La nuit fut longue ; Ryan a tellement fait jouir sa maman qu’elle s’endort épuisée.
Le Lendemain, pendant le petit-déjeuner, ma femme toussote, le regard de Ryan et le mien se posent sur elle.
J’ai bien réfléchi, ta proposition m’intéresse mon chéri, je veux bien faire un essai !
Chouette maman, tu ne le regretteras pas, je vais vite organiser ça, je connais un couple très libre, physiquement ils sont pas mal (ce qui ne gâche rien) !
Je suis inquiète, mais excitée à la fois, j’y peux rien, c’est ma nature qui est comme cela, rien que d’y penser, j’en suis tremblante !
Je suis ravi que ma femme saute le pas, je suis si heureux que j’ai l’impression que mon sang bout dans mon corps, depuis le temps que je rêve de la voir prise par d’autres, cela m’émoustille.
Je tente de la rassurer.
Tout se passera très bien, tu verras, c’est une bonne expérience à tenter, je sais que tu te donneras à fond ma chérie !
Elle me regarde et me dit :
J’ai un peu peur, tu crois que je serai à la hauteur ?
J’en doute pas une seconde ma chérie !
Heum, bon, si tu le dis !
Le rendez-vous est pris pour le week-end prochain.
La veille du jour choisi, ma femme n’est plus la même, elle s’angoisse, à plusieurs reprises, elle veut annuler le rendez-vous, je l’en dissuade à chaque fois.
Elle grommelle, tourne en rond.
Après le dîner, elle prend une douche et monte se coucher, je la rejoins, son sommeil est très agité, elle se réveille souvent, marmonne des mots inaudibles puis se rendort ; je laisse la lampe de chevet allumée.
Je glisse ma main sous sa nuisette et lui caresse doucement le ventre, ma main descend lentement, et atteint son antre brûlant ; étrangement, il est trempé.
Un filet de salive s’écoule à la commissure de ses lèvres, elle halète.
J’enfonce aisément trois doigts dans la grotte inondée, et la ramone doucement.
Ma femme ouvre les yeux.
Elle me retient la main et me dit :
Oh ! mon chéri, je rêvais que je faisais l’amour avec le couple et que je prenais un plaisir d’enfer !
Ah ! C’est pour cela que tu mouilles énormément !
J’ironise un peu en souriant :
Ah ah, ma femme se fait sauter pendant son sommeil par d’autres, et en plus elle aime ça !
Elle baisse les yeux, et place sa main sur la mienne, elle lui fait faire quelques va-et-vient puis retire sa main ; j’ai compris.
Je continue un doux ramonage, elle grogne, se cambre, et jouis en étouffant son cri en se mordant le poignet.
La nuit s’achève ; apaisée, elle se rendort, son corps est trempé de sueur.
Le lendemain matin, elle se dirige vers la salle de bain, Ryan est sous la douche.
Elle entre, se plaque contre lui ; l’eau qui ruisselle sur son corps apaise la tension qui la ronge depuis quelques jours.
La main de son fils s’égare sur ses formes généreuses, elle soupire fortement lorsque deux doigts s’enfoncent dans son rectum, ils tournent en elle si bien qu’elle délire.
Oui, mon chéri, fouille bien ta salope de maman, éclate-lui le cul à celle qui va se donner à d’autres, fais-lui mal pour la punir !
Il place son autre main sur le bouton qui sort de son écrin, et le frotte rapidement.
Mon chéri, tu vas faire mourir ta maman de plaisir, ooooh ouuuui !
Je dois intervenir.
Oh ! Les amoureux, le temps presse, les invités ne vont pas tarder !
Ma femme n’écoute que son corps, elle grimace, serre les dents, et gicle avec force sa cyprine.
Oui oui mon chéri, encore encore !
Non, maman, il est tard, les gens vont arriver !
Un peu frustrée, elle se résigne, s’essuie, enfile un peignoir et se sèche les cheveux puis s’habille rapidement.
La sonnette de la porte d’entrée retentit ; je vais ouvrir et je fais entrer le couple ; je le dirige vers le salon, mon fils et sa maman sont déjà installés.
Les présentations sont rapides, lui, c’est Paul, un solide gaillard taillé à la hache, t-shirt blanc et pantalon ajusté qui lui moule bien le paquet cadeau qu’il a entre les jambes.
Il a avec lui une mallette qu’il dépose contre un fauteuil.
Elle se prénomme Lise, c’est une belle plante grande et mince, jupe très courte avec un chemisier à large échancrure qui dévoile une partie de ses seins, elle ne porte pas de soutien-gorge.
Je sers une boisson, nous faisons un peu connaissance avant l’ouverture des hostilités.
C’est Paul qui passe à l’action le premier.
Il demande à ma femme de se lever, il lui dégrafe le corsage et pétrit les deux lobes avec dextérité.
Rapidement, les bouts se dressent, ma femme rougit, ses mamelons savamment triturés s’épaississent.
Il les délaisse un court instant, pour s’attaquer à la jupe.
Il fait glisser le zip de la jupe et la fait descendre lentement.
Il entraîne au passage le string rouge qui ne tarde pas à être sur le sol avec la jupe.
Enfin, il la saisit à bras le corps et la dépose sur la table basse.
Il lui écarte les jambes et pose deux doigts sur le bouton ; il le presse, le roule légèrement entre ses doigts comme pour en tester la texture.
Paul lui écrase doucement la perle, ma femme soupire, elle se cambre légèrement en geignant, un filet de cyprine s’échappe de son temple.
Quant à Ryan, lui a dénudé Lise, il la contemple longuement.
Son regard s’attarde sur la chatte, il fixe le bouton qui dépasse des grandes lèvres, il écarquille les yeux, et pousse un petit sifflement d’admiration.
Moi, je suis confortablement installé dans un profond fauteuil.
Une bosse énorme déforme mon pantalon, je la caresse à travers le tissu.
Paul écarte les grandes lèvres de la vulve de ma femme, pose sa bouche sur la perle d’amour et l’aspire fortement.
Ma moitié ne peut s’empêcher de pousser un cri, tellement l’aspiration est puissante, elle se cambre en poussant un râle d’enfer.
La langue agile de Paul agace le clito qui enfle de plus en plus ; ma femme grogne ; elle agite son bassin ; elle s’agrippe à la table basse.
Ryan a délaissé Lise, il s’approche de sa maman et lui offre sa queue tendue ; elle regarde son fils, lui fait un sourire.
Elle saisit le manche raide d’une main, et commence à lécher le gland violacé de sa progéniture ; sa langue s’enroule sur le cèpe royal, titille le frein rapidement.
Ryan rugit :
Maman tu es trop bonne, mon Dieu, comme tu suces divinement !
Paul aspire la cyprine abondante qui s’échappe du volcan en éruption de ma femme, sa langue fouille profondément le conduit vaginal à la recherche de la moindre goutte, ma femme grogne en tétant la verge gonflée de son fils.
Soudain, elle recrache le mat tendu, et pousse un hurlement de bête ; sa cyprine gicle dans la gorge de Paul qui avale sans retenue le divin nectar.
Moi, j’ai sorti ma queue gorgée de sang et l’offre à Lise qui s’empresse d’en téter le gland, elle suce longuement le champignon violacé, elle me branle d’une main ; et de l’autre, elle me triture les bourses.
J’en peux plus, je me raidis et envoie ma semence dans la gorge profonde de la suceuse.
