— La mère: Lilianne, 50 ans.
— La fille ainée: Isabelle, 25 ans.
— La deuxième fille: Emma, 20 ans.
Claudia et Emma montent les marches de l’ immeuble de Lilianne.
— N’ oublie pas ma chérie, reste calme et ouverte.
— Oui mamie, ne t’ inquiètes pas.
.. Ca va être un peu bizarre, mais je te fais confiance.
Lilianne entend les deux voix.
Elle se précipite pour ouvrir la porte d’ entrée alors que Claudia allait sonner.
— Enfin, vous voilà! Dit-elle en étreignant sa mère tout en serrant la main de sa fille.
Elles s’ installent au salon devant des verres de sangria que Lilianne a préparée durant l’ après-midi.
La musique de Tangerine Dream soulage la gène silencieuse des trois femmes.
Lilianne tout en se préparant un joint observe discrètement Emma, ravissante dans sa jupe légère et son chemisier généreusement ouvert.
— Perçons l’ abcès immédiatement les filles. Dit finalement Claudia.
— Oui. Je vous demande pardon pour ce que j’ ai fais, je ne sais pas ce qui m’ a pris. Répond rapidement Lilianne en tripotant son briquet.
.. Ca ne se reproduira plus.
— J’ espère bien que ça ne se reproduira pas Lilly! lance Claudia d’ une voix sèche.
Emma regarde sa grand-mère d’ un air surpris.
— Tu te rends compte? Faire ça avec ta propre fille!
Lilianne baisse la tête en tremblotant.
— Je vais te donner une fessée comme quand tu étais petite. Viens ici!
C’ est au tour de Lilianne de regarder sa mère avec un air surpris.
— Quoi? Tu plaisantes maman?
— Ai-je l’ air de plaisanter? Après ce que tu as fais?
.. Viens ici je t’ ai dis! Continue Claudia d’ une voix froide, calme.
Lilianne voudrait protester, mais comme une somnambule elle se lève pour contourner la table basse.
Emma n’ en croit pas ses yeux. Mais l’ idée que sa propre mère se fasse fesser devant elle lui donne une bouffée de chaleur.
Claudia éclate soudainement de rire.
— Je plaisante bien sûr, espèce de grande cruche!
.. Tu n’ as rien fait de mal Lilly, et Emma s’ en rend compte maintenant. Dit-elle en tournant le regard vers sa petite-fille.
Cette dernière acquiesce.
— Oui maman, Grand-mère m’ a fait voir la situation sous un autre angle…
Comme paralysée, le regard de Lilianne fait des allers-retours entre sa mère et sa fille.
Emma se lève pour étreindre sa mère tendrement.
Lilianne est estomaquée, soulagée, bouleversée.
Claudia, un sourire aux lèvres, savoure son verre.
— Mmmm, délicieuse ta sangria.
Emma prend sa mère par la main pour aller s’ asseoir sur le divan avec elle.
— Ce n’ était pas marrant maman! Grommèle Lilianne en allumant son joint.
— Arrête de bouder, de plus je suis sûr que ça ne t’ aurait pas déplu de recevoir une fessée de ta vieille mère. Répond Claudia en rigolant.
— Maman! Tu es devenue folle ou quoi?
— Ne montes pas sur tes grands chevaux Lilly, après ce qui s’ est passé on ne va pas jouer la carte du puritanisme.
.. Et j’ ai même racontée à Emma les soirs où je venais vous observer ta soeur et toi.
La fumée du joint se bloque dans la gorge de Lilianne, elle se met à tousser douloureusement.
Emma tapote le dos de sa mère.
Cette dernière lui lance un regard implorant.
— Ne t’ inquiète pas maman, tout va bien.
— Moi qui pensais être ouverte… Souffle Lilianne en s’ affalant dans les coussins.
— Ce que tu as fait avec Isa prouve que tu es très ouverte maman. Répond Emma en souriant.
La sonnette de la porte d’ entrée retentit.
— Laisse Lilly. Dit Claudia en se levant pour se diriger vers la porte.
Isabelle, en voyant sa grand-mère, rebascule totalement dans sa facette de pimpante petite fille.
Elle se jette dans les bras de Claudia.
— Bonjour mon Isabelle. Chuchote-t-elle gentiment à l’ oreille de sa petite-fille.
Elles reviennent dans le salon sous le regard anxieux de Lilianne et d’ Emma.
