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La fac, ses plaisirs et ma soeur… – Chapitre 2




Au vu de l’état de mon lit au moment du réveil, je me dis que mes rêves ont dû être très agités, mais aucun moyen de m’en souvenir.

Après avoir retardé l’échéance au maximum, je décide finalement à me lever en direction de la salle de bain pour prendre une douche chaude. Arrivé devant la salle de bain, j’entends la douche couler, mais la porte est entrouverte. Mon regard se pose alors inconsciemment sur le miroir qui donne une vue directe sur la douche. La buée a malheureusement déjà fait son travail et je ne peux que distinguer la silhouette de ma sur sous la douche. Je distingue alors ses longs cheveux noirs plaqués en arrière et j’arrive à peine à distinguer la naissance de ses fesses, mais la buée recouvre déjà trop le miroir.

Bon, si je ne me décide pas à aller manger maintenant, je vais finir par être en retard, c’est sûr.

Une fois, après avoir entamé mon déjeuner, je ne peux m’empêcher de me demander ce qui me prend, à poser ce genre de regard sur ma sur. Je veux dire, je l’ai toujours trouvée très séduisante, mais de là à me masturber en pensant à elle, ce n’était jamais arrivé. Depuis que je vis seul avec elle, il faut dire que les occasions de me créer des fantasmes ne manquent pas.

La voilà d’ailleurs qui arrive simplement vêtue d’une longue serviette qui cache la totalité de son corps, mais me force à essayer de développer des pouvoirs surnaturels qui me permettraient de faire tomber les serviettes en un claquement de doigts.

Bien dormi, Pierre ?

Nuit agitée, mais ça va oui, et toi ?

Pareil pour moi. La douche m’a fait du bien, je te conseille d’en faire autant.

Je manque alors de m’étouffer en avalant mon café de travers. Faire du bien. J’ai compris.

Mon esprit me joue des tours, il faut que je trouve une solution rapidement pour remédier à cela.

Je finis ma tartine et j’y fonce. Tu veux quelque chose ?

Ca va aller, merci; te mets pas en retard pour moi.

Une fois ma sur partie s’habiller dans sa chambre, je lui fais tout de même une petite tartine et file me doucher.

Quelques minutes après, je rassemble mes affaires, embrasse ma sur en lui souhaitant une bonne journée et je fonce à la fac.

Bien dormi, Pierre ?

me demande Stéphanie, la seule amie que je me suis faite pour l’instant à la fac.

Elle est vraiment gentille et plutôt mignonne à vrai dire, mais malgré son corps très appréciable, je n’ai jamais vraiment pensé à plus que de discuter avec elle. Je ne sais pas vraiment pourquoi, j’ai juste envie de garder une amie, je crois. Je suppose qu’elle est dans le même état d’esprit de toute façon.

Ça peut aller; et toi ? Prête pour le cours de gestion ?

Non, mais j’ai pas le choix, je crois, suivi d’un petit hochement de tête qui me fait comprendre qu’elle serait bien restée au lit toute la journée.

Tiens d’ailleurs, Pierre, ce midi, on mange avec Mélanie, on a échangé un peu hier, elle est vraiment gentille.

OK, pas de soucis; allez, viens, on va s’asseoir.

Bon, en vrai, aucun souci; mais je vais être un peu mal à l’aise, c’est inévitable. Mélanie, c’est la fille de la piscine. Je ne pense pas qu’elle se souvient de moi, après tout, on s’est juste croisé quelques secondes, elle n’a pas eu le temps de faire attention à moi.

Putain, c’est chiant ce cours.

Rien de passionnant, j’ai pas réussi à avancer dans mes cours; et toi ?

Shopping; c’est là que j’ai croisé Mélanie, elle travaille au centre commercial en boulot étudiant.

Ah ! D’accord, je vois.

Tu vois, c’est qui Mélanie d’ailleurs ?

Tu m’étonnes que je vois c’est qui !

Oui, je crois bien, elle est avec nous dans certains cours, la fille aux cheveux bouclés non ?

Tout à fait, elle est plutôt mignonne d’ailleurs !

Si tu le dis.

La sonnerie retentit, il est temps d’aller manger.

On rejoint alors Mélanie qui, j’en suis maintenant sûr, m’a reconnu au vu de son sourire.

