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Vanessa, elle existe, je l'ai rencontrée. – Chapitre 12




Je quitte mon beauf le vendredi matin pour rentrer chez moi en train, c’est du moins ce que je lui ai dit, un mensonge de circonstance. Il m’emmène à une bouche de métro et on se dit à bientôt.

En fait j’ai rendez-vous à dix-huit heures trente chez Vanessa. C’est une jolie salope de vingt-six ans que j’ai rencontrée grâce à internet, et qui aime les vieux vicieux comme moi. On a prévu un week-end très cochon en compagnie d’une ancienne amie à elle, Camille, vingt-cinq ans. Pour information complète sur nos âges, j’ai soixante-deux ans.

Je suis à l’heure et mon hôtesse m’informe que sa copine a appelé et qu’elle aura un peu de retard. Du coup elle veut en profiter pour me faire une beauté. Je ne saisis pas de suite, et elle m’explique qu’elle veut me raser le bas ventre, me débarrasser de ma toison grisonnante. Après tout c’est un peu son métier et je me laisse faire. Elle me rase le pubis mais aussi les boules avec une infinie délicatesse. Puis elle veut me raser le cul. Je me retourne, me penche en avant et écarte mes fesses. Elle supprime jusqu’au moindre poil puis m’enduit d’une crème apaisante. Elle semble satisfaite de son travail et m’emmène me voir à la salle de bain:

— Regarde comme tu es beau, comme elles sont bien en valeur ta bite et tes couilles. Je vais être fière de te présenter.

C’est vrai que je m’aime bien ainsi, qu’elle a fait du bon boulot.

Moins d’une demi-heure plus tard on sonne à la porte; c’est son amie. Vanessa la conduit au salon, la débarrasse de son sac et de sa veste, puis elle tombent dans les bras l’une de l’autre. Elles s’embrassent à pleines bouches, se disent leur plaisir de se retrouver, s’embrassent à nouveau, fougueusement. Elle réalise alors qu’elle n’a pas fait les présentations, et rattrape son oubli. On se fait la bise avec la nouvelle venue, on échange deux balivernes, du style que l’on est enchanté de notre rencontre.

On est là tous les trois pour un week-end bien salace, ce sont les filles qui ont tout organisé, et je vais me laisser aller dans leurs délires dont je suis persuadé qu’ils vont me plaire. Vanessa donne le départ de nos séances de débauche. Elles ont prévu tous les plans en commun accord, et je vais découvrir leurs rêves les plus secrets et inavouables.

On se déshabille tous les trois, complètement à poil, et on admire la ficelle qui pend entre les cuisses des filles, confirmation de nos attentes. Vanessa s’adresse à sa copine:

-Hum, tu as pris des kilos ma chérie, ça te va super bien, tu es magnifique.

— Tu es sérieuse ou tu te fous de moi?

— Non, je te jure, tu étais trop mince, mais là tu es trop belle. Si je n’étais pas déjà lesbienne, je pense que je le deviendrais.

Puis elle s’adresse à moi:

— Qu’est-ce que tu en penses, elle n’est pas jolie ma copine?

— Regarde ma queue et tu auras la réponse. C’est pour elle que je bande, plus que pour toi.

— Ca tu vas me le payer mon salaud.

Elle s’approche de moi et me demande de m’agenouiller devant elle. Je ne veux rien lui refuser, à sa copine non plus, et je m’exécute.

Elle tire sur la ficelle, retire son tampon rouge vif, et se masse la vulve avec. J’ai en main un bocal qu’elle m’a donné, et elle jette sa protection dedans:

— Lèche moi gros porc, montre moi que tu es une ordure.

Je m’exécute comme une larve soumise, bien trop heureux de cet instant sur lequel je fantasme depuis longtemps. Je me vautre la gueule entre ses cuisses, lèche sa moule, enfouis ma langue, savoure et engloutit sa liqueur interdite. Elle me saisit par les cheveux pour me décoller et me fait me relever. J’imagine que j’ai du sang sur le museau et elle me roule une pelle vorace. Sa main se saisit de mon sexe qui bande et elle enfourne mon gland dans sa fente torride:

— Baise moi, trempe ta bite dans mes jus.

