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Jeux de mains, pas de vilain – Chapitre 1




Jeux de mains, pas de vilain.

En ce jour d’été, le soleil perce déjà à travers les volets de la chambre. Il doit être tard mais pas de soucis, aujourd’hui c’est dimanche et, après une semaine de travail, une bonne grasse matinée n’est pas pour me déplaire. Je m’étire et repousse le drap. La chaleur se fait déjà sentir, j’espère qu’il ne fera pas aussi chaud qu’hier. Je suis nue, je dors toujours toute nue. Machinalement je pose ma main sur mon pubis et mes doigts passe sur ma toison comme le ferait un peigne. Je n’ai jamais aimé me raser à cet endroit mis à part les poils qui débordent du maillot. Bien-sur, au passage, je ne peux m’empêcher d’introduire un doigt tout au long de ma fente et aussitôt une humidité apparaît. Je n’en suis pas surprise, j’ai toujours été très réceptive aux caresses et, je dois vous l’avouer, j’adore me masturber.

A mes côtés, mon compagnon remue, cherchant à reprendre le drap que je viens d’enlever. Qu’il est beau mon Pierre, nu lui aussi, avec ce corps d’athlète aux muscles fins et surtout avec ce sexe long et peu épais qui bande de son érection matinale habituelle. Je l’aime sa queue surtout quand il l’empoigne, qu’il la décalotte, me montrant son gland turgescent lisse et déjà humide. Oui car, si j’aime me branler, j’adore également, voir un homme le faire et Pierre n’hésite pas à me faire plaisir et à se faire plaisir. Pendant que le rythme de mes caresses augmente sur ma chatte, je ne peux m’empêcher de lui saisir la main et de la poser sur son sexe. Aussitôt, comme par réflexe, ses doigts emprisonnent sa tige. Je n’en suis pas surprise car je sais combien la masturbation a compté et compte toujours dans sa vie. Hier soir pourtant, nous avions passé une bonne heure, comme nous le faisons presque chaque soir, assis sur le lit, face à face, nous regardant nous branler, retardant le plus possible l’instant où la jouissance surviendrait et mettrait fin à nos jeux de mains.

Sous ses propres caresses, la queue de Pierre s’allongea encore. Il avait toujours les yeux fermés. J’attendais avec impatience l’instant où il les ouvrirait pour qu’il puisse me voir, les doigts en pleine action, fouillant ma chatte de plus en plus humide. Il faut dire que ces masturbations réciproques décuplent notre plaisir et nous apporte toutes les satisfactions nécessaires à notre épanouissement sexuel sans avoir besoin d’avoir recours à ces sacro-saintes séances de pénétration. A la rigueur, il nous arrive, en guise de préliminaire, de nous livrer à des jeux de langue et de bouche ou de doigts mais jamais jusqu’à l’orgasme que nous réservons à nos propres mains.

Notre sexualité pourrait paraître bizarre aux yeux de certains mais lui comme moi, avons eu, depuis notre jeunesse, un parcours similaire quant à notre éveil des sens.

Pour ma part, j’avais une dizaine d’années quand je vis mon frère aîné se caresser le sexe. Il me croyait trop jeune pour m’intéresser à ces choses et ne prenait pas de précautions quand il se masturbait, en l’absence de nos parents, dans sa chambre (porte entrebâillée), dans la salle de bains ou même parfois sur le canapé du salon. Maintenant que j’y repense, je me demande s’il ne le faisait pas volontairement. Peut-être que se sachant épié cela augmentait son plaisir mais jamais, au grand jamais, il n’eut de gestes déplacés à mon encontre.

Parfois je le voyais en train de regarder un magazine pendant qu’il se livrait à ses masturbations. Cela m’intriguait et je mis plusieurs semaines avant de pouvoir les dénicher dans une poche de son cartable. Les photos étaient éloquentes et ce sont elles, plus que la vision de mon frère la queue à la main, qui ont fait naître mes premiers émois et, c’est tout naturellement que ma main a trouvé le chemin et les gestes qui mènent au plaisir. Mon premier orgasme m’a surpris en regardant la photo d’un homme, beau comme un dieu, qui avait empoigné son sexe de dimensions hors du commun et qui éjaculait. A partir de ce jour je me mis à espionner de plus en plus souvent mon frère, espérant voir son sperme jaillir comme sur la photo et il arrivait de plus en plus souvent aussi de me caresser en le regardant.

