Nous nous quittons peu de temps après. Le soir, je suis en train de me poser une question. Comment je deviens ? Qu’est-ce que je suis en train de faire, entre mon oncle et David ? Une chose que je sais maintenant, c’est que je prends plaisir à obéir à mon oncle. Il m’a dit de faire une fellation à David, je l’ai fait. Je crois même que ça m’amuse.
Quand vais-je offrir mon corps à David ? Dois-je en parler à mon oncle ? Marc commence à s’intéresser à mon anus. Qu’a-t-il en tête ?
Je vais vite le savoir la prochaine fois que je vais le voir . . ..
A force d’aller chez mon oncle pratiquement tous les mercredis, j’ai une petite crainte que David, mon copain, se pose des questions. Il peut penser à force que je lui cache quelque chose. Il aurait raison, mais jamais, je ne pourrai lui avouer ce que je fais ! Jamais !
Nous sommes une nouvelle fois mercredi. Je suis arrivée chez mon oncle. Comme d’habitude, nous allons dans sa salle à manger.
— Alors Nathalie, Tu as fait ce que je t’ai demandé à ton copain ?
— Oui . . .
— Comment tu t’y es prise ?
— Il avait envie que je le masturbe, puisque je lui avais déjà fait. Mais je lui ai proposé ma bouche.
— Tu lui as proposé ta bouche comme ça ? Naturellement ?
— Non, pas comme ça. Je lui ai proposé de s’asseoir sur son lit et de se laisser faire.
— Et après ?
— Et bien, il s’est mis sur le bord de son lit, puis je lui ai donné du plaisir comme j’ai fait avec toi l’autre jour.
— Où as-tu reçu son sperme ?
— Sur mes lèvres.
— C’est bien, tu es une bonne coquine que j’aime.
— Merci (En baissant les yeux sur la table)
— Tu viens, nous allons aller dans la chambre d’amis.
Je le suis, nous sommes dans la chambre. Les volets sont toujours entrouverts, juste ce qu’il faut pour qu’une petite lumière sombre entre dans la pièce. Je suis en train de m’apercevoir que cette boule au ventre n’est plus présente. Le pire, c’est que j’espère presque qu’il me demande de le sucer !
— Déshabille-toi complètement, et nous allons aller dans la salle de bain.
— Mais je me suis lavée. Je sors de la douche !
— Je sais que tu as pris une douche. Mais on va aller dans la salle de bain pour que je te fasse un petit quelque chose. Ne t’inquiète pas.
Je suis à présent nue. Nous allons dans la salle de bain.
— Va dans la douche.
— Que veux-tu me faire ? Je ne comprends pas du tout.
— Je t’explique. Je vais dévisser le pommeau de la douche et te faire un petit lavement anal.
— Un lavement anal ? Mais pourquoi faire ?
Sans me répondre, il dévisse ce pommeau, fait couler l’eau et vérifie la température. Je suis dans la douche, nue, sans bouger. J’attends ses indications car je ne sais vraiment pas quoi faire.
— Voilà, l’eau est suffisamment chaude. Tu vas te pencher en prenant appuis sur le mur et tu me laisses faire.
— Que vas-tu faire ?
— Je vais te faire un lavement.
— Pour quoi faire ?
— Tu verras tout à l’heure ma chérie.
Je suis toujours en appuis contre le mur carrelé, mes fesses face à lui. D’une de ses mains, il écarte mes fesses et de l’autre main, je sens le jet d’eau couler sur mon petit trou. Peu à peu il l’a approché, et le bout du tuyau s’est introduit dans mon anus.
— Alors tu vois que ça ne fait pas mal !
— Non, c’est vrai, mais ça me fait drôle.
— Tu vas être toute propre à l’intérieur pour la suite.
Pendant quelques minutes, je sens l’eau chaude entrer dans mon rectum, et en ressortir aussitôt.
— Voilà ma chérie, tu es toute prête. Tu peux sortir de la douche, essuie-toi et viens me rejoindre dans la chambre.
Je m’essuie avec la serviette qu’il a préparée, une fois séchée, je retourne dans la chambre où il était déjà, sur le lit, le sexe à la main à se masturber lentement.
— Attends un peu avant de venir sur le lit. Retourne-toi que je regarde ton joli petit cul.
Je me retourne sans bouger. J’attends ses ordres pour savoir ce que je dois faire.
