi et membrasse. Je reçois sa langue dans ma bouche tandis que son sexe me remplit le rectum. Bruno se redresse et il reprend de lents vas et viens. Cest trop bon, jadore cette position qui offre le plus de sensation, les jambes sur les épaules de mon amant, lui à genoux entre mes jambes, au pied du canapé. Je mabandonne complètement au plaisir qu’il me donne lorsque je suis secoué par un orgasme violent…
Quand je reprends mes esprits, je pense que jai crié, Bruno a arrêté de bouger mais il est toujours en moi et se penche pour membrasser. Il n’en a pas fini avec moi : il se relève, me fait tourner autour de son pieu tout en restant en moi, je suis maintenant sur les genoux au sol et le torse sur le canapé. Jai à peine le temps de me redresser sur les coudes que Bruno magrippe déjà par les hanches et me sodomise violemment. Je suis surpris par cette ardeur soudaine qui m’oblige à me cambrer davantage pour mieux le recevoir, emporté par le plaisir que cela me procure. Après plusieurs minutes de ce traitement, mon amant ralentit tout à coup et sort son sexe pour le remplacer par sa langue. Quelle douceur inattendue, quel bonheur que cette caresse ! Lorsque je nen peux plus je demande à Bruno de me prendre à nouveau. Il mallonge alors à plat ventre sur le canapé et il vient se coller dans mon dos. Il senfonce en moi, me pénètre sauvagement tout en membrassant les oreilles, le cou Sa main posée sur mon ventre descend vers ma bite que Bruno saisit, puis caresse au même rythme qu’il me sodomise. Cest trop bon et je ne tarde pas à jouir une deuxième fois. Bruno arrête alors sa pénétration pour uniquement me caresser le sexe jusquà ce que la dernière goute de sperme soit sortie. Il continue à me branler jusquà ce que je bande à nouveau et alors seulement il reprend ses mouvements dans mon rectum. Je nen peux plus. Jai besoin dune pause.
— Stop Bruno j’en peux plus, j’ai plus de force.
— Encore un peu, tu vas voir! J’ai pas fini.
Il me redresse puis me jette violemment sur le canapé où jatterris à plat ventre, le cul bien rebondi. Bruno est maintenant sur moi et immédiatement il glisse son sexe contre ma raie en direction de mon trou bien ouvert. Pas besoin dinsister, sa bite rentre instantanément elle connaît le chemin. Il entreprend alors une sodomie rapide et profonde, durant laquelle il alterne va et viens puissants et lents aller retours. Je suis aux anges, je nai plus envie qu’il arrête. Je lencourage de mes gémissements.
— Oh oui! Mwr… Vas y Bruno! Mmm….
— Tu sais pas ce que tu veux toi. Mais ça tombe bien, j’ai envie de le baiser ton p’tit cul!
Après plusieurs minutes de bonheur, Bruno se redresse finalement sur les avant-bras pour avoir de meilleurs appuis et augmenter sa cadence. Je ne gémis plus, je râle de plaisir. Je sens mon amant souffler dans mon dos il accélère encore et dans un dernier coup de boutoir il parvient à senfoncer au plus profond de mes entrailles pour jouir dans un râle très viril. Cette cadence infernale, suivie dune pénétration profonde, puis de sentir le sexe de Bruno se gonfler et jouir en moi ont raison de moi et jai un troisième orgasme violent qui memporte très loin dans le plaisir. Lorsque je reprends mes esprits, je suis vidé, heureux, sur un nuage. J’entends la respiration calme de Bruno, allongé sur mon dos, son sexe toujours en moi.
— Ça va Bruno? Tu as l’air épuisé.
— Ouais, c’était trop bon!
— C’est sûr! On s’emboîte bien ensemble…
On éclate de rire l’un contre l’autre… Bruno bouge un peu son pénis en moi, il na d’ailleurs presque pas diminué de taille. Ce simple mouvement mélectrise, je ne men croyais pas capable mais je suis prêt à remettre ça et je le lui fais savoir. A ma plus grande surprise Bruno sort alors de moi, se redresse en me claquant; puis file sasseoir sur le canapé :
— Viens chéri, viens sur moi!
Je me redresse alors pour le rejoindre. Je lenjambe en saisissant sa bite fière et bien dressée pour lapprocher de mon anus et dun coup je menfonce sur ce pieu divin. Je ressens un plaisir immense ce qui me fait bander au maximum. Puis Bruno commence à me prendre dans un premier temps tout en douceur et assez rapidement il devint plus bestial, magrippant lépaule gauche dune main et la fesse droite de lautre. Bruno se met alors à me pilonner, littéralement, me faisant crier comme jamais. Parfois il sort son sexe totalement de moi… puis il rentre à nouveau brutalement en moi jusqu’à avoir ses couilles collées à mes fesses. Il me défonce de plus en plus vite en haletant de plus en plus fort la jouissance est proche. Bruno attrape alors ma queue pour me masturber et quelques minutes plus tard nous jouissons ensemble dans de longs râles de plaisir. Mon amant se vide en moi et moi jéjacule sur son ventre. Dans un dernier coup de rein, je fais sortir le sexe de Bruno de mon intimité et je massois sur lui son sperme coule de mon anus dilaté et se mélange au mien sur son ventre.
Jenlace mon bel amant et je lembrasse tendrement
— Tu viens de me faire jouir quatre fois mon bel étalon. Quel homme!!!
— Tu es très endurant, j’aime ça.
— Merde, il est déjà 4h. Il faut que j’y aille…
Et pas le temps de prendre une douche cette fois ci…