Une fois avoir trouvé un endroit où manger, on commence à discuter.

Vous faites quoi ce soir ? interroge Stéphanie.

Je vais aller à la piscine une bonne heure, je pense, et après, j’ai rien de prévu pour l’instant. Et toi, Pierre, tu viens pas à la piscine ce soir ? C’est bien toi que j’avais croisé là-bas la dernière fois ?

Ah oui ! J’avais un doute aussi, mais c’est bien moi du coup, mais du coup, ce soir, je sais pas trop pour l’instant.

Oh allez ! Moi, je m’incruste en tout cas, donc t’es obligé de venir aussi Pierre !

Si j’ai pas le choix alors on y va.

J’ai déjà la boule au ventre (et ailleurs) en pensant à ce soir.

Je passe finalement chercher mes affaires de piscine après les cours, et je rejoins aussitôt les filles.

Bon allez ! Je suis dans le vestiaire, tout va bien aller, je vais me contrôler sans soucis.

Tu viens, Pierre, on t’attend ! me lance Stéphanie de l’autre côté de la porte.

Me voilà !

A peine sorti de ma cabine, je vois Mélanie dans un maillot bien plus dévoilé que la fois dernière. Son haut laisse parfaitement libres ses magnifiques seins qui semblent parfaits. Et ce n’est qu’au moment de se rendre tous vers les bassins que je me rends compte que le bas est tout aussi intéressant. Il cache pleinement ses fesses, mais j’apprécie pourtant tellement ce que je vois. Je m’imagine alors déjà en train de détacher le nud qui retient ce satané maillot. Décidément, j’aurais vraiment besoin de pouvoir surnaturel, moi !

Et là, c’est le déclic, je baisse la tête et la nature a déjà fait son uvre. Plus le choix !

Le dernier à l’eau fait les devoirs des autres jusqu’à la fin de la semaine !

Et je me dépêche de sauter dans l’eau. C’est tout ce que j’ai trouvé pour me cacher.

Les filles ne m’ont absolument pas suivi et se moquent de moi, mais je suis tranquille maintenant.

L’eau est chaude et l’on passe finalement un bon moment à discuter entre nous, de la vie, et je ne peux pas m’empêcher de laisser traîner mon regard de temps en temps sur les poitrines généreuses de mes deux amies.

Bon, ça fait longtemps que je suis pas venue, je vais faire quelques longueurs moi.

Je propose alors « Tu veux qu’on la rejoigne ? »

Non, ça va, je suis bien ici, si ça te va, on peut continuer de parler !

Parfait pour moi, je suis bien ici !

Après plusieurs banalités, je ne peux m’empêcher de penser à son corps qui me fait tant d’effet, que mon maillot est sur le point d’exploser.

C’est moi qui te fais cet effet-là ?

J-J-J-e tu, enfin, quoi ?

Aucun mot ne parvient réellement à sortir de ma bouche, mais mon expression doit être très nette. Je suis mort de honte.

Tu es tout rouge depuis tout à l’heure, je me demandais pourquoi, haha.

Mon cur est sur le point d’exploser. Elle me demande pourquoi je suis rouge si tout va bien.

Ah ! Je comprenais pas, je dois avoir chaud, mais ça me dérange pas au contraire.

Et ton maillot déformé, c’est à cause de la chaleur aussi ?

Je tombe dans les pommes, je crois. Je me vois déjà, en train de me faire sauver par un maître-nageur, et je me vois aussi catalogué comme le pervers de la piscine. Je ne pourrais jamais plus la regarder dans les yeux.

Je suis vraiment désolé, j’ai tellement honte, je pensais pas que tu remarquerais, mais, tu sais, ça arrive comme ça, des fois, je contrôle pas, je suis vraiment honteux, j’espère vraim. Je suis coupé court. Elle vient de poser sa main sur mon sexe.

Alors, c’est pas à cause de moi ça ?

Aucune réponse ne sort de ma bouche. Je ne peux plus parler.

C’est un mélange d’excitation, de stress, d’envie, de peur qui m’envahit.

C’est bien ce qui me semblait être, tu sais, ça me dérange pas, au contraire, je trouve ça très flatteur. En plus, tu as l’air d’avoir plutôt de la chance à ce que je sens dans ma main.