— Viens à côté de moi ma coquine.
Je m’installe sur le lit à ses côtés, il m’embrasse, me caresse, je me laisse faire, et je n’ai pas peur.
— Maintenant, je peux te faire une confidence. Il y a pas mal de temps que je mate tes fesses et que je ne perds pas la moindre occasion de regarder ta jolie bouche. Je vais même te dire que je me suis plusieurs fois masturbé en pensant à ta bouche en train de me faire une pipe, ou à m’imaginer que je te sodomise ou te donne une fessée. Mes fantasmes sont à présent réels.
— Tu te masturbais en pensant à ça avec moi ?
— Oui, ça fait un moment que tu m’excites, tu sais. Tu n’as jamais eu des pensées coquines en pensant à moi ?
— Franchement non.
— Mets-toi sur le ventre.
A première vue, il ne va pas me demander de le sucer. C’est presque dommage. Il enjambe mes jambes pour se retrouver assis sur l’arrière de mes cuisses. Dans cette position, il pelote mes fesses, caresse mon dos, ma nuque. Tellement doucement que mon corps se détend et une douce sensation m’envahit.
— Tu aimes que je caresse ton petit cul ?
— Oui.
— Je vais lui apprendre quelque chose. Mais nous allons y aller progressivement. Tu verras, tu vas prendre beaucoup de plaisir.
— . . .
Je ne comprends pas très bien ses intentions, mais je me doute que ce sont mes fesses qui l’intéressent.
— Mets-toi à quatre pattes, comme une petite chienne que tu es. Oui, te voir dans cette position te rend encore plus désirable et excitante.
Il donne quelques petites tapettes sur mes fesses.
— Non, pas de fessée, je ne le mérite pas !
— Je ne vais pas te donner une fessée gratuitement. Pour le moment, tu ne le mérites pas.
Il se penche vers une des tables de nuit, sort un tube.
— Qu’est-ce que c’est ce tube ?
— C’est du lubrifiant.
— Pour quoi faire ? !
— Tu verras. Ne t’inquiète pas, tu vas aimer. Avec le cul que tu as, c’est obligé !
De ses doigts, il étale du lubrifiant autour de mon petit trou et dessus.
— redresse ton cul vers le plafond. Cambre-toi. Oui, c’est bien, tu me présentes bien tes jolies fesses de salope.
Un doigt se promène sur mon petit trou.
— Détends-toi. Relâche ton anus. N’aie pas peur. Tu ne vas rien sentir. Je vais faire doucement.
Je fais au mieux pour me détendre, mais je comprends ce qu’il veut faire, et j’ai peur d’avoir mal. Le bout de son doigt entre doucement, mais reste juste à l’entrée et se met à bouger lentement, en faisant de petits mouvements de va-et-vient courts. Je dirai un ou deux centimètres. Il a raison, je n’ai pas mal.
— Alors, tu as mal ?
— Non.
Je le vois se redresser une nouvelle fois vers la table de nuit, tire le tiroir, et en sort un petit godemichet, fin, court.
— C’est quoi ?
— C’est quelque chose que j’ai acheté spécialement pour nous deux. Nous allons nous amuser avec et en même temps, je vais t’ouvrir le petit trou.
— Non, je ne veux pas !
— Tu ne veux pas ? ! Mais je crois que tu es ma soumise, et que tu n’as pas le droit de me dire non. Surtout que je ne vais pas te faire de mal. Laisse-toi faire et détends-toi. Depuis le temps que j’en ai envie de ce cul !
Je décide de le laisser faire puisqu’il est autoritaire, mais aussi il fait preuve de douceur. Je tourne la tête pour regarder ce qu’il fait, je le vois en train d’étaler de la crème lubrifiante sur le godemichet spécial anal. J’appréhende, mais au fond de moi, je crois que je lui fais confiance.
Je sens le bout de son jouet faire le tour de mon anus. Puis, peu à peu, il force le passage et le fait pénétrer de quelques centimètres.
— Tu as mal ?
— Non.
— Tu as un peu de plaisir ?
— Non.
— ça va venir. Détends-toi. Relâche les muscles de tes fesses.
— Aie ! J’ai senti une douleur là !
— Je vais aller un peu plus doucement.
— Oui, s’il te plait.
