Je ne sais pas combien de temps mon père m’a laissé dans mon ancienne chambre…
Les dix première minutes je me suis massée les cuisses, le ventre tout en regardant les murs vierges de papier et de peintures. Depuis moi, cette chambre est devenue une pièce à bordel.. Je ne sais pas ce que je dois en déduire.. Enfin bref.. Je ne sais donc pas combien de temps est passé, pour la simple et bonne raison, que je me suis endormie sur le sofa ( clik clak ) et que je me suis réveillée d’un coup, en sursaut, suite à une gifle de mon père sur les fesses.
Une belle trace rouge, cinq doigts se formant. Fronçant les sourcils, j’ai regardé mon père. Il se tenait face à moi, dans la main droite, une ceinture. Ok, je voulais bien être sa petite chienne, son vide couille ou sa cruche à foutre, mais les coups de ceinture c’est pas vraiment mon délire à moi… J’allais lui dire mais comme si il avait deviné mon intention il me coupa.
— Ta gueule. Mets toi sur les genoux.
J’obéis. Genoux joints au sol, les mains au dessus, sage. Il passa la ceinture autour de mon coup et fît glisser la boucle. J’étais … Chienne en laisse, mais il suffisait qu’il tire pour que je m’étrangle. J’ai trouvé cela.. Excitant!
Il tira légèrement dessus, sur le visage un sourire salace. De sa main gauche, il baissa la braguette de son jean et sortit son serpent de chair encore moue qu’il commença à branler devant mon nez.
-Ta mère ne rentre pas avant ce soir.. Et avant ce soir, je t’aurais rempli tous les trous, saucé ton visage et tapissé ton cul…
( C’est un fantasme! )
En gros, je sentais que j’allais prendre cher…
Aussitôt dit, aussitôt il fourra ma bouche de sa bite. Poussant un soupire d’aise, je sentis sa queue prendre peu à peu l’espace entre mes joues. J’allais, je venais sur sa queue qui prenait de l’ampleur. Je salivais, bavais comme une salope et il adorait ça.
Il ne me donnait pas de coup de bassins, ni d’ordre silencieux en tirant sur ma " laisse ". Il me laissait faire.. Mais je savais que si je n’avalais pas sa queue, je finirais par le payer. Des palpitations, des enflements entre mes dents, je retire ma bouche, un filet de bave me relie au gland rosé, excité.
— Papa, je t’en supplie.. Baise moi…
Il me répondit par un sourire pervers, m’attrapa par les cheveux et m’enfonça son chibre dans le fond de ma gorge.. Très profondément.
— Je te bai-se-ta-bou-che-de-pute. Sa-lo-pe!
Et il me la baisais comme jamais. J’ai senti ma gorge se dilater. Sa bite prendre de plus en plus de place. L’air se raréfier.. J’avais les larmes qui coulaient sur mes joues et des petits points blancs qui voletaient devant mes yeux. Je ne suis plus totalement sûr de ce qui c’est produit ensuite. Il tirait sur la " laisse ’ ça j’en suis certaine.. Et vous connaissez le jeu du foulard? C’est pareil.. Je me suis battue pour trouver mon air, pour rester éveillée, mais j’ai lâché prise.. c’est là ou j’ai joui à m’en pisser dessus..
Depuis, je me fais continuellement baiser par mon père! Chez lui, chez moi, dehors, dans sa voiture… On trouve toujours un prétexte..
En attendant j’ai un autre fantasme..
Ah! si j’étais un homme..