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Chapitre 4 : Vernis et Rouge à Lèvres.
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Nathalie, malgré son dégoût, ne pouvait sempêcher de mouiller. Pourquoi avait-elle mis cette jupe, cette paire de bas ? Un jean aurait largement suffit à arrêter cette main étrangère qui allait et venait le long de son sexe, tantôt martyrisant son clitoris, tantôt pénétrant violemment son antre chaud et humide. Les doigts au vernis rouge savaient sy prendre et elle ne pouvait retenir des gémissements de plaisir. Lautre main sétait alliée avec des dents blanches parfaites pour fixer les menottes qui immobilisaient désormais Nathalie. Elle était prise au piège, et son agresseur en profita pour lui arracher son string et lui fourrer dans la bouche. La bouche étrangère lui sourit, une langue glissa sur ces lèvres perverses, et la tête descendit vers le sexe de la mère de famille. Il ne fallut pas plus dune minute de baisers, de mordillements, et dactivité frénétique de la langue inquisitrice pour la faire jouir.
Comment Nathalie, femme fidèle, mère modèle, en était-elle arrivée à cette situation de déchéance ?
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Sa fille, Audrey, était mignonne, gentille, et bonne élève. Bien éduquée. Cétait lannée du Bac, elle venait davoir 18 ans, son premier petit ami, ses premières vraies sorties. Cheveux blonds, fine, petite poitrine, elle nétait pas parmi les plus populaires de son Lycée. Nathalie, elle, avait la quarantaine, et ressemblait à la définition même dune femme mature attirante. Brune aux yeux bleus, assez grande, elle avait des formes mais demeurait très bien conservée. Ses fesses étaient moins fermes quavant, sa poitrine était un peu plus imposante elle faisait du 90D mais cela lui donnait une certaine classe, un charme que seules les femmes de son âges peuvent avoir. Elle ne shabillait pas de manière provocante, mais elle restait très désirable.
Lhistoire pourra sembler banale à certains. Audrey avait un petit ami qui attirait la convoitise et la jalousie de certaines. Notamment celle de Louisa, brune, métis, les yeux un peu en amande, danseuse, populaire dans son lycée, tout le contraire dAudrey. Une soirée arrosée, une séduction bien menée, et elle avait attiré le petit ami dAudrey dans les toilettes où ils avaient passionnément copulés. Et voilà Audrey en pleurs, dévastée, en rage. Sa mère létait tout autant et maudissait cette petite peste de Louisa.
Audrey avait décidé daller sexpliquer avec Louisa, et était partie directement chez elle. Le temps passait et, ne voyant pas sa fille revenir, Nathalie avait décidé dy aller à son tour.
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Lengin vibrait sans un bruit. Il sagitait en elle sans quelle ne puisse rien faire. La jeune Audrey, immobilisée, bâillonnée, nue, était assise sur le fauteuil de bureau de Louisa. Lorsquelle était arrivée chez elle, le ton était vite monté. Louisa lavait attirée dans sa chambre, et sétait jetée sur elle. Sportive, elle avait rapidement maitrisé la pauvre Audrey et lavait attaché, cuisse écartée, sur son fauteuil. Puis les choses avaient tourné bizarrement. Comment Audrey aurait-elle pu savoir que Louisa était bisexuelle ? Elle lui avait retiré son jean, son bas, son soutien-gorge. Puis, elle lui avait lancé un regard de braise, et elle avait déclaré :
— Mais que voilà ? La petite chérie à son petit ami qui vient se venger ? Ou peut-être est-elle en manque depuis quil la quitté ?
Elle attrapa les petits seins dAudrey et les caressa jusquà ce quelle pointe.
— Ça te plait ? Attends de voir mes joujoux
Sa main glissa le long des cuisses et effleura le sexe dAudrey. Cette dernière se débattit. Louisa ouvrit son placard, et sortit plusieurs objets, dont du lubrifiant. Elle en mis un peu dans la paume de sa main, et en passa sur les lèvres intimes dAudrey. Elle en profita pour glisser un doigt dans son antre chaud. Audrey se débattit de plus belle. Les doigts caressèrent brièvement le clitoris qui ne se fit pas prier pour sortir. La jeune femme gémit malgré elle.
