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Ma relation secrete avec ma soeur – Chapitre 4




Les jours passèrent et ma sur et moi navions pas réitérer la chose. Mais lenvie de le refaire était flagrant. Un soir, ma sur était sur le point de prendre une douche et mavait invité pour une petite gâterie. Jétais sur le point dy aller, mais ma mère était monté ranger le linge à ce moment là, jaurais peut être du avoir le cran de la rejoindre, mais je ne pense pas que cela aurait été une bonne idée: trop risqué.

Le désir était parfois tellement grand quon pouvait passer une heure à se chauffer sur MSN à la webcam. Kelly ma même une fois déposé sur mon bureau une de ses petites culottes souillée par sa mouille. Inutile de vous dire que je me suis masturbé avec et devant elle bien sûr. Cétait la moindre des choses.

Les semaines passèrent et ce fut déjà le temps de reprendre les cours. Mais un jour, encore une fois lors dun repas, ma mère nous annonça quelque chose:

— Vendredi soir, votre père et moi sommes invités chez Luc et Carine. Je suppose que vous ne voulez pas venir? Dit-elle. On démarre tôt puisquil y a une longue route à faire, si on est pas là quand vous rentrez, vous savez où on est.

Kelly et moi nous nous regardâmes dans les yeux, cétait là loccasion tant espérée de pouvoir refaire lamour, cette fois sans limite puisque nous serons seuls à la maison.

Ce vendredi là, impossible de me concentrer en cours, je navais quune hâte cétait de rentrer chez moi. Et cétait pareil du côté de ma sur apparemment, parce quon senvoyait quelques SMS très excitant. Elle me disait ce quelle allait me faire ce soir. Oui, vraiment, je peux le dire, je nen avais rien à faire du cours de math! Petit détails: jai bien fait de changer le nom de ma sur dans le répertoire par un autre puisquun de mes camarades a réussi à lire par-dessus mon épaule et ma demandé qui était ma correspondante.

Arrivé en fin daprès-midi, je devais même me retenir de courir tellement javais hâte. Attendant mon bus qui était en retard évidemment, un de mes amis ma demandé pourquoi jétais tant excité. Je nai pas su quoi lui répondre. Mais une chose est sûr je bouillais dimpatience.

Je suis donc rentré chez moi, ma sur était déjà là, elle avait fini ses cours à 13h. A peine arrivé dans la cuisine (puisque je passe par la porte de derrière), elle me sauta dessus et membrassa fougueusement. Elle menleva mon sac et ma veste par elle-même. Je navais quà me tenir là et à goûter sa bouche. Puis, je nous ai basculé contre lévier. Je sors une seconde ma langue de sa bouche pour lui dire:

— Je vois que tu as aussi envie que moi!

— Je me suis caressée depuis que je suis rentrée, je navais quune envie cétait que tu rentres. Me répondit-elle.

Nous avons continué à nous embrasser puis jai arraché les boutons de son bustier, laissant apparaître ainsi sa poitrine dans son soutien-gorge. Chaque main prenant un sein, je commença à les sucer, les titiller avec ma langue. Elle bascula la tête en arrière. Elle ouvrit alors mon pantalon, elle se mit à genou et commença à me sucer la queue avec ardeur. Je me tenais au bord du plan de travail, si je baissais les yeux, je pouvais voir ma sur sy adonner avec joie, javais aussi une vue plongeante dans son décolleté. Mais si je levais la tête je voyais par la fenêtre la maison du voisin, je me suis dis un instant quil était peut-être en train de nous voir, peut-être choqué, peut-être excité, mais cela navait pas dimportance. Plus maintenant. La machine de lamour était lancée et plus rien ne pouvait larrêter.

Quand jétais sur le point de jouir, je me suis retenu, jai alors pris la tête de ma sur pour lui dire darrêter. Mais elle me dit avec mon pénis dans la bouche :

— Hum hum Tu ne bouges pas, je narrête pas tant que tu nes pas vidé.

Elle rit et accéléra son mouvement tout en me masturbant ou en massant mes bijoux de famille. Je sentis alors lorgasme monter et je me suis laissé aller. Je me suis vidé dans la bouche de ma sur. Je la regardais alors comme ça, les joues légèrement gonflées, une main sur sa bouche pour empêcher le sperme de couler. Elle était si mignonne!

