Si pour certains le cap des 3 ansa été fatidique pour la vie de leur couple , je crois que pour nous cette 4e année de vie en couple a produit les effets inverses .
Le samedi après midi , alors que nous rentrions à la maison , j’ai demandé à ma mère si elle avait remarqué du changement autour de chez nous ; elle me répondit que non . Je lui fis observer que dans notre rue tout le voisinage présent au moment de l’achat de la maison n’était plus le même , sans doute par suite de mutation professionnelle , à la suite de séparation , voire cause de décès . D’autres circonstances allaient nous permettre d’être plus libre . Question famille mon père était à 600 km , je ne ressemblait pas trop à ma mère , le frère de ma mère qui n’était pas venu depuis mon baptême habitait en région parisienne , nous n’avions plus de famille dans la région . Au travail je n’avais jamais dit que j’habitais avec ma mère , ma mère de son côté parlait très peu de sa vie privée ; nous habitions au moins à une quinzaine de km de nos lieux de travail respectifs et à environ 30 km de notre domicile précédent .Elle semblait plus rayonnante à l’idée de ne plus avoir trop à faire attention à dissimuler sa relation de femme mûre avec un homme plus jeune qu’elle . Je crois bien qu’à partir de cette époque dans le voisinage on disait la brune aux cheveux bouclés qui vivait avec un homme plus jeune qu’elle ou le jeune qui vivait avec la belle brune . Personne dans le quartier n’avait de soupçon sur le lien familial qui nous unissait .
Ce dimanche de fin juin 1993il faisait beau et pas encore trop chaud . Ma mère avait mis son bikini blanc et enfilé une petite robe de plage . Nous étions allés sur une plage quasi déserte de Camargue entre Salins de Giraud et les Saintes Marie. La voiture à quelques mètres , une mer d’ huile , installés dans un creux de dune , le couple le plus proche à plus d’une cinquantaine de mètres . A l’abri du parasol elle retira sa petite robe de plage , tomba le haut de son bikini et me demanda de l’enduire de crème , ce que je fis en faisant courir mes mains sur tout son corps . Première fois où ma mère osait être seins nus à la plage . Habituellement un peu pudique et réservée , ma mère avait semble t il décidé depuis la veille de vivre notre relation autrement . De mon côté j’étais heureux de la voir plus épanouie . Après une bonne heure de farniente sur nos matelas de plage à parler de nous , main dans la main nous sommes allés nous tremper les pieds , moi en maillot de bain style bermuda , elle vêtue uniquement de ses lunettes de soleil et du bas de son bikini qui moulait outrageusement le renflement de son pubis . La chair de poule se voyait sur sa poitrine , le bout de ses seins en poire pointaient vers le ciel , un léger vent faisait voler sa chevelure bouclée . Nous avons marché les pieds dans l’eau de long en large , un bras autour de ses épaules , elle me tenant par la taille , petits bisous câlins à l’appui . Je fis remarquer à ma mère que nous ne passions pas inaperçus au vu des têtes qui de loin en loin se tournaient vers nous , les regards à l’abri derrière des lunettes de soleil . Se plantant devant moi , lunettes de soleil remontées dans les cheveux , les bras autour de mon cou elle m’a dit :
" Je suis une femme amoureuse de mon fils , je t’aime et je veux vivre heureuse avec toi ! "
Je l’ai prise par la taille contre moi , tout en l’embrassant , le téton coincé dans le creux de l’index et du majeur , je pétrissait son sein , me provoquant une terrible érection . Nous sommes allés dans l’eau fraîche pour atténuer mon érection , mais rien n’y a fait , les mouvements de son ventre exprimant trop bien ses intentions . Je prenais de l’eau fraîche dans le creux de main que je faisais couler sur ses seins accentuant sa chair de poule et ressortir les bouts durcis . Mes mains sur sa taille je remontais doucement , à tour de rôle dans mes mains en coupe je prenais chaque sein que je pétrissais amoureusement . Certains devaient se régaler du spectacle . Ma mère riait , contente d’elle et de l’effet qu’elle devait produire sur le hommes qui nous observaient du coin de l’il , créant sans doute quelques futurs petits problèmes chez certains couples qui nous