— Voyons voir
Louisa attrapa un de ses godes. Il mesurait bien 18 centimètres. Elle regarda Audrey tout en glissant le gland du gode sur ses lèvres. Puis, elle pénétra doucement la jeune femme qui écarquilla les yeux.
— Cest bon ? Elle est un peu plus grosse que celle de ton cop de ton ex pardon. Mais cest pas ça le plus intéressant.
Elle séloigna et prit un petit objet sur son bureau.
— Une télécommande ! Avec ça, je peux contrôler les vibrations de lengin. Commençons par une vitesse de croisière.
Audrey sentit le phallus artificiel sagiter doucement en elle, comme sil se réveillait dun long sommeil. Les vibrations lui provoquait des petites vagues de plaisirs quelle ne pouvait contenir. Elle poussa un petit gémissement. Lobjet sarrêta.
— Frustrant hein ? Passons la vitesse supérieure.
Lobjet recommença à vibrer, beaucoup plus fort cette fois. Surprise, Audrey poussa un cri étouffé. Ses jambes tremblaient. Louisa poussa la vitesse au maximum. Les vagues de plaisir ne sarrêtaient pas de monter. Louisa samusa à caresser un peu le clitoris dAudrey qui bougea sa tête de gauche à droite comme pour refuser lacte. Allait-elle jouir ? Lhumiliation suprême. Ses yeux se révulsèrent tandis quelle sentait les spasmes venir. Mais soudain, lobjet sarrêta, brutalement. Elle lança un regard choqué à Louisa, frustrée comme jamais.
— Hahahaha Tu croyais que jallais te laisser jouir comme ça ? Tu viens chez moi minsulter, et tu crois que je vais toffrir un orgasme aussi facilement ?
Elle se déshabillait progressivement. Puis, elle positionna le fauteuil en face du lit, et lança une vidéo sur son ordinateur.
— Les vidéos de cul, ça mexcite
Sur lécran, Louisa était en train de se faire prendre dans des toilettes. Son amant nétait autre que lancien petit ami dAudrey. Louisa se déshabilla, jusquaux sous-vêtements. Elle sapprocha dAudrey, et appuya de nouveau sur la télécommande. Le gode se remit à vibrer doucement. Audrey sentait le plaisir monter, encore, mais la vitesse était trop lente pour quelle jouisse. Elle restait bloquée à un niveau de plaisir frôlant lorgasme sans jamais latteindre. Elle se contorsionnait pour essayer de faire bouger lobjet en elle mais elle était bien attachée.
— On va commencer ton éducation.
Louisa retira son shorty quelle jeta sur le lit, ainsi que le bâillon dAudrey.
— Si tu es sage, je te donne du plaisir. Si tu me désobéis, je te fais tremper ta chaise sans te donner dorgasme.
Elle passa sa main dans les cheveux de sa victime.
— Si tu me lèches bien, jaccélère le sextoy.
Elle positionna son sexe en face du visage dAudrey qui détourna la tête.
— Lèche.
Elle se colla à son visage, mais Audrey refusait toujours. Le sextoy sactiva soudain violemment en elle, provoquant un cri de surprise, puis sarrêta brusquement.
— Lèche.
Il recommença à sagiter en elle doucement, monta progressivement, puis sarrêta. Le manège repris plusieurs fois daffiler, tandis que Louisa martyrisait les seins dAudrey. Celle-ci tourna la tête vers le sexe en face delle. La machine augmenta très légèrement ses vibrations. Audrey approcha son visage de quelques centimètres, et la machine augmenta encore sa cadence.
— Cest bien ma belle.
Audrey posa ses lèvres sur celles, intimes, de Louisa. Le sextoy vibra davantage. Elle commença à lécher ce sexe féminin qui bavait dimpatience. Elle ne lavait jamais fait mais elle connaissait les zones érogènes du corps dune femme. Elle sattarda timidement sur le clitoris qui pointait, elle lécha les lèvres charnues, puis pénétra un petit bout de langue dans le vagin. Louisa gémissait et frottait son sexe au rythme des coups de langues. Le sextoy sactiva encore plus fort dans Audrey qui accélérait son cunnilingus, plus elle léchait, plus le gode lui donnait du plaisir. Louisa atteint lorgasme dans un râle.
— Merci beauté Voyons ta récompense.
Alors quelle sapprêtait à pousser le gode à son maximum, la sonnette dentrée résonna. Elle redescendit le niveau de vibration, bâillonna de nouveau Audrey, et poussa la chaise de bureau dans son placard.