Plusieurs minutes s’écoulent, le godemichet entre de plus en plus profond. Je ne peux pas dire que je ressens de la douleur, mais, sans pouvoir vraiment l’expliquer, je ressens une sensation étrange comme un certain plaisir. Je crois que je commence à prendre du plaisir, c’est très agréable. Ses mouvements sont lents.
— Voilà ma chérie. Le jouet mesure 10 centimètres, et tu l’as complètement dans le cul.
— C’est vrai (Surprise)
— Oui, c’est vrai. Je le savais, tu as un cul fait pour la sodomie.
— Oh non, je ne le crois pas quand même.
— Si si, tu peux me faire confiance. Tu as bien pris ce gode. Attends, tu vas voir. Reste détendue.
De plus en plus, je sens le gode aller et venir entre mes fesses. Les mouvements sont un peu plus rapides.
— Hum. Ah !
— Qu’est-ce qui t’arrive ? Tu as mal ?
— Heu . . . Non, au contraire.
— Ca veut dire que tu prends du plaisir ?
— Oui (Honteuse)
— Je continue ?
— Oui, vas-y ! (Je me surprends de lui dire ce genre de propos, je me demande ce que je suis en train de lui dire, mais je crois qu’à cet instant, le nouveau plaisir que je prends me fait perdre un peu la tête.
Les mouvements de son jouet sont maintenant beaucoup plus rapides, il utilise les dix centimètres.
— Ouiiiiii ! J’aime ce plaisir !
— Salope ! Dis que tu aimes te faire enculer !
— . . . (Je ne réponds pas)
— Dis-le !
— J’aime bien oui
— Dis que tu aimes te faire enculer ! Dis-le !
— J’aime me faire enculer !
Une sensation que je découvre, envahit mon anus. Une sorte de picotement, mais loin d’être désagréable. Je crois que c’est proche d’une jouissance.
— Répète après moi ! J’aime me faire enculer. Mon cul aime se faire enculer.
— Non, je ne peux pas dire ça !
Je reçois une grosse claque sur ma fesse droite. Je ne m’y attendais pas que j’en suis surprise.
— Dis-le !
— Oui d’accord. J’aime me faire enculer et mon cul aime se faire enculer !
— Très bien ! Répète après moi ! Tu vas faire de moi une bonne salope.
— Tu vas faire de moi une bonne salope ! (Toujours avec le gode dans mon anus qui va et qui vient)
Doucement, il le retire. Avec ses doigts de la main gauche, il écarte mes fesses, et de l’autre main, je comprends qu’il est en train de se masturber. Il se branle tellement rapidement que le lit tremble.
— Humm, salope, je vais venir sur ton cul à sodomie !
Je reçois plusieurs jets de son sperme juste sur mon petit trou. Il reste dessus, et fait glisser son gland dessus.
— C’était super bon. J’aime voir ton cul avec du sperme. Il est encore plus beau !
Monsieur le vicieux reprend ses esprits, son sexe est devenu tout mou. Nous sommes côte à côte sur le dos à regarder le plafond, sans dire un mot quelques instants.
— Il me semble que tu as pris du plaisir. Ne me dis pas le contraire !
— Oui, c’est vrai. J’avoue que j’ai bien aimé.
— Tu as le droit de fumer une cigarette si tu en as envie.
J’allume une cigarette. Je me sens tranquille, fatiguée et bien. Ça me fait peur, car j’étais tout à fait différente au début. Commencerai-je à aimer cette relation incestueuse ?
— Tu as envie que ton chéri te dépucelle ?
— Je ne sais pas. Oui, j’aimerai, j’en ai envie, mais j’ai un peu peur.
— Tu sais, c’est un peu comme ce que je t’ai fait. Tu peux avoir un peu plus mal, mais rien de très douloureux.
— Tu crois ?
— Oui, il faut qu’il soit doux.
Perdrai-je la tête ? Je ne me reconnais pas. De moi-même, sans qu’il me le demande, je saisis son sexe et le branle doucement tout en fumant ma cigarette.
— Mais dis-donc ! Commencerais-tu à devenir vraiment coquine ?
— Je ne sais pas. Je ne dois pas le faire ?
— Oh si, c’est juste un plaisir pour moi.
— Je peux alors ?
— Oui, j’aime quand tu prends ce genre d’initiative.
Me voilà en train de le branler lentement de moi-même. Je lâche son sexe encore à moitié mou, écrase ma cigarette et reprends ce sexe.
— Tu sais ce que tu pourrais faire ?
— Non.