— Nous parlions de fessée… Balance Claudia.
— Maman! intervient Lilianne.
— Tu ne veux pas savoir! Dit Emma, souriant en direction de sa soeur.
Isabelle ressent un profond apaisement en voyant Emma aussi détendue.
Pendant un moment, elles discutent agréablement sans aborder le sujet qui les a réunit.
Le bol de sangria descend rapidement.
S’ enchaînent quelques verres de rosé.
L’ agréable fraîcheur du soir arrive enfin. Les bruits lointains de la rue tissent l’ ambiance festive d’ un samedi soir.
Claudia sélectionne un album de Kate Bush sur la longue playlist de l’ ordinateur.
Lilianne ramène un bol de chips et une pizza aux doux arômes d’ anchois (qu’ elle a également préparée durant l’ après-midi).
— Tu aurais dû ouvrir un restaurant maman. Disent simultanément Emma et Isabelle.
Les deux jeunes femmes éclatent de rire.
L’ ivresse facétieuse fait son office.
— Très bien les filles, je crois qu’ il est temps de parler toutes les quatre de ce qui s’ est passé. Dit Claudia en reposant la croûte de sa part de pizza.
Le silence qui suit est rapidement brisé par la voix d’ Isabelle.
— Tout va bien Emma? Tu ne nous en veux plus? Je suis dé…
— Oui tout va bien ma grande tige, mamie a su dissoudre mon a priori. L’ interrompt Emma d’ une voix rassurante.
Isabelle et Lilianne se tournent vers la grand-mère.
— Tu seras toujours surprenante maman. Dit Lilianne, admirative.
.. Qu’ as-tu pu dire?
— La voix de l’ expérience. Répond Claudia en faisant un clin d’ oeil vers Emma.
.. Et si vous nous racontiez comment ça a commencé entre vous deux, les coquines? Continue-t-elle
en direction d’ Isabelle et de Lilianne.
Cette dernière lance un regard interrogateur à Isabelle qui, après quelques secondes, acquiesce en fermant les yeux.
Lilianne commence à raconter le coup de téléphone de sa fille au sujet de ses désirs pour Emma, le repas arrosé du lendemain, l’ avalanche de désirs du matin.
Emma écoute attentivement en regardant sa soeur blêmir au fur et à mesure du récit.
— Bien les filles! Dit Claudia d’ une voix profonde, rassurante.
.. Vous êtes toutes les deux adultes, si c’ est votre choix il n’ y a rien à redire. N’ est-ce pas Emma?
— Oui, tout est très clair mamie, pas de problèmes…
.. Alors tout a commencé parce que tu éprouvais du désir envers moi? Continue Emma en regardant tendrement sa soeur.
Isabelle hoche la tête avant de finir son verre de rosé.
— Et notre petite Emma est une sacré coquine elle aussi. Dit Claudia en se levant pour aller chercher une bouteille de rhum et de jus d’ orange.
.. pas plus tard que ce matin, je l’ ai surprise sous la douche en train de se donner du plaisir.
Continue-t-elle en servant l’ assemblée.
— Quoi? S’ exclame Isabelle en serrant la main de sa mère.
— Et comment l’ as-tu surprise maman? Demande malicieusement Lilianne en tirant une grosse bouffée sur son joint.
— Oui, comment m’ as-tu surprise mamie?
— D’accord les filles, vous m’ avez eu!
.. Comme votre mère le sait, j’ ai une tendance voyeuriste. Pressentant ce que cette coquine faisait, je n’ ai pu résister à l’ envie de contempler le spectacle de ma petite-fille en train de se masturber.
— Et bien, nous sommes quand même une sacrée équipe de petites cochonnes! Balance Isabelle.
Les quatre femmes repartent dans un fou rire.
— Je peux même rajouter que notre petite Emma aime… intimement sa brosse à cheveux. Continue Claudia en faisant une mimique sensuelle.
— Quoi? Demande Isabelle, le rouge aux joues, les yeux illuminés par l’ excitation.
— Des détails, des détails! Scande Lilianne en serrant plus fort la main d’ Isabelle.
— Ok, ok les cochonnes. J’ ai fais mumuse avec la brosse devant mamie. Depuis la perte de ma virginité, je fais une fixation sur les brosses à cheveux. Moquez-vous si vous voulez, mais c’ est mon godemiché de prédilection. Répond Emma en faisant un pied de nez.