Elle avala alors ma semence, jy remarqua une certaine difficulté, puis elle ouvrit grand la bouche vers moi comme pour me prouver quelle lavait fait. Elle me suça encore un peu, malgré que mon sexe débandait petit à petit. Mais mon gland étant assez sensible après avoir éjaculé, jeu quelques mouvements de recul. Je la relevais alors et déposais un bisous sur la bouche. Je lallongea sur la table de la cuisine, dégageant le courrier qui y était déposés. Elle était vêtue dun mini short en jean que je mempressais denlever, puis ce fut le tour de son string, de couleur rouge cette fois, laissant alors apparaître son petit con serré.

Je me suis approché et jai doucement senti son odeur intime, elle mavait manqué. Puis, jai commencé à manger la vulve, du mieux que je le pouvais. Cette fois-ci, comme nous étions seuls, ma sur se laissait aller à des cris et des gémissements de plaisir. Ses petits cris aigus mexcitaient encore plus.

Je me mis à la doigter, dabord doucement puis avec plus de vigueur jusquà un point où elle me demanda de ne plus marrêter, quelle était sur le point de jouir. Je continuai donc avec force et vigueur, quand tout dun coup un jet de cyprine poussa mes doigts en dehors. Ma sur ayant atteint lorgasme dégoulinait maintenant partout sur la table et par terre. Cétait la première fois que jeu affaire à une femme fontaine, ou quelque chose comme ça. Cétait vraiment excitant. Je me remis à bander à la vue de ce magnifique spectacle et jai pensé quil était temps de passer aux choses sérieuses. Je me débarrassais alors de mon pantalon qui était à mes chevilles, ma sur enleva son t-shirt et le mien. Nous nous sommes échangés quelques autres baisers et japprochais ma verge de son antre. Ce fut la première fois où ma sur et moi étions entièrement nus devant lautre. Mon sexe glissa facilement entre ses cuisses, dun part parce quil était lubrifié par la fellation quelle mavait prodiguée et dautre part quelle aussi mouillait comme une folle. Je tenais sa tête et elle en profita pour me sucer le doigt, elle avait vraiment un regard très coquin! Elle mentourait même avec ses jambes pour que je ne puisse aller nulle part ailleurs que dans son vagin. Mais qui serait assez stupide pour sen aller?

Toutefois, il a bien fallut sarrêter, la sauce montait de nouveau, mais cette fois javais envie de me réserver un peu. Donc, jai ralentit mes mouvements peu à peu jusquà ce quil soit carrément nul, je me suis allongé sur elle pour lembrasser, nous étions tout essoufflés et pas mal transpirant.

— Petite pause, me dit Kelly, jai soif

Je me suis alors retiré delle et elle sest servi un verre deau et men a offert un. Cétait bandant, pardonnez moi lexpression, de la voir se dandiner comme ça, toute nue. Puis, on se posa dans le salon, nus comme des vers. Ca faisait couple de nudiste. Non, en y réfléchissant ça faisait plutôt primitif. On était comme revenu à nos instinct primaire, cétait très excitant. Nos verres vides, ma sur proposa:

— Et si tu me prenais en levrette sur ce divan?

Elle indiqua le divan avec son doigt et me regarda comme dhabitude avec cet air de « je te chauffe et je sais que ça marche ». Comment refuser? Je navais même pas encore débander (probablement grâce à la vue de ma sur se baladant nue).

Elle sest retourné et se tenait au dit divan, elle écarta les jambes, prête à me recevoir.

La pénétrant, elle lâcha un petit gémissement:

— Cest plus serré dans cette position, dit-elle!

Je sentais moi aussi la différence, mais javais compris le message: il ne valait mieux pas y aller trop fort au début. Jy suis donc allé avec tendresse, de lents va et vient, une main pour caresser ses seins, lautre qui tenait ses cheveux (sans les tirer bien sûr). Jaccélérai petit à petit puisquelle aussi de son côté commençait ses petits cris de plaisir dont elle a le secret. Sans lui dire un mot, je mouillais mon doigt et profita de cette position pour lui caresser lanus. Cétait la première fois que jallais men occuper. Mais ma sur marrêta malheureusement:

— Non, non Cette partie là je la garde pour plus tard.

Elle ajouta tout en me faisant un clin dil:

— Il faut savoir réserver les bonnes choses.

