suite…
Rien quà cette idée, mon sexe repris encore un peu plus dampleur au plaisir de C. qui reprenait un mouvement de bas en haut dessus. Mais là, la coupe commençait à être pleine et javais de plus en plus de mal à me contenir. Je nen pouvais plus et me lâchait complètement en elle et elle ne put que sen apercevoir. A chaque retombée de son bassin, de lurine séchappait maintenant sur les cotés. La chaleur de lurine imprégnait maintenant tout mon basin et son postérieur. C. haletait comme une chienne et prenait vraiment son pied dans cette situation. Mon sexe était de nouveaux dur comme tout et je ne pouvais plus rien en sortir tellement je bandais. Mon doigt dans le cul de N. la faisait gémir également et nous partîmes tous les 3 sur la voix du nirvana. N. dans sa position ne pouvait manquer de voir le spectacle de lenculade quon lui offrait ou parfois du liquide arrivait à sortir du cul de C. et son bassin imprimait aussi des mouvements de va et viens sur mon doigt que je lui enfilais entièrement jusquà a la garde. Elle partit la première et je lui aspirais tout ce qui pouvait sortir de sa vulve. C. emporté par les gémissements de N. reparti également en extase emmanché sur mon sexe qui lui remplissait entièrement lanus. Et dans un hurlement final, se lenfonça au maximum jusquà la base. Elles sécroulèrent toutes les deux sur moi et jeus toutes les peines pour les supporter sans étouffer. Heureusement, N. se glissa sur le coté éreinté. C. elle, finit par se redresser et se laissa glisser en arrière afin de laisser mon membre durci sortir délicatement. Quand mon gland fini par sortir, de lurine sécoula de son anus mais C. Se retint. Elle se coucha sur le dos pour reprendre ces esprits.
Ma main droite caressait le derrière de N. a portée. Nous étions trempées de sueurs et durine et reprenions notre souffle quant tout à coup, nous entendîmes un bruit découlement. C. ne se retenait plus et vidait son fondement du liquide que jy avais déposé. Le jet qui sortait était droit et puissant il éclaboussait mon sexe puis mon ventre derrière et trempait de nouveau N. sur le coté. Il fut cependant court et à la fin, sortait aussi bien de lurine que le foutre de ma 1ere enculade. Mon sexe droit comme un i était entièrement souillé. Après quelques instants, C. et N. émergèrent et se remirent à genoux.
« Eh bien ! Mon salaud ! Sexprima C., on peut dire que tu assures » me lança t elle. « Et on peut dire que tu as de la chance » tourna t elle a N. en lui prenant le visage dune main pour lui rouler une pelle. N. lui rendit son baiser en recommençant à la caresser. Je me redressai sur un bras pour les regarder ce qui ne fit nullement baisser mon érection. Elle ne faisait de nouveau plus attention à moi. Alors je me remis debout et mapprocha delles, sexe tendu vers lavant. C. détourna son regard en me voyant arriver. « Mais cest quil en redemandera le petit saligaud ! sexclama t-elle après sêtre écarté de N. « et a ce que je vois, cela aurait besoin dun bon nettoyage. Viens N., on va lui refaire une beauté. »
Disant cela, elle prit mon membre dune main et sactiva de bas en haut langue sortie avant de plonger la bouche la première dessus. N. se repositionna en face de C. et sorti sa langue pour me lécher le pourtour. C. sactivait avec sa langue et ressortant mon membre de sa bouche, entreprit de le lécher entièrement ce qui permit à N. de venir mélanger sa langue à celle de C. elles reprirent ensuite un pompage carabiné, se passant mon sexe régulièrement de bouche en bouche Elles profitaient régulièrement de la passation pour se rouler des pelles. Javais posé une main sur chaque tête à mes pieds et me concentrait les yeux fermés sur les sensations que ressentait mon bas ventre. Jessayais de tenir le plus longtemps possible, mais cela devenait intenable. Quand je sentis linstant ultime arriver, je me reculai légèrement en prenant mon sexe dune main. Les filles comprirent tout de suite et se mirent en position pour recevoir mon foutre. Elles neurent pas longtemps à attendre et je cherchai à viser avec soins le haut de leurs visages. Je ne lâchais que quelques giclées mais cela suffit pour que je puisse les asperger toutes les 2. Mon sperme sétala sur leurs visages à la limite de leurs chevelures. N. sempressa de ressortir sa langue pour lécher le visage de C. qui sempressa de sortir la sienne pour faire pareil. Personnellement, jétais épuisé. Ma queue repartait en berne pour la dernière fois. En même temps quelles se léchaient mutuellement, leurs mains se caressaient tout leur corps trempé de pisse et de sperme. Elles finirent devant moi en se caressant mutuellement leurs clitoris et dans des cris de plaisirs à nen plus finir. Nous nous étalâmes par terre pour nous reposer. Je tenais chacune des filles de chaque coté et nous nous bécotions pour reprendre haleine. Quelle matinée. Je ne métais vraiment pas attendu à ça.
« Humm ! Cétait merveilleux. Jai vraiment adoré » soupira C. « cétait même mieux que ce que tu mavais raconté » dit-elle à N.
