Inutile de vous dire que les quelques nuits qui suivirent les événements avec ma mère ont été plutôt humides Et les quelques photos que m’avait envoyé ma mère n’aidaient pas. Ce sont d’ailleurs ces photos qui m’ont amenées dans cette situation avec mon frère, Damien
J’avais pour habitude de transférer toutes les photos que je recevais ou que je prenais avec mon téléphone sur mon ordinateur, pour pouvoir mieux les regarder et retoucher certaines quand j’en avais envie. Cet ordinateur était le mien, mais mon petit frère l’utilisait régulièrement pour jouer, lorsque je ne jouais pas moi-même. Je n’avais pas l’habitude de vraiment planqué les photos « compromettantes », partant du principe que personne ne fouille mon ordi. Jusqu’au jour où Damien a été un peu trop curieux. Pour une raison qui m’échappe, il tomba sur le dossier qui contenait les photos de maman (qui était nue sur beaucoup d’entre elles, lorsqu’elle ne portait pas des vêtements ultra sexy), et quelques photos de mon sexe en érection, que j’envoyais aussi à ma mère. Je jouais à la console lorsqu’il est tombé sur ces photos. Il se tourna vers moi, et, quelques peu décontenancé, me demanda :
— Vlad
— Ouais, qu’est-ce qu’il y a ? lui demandais-je, inconscient de ce qu’il allait me demander
— C’est quoi ces photos ? Pourquoi tu les a ? Me répondit-il, sa voix trahissant le fait qu’il ne savait pas trop comment réagir
C’est à ce moment que j’ai compris. Je me retournai en un éclair et éteignit l’ordi dans un même mouvement. Je ne savais pas trop quoi faire, ni quoi dire. Était-il au courant de la relation et du rapport plutôt inhabituel qu’entretenais nos parents avec le sexe et la famille ?
— Ahem C’est C’est pas ce que tu crois lui rétorquais-je, pris de court
— C’était des photos de maman. J’les ai vues. Pourquoi t’as des photos de maman nue sur ton ordi ? J’vais aller le dire à maman. C’est pas normal !
Là. Soudainement, je vis ma porte de sortie. Je saisi l’opportunité et lui affirmais, sûr de moi :
— C’est maman qui me les a envoyées. Je ne les ai pas volées ou je ne sais pas quoi. Comment te dire Nos parents sont très ouverts sur le sexe. Et l’inceste n’est pas choquant pour eux. Je sais pas si je devrais te le dire, mais j’ai fait l’amour à maman il y a quelques jours. Avant qu’elle ne m’envoie ces photos.
— T’as Hein ? dit-il, hébété
— Oui, j’ai fait l’amour à maman. Sur mon lit. Et je pense que si tu lui en parle, tu devrais pouvoir le faire aussi. Ou à papa d’ailleurs. J’ai cru comprendre que tu n’étais pas qu’hétéro
Je lui lançais un petit sourire en coin.
— Mais Et si je veux pas essayer avec papa ou maman ? Me questionna-t-il
— Hé bien il reste toujours Nina. Répondais-je, de manière détachée, sachant très bien où il voulait en venir
— Non, pas Nina non plus. Et si on le faisait tous les deux ?
Il ne me laissa pas le temps de répondre et me rejoignait sur le lit, s’asseyant à côté de moi.
— Après tout, j’imagine que tu as déjà pensé à ça dans ton esprit non ? enchaina-t-il
— Ahem
— J’prends ça pour un oui ! dit-il, enjoué, en posant sa main sur ma cuisse, très proche de mon entrejambe. Aller, une première expérience gay avec son frère, t’en a pas envie ?
Bien sûr que si j’en avais envie. Je bandais déjà très durement, et l’élastique de mon boxer était mis à rude épreuve. Je mourrais d’envie de l’enlever, de libérer ma queue.
— On peut rien te cacher à toi A une seule condition : tout ce que je te fais, tu me le fais, et inversement. Ça marche ?
— Ça me va !
A peine eut-il finit sa phrase qu’il me sauta dessus et m’embrassa amoureusement, fougueusement, insinuant sa langue dans ma bouche. Je sentis son sexe contre le mien, et ça ne fit qu’amplifier encore plus ma douloureuse érection. Je me mis à jouer avec sa langue dans ma bouche, pendant que je laissais glisser mes mains sur son dos, m’approchant de ses fesses.
— Attends. Me dit-il.
Il enleva ses vêtements, se mettant totalement nu dans la chambre
— Je suis plus libre comme ça. Tu devrais en faire autant. Me sourit-il
Ce que je fis, sans me faire prier plus que ça. Nous fîmes tous les deux nus dans ma chambre en un rien de temps, et nous reprenions notre baiser, le rendant plus baveux cette fois-ci, sans doute à cause de l’excitation. Je pris rapidement le sexe de Damien en main, et commença à le masturber, tout en continuant de l’embrasser. Fidèle à notre clause, il me rendit cette masturbation au même moment. Quelques minutes s’écoulèrent, puis je stoppai mon mouvement, et poussa Damien sur le lit, le mettant sur le dos. Je me plaçai au-dessus de lui, posant mon sexe à l’entrée de sa bouche, pendant que je commençai à lécher le sien. A son tour, il commença à mettre quelques coups de langues timides, puis pris mon gland en bouche, ce qui me fit gémir de surprise et de plaisir. Lui rendant la pareille, je gobai quasiment entièrement les 18cm que représentait sa queue, ce qui lui arracha un gémissement plus bruyant que le mien. Je sentais déjà l’orgasme arriver, et prévint mon petit frère, qui plaqua ses mains sur mes fesses et me bloqua contre lui, enfournant ma queue au plus profond de sa gorge, ce qui me fit jouir quasiment instantanément, et qui le fit jouir à son tour également.