Je lui mets quelques bons coups de queue, puis elle me repousse et s’accroupit pour me sucer, nettoyer mon manche souillé de ses sécrétions colorées. J’ai toujours le bocal à la main et elle me demande de le tenir entre ses cuisses. Elle avance son merveilleux bas-ventre, écarte ses lèvres intimes, et pisse dru jusqu’à presque remplir le récipient. Elle récupère la ficelle, agite le tampon, le secoue, le fait tournoyer pour le dégorger, puis le jette dans un autre bocal. Elle m’ordonne de boire ce mélange orangé, mais de surtout leur en laisser.

J’avale, gorgée par gorgée, et m’applique à ne liquider qu’un tiers. Oh putain, c’est bon, et je cesse avec regret. Vanessa passe le flacon à Camille qui engloutit la moitié de ce qui reste, félicite sa copine pour ses liqueurs aussi délectables qu’autrefois, et lui laisse finir ce savoureux breuvage, son breuvage.

Camille se plante devant moi et me demande de m’agenouiller. Je comprends sans mal que la séance va se répéter point par point et j’en suis tout excité. Elle retire son tampon, frotte son mont de vénus avec, je la lèche, elle m’embrasse, je la baise, elle me suce, elle pisse, on boit. Aucun suspense, juste une redite de la séance précédente, mais encore meilleur puisque c’est notre première fois à elle et moi.

On se félicite pour ce démarrage en trombe, puis Vanessa me demande de la prendre en levrette. Elle se met en position, de dos, penchée en avant, les jambes écartées. Je viens derrière elle et je l’embroche de ma bite bien tendue. Camile s’accroupit à mes côtés pour mieux voir le spectacle et sa main glisse entre mes cuisses par l’arrière:

— Oh, c’est beau comme tu la baises, comme ta belle bite va et vient dans sa choune. Et c’est bon de caresser tes grosses couilles, elles sont douces, bien rasées, chaudes, bien lourdes, bien pleines. Sors ta queue, j’en ai envie.

Je ne résiste pas à sa demande, et à peine mon manche à l’air libre elle se jette dessus. Elle l’engloutit sans effort puis pousse mes couilles pour les gober elles aussi. Je n’y crois pas, personne ne m’a jamais fait ça, et je savoure cet instant avec délice. Elle dévore mon paquet puis le recrache pour respirer:

— Baise moi, fous me la bien profond.

Elle s’est tournée, offerte, et je la pénètre sauvagement. Elle sait que l’on est en appartement, qu’il ne faut pas alerter les voisins, et comme l’a fait Vanessa avant elle, elle fait un effort pour ne pas hurler, se contente de gémir, de souffler fort, de murmurer des encouragement et des obscénités nous prouvant son plaisir bien réel et non dissimulé.

Vanessa s’est installée à son tour pour me voir emplafonner sa copine, puis elle veut sa part à nouveau. Elle pompe ma queue toute chaude sortie du con liquoreux de Camille, puis s’offre pour une nouvelle baise, courte mais intense. Je les tringle plusieurs fois, chacune son tour, jusqu’à sentir mon plaisir se manifester. Je les préviens, demande laquelle des deux veut me recevoir, mais Vanessa a une autre idée. Elle me demande de baiser Camille, de la défoncer, mais de ne pas jouir en elle. Elle récupère le flacon avec les deux tampons usagés et me demande de baiser sa copine jusqu’à ne plus pouvoir me retenir, de ne surtout pas la remplir, et d’éjaculer dans le récipient.

Je baise Camille de toutes mes forces, jusqu’à sentir ma sève monter. Je me retire, je me branle au ras du bocal que tient Vanessa, et Camille a juste le temps de se retourner pour me voir décharger.

Je balance une première giclée imposante qui s’écrase au fond du bocal, et aussitôt Vanessa se saisit de mes couilles, les presse comme des citrons:

— Oui, jouis, jouis salaud, vide tes couilles, donne nous tout ton foutre, …

Je décharge comme je l’ai rarement fait, je tapisse tous le flacon de ma semence.