Claudia se lève pour mettre un album des Eagles.
Elle revient se placer devant Lilianne pour la prendre par la main et l’ emmener danser au milieu du salon.
— Aller les filles, venez nous rejoindre. Dit-elle aux deux soeurs tout en caressant sensuellement le dos de sa fille.
Emma et Isabelle se rejoignent au côté de leurs aînées pour s’ enlacer maladroitement.
— Au diable les tabous! Murmure Claudia en posant les mains sur les fesses de sa fille.
Elles s’ embrassent tendrement, les langues discrètes s’ effleurent.
Emma ferme les yeux, pose sa tête sur l’ épaule de sa soeur.
Isabelle n’ ose y croire. Elle sent le délicat abandon de l’ objet de son désir. Elle voudrait la coucher immédiatement sur le divan, relever la jupe pour plonger entre les cuisses qu’ elle imagine si douces.
Mais elle se contente d’ enlacer sa soeur avec amour, respirant euphoriquement le parfum envoûtant de la peau brûlante, offerte.
Claudia, tout en dansant, déboutonne le jean de sa fille. Le pantalon glisse juste en dessous des fesses.
Lilianne gémit sensuellement en sentant les mains de sa mère malaxer son cul.
Les deux soeurs observent, excitées, le fessier dansant et pétri de leur génitrice.
Isabelle dépose un long baiser sur le cou de sa soeur, caresse le bas du dos avant de glisser des doigts agiles sous l’ élastique de la jupe d ’Emma.
Elle sent la cyprine épanouir ses lèvres intimes lorsqu’elle découvre que sa soeur n’ a pas mis de petite culotte.
— Les filles, votre mère va nous faire un petit spectacle! Dit brusquement Claudia en arrêtant de danser.
— Quoi? interroge, surprise et les fesses à l’ air, Lilianne.
— Tu va nous faire un petit striptease ma chérie.
.. Tu adorais danser devant la famille quand tu étais petite. Dit Claudia en prenant ses petites filles par la main pour les emmener sur le divan.
— Un strip, un strip! Scandent en choeur Emma et Isabelle.
Hésitante, Lilianne commence à onduler lascivement son corps tout en continuant de faire glisser son pantalon et la culotte le long des jambes.
Rapidement, elle se prend au jeu.
Elle libère une première jambe avant d’ expédier le pantalon en direction des spectatrices.
La petite culotte atterrit sur le visage de Claudia.
Cette dernière la saisit pour humer profondément le tissu trempé.
Isabelle s’ empare du trophée pour le placer entre son visage et celui de sa soeur.
Elles s’ embrassent au travers de la culotte maternelle.
Cette perverse vision encourage Lilianne. Elle se tourne pour exposer ses fesses qu’ elle écarte en cambrant le dos.
Claudia applaudit bruyamment, suivit immédiatement par les deux soeurs.
La culotte est restée collée au visage d’ Emma.
Lilianne déboutonne lentement son chemisier pour finalement exposer ses seins gonflés de désir.
Elle les caresse tout en s’ approchant de ses fans captivés, glisse une main entre ses jambes pour mimer une masturbation effrénée.
Isabelle pousse un sifflement digne d’ un bar du far west.
Elle sent la main de sa grand-mère relever son étroite jupe, caresser l’ intérieur des cuisses, atteindre la frontière du string.
Puis la main de sa jeune soeur faire de même.
Les mains de Claudia et d’ Emma descendent à l’ unisson le tissu tâché. Isabelle soulève les fesses pour faciliter l’ abandon de ce rempart devenu inutile.
Elles envoient le string en direction de Lilianne qui l’ attrape gracieusement.
Elle arrête de danser, ondule simplement des hanches en étirant le fond de la culotte pour y faire glisser une langue gourmande.
— Magnifique! Dit Emma en prenant le visage de sa soeur pour l’ embrasser passionnément.
Lilianne saute sur les trois spectatrices.
Elles accueillent le corps dénudé en lui prodiguant d’ indiscrètes intrusions de leurs doigts fureteurs.
Les rires se mêlent aux gémissements.
— Zut, désolée, envie pressante les petites cochonnes. Dit soudainement Lilianne en se redressant.
— Parfait, que le nouveau jeu commence! Dit Claudia en glissant un deuxième doigt dans le sexe spongieux de sa fille.