— va me sucer doucement et tu vas le sentir grossir dans ta bouche. Tu vas voir, tu vas aimer ça aussi.
— Mais il a du sperme dessus de tout à l’heure !
— Tu vas le nettoyer en même temps. Le sperme est très bon. Je te ferai goûter à ça aussi. Tu verras. Tu deviendras une bonne avaleuse plus tard.
Je descends vers sa partie intime tout en restant à côté de lui. Sans hésitation, je le prends en bouche et commence à lui faire une douce fellation. Tout en le suçant, il me donne des conseils, me dit ce que je dois faire. Je l’écoute dans le moindre détail. Son sexe grossit entre mes lèvres, j’aime bien cette sensation.
— Tu me gâtes ma chérie. Tu vas devenir une véritable suceuse toi ! On dirait que tu prends plaisir à sucer. Non ?
— Oui, j’aime bien (Timidement).
— Tu veux que je m’occupe de tes fesses comme tout à l’heure, mais différemment ?
— Comme ça différemment ?
— Attends. Tu vas voir. Mets-toi à quatre pattes comme tout à l’heure.
Presque avec regret, je sors sa queue de ma bouche et me mets à quatre pattes comme il me le demande. Il se lève, prend ce fameux tube de lubrifiant intime et en met une importante quantité à l’entrée de mon petit trou. Avec un doigt, il en introduit à l’intérieur. En tournant la tête vers sa direction, je le vois en train de s’en mettre sur le gland.
— Que-fais-tu ? Tu ne veux quand même, . . . Enfin je veux dire . . . Mettre ton sexe ?
— Si ma puce, je vais te sodomiser. Après tout, c’est toi qui m’as fait rebander. Je vais faire doucement. Je suis sûr que tu as la capacité de prendre ma queue.
— Doucement alors hein ? Promis ?
— Oui.
Son gland se positionne devant mon trou. D’un coup de rein, le gland est à lintérieur. J’ai une douleur ! Il est plus gros que le gode ! Il laisse son gland à l’intérieur quelques instants. Puis un petit coup de rein de plus. Je sens son sexe un peu plus profond. Contrairement au godemichet, je ressens une douleur, un peu comme une déchirure.
— Non, ressors ! J’ai mal. J’ai l’impression que tu es en train de me déchirer.
— C’est une fausse impression que tu as. Je ne te déchire pas du tout. Mais il faut faire un peu le passage. Après, tu vas prendre du plaisir. C’est le premier passage le plus dur. Fais-moi confiance.
Plusieurs minutes se passent, il entre toujours un peu plus, puis revient sur ses pas, et repousse. J’ai toujours cette douleur. Mais cette douleur se mélange avec le même plaisir que j’ai pu ressentir avec le godemichet.
Il se trémousse dans mon cul en me disant des grossièretés.
— Tu vois que je t’encule là. Pas comme il le faut encore, mais je sens que tu aimes. Non ?
— Je commence à ne plus avoir mal. Ça va mieux, mais ne va pas plus fort, sinon, j’aurai de nouveau mal.
— T’inquiète pas, je ne vais pas plus loin pour aujourd’hui. Salope, qu’il est bon ton putain de cul depuis le temps que je fantasme dessus ! Tu as vraiment un cul à bites. Tu m’excite terriblement !
Ses deux mains me tiennent la taille. Il ne va pas très profond, et heureusement, mais je prends du plaisir, malgré cette petite douleur que je peux ressentir en continu.
— Tu aimes te faire enculer salope ?
— . . .
— Je n’ai pas entendu !
— Oui . . .
— Alors dis-le !
— J’aime me faire enculer ! (Je lui dis pour répéter ce qu’il me demande, mais malgré le petit plaisir que je peux prendre, je ne peux dire que j’aime ça autant qu’il veut me le faire dire).
Quelques tapettes sur les fesses, une pénétration anale peu profonde mais en continu, un petit cri sort de sa bouche. Il reste immobile à l’intérieur, une chaleur se répand dans mes fesses, je comprends qu’il a joui.
— Humm, c’était juste formidable. (En sortant doucement).
— . . .
— Le spectacle est magnifique (En écartant mes fesses). Mon sperme sort ton petit trou d’amour.
— J’ai un peu mal.
— Dans deux ou trois jours, tu n’auras plus du tout mal.
Après une petite toilette intime, je descends dans la salle à manger où il est déjà.
