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Comment ma femme s'est dévergondée – Chapitre 9




Elle s’approche de moi et me jette le contenu de son verre au visage.

— Ma puce ! Ca fait un quart d’heure, elle s’est reposée. Vas la fouetter.

Sonia se repositionne.

Le premier coup claque.

Je n’en peux plus. Le 20ème arrive. Je sanglote.

Daniel vient enlever le bâillon. Je pleure à chaudes larmes.

— Sandra, on la laisse un peu attachée, qu’elle se calme..

— Oui, elle est bien attachée de toutes façons.

Ils me laissent ainsi une heure. Puis il vient me détacher. Enlève les pinces, les menottes.

Je m’écroule par terre.

Il vient me tirer.

— Allez, relève-toi et vas te mettre à genoux devant Sandra. Vas la remercier !

J’arrive. A genoux devant ma femme, je lui embrasse les pieds spontanément et bredouille :

— Pardonpardon et merci Merci de m’avoir punie

Il intervient.

— Merci QUI ?

— Merci MademoiselleMerci Mademoiselle

Je me relève de ses pieds. Elle me demande.

— C’était bon ? Tu as aimé ?

— Oh oui Mademoiselle, c’était bon !

— Tu as aimé te faire fouetter ??

— Oui, j’aime le fouet.

— Très bien, je vois que tu as compris la leçon. Alors évite désormais que j’ai besoin de te punir.

— Oui Mademoiselle, j’ai compris, je serai obéissante.

Daniel ordonne.

-Mets-toi debout, mains derrière la nuque et montre ton dos à Mademoiselle !

J’obéis.

— Dis donc, ma chérie, tu ne l’as pas ratée ! Regarde moi ce dos zébré ! Félicitations !

— Merci mon amant ! J’ai adoré la fouetter ! Je crois même que je suis en train de mouiller !

Il me demande de me rhabiller. J’ai le dos en feu.

— Maintenant rentre chez toi. Tu ne vas pas dormir de la nuit à cause du fouet, nous on ne va pas dormir non plus, on va baiser ! Tu nous as bien excités comme ça.

Je rentre chez nous, me déshabille vite, regarde mon dos dans la glace. J’ai le dos complètement marqué de traces de cravache. Je me mets de la crème apaisante.

Effectivement, je dors mal la nuit.

Mais bon, je ne travaille pas le week-end, et plus que trois nuits et Sandra reviendra à la maison.

Samedi matin, je reçois un colis.

A l’intérieur, quatre pyjamas. Un à carreaux, un bleu uni, un rouge, un marron.

Je me rappelle que je vais devoir "porter ça" pour dormir.

Le téléphone sonne.

"Oui, bonjour Maître".

"Bonjour soumise. Dis-moi, je pars en balade toute la journée avec ma petite amie, et j’ai besoin de toi. Tu viens chez moi, et tu fais le ménage dedans entièrement : tu passes l’aspirateur, tu laves les sols, tu fais la poussière. Tu laves la terrasse et tu nettoies la piscine. Tu fais des lessives, il y a une semaine de linge. Et tu n’oublies pas de changer notre lit".

"Rentrerons tard vers 21 heures, tu nous prépareras à manger. Quelque chose de bon. Et tâche que tout soit fait impeccablement si tu ne veux pas être punie. Rendez-vous devant chez moi dans 10 minutes".

Je suis à l’heure devant chez lui. Sa voiture est déjà sortie. Sandra sort la première.

— Bonjour Mademoiselle.

— Bonjour soumise !

Elle s’installe devant. Elle a sa petite robe d’été à moitié transparente. On voit ses sous-vêtements. Il sort à son tour.

— Bonjour Maître

— Salut salope ! Tu as bien compris mes consignes ? Voici les clefs. Bosse bien si ne tu veux pas goûter à une nouvelle séance de cravache. Tu sais que Sandra adore te fouetter, alors fais gaffe !

Ils démarrent. Me reste donc une journée de repos à faire le domestique.

Toute la journée je m’emploie à nettoyer la maison. Puis la piscine, la terrasse. Je change le lit, fait la vaisselle. Je fais quatre machines pour le linge. Suis exténué. La fin de la journée arrive déjà. 20 heures, il me faut préparer à manger.

J’ai acheté de quoi faire une tarte au fromage en entrée, des steaks tartares comme plat et des profiteroles en dessert.

21 h 05. Ils arrivent.

— Ma puce, fais le tour de la maison pour voir si tout est en ordre.

— Oui mon chéri ! Ne t’en fais pas, je m’en occupe.

Il me prend à part.

— Avons encore bien baisé aujourd’hui. 3 fois ! Une fois dans la voiture et sur le capot, une fois dans les toilettes d’autoroute avec des voyeurs autour, et en revenant, dans la forêt, avec la totale, baise et sodomie ! Ah son petit culJ’adore la sodomiser !

Sonia revient.

— C’est pas mal mais le repassage n’est pas fait !

— Je m’excuse Mademoiselle, je n’ai vraiment pas eu le temps.

— Bon, ca ira, t’as bien bossé quand même, salope. J’ai vu le repas, pas mal ! Tu vas nous servir.

— Mais au fait, mon chéri, qu’est-ce qu’elle fait habillée ???

— Sandra a raison !! Fous toi à poil immédiatement !!!

J’obéis. Je n’y avais plus pensé.

Sandra rigole.