Sa main est toujours sur mon sexe. Elle ne se gêne pas. Elle inspecte mon sexe à travers mon maillot et commence même à le frotter. Je crois que j’ai déjà envie de jouir. Impossible, il faut que j’arrête.

Une dernière forte pression sur mon gland avant de dire « Attention; Stéphanie revient !»

Elle relâche alors la pression et recule légèrement.

Je ne dis toujours rien. Je suis vraiment sur le point de jouir.

Bah, alors Pierre, y a quelque chose qui va pas ?

C’est ce que j’étais en train de lui demander avant que t’arrives, j’ai aussi l’impression qu’il est pas très en forme.

Si; ça va les filles, je dois faire une petite réaction à cause du chlore, mais rien de méchant ne vous inquiétez pas !

Bon, si tu le dis. Vous voulez toujours pas venir nager un peu ? Ça fait vraiment du bien !

Moi je suis bien ici.

Et avant que j’aie le temps de répondre, je sens encore une fois la main de Mélanie sur mon sexe.

Pareil.

Ouf, j’ai réussi à lâcher un mot.

Bon, j’y retourne alors, et de toute façon, je vais pas tarder, après, je suis désolée, j’ai un truc à voir avec mon frère.

Pas de soucis, Stéph, on se voit demain alors.

Oui à demain !

J’ai l’impression de rêver. Même mes rêves ne sont pas aussi fous, mais c’est pourtant bien réel. Mélanie a sa main sur mon sexe.

Alors, c’est toujours pas moi la responsable de ce que tu as en bas ?

Et sans attendre ma réponse, elle passe directement sa main dans mon maillot.

J’ai heureusement réussi à me calmer un peu entre temps et je pense pouvoir résister quelques minutes avant de jouir cette fois, je crois.

Avant de s’assurer une dernière fois que personne n’est proche de nous, Mélanie décide de baisser légèrement mon maillot pour pouvoir contempler mon sexe que je crois n’avoir jamais ressenti aussi dur.

Très intéressant. Je vois pas bien, mais j’aime beaucoup le peu que je peux voir.

Elle se rapproche alors et colle mon sexe contre sa peau en m’enlaçant pour paraître naturelle, je suppose.

Elle me glisse alors à l’oreille

On sort ?

Et sans attendre ma réponse, elle remet mon maillot et se dirige vers les serviettes.

Je me dépêche alors de rejoindre les douches en cachant soigneusement mon sexe à l’aide de ma serviette.

Je ne m’arrête quasiment pas dans les douches et rejoins directement mon casier pour pouvoir me calmer.

Mélanie ne semble pas de cet avis, car je sens alors un corps se coller contre le mien, avant de m’attirer vers une cabine.

Assieds-toi !

Je suis déjà assis sans même le vouloir, mon maillot est déjà à mes pieds et je réalise en voyant Mélanie à genoux que je suis sur le point de me faire sucer pour la première fois.

Elle enlève alors le haut de son maillot pour me laisser contempler ses seins qui sont parfaits. J’aimerais pouvoir m’attarder dessus, jouer avec ses magnifiques tétons, mais ses lèvres sont déjà au contact de mon gland qui doit être brûlant tant je suis excité. Elle me regarde avec des yeux perçants avant d’insérer délicatement mon sexe au travers de ses lèvres. Mille sensations me traversent. Je me fais sucer !

J’arrive alors à passer une main sous son bras pour saisir son sein droit. Je n’en reviens pas.

Sans même me rendre compte que cela arrivait, j’explose de plaisir. Je jouis comme je n’avais jamais joui. J’ai l’impression de cracher des litres de spermes dans sa bouche. J’ai envie de hurler de plaisir, mais je me contiens et ne laisse échapper que de forts soupirs accompagnés de discrets râles de plaisir. Elle reste impassible malgré la quantité de sperme et continue de me sucer. Je n’en peux plus.

Après un dernier coup de langue sur mon gland afin de récupérer une goutte de sperme qui coulait, elle me regarde, satisfaite d’elle-même. Je remarque alors qu’elle retire sa main de son maillot. Elle était en train de se toucher ! Je n’en reviens pas de ce qui m’arrive.

« Ça t’a plu ? Tu as l’air d’avoir apprécié en tout cas ! J’ai rarement vu un mec jouir autant !

