La première fois qu’il m’a demandé de lui prendre la queue, je ne savais pas trop comment faire, alors pour ne pas passer pour un crétin, je l’ai prise carrément dans la paume, je l’ai à peine serrée. J’ai vite compris qu’il fallait que je fasse des allers et venues. J’étais étonné de voir son gland (je savais bien que ça existait puisque je l’avais vu sur le bout de ma bite). Le petit méat m’étonnait un peu.
J’étais tenu par les convenances familiales, la religion, la morale. Bref, je ne m’étais jamais touché, même quand le matin je bandais ou que je prends une douche. Cétait dur, je résistais toujours. Mais là, mon meilleur ami me demande un service. Mon amitié prend le dessus.
Je lui sors la queue déjà bien développée. Elle a ses propres mouvements. C’est même amusant de la voir faire quand elle se lève un peu pour redescendre seule.
Je regarde vers la base : des poils autour de couilles ovales. Pourquoi tout ce bazar, comme moi, alors que parait-il les filles n’en sont pas embarrassées.
Je débarrasse sa queue de la peau qui le gêne au bout. Je le fais descendre doucement : il se tend en poussant un soupir de satisfaction. Ma main va toucher ses sacs en bas. Ils semblent bien remplis de je ne sais quoi. Je continue en bas, après ses couilles. La pine est encore un peu là. Elle s’enfonce dans ventre par le périnée. Par contre je trouve à peine un peu plus loin un petit trou. Il s’en sert pour déféquer. Curieux je pose mon doigt. Je ne force pas , j’entre mon doigt facilement. Il pousse encore un soupir.
C’est curieux d’entrer si facilement au fond de son ventre surtout qu’il écarte les fesses. Il le cherche, alors j’enfonce mon doigt doucement pour ne pas lui faire de mal. Je coulisse en lui, je ressort le doigt pour recommencer. Il tient mon poignet comme pour guider mes mouvements.
Je ne sais comment lui reprendre son manche sans sortir de son cul. Sa réponse est rapide :
Lèche la moi.
Comment ?
Prends la dans la bouche, lèches avec ta langue.
Prendre cette queue dans la bouche, il est fou, je vais lécher là où il fait pipi. Il insiste en disant que c’est courant.
Puisque c’est courant, normal, donc, j’ouvre bien la bouche je fais entrer sa bite. D’abord elle sens une drôle fragrance, elle a un goût bizarre. Je me rend compte de l’effet sur moi, je bande comme lui. Je lui demanderais de me rendre tout ce que je lui fais.
Je loge sa queue entre ma langue et une joue. J’aspire comme sur un biberon. Il me semble qu’il gonfle pas mal dans la bouche. Ses mains sont sur ma tête, comme pour me diriger. Je sais quand même lécher quelque chose, non !
Je trouve son bout délicat, doux, agréable. Certains auraient fait la fine bouche (c’est le cas de le dire). Moi j’aime bien, au moins il me fait confiance. Il me décrit avec ses mots ce qu’il ressent. Je ne comprends pas tout, j’en conclue qu’il aime. Je continue, j’arrête pour reprendre un peu mon souffle. Je recommence cette fois en faisant aller et venir ma bouche sur sa tige dure.
Je demande aussi, je voudrais qu’il me touche. Je le fais s’allonger sur le banc, le pousse vers le dossier. Je peux m’installer à ses coté, je sors ma pine, je la lui montre. Il me la touche, enfin, il me caresse. Je force vers lui, il comprend ce que je veux. Il me prend dans la bouche. Je ne pensais jamais que ce soit si bon.
J’ai su plus tard que nous faisions un 69. Sur le moment je suis prêt à un saut vers l’inconnu. Mon ventre se creuse, comme le sien. Je tend ma queue pour la mettre plus dans sa bouche. Ses lèvres entourent la queue. J’entoure la sienne. Et là, d’un seul coup je sens un liquide chaud appétissant qui gicle dans la gorge. Je déguste ce nouveau liquide quand à mon tour je décharge ma semence dans sa bouche.
Je voudrais tant goûter ma semence puisque je connais la sienne. Nous nous relevons, les queues encore bandées. Il prend mes lèvres dans sa bouche, entre sa langue. Il me donne mon jus comme je lui donne le sien. Nous sommes dégoûtants.
Un peu plus tard nous avons envie de recommencer, mais pas pareil. Il me demande de me mettre penché en avant. Il fouille la raie des fesses avec son mandrin. Si j’ai déshonoré son cul il va me le rendre à sa façon un peu plus brutale. Il passe deux doigts sur mon trou, ils étaient pleins de salive. Je sens son gland près de ma pastille. Il va me faire mal j’en suis sur. Pourtant il agit avec une douceur insoupçonnée. Mes chairs sécartent, les muscles se laissent aller. Il est dans mon ventre. Je prend un pied pas possible. Il prend la queue, me masturbe aussi. Il va et viens dans mes intestins. C’est bon. Je ne tiens pas longtemps : je le sens jouir dans mon cul, avec des jets de spermes de moins en moins forts. Je jouis du cul ou d’ailleurs je ne sais pas , je sais que j’envoie un long jet de sperme.
C’était ma première fois avec un homme, la dernière aussi. Enfin une des dernière puisque la fois suivant c’est ma bite qui entrait dans un anus d’homme.
J’ai trouvé les compensations utiles avec les sexes féminins plus excitants, plus goutteux aussi, avec des culs romanesques, admirables à baiser. Ma femme ne se plein jamais de mes sodomies.