A l’école, dans la rue, dés que je voyais un jeune beau garçon, je me l’imaginais en train de se donner du plaisir et il n’était pas rare que mon imagination ne m’obligeât à m’isoler pour soulager les désirs que cela faisait naître. Je ne savais pas, à l’époque, qu’il aurait suffit de demander à ces garçons, de le faire devant moi car, leur orgueil de mâle, leur soi-disant supériorité due à leur appendice, les aurait poussé à accepter. Mais j’étais bien trop timide et j’avais aussi la crainte de me faire agresser alors je me contentais de mes fantasmes et les masturbations de mon frère qui, l’âge avançant et à mon grand regret, devenaient de plus en plus rares.

J’atteignis la majorité toujours vierge et ne connaissant la sexualité qu’à travers les livres et les films pornos qui servaient de support à mes masturbations. Lorsque je me trouvais en classe je laissais parfois mon esprit vagabonder, regardais les autres filles en me demandant combien d’entre-elles étaient comme moi. Bizarrement les imaginer en train de se caresser la chatte ne m’excitait pas trop par contre, dés que j’apercevais un garçon avec la main sous la table, mon cerveau se mettait en ébullition et je mouillais comme une folle. J’attendais l’instant où je verrais son bras s’agitait et qui serait le signe de sa coupable activité. Malheureusement cela n’arrivait jamais et je ne devrais encore avoir recours à mes lectures pour me satisfaire.

Pourtant, un jour, en classe d’étude, je regardais le jeune pion, qui, sur son estrade, assis derrière un bureau, semblait très intéressé par ce qui se passait sous les tables de ces demoiselles. Il faut dire que nombre d’entre-elles portaient la minijupe et si certaines, par inadvertance laissaient entrevoir un peu plus que leurs cuisses, d’autres prenaient un malin plaisir à prendre des poses plus provocantes. Et arriva le moment où je vis la main du jeune pion disparaître sous le bureau et quelques secondes plus tard, son bras remuer lentement à cadence régulière. Je voyais son regard plongé sous la table d’une jeune fille assise au premier rang. Je ne la connaissais que de vue mais qui, d’après les copines, passait pour une aguicheuse de première. Dieu seul (et le pion bien sur) savait ce qu’il voyait mais connaissant la réputation de la fille, je pouvais supposer qu’elle ne portait peut-être pas de culotte. J’étais comme hypnotisée par ce bras qui remuait, imaginant la main enserrant un sexe tendu, une queue qui allait bientôt lâcher sa semence. Le pion avait du sentir le poids de mon regard car, un instant il quitta son bandant spectacle pour me fixer. Je me mis à rougir et baissais la tête. Quand je la relevais, son regard était toujours sur moi. Il savait que je savais alors il ne me quitta plus des yeux, c’était pour moi qu’il se masturbait. Son regard semblait me parler, il semblait me dire : « et toi, tu n’en a pas envie ? ». Oh que si j’en avais envie et comme une automate je glissais ma main sous la table, la passais sous l’élastique de ma jupe et sous celle de ma culotte. Mon clitoris bandait, je le coinçais entre l’index et le majeur comme je le faisais habituellement quand je voulais une rapide jouissance, je fis quelques va-et-vient et j’explosais. Malgré mes efforts pour ne rien laisser paraître, le pion compris que j’avais joui et une grimace déforma son beau visage ; lui aussi venait de jouir.

Nous étions en fin de journée et après nos masturbations et orgasmes presque simultanés, nous nous sommes longuement regardés la sonnerie avait retentit depuis un certain temps, la classe s’était vidée mais nous étions toujours là à nous regarder. A cet instant je compris que Pierre, je ne l’ai su que plus tard, serait l’homme de ma vie. Il sortit de derrière son bureau, sa braguette était encore ouverte et une tâche ornait le devant de son pantalon. Sans se soucier de sa tenue négligée, il s’avança vers moi. Moi je n’avais d’yeux que par cette bosse qui faisait bailler sa braguette et quand il fut à 50 cm de moi, toujours assise, j’avais son entrejambe à hauteur de mes yeux.

— Je me prénomme Pierre dit-il d’une faible voix.