— Pourquoi tu as fait ça ?
— Parce que les hommes te le demanderont. Et il faudra bien que tu acceptes. Tu as de très jolies fesses, plusieurs hommes tenteront de les posséder. Puis, je n’ai pas ce plaisir de le faire à ta tante.
— Mais j’ai un copain, je ne veux pas de plusieurs hommes ! Martine refuse de le faire avec toi ?
— Oui, elle ne veut pas que je la sodomise. Elle n’a jamais voulu.
— Et pourquoi à moi ?
— Parce que ça fait longtemps que je fantasme sur tes fesses, et que je ne veux pas que tu deviennes comme ta tante. Puis je sens que tu aimes bien. Non ?
— C’est assez agréable, mais j’espère qu’il nil n’y a pas cette douleur à chaque fois !
— Non, après il n’y a plus du tout de douleur. Tu as ton copain maintenant, mais tu auras d’autres hommes dans ta vie si tu ne restes pas avec lui.
— Il n’est pas prévu que je le quitte.
— C’est normal que tu le dises maintenant. Tu vas voir ton copain quand ?
— Normalement, il est prévu qu’il passe chez mes parents samedi après-midi. Il doit m’expliquer des mathématiques que je ne comprends pas. Pourquoi ?
— Parce que je voudrai que samedi, tu lui fasses une bonne et douce pipe.
— Tu veux vraiment ?
— oui, je veux que tu lui en fasses une.
— Pourquoi tu me demandes de lui faire des choses ?
— Parce que ça m’excite de savoir que tu lui fais ce genre de chose, et qu’ensuite tu m’expliques.
— Je ne sais pas si je vais pouvoir lui faire, on sera dans ma chambre, mes parents seront en bas. Quand c’est chez lui, ce n’est pas pareil.
— Ca ne fait pas de bruit. Il faut que tu trouves l’occasion de le faire !
— Je vais essayer alors . . .
— Non, tu ne vas pas essayer, tu vas lui en faire une ! Plus tu feras, et plus tu vas t’expérimenter !
— D’accord (Dis-je d’un ton soumis).
— Autre chose. Tu lui offres une éjaculation faciale ! Mais tu lui demandes que ce soit lui qui se branle lui-même pour se finir.
— Sur mon visage ?
— Oui, tu l’as pratiquement fait avec moi. Tu as reçu mon sperme sur les lèvres et un peu tes joues. C’est ça une éjaculation faciale.
— Je verrai.
Le soir, une fois chez moi, avant de m’endormir, je repense encore et encore à ce que mon oncle a osé me faire. Ce soir, j’ai légèrement mal. La chose la plus terrible est que je m’aperçois que je commence à prendre goût d’aller voir mon oncle. A chaque fois, je découvre des choses, et de nouveaux plaisirs. Cette sensation me terrifie !
Samedi est là. David, mon ami, est à la maison. Nous sommes dans le salon, avec mes parents. Ils discutent ensemble, mes parents l’aiment bien. Puis, nous montons dans ma chambre. Comme prévu, David m’explique les mathématiques, mais il a beau m’expliquer dans différentes façons, je suis nulle en maths, et je crois bien que je le resterai !
Je repense à ce que mon oncle m’a demandé. Je dois lui faire une fellation et le laisser jouir sur mon visage en se masturbant lui-même. Je ne peux pas expliquer la raison, mais je commence à aimer que mon oncle, Marc, me demande de faire des choses. Je crois qu’au fond de moi, je veux qu’il soit fier de moi.
Les maths, ce n’est pas du tout mon truc ! David et moi sommes assis sur des poufs devant le bureau de ma chambre. Je l’embrasse.
— Tu as compris ?
— Bof, oui un peu. Mais demain, je ne m’en rappellerai plus, c’est sûr !
— Tu veux que je recommence ?
— Non, c’est bon. Recule-toi un peu du bureau et reste assis.
Il se recule sans comprendre la raison pour laquelle je lui demande ça. Je me lève, je ferme la porte de ma chambre à clé et reviens vers David. Je me penche, nous nous embrassons langoureusement.
— J’ai envie de te faire une petite gâterie.
— Comme ça ? Ici ?
— Oui. (En déboutonnant son bouton et sa braguette)
— C’est pour te remercier de m’avoir aidée à ces fichues maths. (En souriant).
