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Monsieur Welsher – Chapitre 2




Monsieur Welsher m’a vraiment perturbée. Assise dans le bus qui me ramène chez moi, je ne cesse de me remémorer l’instant ; la lueur perverse dans son regard, la manière dont il m’a menacée. Ça me fait froid dans le dos, et pourtant je sens ma culotte qui s’humidifie. Honteuse, je croise les jambes, comme si les gens autour de moi pouvaient se douter.

Quand le bus s’arrête enfin là où je l’ai pris ce matin, je manque presque de descendre tellement je suis perdue dans mes pensées. Je chasse mon beau professeur de mon esprit et me précipite vers la porte. Je marche les quelques centaines de mètres qui séparent l’arrêt de ma maison, jette mon sac par terre et m’étale sur le lit. Cette histoire est dingue. Si folle que j’ai la sensation d’avoir rêvé debout et inventé tout cela. Et puis pourquoi moi ? Objectivement, je ne suis pas moche, je l’admets, mais je suis pas le genre de petite étudiante en mini-jupe, avec une grosse poitrine et un super derrière rebondi. Je suis jolie, mais banale, et ce n’est pas écrit "fille facile" sur mon front.

Je finis par me dire que je devrais peut-être partager ça avec Wanda. J’aimerais bien voir sa réaction. Alors je saisis mon téléphone et compose son numéro. Elle répond assez rapidement.

— Allo ?

— C’est Eve, ça va toujours ?

— Super ! Alors, quoi de neuf ?

— Euh, fis-je soudain un peu hésitante, j’ai un truc à te raconter…

— Mais je t’écoute ! fit-elle tout attentive et excitée.

— Tu sais, le nouveau prof, il voulait me voir à la fin du cours…

— Et ?

— Il m’a fait des avances en sens.

— Quoi ? Comment ça ? Mais raconte !

— Il m’a dit que je n’avais pas à craindre qu’il me mange, et là il a fait une courte pause avant de rajouter, sur un ton bien aguicheur, sauf si j’arrivais encore en retard.

— Oh ma vieille, la chance !

— Tu trouves pas ça flippant ? Il est super canon mais c’est un prof, c’est bizarre !

— Moi je trouve ça super excitant ! Où est le soucis ? Il est super jeune, craquant, passionnant en cours, et il te fait du rentre-dedans ! Tu vas pas te plaindre, quand même ?

— Non, c’est flatteur, c’est certain.

— Exactement. Et c’est pour ça que tu vas arriver en retard demain.

— Quoi ? Non, je ne peux pas !

— Eve, je t’adore, mais apprends à saisir les occasions quand elles se présentent. Et bon sang, décoince-toi un peu ! Demain je te veux sexy, et surtout en retard. Et ce n’est pas négociable !

Sur ce, elle raccrocha. Et bien ! C’est vrai que c’est terriblement tentant, et que je pourrais m’amuser à le titiller, mais je ne sais pas… Ça reste un prof. Et pourtant j’en meurs d’envie…

Le lendemain matin, je me prépare comme d’habitude, sauf au moment de choisir ma tenue. Que mettre ? Un jean avec un t-shirt pour lui dire clairement non, ou une robe sympathique, ou encore une robe et des talons ? J’opte pour l’entre-deux, une petite robe que j’ai l’habitude de mettre et qui n’est ni un "oui" catégorique, ni un "non". Je l’enfile puis jette un coup dil à ma montre ; oh non, si je ne pars pas dans les cinq minutes je vais encore rater mon bus. Sans perdre une seconde, je cours prendre mon sac, une petite veste, enfile une paire de ballerine et cours hors de la maison.

Heureusement, je parviens à prendre mon bus habituel, qui devrait me laisser encore 10 minutes avant la sonnerie. Et non, je ne saurai pas en retard aujourd’hui !

Quand le bus arrive, je pénètre dans le lycée et me rends devant la salle. Wanda est déjà là, en train de parler avec d’autres personnes. Quand elle me voit, elle s’éloigne instantanément du groupe et me saisis par le coude sans s’arrêter, m’entrainant avec elle dans un recoin vide du couloir.

— Mais qu’est-ce que tu fais là ? me lance-t-elle. En retard, Eve, pas en avance !

— Je ne voulais pas arriver en retard. Je ne vais pas me donner comme ça en pâture. Mais en revanche, j’ai décidé de jouer un peu avec lui.

— J’ai hâte de voir ça !

Quand la sonnerie retentit, le prof ne tarda pas à arriver pour ouvrir la salle. Je laisse tous mes camarades rentrer et pénètre la dernière. Monsieur Welsher sortait les affaires de sa sacoche. En copiant un peu l’air qu’il avait pris la veille, et assez bas pour ne pas que les autres m’entendent, je lui glisse :

— A l’heure, vous voyez. Pas trop déçu ?

— Un peu, je l’avoue

Oh mon dieu je fonds ! Je file au fond rejoindre Wanda. J’explique ce qui vient de se passer à cette dernière. Elle est toute aussi folle que moi.

Le cours débute. Je ne lâche pas le prof des yeux, je le dévore même. Je ne voulais pas jouer l’allumeuse comme ça, mais il a tellement de charme et de sex-appeal que je ne peux m’en empêcher. Et il joue avec moi, lui aussi. Il ne cesse de me regarder, comme si nous n’étions que nous deux. Je ne sais pas quoi faire pour lui répondre, alors je fais cliché : je porte mon stylo à la bouche et je le machouille timidement, mais le regard enflammé. En fait, c’est beaucoup plus facile que ce que je pensais de jouer les pétasses. Et beaucoup plus plaisant.

