Je passe devant la terrasse du café où, comme prévu, de virils artisans se détendent. Ce matin en passant, ils me laissaient indifférent, je les considérais même comme des concurrents à mes amourettes, mais ce soir, je les vois comme des amants potentiels. S’ils savaient ce que j’ai sur les fesses…
Mes parents me voient arriver chez eux, le visage épuisé, mais satisfait. J’embrasse ma mère qui m’invite à passer à table. Elle a préparé un énorme gâteau à la crème comme je les aime tant.
Donne-moi ton assiette mon chéri.
J’en veux juste un tout petit bout s’il te plaît.
Ma mère me regarde avec de grands yeux, moi qui mange d’habitude comme quatre, et qu’elle doit plutôt freiner sous peine d’avoir à soigner mes indigestions.
Tu es malade ?
Non, maman, c’est juste que… je veux faire attention à ma ligne.
Mes parents, la bouche grande ouverte regardent cet enfant dont le métabolisme lui permet de s’empiffrer en restant aussi mince qu’une allumette, demander juste une petite part du gâteau qu’il aime tant. Je suis presque aussi surpris qu’eux, comme si quelqu’un avait pris ma voix pour dire ça ! Je sens l’ombre de Mme Stroke planer sur moi et me conseiller que ce n’est pas bon pour ma carrière de soumise de manger ça, et que je dois rester fin et léger pour continuer à passer dans du 36, voire moins…
Tu es sûre que ça va ?
Oui, je suis juste un peu fatigué. J’ai beaucoup travaillé !
Mon père me regarde avec fierté et me demande à quoi j’ai occupé ma journée. Je m’apprête à lui répondre quand je me rends compte que je ne peux lui dire que j’ai fait du ménage et du repassage, car mme Stroke, après m’avoir travesti, me trouvait trop faible pour faire des travaux de force…
… J’ai nettoyé la piscine et … arraché l’herbe dans les allées.
Ta patronne est gentille au moins ?
Gentille n’est pas le mot idéal pour décrire la puissante Mme Stroke. Devais-je lui dire qu’elle m’avait gentiment soulevé et porté, gentiment défoncé le cul et gentiment travesti ?… Je reste muet.
En tout cas, ne va pas la mettre de travers, elle a l’air sacrément costaud ! Elle pourrait te mettre une sacrée fessée !
Mon père riait de son humour un peu gras. Il ne croyait pas si bien dire quant aux moyens de Mme Stroke pour me rabaisser et me dominer. Ma mère prit ma défense.
Laisse-le tranquille. J’ai souvent parlé avec elle et c’est une crème. Il n’a rien à craindre. Ceci dit, c’est vrai qu’elle est sacrément carrée et que l’on se sent petite à côté d’elle. Ses bras sont impressionnants !
Mon père adresse un regard faussement lubrique à ma mère.
Ben cette grande noire te plaît ma chérie ? Il faudra que l’on pense à l’inviter !
Tais-toi ! Tu as encore trop bu !
Sur cette fin de repas un peu tendue, je quitte la table pour aller dans ma chambre et ferme la porte à clé. Je me déshabille immédiatement pour ne garder que la fameuse culotte. Je me regarde dans le miroir, de face et de profil, et me trouve de plus en plus… mignonne. Je m’installe sur mon lit et recherche Sasha Stroke sur Internet. Une pléthore de réponses s’offre à moi, surtout des vidéo, dans lesquelles ma maîtresse et ses 23 centimètres, un peu plus jeune, sodomise, encule, soulève et maltraite des minets dans mon genre. C’est une vraie star dans son domaine, je suis si content qu’elle m’ait pris sous son aile puissante… et quelle m’ait pris tout court…
Elle avait quelques kilos en moins à l’époque. Elle s’est un peu empâtée depuis, mais ce n’est que pour paraître plus impressionnante, et ses abdominaux saillants et dessinés sont la preuve qu’elle n’a pris que du muscle ! Je bande comme jamais, mais je n’ai pas envie de me masturber, seule ma maîtresse est autorisée à me faire jouir.
Je m’endors épuisé et serein, juste vêtu de dentelles blanches.
Je suis à nouveau réveillé avant que mon réveil ne sonne. Je m’assois difficilement sur mon lit. Des courbatures et une douleur diffuse et profonde dans mon fondement me rappellent ma folle journée d’hier. Je me lève, passe mes mains sur mes petites fesses pour apprécier la texture du slip que m’a gentiment prêté la géante. Je m’habille à grand regret comme un garçon et fonce chez l’immense brune.
Je suis accueilli par un bruit de tronçonneuse. L’amazone, vêtue d’une combinaison de travail et d’un casque est en train de débiter un arbre qui menaçait de tomber. Elle manipule le lourd engin comme si c’était un jouet. Elle est un peu boudinée dans ce vêtement qui moule ses superbes fesses et sa magnifique poitrine. Je la trouve terriblement sexy ! Je ne pensais pas possible qu’une créature puisse dégager à la fois autant de virilité et de féminité. Je sens presque mon anus se dilater à la vision de cette géante. Elle ressemble à une héroïne de science-fiction qui lutte contre une plante démoniaque, défendant la petite princesse que je suis…
Elle lève son casque en me voyant et m’envoie un baiser que je m’empresse de lui rendre. Je monte jusque dans la chambre et passe à nouveau le soutien-gorge et la robe, heureuse de sentir à nouveau l’air frais sur mes petites fesses quand ma jupe si courte se soulève. J’arrange mes cheveux, enfile les ballerines roses et commence à vaquer à mes occupations à l’étage. Au bout d’une heure, j’entends ma maîtresse entrer dans la cuisine. Je descends en courant et me fige de surprise devant le spectacle qu’elle m’offre. Elle se tient face à l’évier et est en train de se servir un verre d’eau. Elle a ouvert la fermeture de sa combinaison jusqu’à la taille et la partie supérieure pend sur ses jambes. Elle porte uniquement une brassière de sport grise. Je peux admirer son dos large et puissant, luisant de sueur. Ses muscles se sont gonflés à force de manipuler la tronçonneuse. Des gouttes perlent et ruissellent jusqu’à sa croupe sur laquelle court joliment la ficelle d’un string.
Seul le haut de ses larges fesses humides est visible. Ses énormes seins apparaissent de part et d’autre de sa cage thoracique. Si Wagner avait eu la chance de rencontrer Sasha, je suis sûr que ses valkyries auraient été noires. Elle m’a entendu descendre et se tourne vers moi en souriant. Ses mains de bûcheronnes donnent l’impression que le verre peut exploser à tout instant sous leur pression. Ses biceps sont gonflés et parcourus de veines épaisses, trahissant leur puissance. Ses seins massifs mettent la brassière à rude épreuve et elle a tellement transpiré que ses tétons et ses aréoles sont visibles en filigrane. A chacune de ses inspirations, ses abdominaux massifs dansent, formant et déformant un canyon dans lequel les perles de sueurs s’écoulent pour se perdre sous la combinaison. Je frémis face à cet idéal de beauté. Elle pose le verre et me tend ses bras.
Je cours jusqu’à ma maîtresse et quand je suis suffisamment prêt, je saute pour qu’elle m’attrape, ce qu’elle fait d’un seul bras sur lequel mes petites fesses se posent. Il est si chaud que je ressens presque une brûlure sur mon petit cul, tout frais d’être sous une robe si courte. Sasha en est surprise elle même.
Tu es toujours aussi fraîche ma chérie !
Non, c’est toi qui es chaude comme de la braise !