— Ca va que tu as tout briqué. Mais arrivant et ne te trouvant pas nue, ça mérite au moins une vingtaine de coups de fouet ! Ca ira pour cette fois, mais rattrape-toi avec le service ! Il doit être parfait !

— Merci Mademoiselle. Je m’excuse encore pour le repassage.

— Très bien. Tu le feras demain. Il y en a une tonne. Pour l’instant, tu vas nous servir l’apéritif, puis le repas, nous avons faim !

Je m’emploie à leur préparer un cocktail et dresse la table à la salle à manger. Ils se tiennent la main, s’embrassent.

Puis je sers la tarte au fromage.

— Pas mal cette tarte, salope ! Mais dis donc, Sandra te dresse bien, tu deviens une vraie petite femme dis-donc !!

Sandra éclate de rire.

— Tu te gardes une part de tout, mais tu manges à la cuisine, bien sûr. Pas de vin pour toi, de l’eau du robinet.

Je leur sers le vin, puis vais à la cuisine manger, avec ma cruche d’eau.

Puis je fais le service du steak tartare avec tout ce qu’il faut.

— Délicieux, salope ! Mais tu ne vois pas que le verre à Mademoiselle est vide ? Vas la servir !

Après avoir mangé mon steak tartare, je sers les profiteroles.

— Très bien. Tu nous sers le café sous la tonnelle, tu débarrasses la table et tu fais la vaisselle.

J’obéis. Une fois tout fait, je vais les rejoindre sur la terrasse.

— Comme tu as bien travaillé, salope, tu vas avoir droit à une récompense.

Je ne dis rien.

— Tu ne me demandes pas ce que c’est ?

— Si bien sûr, Maître.

— Eh bien Sandra va aller prendre sa douche et se mettre au lit. Tu viendras avec moi la rejoindre, et tu vas me la "préparer", car j’ai une furieuse envie de la sauter !

— Comment cela, Maître ?

— Eh bien tout simplement. Tu vas lui lécher la chatte très longuement. Je veux non seulement que tu la fasses mouiller abondamment, mais également qu’elle n’en puisse plus, que tu la fasses jouir ! Et bien sûr, tu avaleras toute sa mouille.

— Ainsi, elle sera bien prête et je n’aurais plus qu’à la pénétrer pour bien la défoncer. Pendant que tu la lècheras, elle me taillera une pipe.

— Ma puce, vas te préparer, nous arrivons dans un quart d’heure.

A l’heure dite, je le suis dans la chambre. Sandra est allongée sur le lit, nue.

— Eh bien, salope, qu’est-ce que tu attends ? Allez, lèche lui la chatte !!

Il se positionne à genoux à côté de Sandra. Elle commence la fellation. Quant à moi, je commence à lui lécher le sexe.

— Surtout, applique-toi bien, salope ! Lèche la bien !!!

Je m’active autant que je peux. J’entends les bruits de succion de Sandra qui suce avidement Daniel.

Je lèche les petites lèvres, les grandes lèvres.

Sandra commence à mouiller sérieusement.

— Ah oui, salope ! Bouffe ma queueAvale la bien

Je décapuchonne le clitoris, le titille, le lèche

— Oui, sors bien ta langue ! Oui, sur le gland Oui comme ça !!

Soudain, bite en bouche, je la sens se cabrer Je sens sa jouissance acide arriver Elle jouit Lâche le bâton de chair qu’elle a en bouche, se cabre et crie

J’avale sa jouissance.

— Eh bien voilà, salope, tu as fais jouir ma petite femme !!! Pousse-toi de là !

Il vient, prend sa queue dressée en mains, et pénètre Sandra.

Commence le va-et-vient.. La baise. Accélérant, ralentissant pour mieux la baiser ensuite.

— Rentre chez toi ! Laisse nous baiser tranquilles, pas besoin de voyeur !!

Je sors de la chambre. Sandra crie sous les coups de boutoir.

Je m’habille. Les entend.

— Vite, en levrette !!

Je m’en vais alors que je l’entend la besogner, le sommier grince en cadence.

Rentré chez moi, je vais me laver le visage. J’ai les lèvres et le menton pleins de mouille.

Alors que je me couche, je pense à eux, en train de baiser.

Nu, je commence alors à me masturber en pensant à la scène.

Au bout d’un moment, je ne peux me retenir. J’éjacule sur mon ventre.

Epuisé, je m’endors.

Je me réveille en pleine nuit, lumière de chevet allumé, ventre souillé.

Mais me rendors vite, le ventre plein de sperme.

Réveil le lendemain matin 9 heures !

J’ai reçu un SMS et trois photos.

Sur les photos prises sous différents angles, les seins à Sandra couverts de sperme ! Il y en a partout, ça coule et dégouline.

Je réponds.

"Merci pour les photos, c’est excitant".

Il ne répond pas, ils doivent dormir.

Vers midi, SMS !

C’est Sandra.

"Soumise, tu as séance de repassage toute l’après-midi, tu viens pour 15 heures".

J’arrive à l’heure. Une fois nu, Sandra me dit qu’elle a installé la planche à repasser dans le garage, ils ne veulent pas que je les dérange.

Je commence le repassage. Il y a des habits à Sandra et beaucoup à Daniel.

Au bout d’un moment, je suis interpellé par les cris. Et par le bruit du sommier.

Apparemment, pendant que je repasse le linge, ils prennent du bon temps au lit.

Ca dure tout l’après-midi ainsi.

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