— Juliette, moi c’est Juliette répondis-je sur le même ton.

— Viens ! ajouta-t-il simplement.

Je saisis la main qu’il me tendait et m’emmena dans un cagibi qui servait de réserve au service de nettoyage de l’école. Je n’avais pas peur, je savais que j’allais vivre un moment important. Pierre passa sa main dans l’ouverture de son pantalon, baissa son slip encore tâché de ses secrétions, sortit son sexe qui, bien qu’ayant déjà eu son plaisir, avait encore de bonnes dimensions.

— Regardes-le, me dit-il, je vais me caresser devant toi, rien que pour toi. Ton regard augmentera mon plaisir car, comme tu l’as deviné, j’aime me caresser et toi aussi tu aimes ça n’est-ce pas ?

Moi, si timide, si réservée, je me suis à peine reconnue quand je répondis :

— Oui j’aime ça, je ne pense qu’à ça et de te voir là, devant moi, exposant ta queue qui va grossir, se durcir, j’ai une envie folle de me branler.

Jamais je ne me serais su capable de parler avec des mots aussi crus mais mon excitation avait inhibé ma timidité.

— Tu le feras ma Juliette mais d’abord laisses-moi me branler seul après c’est moi qui te regarderais.

Avant que je ne puisse réagir à ses propos, il avait déjà commencé à se caresser. Sa bite devint rapidement raide et j’étais fascinée par les mouvements de ses doigts et par ce gland qui de couvrait et se découvrait à allure régulière. Je mouillais comme une folle et j’avais beaucoup de mal à contenir ma furieuse envie de m’astiquer l’abricot mais je savais que cette frustration momentanée décuplerait ma future jouissance. Bientôt il éjacula, des jets successifs dont le premier m’atteignit sur la main. Sans dégoût, je lapais ce liquide visqueux et passais ma langue sur mes lèvres en signe de satisfaction.

— Juliette ! Quelle jouissance. Je désirais depuis si longtemps pouvoir me branler devant une femme. Juliette, tu es la première.

— Pierre ! Que je suis heureuse d’être la première et toi tu seras le premier devant qui je vais me caresser le minou.

En 2 secondes ma culotte jonchait le sol et, jupe retroussée jusqu’à la taille, jambes écartées, je plongeais la main dans mon entrejambe. Mes petites lèvres étaient gorgées de sang, je les ouvris pour que Pierre puisse voir l’intérieur de ma chatte, des filets de mouilles y étaient accrochés, je fis ensuite saillir mon clito qui, très sollicité depuis de nombreuses années, avait atteint une dimension plus qu’honorable.

— Regarde Pierre, je bande moi aussi. Tu vas voir que mon bouton est la source de mon plaisir. Je le caresse d’abord lentement puis mon doigt tourne autour toujours lentement et quand je désire jouir je le pince très fort et avec un doigt de l’autre main je me caresse la fente de haut en bas, très vite comme ça tu vois ? Et quand ce doigt vient toucher la tête de mon clito que je pince toujours alors là. alors là.Ahhhh .

Pierre, qui s’était mis à genoux pour mieux voir la valse de mes doigts sur ma chatte, ne put s’empêcher de pousser un cri admiratif devant ma jouissance.

— Oh, ma Juliette, comme tu es belle !

Les jambes encore tremblantes suite à cet intense orgasme, je remarquais que la queue de Pierre avait repris du volume.

— Cela t’a plu je vois ! A voir ta bite qui se dresse à nouveau et moi qui pensais que les hommes avait des difficultés à rebander aussitôt après une éjaculation mais toi c’est même après la deuxième. Est-ce habituel ou exceptionnel ?

— Un peu des deux, il m’arrive parfois de me masturber deux fois en suivant mais aujourd’hui j’avoue que ta présence y est pour quelque chose.

— Alors tu vas pouvoir me faire plaisir encore une fois n’est-ce pas ?

— Petite gourmande va ! Je ne peux rien te refuser mais comme il paraît que les femmes peuvent enchaîner les orgasmes alors, si nous nous faisions plaisir mutuellement ?

Sa jouissance fut plus longue à venir aussi j’eus tout le loisir d’admirer sa technique de masturbation mais, pour cela je devais être lucide, aussi les caresses que je me prodiguais servaient juste à entretenir mon excitation sinon j’aurais pu avoir trois orgasmes avant qu’il n’éjacule. Je connaissais suffisamment mon corps pour savoir je pouvais me faire jouir très vite dès que Pierre éjaculerait.