Je suis vidé, dans tous les sens du terme, et je reprend mon souffle.

Vanessa me demande de pisser. Je n’ai pas fait depuis le matin, sachant ce qui nous attendait, et je n’ai aucun mal à remplir le récipient. Vanessa, toujours elle, la maîtresse de cérémonie, s’empare des tampons, les presse, les essore, pour faire cracher tout leur jus. Elle les jette puis tend le bocal à Camille. Elle boit un tiers du contenu, puis c’est à Vanessa et enfin à moi. Elles sont ravies, moi aussi, de ce mélange sang pisse sperme.

On fait une pause, on s’installe à la table de la cuisine, on prend un apéro. Les filles sont installées sur des chaises de jardin, des chaises creuses, en plastique, avec un trou pour évacuer les eaux de pluie en cas d’usage extérieur. Elles ont placé un saladier juste en dessous de l’ouverture, en prévision de leurs pertes incontrôlées, vu qu’elles n’ont pas remis de tampon.. Je les laisse se raconter ce qu’elles ont fait durant toutes ces années d’absences. Vanessa ne cache rien de ses incestes, de ses relations animales, surtout avec des chevaux, de ses multiples partenaires masculins et féminins. Camille avoue qu’elle ne connait plus d’hommes depuis ses copains de jeunesse qui l’ont déçue, et qu’elle baise avec des femmes propriétaires de chiens dressés pour satisfaire leur maitresses et leurs amies. Puis elle me rassure me disant qu’elle voulait réessayer les hommes, et que je la réconcilie avec, que je suis un partenaire parfait, bien membré et vicieux à souhait.

On passe à table, un repas froid. On discute toujours, et c’est moi qui fait la bonne. Je dessert, je ressert, salade, fromage, fruit… Les filles restent collées sur leur sièges, et on sait tous les trois qu’elles ont saigné en abondance.

Le repas est terminé, je me lève, et Vanessa en fait autant. Elle a du sang partout, sur les fesses, sur les cuisses, sur la vulve, et aussi sur son siège. Elle pousse le liquide avec son doigt pour finir de le faire s’écouler dans le grand bol. Camille se lève à son tour, elle a eu des écoulements elle aussi, et nettoie sa chaise.

Vanessa nous demande de la suivre à sa chambre. Elle roule un patin à Camille, lui souffle quelques mots à l’oreille, et elles se retrouvent allongées sur le lit, sur le côté, en 69. Elle nous précise que sa couche est bien protégée par une alaise plastifiée, couverte d’un vieux drap rouge qui ne risque plus rien Elles se lèchent, la vulve, les cuisses, le cul, elles se nettoient, engloutissent toutes traces sanguines.

Je les regarde et je me branle. Vanessa se retourne et me fixe dans les yeux:

— Ca te plait salaud, des jeunes femelles qui se gouinent pendant leurs règles. Tu bandes gros porc, encule moi, fumier, casse moi le cul.

Je ne me le fait pas dire deux fois, je viens derrière elle, et je la pénètre sauvagement. Je la devine gueuler sous mon assaut, bien qu’étant habituée à se faire matraquer, mais ses cris se perdent dans le vagin de sa copine qu’elle broute sans retenue. Camille par contre a cesser de la brouter et s’est un peu reculée pour apprécier la vue de notre copulation. Elle me caresse les couilles puis au bout de quelques secondes s’empare de la base de mon sexe pour le retirer de son étui. Elle me suce un bref instant, plante ma queue dans la chatte de sa consur, la retire pour la sucer encore, puis la remet en place entre les fesses de Vanessa pour ne pas l’en priver davantage.

Je suis émerveillé du traitement que je viens de subir, et m’adresse à ma petite chérie:

— Oh putain, elle est trop bonne ta copine, aussi salope que toi! Elle se fait mettre par derrière?

— Demande lui, et tu sauras.