Cela ne me frustra pas, jétais même ravi dapprendre que pour elle, il y allait avoir encore pas mal daventures entre elle et moi. Puis elle se laissa aller, et un nouvel orgasme,elle était sur le point de venir. Elle frotta frénétiquement son clitoris avec ses doigts, doublant le volume de ses cris, et un autre jet de cyprine ne tarda pas à expulser mon pénis hors de son petit trou. Ses jambes étaient toutes mouillées et il y avait maintenant une petite flaque sur le sol, même le tapis des parents navait pas été épargné.

— Merde! Lâchai-je. Va falloir nettoyer ça sinon on est mort.

— Je crois que si les parents découvrent ce quon fait on est encore plus mort, tu crois pas? Timagines leur tête sils nous voyaient faire ça!

Nous avons rigolé, puis ma sur sapprocha de moi, tapota mon nez avec son doigt et me dit presque dans le creux de loreille:

— Où tu veux me baiser maintenant, mon frérot adoré?

— Et pourquoi pas la chambre des parents, justement? Tant quà faire dans limmoral autant le faire à 100%!

Elle me sourit et on se dirigea vers la chambre donc. Leur lit changeait par rapport aux nôtres, nous avions là toute la place nécessaire pour bien samuser.

Je me suis assis sur le lit, ma sur est venue se poser la tête entre mes genoux, assise par terre, pour me pomper encore un peu. Sa propre mouille reluisait sur mon sexe, mais ça ne la gêna pas. Au contraire, je sentis une pointe dexcitation chez elle à lidée de se goûter elle-même. Elle me goba aussi les testicules, tout en me branlant, jai même du lui dire de ralentir le mouvement sinon

Mon gland commençait à devenir légèrement rouge avec tous ces mouvements, mais je ne comptais pas marrêter en si bon chemin, cétait tellement délicieux!

Elle me poussa alors au niveau de mon torse pour que je mallonge sur le lit, puis elle vient se placer au dessus de moi et vint se faire empaler sur mon dard.

— Je crois que je nen aurais jamais assez, commença-t-elle par dire, je veux cette bite, je veux cette bouche, ces doigts… Je te veux toi tout entier!

Elle commença alors un lent mouvement du bassin, tel un cower girl qui monte son cheval. Je navais rien à faire, juste à profiter de cet exaltant moment.

Nous étions là dans le lit de nos parents, on aurait dailleurs pu croire quon était un couple, un mari et une épouse; un frère et une sur qui saiment et qui ont su dépasser les barrières de la moralité pour vivre leur amour passionnel, leur désir.

Nous avons fais lamour dans plusieurs autres positions, dailleurs ma sur connaissait beaucoup plus de positions sexuelles que moi. Je nétais plus jaloux de ses aventures passées, puisque je profitai moi-même maintenant de son expérience acquise. Et cétait un vrai régal: missionnaire, Andromaque, 69, brouette, on aurait dit que tout le Kâma-Sûtra y passait!

Et puis le moment est venu où je ne pouvais plus me retenir, je devais éjaculer, javais le sexe posé entre ses deux seins et je faisais des mouvements rapides. Mon pénis et même mes testicules qui frottait contre sa peau si douce, et aussi sa langue qui venait buter contre mon gland quand je mapprochais de son visage, tout cela a contribué à faire monter mon orgasme. Et cest là que jai tout lâché, tout le sperme que javais pu produire et contenir pendant ces deux heures, sur son beau visage mais aussi sa poitrine et son ventre. Elle en était recouverte, elle avait sortit sa langue et quelques gouttes sy étaient aussi déposées. Un filament de sperme avait coulé sur son il, lobligeant à le fermer. Elle était très belle, même si javais un peu honte de lavoir souillée avec ma semence. Mais elle enchaîna:

— Cétait booon! Viens là!

Elle me fit mapprocher et on sembrassa comme deux amoureux, pour les quelques gouttes de liquide blanc quil y avait cela ne ma pas dérangé.

— Jai déjà hâte quon le refasse, dit-elle.

Mais jétais exténué. Nous nous sommes blottis lun contre lautre, comme deux amants dans le lit parental. Je me suis alors demandé jusquoù irait notre relation, samuser avec quelques ébats allait encore, mais passer ce cap? Etre un vrai couple? Je nosais même pas penser à la suite et comme je ne voulais pas gâcher ce moment, je me suis tu. Mais si ce nétait pas moi, cétait quelque chose dautre qui allait casser lambiance: un bruit de clé dans la porte!