J’avalai une bonne partie de son sperme, puis, une fois nos orgasmes terminés, je me redressai pour aller l’embrasser, lui partageant son propre sperme. Mais une surprise m’attendait dans sa bouche : il avait lui aussi garder une partie de mon jus pour m’embrasser. Nous sommes partis dans un autre baiser langoureux, mêlant nos deux spermes, nous caressant mutuellement les fesses.
— Wow C’était tellement bon. D’où tu suce aussi bien ? Me demanda-t-il ?
— Je pourrais te poser la question à ton tour Tu te débrouille vraiment bien. Mais on va pas s’arrêter là.
Je le retournai, le mettant en levrette sur le bord de mon lit, le cul bien en l’air, et entama une feuille de rose, y apportant la plus grande attention. Une fois son anus bien humide et détendu, je lui insérai un premier doigt. A en croire la facilité avec laquelle il entra, ce n’était pas la première fois que quelque chose pénétra son cul. J’ajoutai donc un deuxième, puis un troisième doigt. Ce dernier fit pousser un soupir à Damien. Je fis quelques vas et viens, pour préparer correctement le terrain, retira mes doigts et présentai mon gland à l’entrée de son fondement. Quelques caresses avec celui-ci plus tard, je poussai un peu, et entra en lui sans trop de difficulté. Je m’enfonçai aussi profondément que le permettait mes attributs, et restais quelques secondes sans bouger, profitant de l’instant, au plus profond de mon propre frère. Je commençais ensuite à lui donner quelques coups de hanches, puis accéléra rapidement la cadence et la violence, claquant son cul à chaque fois que je m’enfonçais, sous les gémissements de plaisir de Damien.
Ce petit jeu dura quelques minutes, et je jouis en lui, remplissant son cul de mon jus, lui provoquant un orgasme prostatique, qui lui arracha un long râle de satisfaction.
Je m’affalai ensuite à ses côtés, le regardant, haletant.
— Alors ? C’était comment ? lui demandais-je, le souffle court
— C’était parfait. Première fois que j’éjacule sans les mains. Me répondit-il, ayant autant de difficultés que moi à reprendre son souffle. Mais à ton tour maintenant. C’est à toi de te faire prendre Vlad.
Et comment. J’attendais ça avec impatience. Je commençais à me placer au bord du lit, comme j’avais mis Damien auparavant, mais il m’arrêta.
— Nope. Pas comme ça. Reste sur le dos. Je veux pouvoir te regarder dans les yeux pendant que je te sodomise.
JE m’exécutai. Je me remis sur le dos, les jambes écartées. Il vint sur moi, je plaçai mes jambes autour de sa taille, lui permettant un accès total à mon cul. Il ne se fit pas prier et s’enfonça d’un coup, sans ménagement, étouffant mon cri de surprise par un baiser langoureux. Il commença à me besogner, et mes gémissements se firent de plus en plus nombreux, à l’instar de ceux de Damien. Mes mains sur ses fesses, j’accentuai encore le rythme que prenais ce dernier, qui ne tarda pas à jouir en moi. La sensation de son sperme chaud qui me remplissait et appuyait sur ma prostate déclencha un orgasme comme rarement j’en ai eu, jouissant sur mon torse par saccade.
Damien resta un moment en moi, me regardant dans les yeux, passant sa main dans mes cheveux et m’embrassant à nouveau. Lorsqu’il se retira, non sans un dernier gémissement de ma part, ce fut pour aller nettoyer mon torse, par quelques coups de langues très travaillées. Il s’allongea ensuite à côté de moi.
— Si une semaine plus tôt, on m’avait dit que je coucherai avec mon propre frère dit-il, le regard dans le vague, sûrement encore sous le coup de ses orgasmes
— Et comment Alors imagine-moi. Y’a deux semaines, j’aurai jamais pensé baiser maman et toi en une semaine.
Aucune réponse de sa part. Damien venait de s’endormir. Je le laissai dans mon lit faire la sieste, pendant que j’allais prendre une douche. Ouvrant la porte de ma chambre, je tombai sur ma mère.
— Hé bien Vlad, tu n’as pas mis longtemps à convaincre que ton frère à ce que je vois. Dit-elle, une lueur d’excitation dans les yeux
— C’est lui qui est venu me chercher. Il est tombé sur les photos que tu m’as envoyées.
— Tant mieux. J’avais un peu peur qu’il ne partage pas les mêmes « idées » à ce sujet. Mais je suis rassurée. Aller, va te doucher, tu en as besoin.
Avant de partir, je remarquais une petite tache sur le jean de ma mère, trahissant l’excitation qu’elle ressentait. A-t-elle vu ses fils baiser, ou les a-t-elle juste entendus ? Je lui poserai la question plus tard. Je l’embrassai rapidement, caressant son dos, puis parti prendre ma douche.