Cette fois-ci nous étions repus. Nous nous sommes quittés après un long baiser en se promettant de nous revoir. Non seulement nous nous sommes revus mais nous avons emménagé ensemble dans un petit studio. Nous n’étions guère aisé et ne vivions que grâce à l’allocation que nos parents respectifs nous attribuaient. Notre temps était partagé entre les études et les plaisirs. Nous avons essayé de faire l’amour comme tout le monde mais, mis à part les préliminaires avec la bouche et la langue, nos plus grandes jouissances étaient dues à la masturbation. Il nous arrivait parfois que l’un branle l’autre, l’un après l’autre ou simultanément aussi mais, le plus souvent, c’était nos propres caresses qui nous apportaient la plus grande jouissance.

Nos activités sexuelles ne se contentaient pas de notre nid douillet, nous avions pris l’habitude de nous donner du plaisir dans des endroits insolites ou au milieu de la foule. Bien entendu le cinéma restait notre principal territoire de chasse et le plus souvent l’après-midi. Dans le fond de la salle nous repérions un couple entre deux âges car Pierre et moi avions remarqué que nombre de couples illégitimes étaient de cette tranche d’âge et se servait des salles de cinéma, peu fréquentées à cette heure, comme lieu de rendez-vous. Nous nous asseyons non loin d’eux ce qui avait pour don de les agacer dans un premier temps mais qui finissait par les intéresser quand nous commencions à nous caresser alors ils n’hésitaient guère à caresser eux aussi en jetant de fréquents coups d’oil dans notre direction. Au bout d’un moment, lorsqu’on sentait leur regard sur nous, nos caresses devenaient de plus en plus osées allant même, parfois, jusqu’à branler la queue de Pierre, bien visible. Bien entendu, après avoir éjaculé dans ma main, Pierre me branlait à son tour. Généralement, à ce moment-là, le spectacle que nous offrions, suffisait pour que ce couple inconnu adopte les mêmes pratiques et de voir la femme se pâmer ou l’homme éjaculer, déclenchait mon orgasme. Plusieurs fois, ces couples nous proposaient de se joindre à eux dans d’autres endroits discrets mais nous avons toujours refusé.

Nous n’avons jamais voulu adjoindre une voire deux personnes à nos séances de caresses sauf une fois dans des conditions bien particulières. Nous étions sur le plateau d’une émission télévisée de J.L Delarue qui traitait des différentes sexualités pratiquées par les couples ou personnes seules qu’elles soient célibataires ou bien veuves. Nous avions posé notre candidature sans être retenus pour les témoignages mais quand même invités pour assister aux débats. Parmi les témoignages, nous avons été intéressés par celui d’une dame d’une soixantaine d’année qui, veuve à présent, avait eu sensiblement le même parcours que nous. Aussi, dés la fin de l’émission nous avons voulu faire plus ample connaissance avec cette dame. Après nous être présentés, nous lui avons expliqué que nous avions la même forme de sexualité qu’elle avait eu avec son défunt mari.

Elle s’appelait Monique, 66 ans, veuve depuis 4 ans. Elle avait du être très belle et l’était encore malgré son âge. Elle était grande et svelte avec des rondeurs là où il fallait, élégamment habillée, maquillée avec soin. Elle parut très intriguée d’abord par notre désir de parler avec elle mais très vite elle se détendit. A ce moment Pierre et moi avons eu l’impression qu’au fond, parler de sa sexualité passée, nous l’avons appris plus tard, était restée totalement secrète par peur du quand dira-t-on. Elle accepta qu’on la raccompagne chez elle, le hasard faisant qu’elle habitait non loin de chez nous. Durant le voyage nous n’avons parlé que de généralités bien que nous aurions, nous comme elle, préféré aborder le sujet qui nous avait réuni mais, timidité ou pudeur nous en empêchait. Au pied de son immeuble, elle descendit de la voiture. Nous étions désolés de la voir partir sans que l’on ait pu discuter de choses plus intimes quand, se ravisant, Monique nous dit :

— Voulez-vous venir un moment chez moi, prendre un rafraîchissement ?