« Alors comme ça, on déballe notre vie intime ? » dis-je à N.
« Tu as bien du deviner que je lui en avais touché un mot non ? Cela faisait quelques semaines que nous avions sympathisé et bien évidemment, nous avions fini par parler sexe. Je ne voulais pas parler de nous au début mais comme elle avait remarqué un changement en moi, elle ma harcelé de questions pour tout savoir. On a été dans un café et après lui avoir fait promettre de ne pas me juger et de ne rien répéter, je lui ai raconté notre histoire sans dire qui tu étais. Voyant au fur et à mesure de mon récit son intérêt, je lui ai finalement tout déballé sur nos jeux. »
« Quand elle ma raconté son histoire, dit C, jen étais toute excitée. Je ne mouillais rien quà lécouter. Ce genre dhistoire duro ma toujours tenté car je jouais souvent à touche pipi avec un cousin quand jétais jeune mais on grandit trop vite et mon mari na jamais été porté sur le sujet. Jai essayé une ou deux fois dans les premiers temps de faire pipi devant lui pendant que nous prenions une douche ensemble mais il ma demandé darrêter car disait il, cela le gênait. Alors en écoutant N, je me suis rappelle ma jeunesse et toutes les sensations davant me sont revenu et jai eu envie de recommencer. Au café Jai invité N à aller aux toilettes pour nous refaire une beauté et en bas, je lui ai signifié mon envie duriner devant elle. Nous avons fini dans le même WC. Nous étions en jupe. Je nai eu quà la soulever et baisser ma culotte. Je me suis installé difficilement à califourchon sur le trône à cause de mon ventre pour me sur élever. N devant moi narrêtait pas de me regarder me mettre en position avec attention. »
« À vrai dire, cela me gênais comme situation, intervint N, mais moi aussi, cela commençait à mexciter. Cétait la première fois quune femme se déshabillait devant moi »
«Moi, je létais tellement que je narrivais pas à me soulager. Alors jai voulut commencer à me masturber mais malheureusement, ma posture me lempêchait. Jai demandé à N de bien vouloir maider ce quelle fit promptement. Elle sest approchée et a poser une main sur mon sexe. »
« Comme ça, fit N en se levant pour se placer à coté de C et lui mettre une main pour commencer à la masturber. »
« Oh oui !!Soupira C. cest toujours aussi bon elle ma fait jouir assez rapidement et puis jai lâché mon flot durine sur sa main qui continuait de me caresser. Je ne regardais même plus ou je pissais et jen ai mit partout, même sur ma culotte. Une fois fini, jai demandé à N de prendre ma place et de faire pareil. »
En disant ces dernières paroles, elle se tourna vers N pour lembrasser et se laisser aller à son plaisir grandissant avant de se laisser submerger par une nouvelle jouissance.
« Humm !!… fit- elle, ça me donne encore envie. »
Elle se releva pour se mettre au dessus de N, écarta ses petites lèvres. On put voir rapidement son jet sortir qui alla éclabousser les seins et le ventre de N qui se caressa avec ce liquide chaud. Mais son flot se tarit très vite car elle sétait déjà vidée avant.
N reprit en continuant de se caresser le ventre. « C me fit la même chose que ce que lui avait fait auparavant. Elle me masturba et après avoir jouis, je me suis mis à pisser partout, jusqu’à atteindre la porte. Comme elle, javais inondé ma culotte et il y avait de la pisse partout. Dun commun accord, nous avons enlevé nos culottes complètement trempées et on les a laissés sur place. Nous sommes ressortie (heureusement il ny avait personne dautre) nues sous nos jupes et après nous êtres débarbouillées, nous somme remontées. En montant nous avons croisé un jeune homme alors nous nous sommes dépêchées de régler et de partir avant quil ne revienne. Nous sommes monté rapidement en voiture et sommes rentrée chez nous en se donnant rendez vous pour ce matin. »
« Bon sang, quest ce que jaurai aimé être là pour voir sa tête ! Sesclaffa C. Tu crois quil a emmené nos petites culottes ?? »
« Il parait que certains se branle dedans. » répondit N en me regardant avec un sourire qui en disait long. Naurait elle pas tout avoué à C ??
« En attendant, il serait temps pour nous tous daller prendre une douche et de nettoyer tout ça. Cela devient une vraie piscine. » N navait pas tort, nous pataugions dans lurine et lodeur commençait à être prenante. Alors on se releva et allâmes direction salle de bain. On se lava tous en se caressant mutuellement et on fit jouir N, C et moi, pour la remercier de cette matinée. On finit par tout nettoyer (à lexception de lodeur) et C me fit la grimace en récupérant sa culotte.
« Oh non !! Je vais de nouveau devoir rentrer cul nu chez moi ! Cela devient vraiment une habitude. » Sourit-elle.
Nous finîmes par quitter N et partîmes chacun de notre coté C et moi après sêtre fait les bises sur le pallier et quelle me mit sa culotte souillée dans une de mes poche. « à très bientôt jespère ! »
Oh que oui, jespère à très bientôt, pensais je.
Je remontai chez moi plein dimages surréalistes en tête et meffondra dépuisement sur mon lit.
A suivre