Nous étions là dans le lit de nos parents pendant que ceux-ci rentraient! Cétait une catastrophe, encore une fois! Nos habits étaient encore dans la cuisine, la cyprine de ma sur un peu partout dans les trois pièces où nous étions amusés et surtout nous étions complètement nus! Une seconde de panique puis ladrénaline fit son effet, ma sur fonça dans sa chambre se mettre quelque chose dessus, je fis pareil de mon côté.

Jeu tout juste le temps de mettre un jogging (sans sous-vêtement) et un t-shirt sale qui traînait dans la malle que jentendis mon père crier nos deux prénoms.

Je descendais rapidement:

— Quest-ce que cest que ça ? Vous avez dégueulassé mon tapis dorient avec vos conneries! Quest-ce que vous avez fais? Cest de leau ou du jus?

— Euh Kelly et moi on a fait une bataille deau

— A vos âges! Vous êtes stupide ou quoi?!

— On va nettoyer ça tinquiète pas.

— Ya intérêt quil ny ait pas une auréole quand ça sèche, sinon vous me devez 300 chacun!

Tout en ayant cette discussion, ma sur eut la présence desprit daller ramasser nos vêtements à la cuisine et de les mettre aux linges sales.

— Où est maman, demandai-je?

— Elle est repartie faire une course, dit-il dun ton sec, on a plus de fruits.

Je me suis retenu de dire que javais quand à moi manger un délicieux abricot cet après-midi, mais je me suis dit que ce nétait peut-être pas le bon moment pour de lhumour.

La situation se détendait peu à peu, le seul risque était que mon père monte dans sa chambre, car autant les odeurs corporels diverses sétaient évaporées dans la cuisine et dans le salon, il était encore trop tôt pour la chambre parentale. Et puis les draps étaient souillés de sperme, de cyprine et de transpiration.

En allant chercher un torchon dans la cuisine pour nettoyer le fameux tapis, jy croisais ma sur.

— Je moccupe de leur chambre, toi essayes de le retenir sil monte! Me dit-elle.

Mon père arriva à ce moment là, mais il navait rien entendu de la conversation. Elle séclipsa, peu être un peu trop rapidement, peu être avec la tête un peu trop basse. Mon père eu un regard tourmenté. Il se pencha et toucha leau avec ses deux doigts et sentit. Mon cur se mit à battre rapidement. Javais peur quil reconnaisse lodeur. Et je naimais pas son geste, javais limpression quil violait lintimité de Kelly, mais que pouvais-je faire? Il barbouilla dans sa moustache:

— Un tapis à 600!

Et il sen alla. Avait-il compris la situation? Je ne savais pas. Je nespérais pas. Mon cher père se posa alors dans le divan et regarda la télé tout en surveillant que je nettoie bien son tapis.

Au soir, tout était rentré dans lordre, javais espionné mon père pour voir sil parlait de quelque chose en particulier à maman. Javais vraiment peur de la tournure de cette histoire. Mais il ne lui dit que des banalités.

Ma sur est venue dans ma chambre après avoir mangé:

— On la échappé belle encore une fois! Dit-elle en rigolant.

— Cest pas drôle, tu ne comprends pas les conséquences sils lapprennent?

— Si, je sais bien, tinquiète

— Quest-ce quon fait? Demandai-je.

Javais peur dentendre les mots « on sarrêta là, ça vaut mieux. », mais elle dit à la place:

— Il va falloir faire encore plus attention, mais moi (elle rougit légèrement) Je nai pas envie darrêter et toi?

— Moi non plus!

On séchangea un petit bisous discret. Quelques minutes plus tard, ma mère passa devant ma chambre se dirigeant vers la sienne et je pus entendre:

— Ben merde Jai mis les draps rouges? Je pensais que javais mis les bleus cest bizarre.

Je pus entendre ma sur surenchérir depuis sa piaule:

— Tu perds la mémoire, maman!

— Peut-être avec lâge Répondit-elle en rigolant.

Jusquoù allait me mener cette histoire? Il était de plus en plus difficile de cacher la relation que jentretenais avec ma sur! Sera-t-il possible de continuer?

La suite et fin au prochain chapitre!

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