— Reste bien sage, je reviens dans deux minutes.
Elle enfila une robe de chambre et sortit.
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Effroi, horreur. A quelques mètres du placard dans lequel Audrey était enfermée, un gode vibrant enfoncé dans son intimité, elle apercevait, par linterstice, sa mère luttant contre Louisa sur le lit. Le ton était monté très vite et Louisa, perverse avait attiré cette mère de famille dans sa chambre. Là, elle avait sauté sur sa nouvelle proie et une lutte sétait engagée. Nathalie, bien que plus âgée, se débattait bien. Elle était bien plus lourde que sa fille, bien plus musclée aussi, et pendant quelques minutes il sembla quelle pût prendre lavantage. Mais elle navait plus vingt ans. La fatigue se fit vite sentir. Prise dune crampe à la cuisse, elle ne pût empêcher la jeune femme de passer derrière elle et de lui faire une clé immobilisante. Sans attendre un instant, la main de Louisa plongea sous la jupe de Nathalie tandis que lautre passait sous son décolleté et son soutien-gorge pour caresser son opulente poitrine. Choquée, Nathalie ne sût que faire.
— Quest-ce que ? Mais Laisse-moi !
— Soumettre une mère de famille mon rêve, susurra Louisa à son oreille.
La main caressait déjà le sexe légèrement poilu de Nathalie. Lautre main lui attacha habilement les mains avec des menottes. Nathalie avait honte, mais elle mouillait. Son mari ne la caressait pas aussi bien.
Depuis le placard, Audrey vit sa mère jouir après seulement quelques minutes de cunnilingus de Louisa. De là où elle était, elle ne pouvait voir que les cuisses largement écartés de sa mère, ses bas effilés, ses talons encore chaussés, et surtout la tête de Louisa remuant tandis quelle finissait de lécher ce sexe mature. Nathalie avait jouit en silence, dans une grimace. Ses jambes avaient tremblé, et elles reposaient désormais, inertes. Lorsquelle ouvrit les yeux, Louisa portait un gode-ceinture.
— Quest-ce que ten penses ? tu crois que ton mari en a une aussi grosse ?
— Hmm on aisse oi !
La jeune femme sapprocha et positionna le gode à lentrée du vagin de la mère de famille. Audrey vit sa mère se faire embrocher dun coup. Louisa avait attaché ses cheveux en queue de cheval. Ses cheveux remuaient dans tous les sens tandis quelle pilonnait Nathalie. Elle prit les jambes de cette dernière sur ses épaules pour approfondir la pénétration. Nathalie commença à crier, mais ses cris étaient toujours étouffés par son propre string. Louisa lui disait toutes les insanités possibles, la traitant de pute, de mère indigne, de nymphomane. Elle lui retira le bâillon improvisé et lembrassa à pleine bouche. Lorsque que le baiser passionné se termina, elle avait un peu de rouge à lèvres au coin de la bouche. Libérée de son bâillon, la mère de famille, malgré elle, gémissait franchement. Louisa accentua ses allers-retours et bientôt Nathalie criait. Des bruits de sussions parvenaient jusquà Audrey, ceux du vagin maternel qui doucement shabituait au gode-ceinture en mouillant davantage. A chaque petit spasme vaginal, la mère de famille poussait un petit cri surpris, ses chevilles se crispant autour du corps de Louisa. Nathalie était toujours habillée, bien que son haut fût distendu par les mains inquisitrices de la jeune femme qui sagrippait à cette grosse poitrine. Sa jupe était remontée jusquaux hanches.
Les minutes passèrent. Dans un ultime spasme, Nathalie jouit de nouveau.
— Ooooooooooooh
Ses jambes tremblèrent quelques secondes. Louisa profita de ce moment pour la détacher. Sonnée par lorgasme, Nathalie laissa la jeune femme la mettre à quatre pattes. Cette dernière la mis de profil, pour que Audrey puisse bien voir la scène. Puis, elle pénétra de nouveau la mère de famille et recommença à la pilonner. La jupe retombait, comme pour cacher lacte obscène. Louisa asséna quelques fessées à Nathalie tout en la tenant par les cheveux, comme pour la soumettre encore un peu plus. Elle nétait pas douce, ses va et vient étaient violents. Loin de sen inquiéter, Nathalie, soumise, lencourageait.