C’est ce que je fais sans attendre:

— Tu veux que je t’encule Camille?

— Tu as intérêt, salaud. Quand je vois ce que tu lui mets, j’espère bien en prendre autant.

— Ok salope, prépare ton cul, j’arrive.

Vanessa intervient aussitôt:

— Laisse moi faire mon amour, je vais bien l’ouvrir ton petit trou.

Elle a peine terminé sa phrase qu’elle plonge ses doigts dans la chatte bien huilée de sa partenaire pour les lubrifier, puis les enfouir dans le fion de ma future enculée. Un doigt, deux, trois, quatre, elle la pénètre, la fouille, l’ouvre, l’élargit, fourre sa langue. Elle l’a rapidement dilatée:

— Vas-y, encule la cette pute, défonce la comme tu me défonces.

Je change de place et m’introduit entre ses fesses . Ca glisse avec aisance:

— Salope, ce n’est pas ta première fois on dirait!

-Oui et non, ça dépend.

— Ca veux dire quoi?

— Je me fais sodomiser par des godes et des chiens, mais tu es le premier homme à passer par là.

— Ouah, c’est trop d’honneur princesse. Et vous penser quoi de votre chevalier servant?

— Que j’aimerais que tu sois comme les chiens, sentir tes grosses boules coincées dans mon cul!

— Désolé, mais je ne suis qu’un homme.

— T’inquiète, je plaisante, c’est trop bon comme tu m’encules, elle est bonne ta putain de queue.

Je la matraque quelques instants, et c’est au tour de Vanessa de dégager mon membre, de le sucer, l’enfouir dans la fente de sa copine, la sucer encore et la replacer entre ses fesses. Elle veut que je la prenne à nouveau, et tout comme je les baiser à tour de rôle la première fois, je vais maintenant les enculer à tour de rôle, pendant plus d’une heure. Je suis épuisé à force de les honorer, il faut que je jouisse et me repose. Je demande à nouveau laquelle veut me servir de dévidoir, et Vanessa me suggère de décharger entre les reins de Camille, pour sa première sodomie avec un humain.

Je ne pouvais rêver mieux, et elles changent de position à l’initiative de notre hôtesse. Elles sont toujours en 69, mais l’une sur l’autre, Camille au dessus, les reins cambrés, pour mieux m’offrir sa croupe sublime.

Je viens sur elle et l’embroche d’un seul coup, bien profond. Je la lime, encouragé par Vanessa:

— Oui, c’est bon, vas-y, défonce la cette salope, encule la fort comme tu m’encules, monte la comme un chien monte une chienne puisque c’est ce qu’elle aime. Remplis la de foutre cette putain, qu’elle sache comme c’est bon avoir du sperme d’homme plein le cul….

Elle continue ses mots vulgaires tout le temps que je casse le cul de notre invitée surprise, et que je me libère enfin dans son tube trop accueillant. Je l’arrose à plusieurs reprises et Vanessa me pressent à nouveau les couilles comme pour mieux les purger. Je me retire et m’effondre à côté d’elles, épuisé.

Je vois alors Vanessa lécher le cul de son amie, et je comprends mieux. J’étais étonné qu’elle se sacrifie pour sa copine, elle qui aime tant être farcir de sperme, mais je sais maintenant qu’elle va se régaler, la salope. Elle aspire le fion que je viens de garnir, récupère toute ma semence et la dévore gloutonnement.

Elle a tout pris, et donne une claque sur le cul de Camille pour lui dire que la séance est terminée. Celle ci se dégage, mâte ma queue ramollie et souillée de ma dernière sodomie dont elle a bénéficier. Elle se penche dessus et me la suce délicatement pour me la laisser toute propre.

On est tous crevés, et on décide de dormir.

Mais avant cela on va pisser. On repart à la cuisine, on urine tous les trois dans les deux saladiers dont le fond est recouvert de sang. On les remplit bien tous les deux et on les met au frigo.

Les filles glisse un tampon dans leur vagin, et vont se coucher toutes les deux dans la chambre. Je dors au salon, dans le canapé lit.

A suivre…

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