Mon épouse, 42 ans, se consacre entièrement à notre famille. En intimité, elle aime faire lamour et porte toujours de la belle lingerie sexy. Elle apprécie tout particulièrement les hauts talons.
Un vendredi, elle me dit que sa copine Véronique lui a proposé de sortir en boîte avec elle. Je lui dis quelle devrait le faire et que cela pourrait lui faire un peu de changement. Finalement, elle me répond quelle nen a pas envie. En début de soirée, le téléphone sonne, cest Véronique qui lui demande si elle se joint à elle pour la soirée. Devant mon insistance, elle accepte. Peu avant lheure du rendez-vous, elle monte vite se changer. Elle a opté pour un jeans moulant, un pull avec un léger décolleté et des chaussures à talon de 10 cm. Elle membrasse en me disant quelle ne fera pas long. Véronique lattend déjà devant la maison avec sa bruyante 306.
Pour ma part, je profite de ma soirée devant la télévision avec un bon film daction. Ma femme mappelle pour me dire que cest une soirée avec des tubes des années 80 et quil y a peu de monde. Je lui dis que pour une fois quelle sorte quelle en profite ajoutant que je vais me coucher tôt pour rattraper mes heures de sommeil en retard. Vers quatre heures du matin, jentends un bruit de voiture mais manifestement pas celui de la 306. Quelques minutes plus tard, ma femme déverrouille la porte palière, se rend dans la salle de bain puis me rejoint au lit. A moitié endormi, je lembrasse et me rendors tranquillement. Au réveil, elle me confirme quelle a passé une bonne soirée et quéventuellement elle prévoit de ressortir dans quelques semaines.
Plusieurs jours après cet épisode, à la sortie de lécole je croise Alain, le mari de Véronique. En discutant de tout et de rien, japprends que sa femme, le fameux soir, est rentrée vers une heure du matin. Du coup, je me rappelle bien avoir entendu un bruit de voiture avant larrivée de mon épouse mais ce nétait pas celui de la 306 de Véronique. Des fois quand on est à moitié endormi on ne sait plus trop. Je ne sais plus quoi penser. Je décide dattendre et dêtre attentif aux moindres détails. Les jours se succèdent normalement. Je profite même de consulter le téléphone mobile de mon épouse mais il ny a rien de douteux.
Deux semaines plus tard, elle mannonce que Véronique lui a demandé de laccompagner dans la même discothèque que la dernière fois et quelle lui a dit oui. Elle me demande si jy vois un inconvénient. Je lui dis de profiter de sa soirée mais, ce soir jen aurais le cur net.
En fin daprès-midi, elle mets beaucoup de temps à se préparer, elle qui est assez rapide habituellement. Finalement, elle choisit sa jupe portefeuille en cuir noir, un chemisier gris satiné et des chaussures plates. Je suis un peu surpris de la voir avec des ballerines et lui en fait la remarque. Elle me répond quelle ne veut pas mettre des hauts talons pour pas faire trop salope. En partant, elle prend sa voiture car elle na pas envie de faire trop long contrairement à sa copine Véronique.
Malgré tout, je me pose beaucoup de questions et jai des doutes.
Vers minuit, je décide de me rendre dans cette discothèque. Dabord, je fais le tour du parking et je trouve la voiture de Véronique ainsi que celle de mon épouse qui est garée un peu plus à lécart. Ensuite, je paye et rentre enfin dans cette boîte. Je reste un peu vers lentrée afin de ne pas me faire voir. Je trouve une place dans un coin du bar où une lampe fait défaut. De la sorte, je ne peux pas être vu ou reconnu. Je scrute toutes les tables et reconnaît Véronique. Elle est habillée comme une véritable pute. Elle se trouve entre deux gars qui soccupent de la peloter et de lembrasser, quelle salope, si son mari savait. Il y a encore deux autres types à table avec eux. Je cherche toujours ma femme mais je ne la vois pas, ni à une table, ni sur la piste de danse. Finalement, je distingue vers laccès aux toilettes la silhouette de ma dulcinée qui se dirige vers les tables. Je suis fort surpris de la voir perchée sur ses talons de 15 cm alors quelle avait quitté le logement avec ses ballerines. Pire, je vois quelle tortille son joli petit cul avant de rejoindre la table de Véronique et de prendre place entre les deux messieurs inoccupés.
