Bonjour, je m’appelle Tzvetan. Pour vous parler un peu de moi, je suis blond aux yeux bruns, mince, 1,85m et je chausse du 19,3 cm lorsque je suis en érection. J’aurais donc mes chances auprès de la gent féminine. Comme mon père, Hervé, l’a fait avant moi, je vais vous parler de mes fantasmes. L’ histoire que je vais vous raconter se passe chez notre pire ennemi.
Mon frère Laurent et moi en avions assez des provocations de Marc. Nous sommes demi-frères en fait. Ma mère s’appelle Ivana (voir le récit et celle de Laurent, Rosalie(voir le récit Chaude entrevue).
Marc nous provoquait à chaque cours. Moi à cause de mes origines franco-bulgares. Sa provocation:
«Je vais me taper ta salope de mère. Les bulgares sont tous des soumis.» Et Laurent à cause d’une querelle entre eux deux au sujet d’une copine que mon frère lui aurait «volée» Sa provocation :
«Tu verras, je vais faire grimper ta mère au rideau, fils de pute.»
Mon frère et moi en avions vraiment assez et avions décidé de lui montrer qui on était. On aurait pu le tabasser mais cela aurait été trop classique comme vengeance. Il fallait le frapper là où ça lui ferait mal : sa fierté.
Comme nous n’avions jamais connu d’expériences sexuelles auparavant, nous avions décidé qu’il était temps de commencer. Nous décidâmes alors d’associer notre projet de vengeance à notre projet d’adieu à la virginité. Laurent et moi avions convenu ceci : nous baiserons la mère de Marc. Elle s’appelle Alice. La quarantaine, longs cheveux noirs, mince, gros seins (110D). Ce qui nous faisait bander quoi.
Nos parents entretenaient de bonnes relations avec elle malgré les relations pour le moins peu cordiales que nous entretenions avec son fils. Il était donc facile de pouvoir rentrer chez elle. Restait à trouver un prétexte. Et nous le trouvâmes.
Un jour que Marc manquait les cours à cause d’une compétition sportive qui devait le retenir jusqu’à tard le soir, nous nous proposâmes pour apporter les devoirs à notre ennemi. Arrivâmes chez Alice, nous sonnâmes à la porte. Elle nous ouvrit et nous pria d’entrer. Nous nous prîmes place à la table de la cuisine et attendions Alice qui était partie chercher quelque chose dans sa cave.
La mère de Marc reparut et nous rejoignit autour de la table. Nous commençâmes à parler de choses et d’autres. Au bout d’un moment, nous parlâmes de nos familles. Alice nous dit qu’elle avait beaucoup de respect pour nos parents et que notre père avait été très courageux d’avoir épousé une femme plus âgée que lui (lui 19 et elle 35 à ce moment-là) et de s’être accroché à ses sentiments.
Elle nous demanda ensuite si on aimait aussi les femmes matures.
«On fantasme sur certaines matures, oui.» lui dis-je.
« Et moi, qu’est-ce que vous en pensez?» nous demanda-t-elle.
A ces mots, ma queue s’était dressée jusqu’à devenir dure comme de la pierre. Excité par la situation, je lui avouai que oui.
« Dans ce cas, assouvissez votre fantasme. Baisez-moi. Je suis au courant des provocations de Marc envers vous. Je suis de votre côté et je vais vous aider à vous venger en vous dépucelant !»
Nous nous levâmes alors de table. Alice aussi. Nous soulevâmes celle qui allait être notre initiatrice et notre instrument de vengeance et la portâmes jusqu’à sa chambre où nous la déposâmes sur le lit. À peine l’avions-nous posée qu’elle commença à se déshabiller.
En la voyant faire, nous fîmes de même. Nous étions à présent tous les trois nus.
Mon frère et moi jaugeâmes Alice. Quelle beauté ! Son corps était fin et élancé, ses seins bien gros et bien fiers. Quant à sa chatte, elle était poilue à souhait. Excités par la mère de notre ennemi, nous la rejoignîmes sur le lit. C’est là que notre dépucelage allait commencer.
Alice prit nos bites, une dans chaque main et commença à nous masturber. La peau du prépuce manipulée par les va et vient d’Alice dévoilait nos glands bien gros et bien rouges puis les recouvrait pour les dévoiler à nouveau. Après dix minutes de branlette, Alice se mit à nous sucer alternativement. Elle commença par Laurent. Après quelques va et vient, elle lui tailla une pipe et s’occupa de ma bite. Dès que ma verge fut entrée dans sa bouche, j’éprouvai une sensation de plaisir folle. Alice suçait comme une vraie pro. Elle me tailla une pipe et retourna à Laurent. Elle nous suça chacun trois fois.
Elle se coucha ensuite sur le côté. Son cul faisait face à Laurent et, moi, je faisais face à sa chatte. J’enfonçai mon membre viril dans le buisson noir de la mère de Marc tandis que mon frère recommençait à la sodomiser. Nos mouvements simultanés dans les deux orifices de son corps à la fois firent jouir Alice. Au bout de dix minutes, mon frère et moi nous échangeâmes les rôles et recommençâmes nos mouvements. Alice jouit à nouveau. Au bout de dix minutes, nous la couchâmes sur le dos, lui mîmes nos bites entre les seins et commençâmes à nous branler.
Au bout de cinq minutes, alors que nous allions jouir, nous entendîmes le bruit de la porte d’entrée de la maison. Ce devait être Marc.
Sentant le sperme monter, nous éjaculâmes sur les seins d’Alice en criant bien fort pour que Marc nous entende. Des bruits de pas se faisaient entendre dans l’escalier menant à la chambre d’Alice. Marc arrivait. Il ouvrit la porte et, en nous voyant nus avec sa mère, faillit avoir une attaque.
« Alors, qui s’est tapé la mère de qui?» lui dit Laurent.
Marc était incapable de dire quoi que ce soit.
« Donc maintenant, arrête de nous faire chier ! » lui dis-je.
Nous embrassâmes chacun Alice sur la bouche et nous en allâmes, laissant Marc confus et humilié. Une chose était sûre : il arrêterait de nous énerver sinon nous baiserions sa mère encore une fois. Et Alice ne nous dirait pas non.
Si vous avez aimé ce récit, dites-le moi et j’en publierai la suite.
Tzvetan