Il demande à un volontaire de passer au tableau compléter son schéma récapitulatif. Évidemment, personne ne se propose. Le silence se prolonge, quand je l’entends prononcer mon nom. Mon désir se réveille rien qu’en entendant sa voix caresser mon prénom. Puis je me rends compte de la situation. Je lui fais non de la tête, affolée. Je n’ai rien retenu. j’ai brièvement entendu, mais j’ai surtout passé mon temps à rêvasser.

— Eve, venez-là, et vite.

Oh qu’il est sexy autoritaire comme ça ! Je me lève, et m’avance vers le tableau.

— Alors, je vous écoute.

"Driiiiiinnng!!!!!"

Un sourire de soulagement m’échappe. Déjà les élèves rangent leurs affaires et sortent de la classe. Je descends de l’estrade mais une voix m’arrête :

— Vous n’allez pas vous en tirer comme ça, Eve. Je veux ce schéma rempli.

Les derniers élèves quittent la classe. Monsieur Welsher ferme la porte, la verrouille et se retourne vers moi.

— Je n’ai pas cours l’heure suivante, et vous non plus, alors vous allez me faire ce que je vous demande.

Quoi, il connaît mon emploi du temps ? Il en devient effrayant. Mais pas moins sexy. D’ailleurs, il s’approche lentement de moi, s’arrête si près que je sens son souffle sur moi. Sans me quitter des yeux, il se contente d’attraper une craie et de me la tendre.

— Monsieur, vous savez que je n’ai pas suivi le cours. Je ne peux pas remplir ce schéma.

— C’est embêtant, tout ça.

— Je rattraperai le cours, je vous le promets.

— Ce n’est pas ce qui m’intéresse.

La tension est palpable entre nous, et terriblement intense. Il ne parle plus, moi non plus. Je me contente de cette chaleur qui émane de lui et de cette braise dans son regard. Puis sans crier gare, son visage plonge sur le mien et sa langue envahit ma bouche. C’est si doux et passionné à la fois ! Je lui réponds et glisse mes mains dans ses cheveux. Sans séparer nos bouches, il me conduit à son bureau sur lequel il me fait asseoir. Sans attendre, je sens ses mains parcourir mon corps, et ses doigts laissent comme de l’électricité sur leur passage. Rapidement, il se dirige vers la fermeture de ma robe. J’ai un mouvement de recul.

— Non, on ne peut pas. Ce n’est pas bien.

— Pourquoi ça serait mal ? J’en ai envie, toi aussi, alors faisons-le et c’est tout.

Et déjà sa bouche embrasse la peau de mon cou, et ses mains reprennent leur activité. Je sens ma robe s’ouvrir mais je ne proteste pas, et j’entreprends même de déboutonner sa chemise. Oh je ne tiens plus ! Il enlève son jean pendant que j’écarte ma robe qui git sur la table. Une fois fini, il m’observe, et je fais de même. Il est musclé juste comme il faut, assez pour que l’on voit le dessin de ses abdos sans que ça fasse trop.

— Tu es magnifique, dit-il en faisant courir ses doigts sur moi.

Il m’embrasse à nouveau et je me colle à lui. Il poursuit ses baisers partout sur moi, jusqu’à mon soutien-gorge qu’il ôte. Il embrasse alors ma poitrine, mordille mes tétons ce qui me fait gémir.

— Je tiens plus, lâche-t-il, viens-là.

Il me fait descendre du bureau, me retourner et allonger ma poitrine dessus. Je sens son érection nue contre le tissu de ma culotte. il glisse ses doigts dessous et le bout de tissu frôle mes jambes jusqu’au sol. Je prends ses mains et les colle sur ma poitrine. Il joue à nouveau avec mes tétons ce qui me fait gémir à nouveau. Je tourne la tête pour rencontrer la sienne, et de la main droite je pousse sa tête à la rencontre de la mienne. je l’embrasse passionnément. Ce que j’aime ça ! Puis je le quitte et me penche à nouveau.

— Prends-moi, je lui lâche.

Sans perdre un instant, je sens son pénis à l’entrée de mon vagin. Il s’enfonce facilement, trempée comme suis même sans préliminaire. Il est assez long et bien large. Je gémis à nouveau pendant qu’il commence ses allers retours. Il me caresse la poitrine en même temps. Oh c’est si bon. je l’entends respirer de plus en plus vite, et surtout plus fort. Mon souffle devient plus court lui aussi et mes gémissements plus intenses.

— Moins fort, tu vas nous faire repérer

-Mais c’est si bon. Ah ! Oui, baise-moi !

Je sens l’orgasme qui monte, et je jouis, un peu trop fort certainement puisqu’il met sa main sur ma bouche. Il ne tarde pas à venir lui aussi. Nous restons immobiles quelques instants, à bout de souffle. Puis il se retire et enlève son préservatif.

— T’es vraiment bonne, Eve.

— Vous n’êtes pas mal non plus, fis-je en me retournant.

Il m’embrasse à pleine bouche.

— Allez, rhabillons-nous, faut pas trop traîner.

Je ramasse ma robe et mes sous-vêtements et me rhabille rapidement. Je passe aussi mes doigts dans mes cheveux mais ça va, je ne suis pas trop décoiffée. Monsieur Welsher finit d’enfiler sa chemise et prends sa sacoche.

— J’ai adoré, vraiment. N’hésite pas à arriver en retard.

Je me dirige vers la porte. Il veut remettre ça ! Je plane sur un petit nuage. Et alors que j’allais sortir, il me plaque contre la porte, sa langue retrouve la mienne et deux de ses doigts se glissent sous ma robe et ma culotte. Un gémissement étouffé m’échappe. Il sort ses doigts de moi, les lèche sensuellement puis me claque la fesse droite.

— Allez, vas-y.

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