— Oui Oui Vas-y Vas-y
— Tu aimes ça ? Cest mieux que ce que tu as jamais tenté hein ? Salope.
— Oui prends moi Oooooh.
Audrey était horrifiée par la scène. Cétait un cauchemar. Et puis ce gode vibrant, en elle, qui continuait à vibrer tout doucement, la laissant dans un état dexcitation constant Sa chaise était trempée. Cette scène de sexe lesbien, sous ses yeux Elle réprimait lexcitation que cela lui procurait. Sa mère consentait à se faire prendre de la sorte. Louisa la prenait en cuillère désormais, comme une levrette, mais allongé de profil. Mais elle ne sarrêta pas là. Elle sortit le gode de son sexe et commença à flirter avec lanus de Nathalie tout en lui titillant le clitoris.
— N Non sil te plait pas ça
— Me dis pas que tas jamais tenté. Tu vas adorer
— Non ça suffit arrête aaaah !
Les doigts sagitant sur le clitoris faisaient leur effet, tandis que le gode poussait par derrière. Lentement, il pénétra la mère de famille qui grimaça, partagée entre le plaisir et la douleur. Progressivement, elle accéléra la sodomie, et Nathalie se détendit. Elle y prit même un certain plaisir, les sensations étaient nouvelles. Et les caresses clitoridiennes maintenaient son excitation. Louisa poussa le vice encore plus loin. Elle attrapa la télécommande qui contrôlait le sextoy qui torturait Audrey dans le placard depuis une heure maintenant, et le glissa dans les mains de Nathalie.
— Augmente un peu la vitesse, lui demanda-t-elle.
La mère de famille, sodomisée, perdue, nétait plus vraiment consciente du monde qui lentourait. Humiliée et soumise par une jeune femme, elle se contenta dexécuter ses désirs. Elle augmenta, sans le savoir, les vibrations du gode dAudrey. Dans le placard, cette dernière se rendit compte de la perversion de Louisa. Elle voulait que Nathalie donne un orgasme à sa fille sans le savoir. Audrey tenta vainement de se détacher mais les vibrations devenaient fortes. Elle laissa échapper des gémissements étouffés, son corps attendait lorgasme depuis une heure. A quelques mètres, sa maman, cette femme si forte, lautorité de la maison, se faisait désormais sauvagement sodomiser par Louisa qui navait même pas pris la peine de la mettre nue. Et le pire, cest quelle y prenait plaisir, quelle aimait cette soumission. Ses cuisses écartées facilitaient la pénétration anale et les caresses autour de son sexe. Louisa lui ordonna de pousser la télécommande au maximum. Nathalie neut même pas conscience du petit cri étouffé qui sortit du placard lorsque sa propre fille jouit violemment, les yeux révulsés par le plaisir ; elle-même atteignait un nouvel orgasme.
Louisa se retira de lanus de Nathalie et enleva son gode ceinture. Elle retourna la mère de famille sur le dos, se colla à elle, et frotta son sexe contre le sien. Elles finirent, au bout de quelques minutes à jouir de concert.
Elles baisèrent toutes laprès-midi, il ny a pas dautre mot. Audrey sendormit, se réveillant par moment, apercevant sa mère nue, chevauchant le gode ceinture que Louisa avait de nouveau enfilé. Le sextoy, en elle, navait plus de pile.
En début de soirée, Louisa la délivra. Sa mère était partie. Elle se laissa faire, durant lheure qui suivit, lorsque Louisa la pris comme elle avait pris sa mère, lui faisant sucer ce même ceinture gode qui lavait pénétrée. Elle jouit, elle aussi, lorsque Louisa lui caressa le clitoris tout en la sodomisant. Elle la fit jouir, encore, en lui léchant son sexe dégoulinant. Cette fille était une vraie nymphomane. Puis, éreintée, Louisa sendormit et Audrey put enfin partir.
Elle nosa pas dire à sa mère où elle avait passé son après-midi. Elle nosa pas lui dire non plus quelle lavait vu se faire soumettre et tromper son mari avec une jeune femme. Elle nosa rien faire, non plus, lorsque dans les mois qui suivirent Louisa lui envoya, par mails, des vidéos de sa mère jouissant de situations humiliantes. Après tout, tant que Louisa se défoulait sur sa mère, elle ne pensait pas à Audrey.