Nous étions content que Monique ait fait le premier pas et nous avons accepté tout de suite son invitation. Son appartement était vaste et très bien meublé. Nous sentions qu’elle devait bénéficier de substantiels revenus. Elle nous fit asseoir sur le canapé du salon puis s’absenta un court instant, le temps de revenir avec des boissons fraîches. Elle s’assit dans le fauteuil en face de nous.

— Cela me fait un drôle d’effet de voir un homme assis sur canapé, depuis son décès personne d’autre que moi ne l’a occupé. Ah ! Si ce canapé pouvait parler, il en aurait des choses à dire.

— Lesquelles demandai-je curieuse ?

— Des choses pas très avouables je le crains.

— Des choses en rapport avec l’émission de tout à l’heure ?

— Bien entendu, des choses que je n’ai pas dite à Monsieur Delarue, parce que trop intimes, trop osées.

— Mais maintenant, entre nous, n’auriez-vous pas envie d’en parler ?

— Si, bien sur. C’est un peu pour cela que je vous ai fait monter chez-moi car je sentais que vous pourriez me comprendre vous ! Pas comme ces imbéciles de tantôt qui ne comprenaient pas que l’on puisse avoir une autre sexualité qu’eux.

— Alors parlons en ! Racontez-nous l’inavouable.

Ca y était. La glace semblait rompue. Monique prit la parole :

— D’abord il faut vous dire que je me suis masturbée très jeune.

— Comment avez-vous découvert que l’on pouvait se donner seule du bonheur demandai-je ?

— Simplement par les jeux de touche-pipi que mes cousines, cousins et moi pratiquions.

Les cousins étaient un peu plus âgés que nous les filles et leurs sexes avaient déjà des dimensions respectables et ils bandaient très facilement dés que nous les frôlions un peu. J’étais déjà très intéressée par leurs formes, surtout ce bout rose et lisse qui apparaissait lorsque leurs zizi durcissaient. De notre côté, les filles, les attouchements malhabiles des garçons nous procuraient de curieuses sensations que nous avions du mal à définir. Un jour, un de mes cousins nous annonça qu’il avait apprit une chose merveilleuse d’un copain plus âgé et il nous montra comment se donner du plaisir en faisant coulisser la peau du zizi par des va-et-vient plus ou moins rapides. Pour la première fois nous avons pu voir sortir quelques gouttes de sperme. Du coup, les autres cousins ont essayé et ont fini par aboutir au même résultat. J’avoue que ce spectacle m’avait rendu tout chose et le soir même, dans mon lit, me remémorant les masturbations de mes cousins, j’ai trouvé les gestes qui permettent de vous amener au plaisir. Mais contrairement à mes partenaires de jeux, je ne leur ai jamais avoué ma trouvaille par contre, à partir de ce jour, je n’ai jamais cessé de me masturber.

— Vous n’êtes jamais allés plus loin dans vos jeux questionnai-je ?

— Non et je n’ai aucun regret. Il me suffisait de pouvoir regarder mes cousins se caresser pour avoir l’envie de me caresser moi aussi et, généralement je n’attendais pas le soir, je prétextais un besoin pressant pour m’isoler aux toilettes et me faire jouir.

— Et vos cousines ?

— Je n’ai su que bien plus tard que deux d’entre elles,des sours, avaient eu des relations lesbiennes mais je n’ai jamais su si c’était à cette période. Mon adolescence donc, je l’ai vécu comme une jeune fille rangée, du moins au yeux de mes proches bien qu’il ne se passait pas un jour sans une petite branlette.

J’avais remarqué que depuis notre arrivée, Monique avait employé des mots quelque peu osés et cela détonait venant de la bouche d’une femme aussi distinguée. Je remarquais également que sa robe avait légèrement remontée, découvrant de début de ses cuisses. Tournant mon regard vers Pierre, ce dernier avait les yeux fixés sur les jambes de notre hôte. Peut-être que Monique voulait tester, auprès de mon compagnon, son pouvoir de séduction ou voulait-elle simplement l’aguicher.

— Mais repris-je, vous avez quand même connu des hommes ?

— Des hommes! C’est un grand mot, trois tout au plus. Les deux premiers je les ai très vite largués car aucun d’eux n’avait voulu, après de chaudes étreintes, se masturber devant moi. Ce qu’ils désiraient c’était de me sauter.

