On a été dernièrement à Venise pour notre 20e anniversaire de mariage. On avait prévu un une semaine de découverte de la ville des amoureux. Petit hôtel au bord du grand canal. On devait normalement passer de bonne vacance. Près pour le départ, nous chargeons les valises dans la voiture et en route pour la gare. Nous prenons le train, plus sympa pour voyager. Nous pensions avoir réservé une cabine pour nous seul, mais arriver dans le train, c’est une cabine couchette avec six lits qui nous attend. Vraiment pas très sympa pour un début, j’espère que le reste se déroulera autrement. Le train démarre, il est environ 20h quand nous partons de Paris direction Venise, on devrait y être pour 7h30 le lendemain. Tout se passe bien. Une petite faim nous prend, direction le wagon resto, une petite assiette fraicheur, salade et petit verre de rosé pour nous deux et pour finir, une coupe de champagne pour fêter notre voyage et surtout nos vingt ans ensemble. Le type de la table dernière nous est seul, il nous dévisage et fini par nous adresser la parole pour des banalités, on fait connaissance et après lui avoir dit que nous étions là pour notre anniv.

Il nous félicite. Il est très classe, bien habillé, grand, brun. La miss commence a beaucoup apprécié sa compagnie, mais cette semaine, c’est pour nous. Le repas fini, nous regagnons notre cabine. Je commence à ressentir la fatigue, du coup je propose à la miss de se coucher. Elle a le lit du dessous et moi celui du milieu. On est encore seul dans la cabine. Nous devons faire un arrêt à Lyon et Nice avant d’arriver, donc des billets sont peut-être vendus pour des personnes de Lyon. Je commence à somnoler, un peu dans le vague quand j’entends la miss se relever, elle me chuchote deux trois mots, je comprends qu’elle a chaud et qu’elle va prendre l’air. Il est minuit, je regarde par le rideau devant la porte, la miss est devant la fenêtre baissée, dans le couloir. Tout à coup, je vois une silhouette qui se place derrière elle, elle ferme les yeux. Elle pense peut-être que c’est moi… C’est un homme, je crois le reconnaitre, l’homme du resto. Il caresse ses fesses à travers sa jupe et lui mordille l’oreille.

Elle a encore les yeux fermés, les petites lumières du couloir me permettent à peine de bien voir, la scène. Il relève sa jupe, je le vois qui baisse son pantalon et son caleçon. Il a son sexe à la main, il se branle quelques secondes avant de pénétrer ma femme qui pousse un petit cri étouffé. Elle se cambre pour bien sentir son sexe. A ce moment, elle ne peut plus douter que ce nest pas moi. Le sexe du type est beaucoup plus long et gros que le mien. Il lui a relevé son chemisier et dégagé ses seins qui sont au vu de tous. La miss est presque à poil dans ce couloir. Le type la baise depuis bientôt dix minutes. Je me suis relevé et placé derrière la porte pour ne rien perdre de ce moment. J’ai aussi réussi à l’entrouvrir pour entendre mais a pars quelques gémissements, pas grand-chose. Cela fait maintenant vingt minutes, je vois ma femme se mordre les lèvres pour ne pas crier, cela doit lui plaire. A ce moment, j’entends une porte s’ouvrir, suivi de bruit de pas. Ils sont plusieurs, je suppose au vu bruit.

Je ne me suis pas trompé, ce sont deux hommes qui se sont rapprochés et qui caressent maintenant la miss. Le grand brun se retire de ma femme, et les deux types se mettent de chaque côté se défroque et place les mains de ma femme sur leurs queues déjà bien dur. Le grand brun s’est mis à poil et se couche dans le couloir, attrape la miss par le bras et l’attire vers lui pour quelle vienne s’empaler sur son sexe. Elle lui tourne le dos, sassoit sur son membre d’un coup et s’enfonce jusqu’au bout. Elle remue sur lui à un rythme soutenu, elle attrape les bites de types devant elle et ce mets à les sucer chacun leur tour. Cela fait bientôt une heure que cela a commencé, je commence à me demander si je ne dois pas intervenir. A ce moment-là elle se retourne vers notre porte, me vois derrière le rideau et me souris. Elle branle et suce les deux types de plus en plus vite, ils finissent par jouir sur elle, un sur ses seins, l’autre sur son visage. Le grand brun demande à ma femme de se retourner pour qu’il l’admire.

Il se relève, la met à genou sur le tapis du couloir, lui lubrifie son illet avec sa propre mouille, se caresse le gland et s’enfonce dans son cul d’un seul coup. Elle a le souffle couper, elle reprend ses esprits quelques secondes après et se mets maintenant à lui chuchoter des mots crus.

— Baise-moi comme une salope, défonce-moi, je veux ton jus, donne-le-moi, en moi, dans mon cul de petite chienne

Le type ne dur plus très longtemps et se vide dans le cul de ma femme dans un grand râle. Je remonte dans le lit et quelques minutes après ma femme rentre dans la cabine, se couche sans un bruit. Je suis surpris de la tournure de cette soirée et espère que ma femme me racontera tout demain. Je m’endors très peu de temps après elle. Le lendemain, nous arrivons à Venise, je n’ai même pas entendu les arrêts que nous avons faits et vois avec surprise deux types qui sont dans les lits en face des nôtres. J’apprendrais par ma femme que ses types étaient montés à Lyon et que c’était les deux hommes qu’elle avait branlés dans la nuit lors de leur montée dans le wagon.

Je n’avais même pas senti le train s’arrêter tellement pris par les ébats de ma femme. Ma femme m’a tout raconté une fois arrivée à l’hôtel. La suite de notre séjour a été très sympa mais juste entre nous, plus d’autres hommes.

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