En m’emparant de son sexe, je me remémore les conseils de mon oncle. (Prends le temps de passer ta langue partout sur son sexe . . . N’hésite pas à lui titiller le gland, à le lécher ou bien à poser tes lèvres dessus et l’embrasser . . . Essaie de prendre le maximum de sa tige quand tu la prends dans la bouche . . . Quand tu remontes, creuse tes joues, regarde-le dans les yeux . . . N’oublie pas de t’occuper de ses testicules en les prenant dans ta bouche, en les léchant . . .)
Tout en suçant mon chéri, les paroles de Marc passent dans mon esprit. A un moment donné, j’accélère le mouvement de va-et-vient en aspirant.
— Doucement ! Tu vas me faire jouir en faisant comme ça.
Depuis plusieurs minutes que je m’occupe de lui, je comprends qu’il a envie d’exploser. Je me redresse, reste à genoux.
— Je voudrai que tu te masturbes et que tu jouisses sur mon visage. C’est un cadeau que je te fais.
— Tu veux que j’éjacule sur ta figure ? (Étonné)
— Oui, j’en ai envie. Vas-y, masturbe-toi devant.
Il se lève, écarte un peu les jambes, et je le regarde prendre son sexe dans sa main. J’approche mon visage de sa queue, ferme les yeux, et attends.
— Oh ! J’adore ! C’est un super cadeau que tu me fais là !
— . . .
Pour la première fois de ma vie, je reçois directement de la semence sur mon visage. Un premier jet sur le nez, les autres sur la bouche et les joues. J’en ai partout !
Dès qu’il a fini de jouir, je me lève rapidement, vais vers mon armoire et sors un paquet de lingettes que j’utilise pour me nettoyer le visage avant d’aller au lit. Malgré la douche, j’ai cette habitude tous les soirs.
David n’en revient pas de ce que je lui ai demandé. Mais une chose est certaine, c’est qu’il a apprécié. Peut-être même plus que moi. Je pense que mon oncle va être fier de moi quand je vais lui raconter.
Au fond de moi, je suis gênée par rapport à David, et de mon oncle, mais je joue le jeu parce que je commence à me plaire dans cette double relation.
Le mercredi suivant, je ne vais pas voir mon oncle. Il a un rendez-vous qu’il ne peut pas annuler. Je suis presque déçue et heureuse de ne pas y aller. Mélange de sentiments.
Au lieu d’aller chez mon oncle, je vais chez David. (Chose que je préfère quand même). J’ai décidé ! Aujourd’hui, mercredi, David me fait perdre ma virginité.
Cela fait une bonne heure que nous sommes ensemble, nous nous caressons, embrassons, excitons mutuellement tellement bien que nous nous retrouvons tous les deux nus.
— David ?
— Oui ?
— C’est aujourd’hui.
— C’est quoi qui est aujourd’hui ?
— J’ai envie de coucher avec toi.
— C’est vrai ? Tu as décidé de passer le pas ?
— Oui, je veux que ce soit toi le premier.
— C’est un honneur pour moi.
Je sais que David a été patient avec moi. Il a déjà couché avec d’autres filles, il est plus âgé que moi. Il est de nature douce, je sais qu’il va prendre le temps. En revanche, je ne le laissais pas sans rien entre mes masturbations et maintenant mes fellations. Mais je crois que le moment est arrivé. J’angoisse, je ne sais pas comment ça va se passer, mais je saute le pas aujourd’hui. C’est décidé !
Je l’ai sucé un petit peu, il m’a léché un peu (Loin d’avoir eu le même plaisir qu’avec mon oncle !), pour la première fois, j’ai été pénétrée.
Je n’ai pas joui. Je ne peux pas dire que j’ai eu très mal. Je n’ai pratiquement pas perdu de sang. La douleur n’est pas plus importante par rapport à l’initiation de la sodomie de mon oncle. Mais je suis dépucelée ! (J’ai appris plus tard que je n’ai pas perdu beaucoup de sang pour la simple et bonne raison que je fais de l’équitation depuis mon plus tendre âge, que qu’il y a de fortes chances que, l’équitation à grosse dose m’a permis de perdre l’hymen naturellement.
Quoiqu’il en soit, je garde un excellent souvenir de mon dépucelage.
Quelle sera la réaction de mon oncle quand je vais lui raconter la fellation faite à sa demande, mais aussi mon dépucelage ?
Suite dans le prochain chapitre 6 ?