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Karviol en prison – Chapitre 7




Karviol 7

La routine s’installe peu à peu dans la cellule. Je suis devenu(e) la "femme" du chef. Je connais son corps par cur et j’ai pris l’habitude d’en prendre grand soin. Je lui masse les pieds avec une crème parfumée, ainsi leur léchage est devenu (presque) agréable. Je coupe ses ongles, je le lave sous la douche. Je suce ses poils pubiens et je lèche sa toison pectorale. Je masse son sexe et ses membres avec des huiles spéciales pendant qu’il lit ou se repose. J’épile ses sourcils broussailleux, mais aussi son nez et ses oreilles. J’ai appris à devenir sa coiffeuse dévouée, alors que moi-même je dois laisser pousser mes cheveux blonds et bouclés. Au bout d’un an maintenant, j’ai une chevelure quasi féminine, avec mes cheveux mi-longs, de derrière je comble son désir de vraie femme….

Les rares fois où j’ai négligé mon Homme et Maître, j’ai dû subir des punitions très douloureuses. Il peut être particulièrement cruel et s’amuse de mes pleurs. Il n’a pas peur de me frapper aux endroits stratégiques, voire d’utiliser la brûlure de sa cigarette. c’est absolument dans danger, mais alors… ça fait un mal de chien et ça prend beaucoup de temps à guérir! Je me suis donc soumis(e) à 100%. Je le lèche et le mordille amoureusement de partout. J’ai fini par éprouver de la reconnaissance pour mon Maître lorsqu’il ne me fait pas souffrir et même m’apporte d’immenses plaisirs. Je dors avec lui et subis ses assauts matin et soir. Ma chatte réclame maintenant son sexe chaud et familier, que je reconnais entre mille… car il continue à m’offrir régulièrement aux détenus qu’il a choisis. Ca se passe à la douche, mais également à la bibliothèque ou à l’atelier de menuiserie. Les gardiens ferment les yeux, mais évidemment cette cécité a un prix… Certaines semaines, je dois les soulager eux aussi.

Mon désir de rendre service à l’humanité semble devenu immense. Qu’ il est loin le temps ou je dépouillais les braves gens de leurs économies.

Je soulage aussi ses codétenus de notre chambre. Curieusement, Marcel leur interdit de me baiser en sa présence. Mais je leur prodigue plusieurs fellations par jour, souvent au moment des repas, ce qui est un excellent prétexte pour me faire "sauter" le repas, c’est cas de le dire… Je n’aurais jamais cru qu’en prison ces hommes puissent jouir trois fois par jour. Il est vrai que les distractions sont limitées, alors le sexe devient l’une de leur préoccupation majeure, je pense. Pour certains, je crois même que leurs couilles ont fini par occuper la totalité de leur boite crânienne. Je ne néglige pas mon propre corps pour autant, car je suis surveillé(e) et contraint(e) de rester propre, rasé(e) de partout et parfumé(e) avec goût. J’utilise des crèmes pour garder la peau douce et fais un peu d’exercice chaque matin pour conserver une légère musculature, malgré les privations régulières de nourriture. Je vernis mes ongles de pieds et prends soin de mes mains. J’ai d’ailleurs un très beau teint, probablement les bienfaits de mon alimentation à base de gelée royale?

Mon Maitre possède un smartphone. C’est un iphone 6, bien plus performant que le modèle basique de Moussa. J’ai du mal à comprendre comment l’administration pénitentiaire tolère une chose pareille. Mais évidemment, je me garde de tout commentaire. Plusieurs "parrains" sont détenus ici et ils possèdent tous des terminaux encore plus puissants. Je sais que Marcel me prend régulièrement en photo, ou en vidéo, et qu’il communique avec quelqu’un à l’extérieur à ce sujet. Je me sens humilié qu’il envoie toutes ces photos intimes à quelqu’un. Pourtant je ne devrais pas… étant déjà la pute d’un nombre impressionnant d’hommes ici même… En quoi cela devrait-il me mettre mal à l’aise? D’ailleurs Marcel "gère" toutes ses "affaires" à l’extérieur avec cet outil très polyvalent. Un jour il a reçu un appel me concernant. Il m’a expédié aux toilettes d’un regard noir, mais j’ai pu entendre de bribes de conversation. "Mieux qu’une femme" "caution" "libération" "hormones"… Des choses inquiétantes mais que puis-je faire? En surfant sur des sites pornos, il est tombé en arrêt sur un site de "shemales" et il a découvert ces femmes troublantes, si féminines de partout.

. en dehors de cette queue qu’elles arborent entre les cuisses. Il s’est mis à regarder des photos et des vidéos de shemales de plus en plus fréquemment. Puis un jour j’ai compris qu’il dialoguait avec une d’entre elles. Finalement, un soir il a décidé de passer à l’action.