Moi, j’ai pris mon pied en tout cas. Je file avant que quelqu’un ne nous remarque ! »

Je n’ai même pas eu le temps de dire un mot. Elle est partie. Je reste assis, le sexe à l’air quelques secondes afin de me remettre des émotions. Je décide finalement à me relever et je retourne aux douches.

Je n’en reviens pas. C’est donc cela, le sexe. Je me suis toujours dit que cela devait être incroyable, mais là, cela dépasse toutes mes espérances. Et encore, je me suis seulement fait sucer. J’ai toujours l’impression de rêver.

Sur la route du retour, je ne peux pas m’empêcher d’avoir l’image de ses lèvres sur mon sexe brûlant. Et voilà que j’arrive devant chez moi. Et je bande de nouveau. Peu importe, j’ai besoin de rentrer pour m’allonger.

Y a quelqu’un ?

Oui Pierre; je suis dans le salon.

Je vais aller me coucher, je suis vraiment fatigué ce soir.

Tu viens même pas me faire un bisou ?

Je fais mine de ne rien entendre et poursuis mon chemin en direction de ma chambre.

Enfin seul.

J’essaye de reprendre mes esprits doucement. Je n’en reviens toujours pas de ce qu’il s’est passé.

J’ai l’impression que mon sexe est toujours en train de palpiter. Ce qui est sûr, c’est qu’il est toujours dur comme fer. J’enlève mon pantalon avant de me diriger vers mon lit. Ses yeux, ses lèvres, ses seins, ses fesses, son corps tout entier. J’ai même l’impression de sentir son corps contre le mien.

Alors Pierre, tu dors vraiment ? J’ai cru que c’était un prétexte pour ne pas me voir.

Ma sur vient de survenir dans ma chambre sans prévenir. Heureusement que je suis sous la couette.

Non du tout, je reviens de la piscine, ça m’a vidé de mon énergie.

Je comprends, mais il me semble que tu as un devoir à rendre, j’ai promis de t’aider hier soir. Promis, on travaille pas plus de 30 minutes et après, je te laisse tranquille.

Non, vraiment, Hélène, t’es gentille, mais ce soir j’en peux plus.

Il faut vraiment que je te sorte du lit de force ?

Non, vraiment, pas ce soir; mais promis, on y passe la soirée demain !

A peine ma phrase terminée que ma sur avait déjà sautée sur le lit dans le but de tirer ma couette.

Je me retrouve alors en caleçon devant ma sur qui se tient debout sur mon lit avec ma couette entre les mains. Mon sexe est évidemment toujours aussi dur. Et elle le remarque très vite.

Après un très court laps de temps où je crois voir ma sur s’attarder sur la bosse de mon caleçon, elle me rejette la couette dessus.

Je suis vraiment désolée, je pensais pas que tu étais occupé quand je suis rentrée dans ta chambre. Je te laisse tranquille. Désolée.

Je me sens mal pour elle et je ne peux pas m’empêcher d’intervenir

Non, reste, t’inquiète pas, j’ai juste à rester sous la couette pendant qu’on parle un peu de mon devoir.

T’es sûr que ça te gêne pas ? On peut faire ça demain si tu veux.

Promis, on fait ça maintenant, assieds-toi.

J’ai l’impression d’avoir gagné de l’assurance alors que je me suis seulement fait sucer une fois, il y a quelques heures.

Au bout de quelques minutes durant lesquelles j’ai essayé d’expliquer à ma sur mon devoir, je ne peux m’empêcher de remarquer qu’elle est complètement ailleurs. Et si elle était en train de penser à ce qu’elle venait de voir ? Je décide de pousser le vice pour voir sa réaction.

Attends, je vais te montrer sur mon ordi, ce sera certainement plus simple pour toi.

Je sors alors de mon lit, toujours en caleçon. Mon sexe a heureusement dégonflé, mais reste visible, cela ne fait aucun doute.

Ma sur ne réagit pas du tout. C’est raté pour cette fois. Je dois me faire des films à cause de l’épisode de cet après-midi.

Après de longues minutes à résoudre mon problème, ma sur me dit que cela suffira pour ce soir et quitte ma chambre après m’avoir embrassé pour me souhaiter bonne nuit.

Une fois dans mon lit, impossible de m’endormir; les images de ma journée tournent en boucle.

Il m’aura fallu 3 heures pour enfin trouver le sommeil.

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