Lun deux se lève, prend mon épouse par la main et lentraîne sur la piste de danse. Je vois quil sagit dun homme de 50 ans environ, basané, bien de sa personne. Il tient mon épouse par la taille, descends ses mains par moment sur ses fesses et sa poitrine, sans quelle ne réagisse. Au contraire, elle se colle encore plus à lui. Il lembrasse dans le cou et il la fait rigoler.
Il lui roule même une pelle qui dure un bon moment tout en la caressant par-dessus les habits. Ensuite, il la ramène à table bras dessus, bras dessous. Véronique ne se trouve plus à table, elle a du partir avec ses deux amis. Ma femme a juste le temps de boire un verre que le deuxième type linvite à son tour sur la piste. Il ne se gêne pas pour lui mettre la main aux fesses et elle lui répond uniquement avec un sourire. De retour à table, toujours entre les deux, elle se fait passablement peloter et embrasser. Ils arrivent à mettre leurs mains sous sa jupe et à découvrir son petit trésor.
Doù je suis-je peux voir quelle porte des basJe suis noir de rage et jhésite à intervenir mais curieusement je suis aussi excité par ma salope de femme. De toute façon le mal est déjà fait, alors je veux voir jusquoù elle ira.
Visiblement, elle apprécie les caresses et mets sa tête en arrière comme pour sabandonner. Elle est sous leurs emprises et ces deux salauds ne sen privent pas. Totalement impudique, elle se laisse tout faire et à la voir bouger son bassin, elle doit avoir une main coquine sous son string. Elle écarte encore plus ses jambes. Après un bon moment de ce traitement, je pense quelle a joui, elle qui est si sensible du clitoris.
Soudain, les deux gars, visiblement bien plus âgés quelle, la prennent par la main pour laider à se mettre debout. Elle réajuste sa tenue malgré les mais baladeuses et quitte la discothèque toujours entourée par ces opportunistes. A peine, elle a franchi la porte que je sors à mon tour au cas ou elle prendrait sa voiture. Je la vois traverser le parking, sarrêtant pour embrasser lun ou lautre de ses cavaliers. Elle peine à tenir sur ses hauts talons. Elle est continuellement caressée. Tous les 3 prennent place dans un break stationné à côté du véhicule de mon épouse. Je me dépêche de reprendre mon véhicule et je les attends un peu plus loin pour les suivre. Comme ils nont pas passé, je descends de ma voiture et me dirige vers celle de ma femme qui dispose de vitres teintée. A travers celles-ci, je peux les observer sans me faire voir.
Là, je découvre mon épouse à quatre pattes, vêtue seulement de ses bas, un porte-jarretelles et ses talons. Elle est prise en levrette et essaye de sucer la queue qui se présente à elle. Le gars qui la lime lui impose une cadence impressionnante et en plus il est particulièrement bien doté par la nature. Jen suis presque jaloux. Jentend même mon épouse crier son plaisir, mais rien y fait, ce salaud continue son rythme. Celui qui se faisait sucer a sorti son natel pour filmer la scène. Pendant presque 50 minutes, ils se relaient pour la baiser comme une chienne. Elle crie son plaisir pour leurs montrer quelle aime ça. Ils la traitent de tous les noms et elle leurs dit de continuer que cest une salope.Je ne la reconnais plus. Elle a joui comme jamais.
A bout de ressources, ils arrêtent la séance et sortent tous les trois de la voiture.
Moi, je bande comme un fou et je me dépêche de regagner la voiture pour rentrer avant elle à maison. Environ 20 minutes après, je lentends qui rentre. Elle prend une douche et me rejoint discrètement dans le lit. Je lui demande si elle a passé une bonne soirée et commence à la caresser. Elle essaye de se dérober, mais finalement fou dexcitation, je la baise comme un malade et elle jouit encore.
Surpris par mon ardeur, elle me dit que si chaque fois quelle sort je la baise de la sorte, alors elle va ressortir en boîte ce quelle a déjà prévu