Il était environ 19h et nous venions de passer à table. Ou plus exactement mon Maître, Moussa et Abdul, venaient de passer à table, car moi j’étais consigné, nu(e) comme souvent, sous la table. Après avoir fait jouir facilement et avalé le sperme de Moussa, j’avais défait la braguette d’Abdul. Je le suçais lentement avec mes lèvres douloureuses (oui c’avait été une "dure" journée) depuis une dizaine de minutes. Il était bien dur mais vraisemblablement encore très loin de jouir… lorsque j’entendis la conversation rouler sur moi. Il y eut des exclamations puis des sifflements et je compris que Marcel leur montrait des photos du net sur son iphone. J’étais en train de bouger ma bouche pour "téter" son sexe (et limiter mon effort) lorsque les mains énormes d’Abdul ses sont glissées derrière ma nuque. L’instant d’après je crus mourir étouffé, il me tint embroché sur son énorme manche, je tremblais de surprise et j’avais les larmes aux yeux. Marcel se pencha sous la table avec un sourire graveleux et des yeux cruels.

il brandissait son smartphone avec à l’écran la photo d’une shemale aux gros seins couchée sur le dos.

— Dis donc Paulette, ça te dirait d’avoir des gros nibards comme ça? Une douleur atroce me vrillait la gorge et je tordais les yeux pour apercevoir l’image. Réponds-moi salope, tu veux ça? d’accord?

Abdul accentua la pression et je paniquait presque incapable de respirer.

— Gn.. gnn… Fit-je de la tête pour signifier "oui". Avais-je d’ailleurs le choix? Si j’avais dit "non"… que se serait-il passé?

Marcel se leva, et se pencha sous la table pour s’emparer de mes testicules. Il tira fort vers la droite, m’obligeant à pivoter, la bouche toujours forcée sur le mandrin de l’Arabe. J’entendis le zip de sa braguette. Il cracha sur ma raie et présenta un sexe déjà bandé à l’orée de ma chatte devenue très accueillante et toujours volontaire au fil de mon éducation. Abdul, toujours assis,  baisait lentement ma bouche, tandis que mon Maître s’introduisit en moi en écartant ses cuisses musclées et en pliant les genoux…

— Ohlala.. ca m’excite de t’imaginer avec des gros seins ma chérie… tu ne peux pas me faire plus plaisir!

Un cri d’indignation retentissait dans ma tête mais je n’étais pas en mesure d’exprimer ma désapprobation. Marcel allait et venait en moi, et mon désir augmentait à chaque coup de rein.

— Tu vas prendre un traitement hormonal et dans 6 mois tu auras des beaux nichons! Hein? ma pute!

Mon trouble et mon désespoir augmentaient mon excitation. Il pilonnait ma prostate et je sentais monter en moi un fort désir de jouir. Pourtant j’avais déjà joui 4 fois depuis ce matin et je doutais pouvoir faire plus. Soudain la queue d’Abdul se contracta et il éjacula dans ma bouche. Contre toute attente Marcel ralentit et se mis à caresser lentement mon dos et mes fesses. Le sexe d’Abdul quitta mes lèvres et mon maitre en profita pour me questionner.

— tu veux être ma jolie petite femme Paulette? Dit-il tout en forçant son sexe bien dur au plus profond de moi…

— Ahhh… Oh oui Maître! Fis-je bien malgré moi.

— Tu es sure? C’est un long traitement tu sais? Insista-t-il en accélérant ses va et vine. Le feu brûlait en moi, je voulais jouir. Et ses paroles qui déclenchaient un conflit en moi m’excitaient au plus haut point.

— MMhhh Oui.. Maître…

— Une question encore plus délicate: Veux tu rester ma chienne, même après ta sortie de prison? Hein? ma petite salope adorée?

Il avait accéléré ses mouvements et sa queue si dure comblait ma chatte d’ondes bienfaisantes. Je voulais hurler NON! Je voulais crier RENDEZ MOI MA LIBERTE!!! Au lieu de ça un spasme se mit à étreindre mes reins, il monta en intensité, tellement fort que j’eus le souffle coupé. Ma chatte se serra autour de sa tige, et mon corps fut agité de soubresauts…

— Oh OUUIIII !!! Hurlais-je d’une voix rauque.

Un sourire cruel illumina son visage. L’instant d’après il me déversait son foutre chaud à l’intérieur. Mon sort était scellé. Je venais de m’asservir moi-même pour l’éternité. Mes jambes tremblaient et j’étais parcouru(e) de frissons. Je l’entendis rajuster son pantalon et reculer derrière moi.

— Allez lève-toi et débarrasse la table. Je t’attends au lit ma chérie. Je vais t’expliquer les détails.

La mort dans l’âme et le moral dans les chaussettes, je me levai avec difficulté pour faire le ménage du soir. Je mis la vaisselle sur un plateau et le déposai sur le passe-plat près de la porte, puis je lavais la table avec une éponge. Je passai un coup de balai rapide dans la chambre sous le regard blasé des autres détenus. Enfin je filai prendre une douche pour tenter de nettoyer mon corps les souillures morales et physiques endurées aujourd’hui. J’allai ensuite joindre mon Maître dans le lit conjugal.

Il m’attira contre lui et j’embrassai son poitrail puissant, léchai ses poils gris-blancs et suçotai tendrement ses mamelons. Il m’expliqua qu’il allait me faire une piqure chaque matin et qu’au bout d’un mois, mes seins commenceraient à pousser. Au bout de 6 mois il arrêterait les piqures et je devrais ensuite prendre une sorte de pilule à vie chaque matin pour conserver mes belles formes. J’étais brisé(e) et résigné(e) et j’acceptai en l’embrassant. je venais de vendre le peu qui me restait d’âme au Diable.

(A suivre si vous en voulez plus?)

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