regardaient de loin . Quand nous sommes ressortis de l’eau , j’étais toujours en érection , le triangle de tissus blanc de son bikini mouillé moulait de façon encore plus indécente son pubis , rendant même visible la tâche sombre de sa toison . A l’abri dans notre creux de dune , nous nous sommes essuyées , à genoux face à face sur les matelas de plage j’ai sucé ses tétons . Mon bras gauche dans son dos , j’ai glissé ma main droite dans son bikini , de la paume j’ai enveloppé son pubis , caressé son entrejambe , le majeur dans sa vulve , sa grotte débordait de mouille . Elle s’est allongée , baissant au passage mon bermuda , a dénoué les liens de son bikini , tiré le triangle de tissus sur le côté , m’a tendu les bras . Entre ses cuisses ouvertes , une serviette tirée sur les fesses je me suis allongé ,l’ai pénétrée lentement avec soulagement . Elle n’attendait que ça , nous avons fait l’amour , elle gémissait doucement les yeux fermés , ses bras refermés dans mon dos , sans se préoccuper de savoir si l’on pouvait nous voir . Je regardais son visage , elle savourait le moment ; elle a écarquillé les yeux , la bouche grande ouverte elle inspira très fort , ses mains crispées ; sans la prévenir je venais d’éjaculer . Elle a senti les jets saccadés de sperme se répandre en elle . Ses doigts plantés dans mon dos j’ai repris mes va et vient , le ventre agité de secousses elle a joui aussi . Assis à côté d’elle , je l’ai caressée , dans sa main elle tenait mon sexe mou encore dilaté . Elle souriait , radieuse . Une cuisse repliée , les bords de sa fente ouverte , entre ses petites lèvres roses mon sperme commençait à s’écouler lentement . Je lui ai écarté un peu plus les cuisses , j’y ai glissé un mouchoir en papier entre pour ne pas tâcher le matelas ; j’ai renouvelé l’opération plusieurs fois et lui ai essuyé la vulve délicatement , comme elle m’avait appris à le faire . Le soleil commençait à décliner, je me suis rhabillé , ma mère enfila sa petite robe de plage sans prendre la peine de remettre une culotte, nous avons rejoint la voiture , sur le siège elle a posé la serviette de bain pliée en 4 , j’ai pris le volant , nous sommes rentrés à la maison . En roulant je l’ai vu prendre un mouchoir en papier et le glisser entre ses cuisses , elle m’embrassa sur la joue en disant : " tu coules toujours mon chéri ".
Dans le lit , face à face , sa tête sur mon bras nous échangions de petits baisers . Elle s’est mise sur le dos , m’a attirée sur elle , et les yeux dans les yeux m’a demandé si son attitude sur la plage et le fait d’avoir montré son corps de cette façon m’avait gêné . Je lui ai répondu que non en prenant possession de son ventre , si cela avait été le cas je lui aurai dit , puisque nous avions convenu de parler de tout , qu’il ne devait pas avoir de non dit , de doute et de faux semblant entre nous . Je bougeais doucement , elle suivait mes va et vient . Je lui ai redit que j’étais très amoureux de ma mère et de la femme qu’elle était , et que sur la plage j’avais été comblé . Concernant le fait de s’être promenée seins nus toute l’après-midi , elle pouvait se le permettre , n’ayant rien à envier aux femmes de ma génération et qu’elle avait sans doute fait des jalouses . Nous avons parlé longtemps , puis dans un souffle je lui ai dit que je ne pouvais plus tenir , elle a écarté et replié ses cuisses très haut , ses genoux presque sous mes bras , j’appuyais et frottais mon gland à l’entrée de son utérus , j’ai senti le fil de nylon de son stérilet ,les bras croisés sous son cou j’ai joui en éjaculant si fort que j’en ai ressenti une petite brûlure au passage du premier jet de sperme . Si l’ouverture de mon gland était bien en face de son utérus , mes graines ont du gicler directement dans son nid d’amour . Déjà pas discrète quand elle jouissait , elle a crié plusieurs fois me serrant très fort , totalement abandonnée . Elle a allongé ses jambes , nous avons repris nos baisers . Je ne sais pas si l’intensité de l’orgasme est proportionnel aux sentiments que l’on a pour la femme que l’on aime toujours est il que nous venions de vivre un des orgasmes les plus forts que nous ayons connus . Nous étions encore plus unis et amoureux l’un de l’autre.