— Et le troisième ?

— Ce fut celui qui allait devenir mon mari. Dés le début j’ai su que ce serait lui. Après m’avoir avoué, lors de baisers passionnés, que mon corps, serré contre le sien lui donnait de grands frissons et que cela l’obligeait, une fois chez lui, de se soulager seul. Je lui ai donc proposé qu’au lieu d’attendre son retour chez lui, qu’il le fasse là, devant moi. Je lui fis cette demande en pressant le devant de son pantalon pour mesurer son degré d’excitation et, ma fois, je ne fus pas déçue quant à la taille et la raideur de son engin. Il s’est donc branlé sous mes yeux. Ma chatte mouillait. Je sais, je vous choque avec mes mots vulgaires mais excusez-moi car ses mots ont un effet indiscutable sur ma libido qui, croyez-moi, malgré mon âge, est encore très forte.

— Non, la rassurai-je, cela ne nous choque pas, nous aussi nous aimons employer ces mots. Donc, il s’est branlé devant vous ? Et vous, que faisiez-vous ? Vous vous branliez aussi ?

— Non, pas tout de suite, je le regardais faire, je lui disais que moi aussi je me branlais en pensant à lui, le soir, dans mon lit. Il me demandait des précisions quant à ma manière de me caresser, il me décrivait la sienne. Si vous saviez comme elle était belle sa queue, Attendez.

Elle s’absenta une minute et revint avec une dizaine de photos de son mari qui le représentaient en train de s’activer sur son sexe. En effet sa bite était pas très très grosse mais très longue.

— Vous n’avez pas des photos de vous demandai-je ? De vous seule ou avec votre époux ?

— Si, bien sur que j’en possède répondit-elle comme si c’était l’évidence même.

— Pourriez vous nous les montrer ?

— Non mais j’ai bien mieux si vous le permettez.

— Ah ! C’est quoi ce « mieux » ?

— Faire devant vous, en chair et en os, ce que vous auriez vu sur les photos. Vous pouvez refuser, je pourrais le comprendre mais, puisque vous avez désiré me rencontrer, je sais que vous allez accepter, que vous n’attendiez que ça. Ai-je raison ?

— Pour ma part vous avez raison bien qu’au départ je n’y pensais pas trop mais, maintenant, après la tournure qu’a prise notre conversation, j’avoue que cette nouvelle approche n’est pas pour me déplaire. N’est-ce pas Pierre ?

Pierre sursauta, il avait l’air de sortir d’un rêve.

— N’est-ce pas Pierre réitérais-je ?

— Oui, oui, ânonna-t-il.

— Justement ajouta Monique vous vous doutez bien que depuis les quelques minutes où je parle de défunt conjoint, ces souvenirs, ces photos, bien que je les regarde très souvent lorsque j’ai besoin de me satisfaire, m’ont procuré une certaine excitation et si ce n’est pas trop vous demander, j’aimerai que votre ami m’accompagne dans la masturbation que je vais exécuter devant vous.

— Il ne peut pas vous refuser ça, voyez comme sa queue a du mal à se faire une place dans son pantalon.

— Vous avez raison Juliette, alors pourquoi le la libère-t-il pas tout de suite ?

— Tu as entendu Pierre, notre hôte te demande de te branler.

Devant la molle réaction de Pierre, je pris les devants, ouvris moi-même sa braguette et, avec difficulté tant sa bite était raide, je l’extirpais de son slip. Monique poussa un « Oh » d’admiration.

— Si vous saviez le plaisir que vous me faite, à mon âge j’avais perdu tout espoir de pouvoir, une fois encore, admirer, en vrai, la queue d’un homme et celle que vous exposez maintenant est magnifique. Quelle chance vous avez ma petite Juliette.

— A vous maintenant ma chère Monique, chose promise chose due.

Monique troussa sa robe jusqu’à la taille et posa une jambe sur l’accoudoir, exposant son entrejambe. Ah la vilaine petite vicieuse ! Sa culotte s’était envolée quoique je ne fus pas certaine qu’elle en portât une avant. Et si elle avait fait l’émission télé le cul nu ?

Monique resta dans cette position, immobile, quelques instants, pour que nous ayons le loisir de contempler sa chatte puis, sa main vint se poser dessus.

— Pierre, je commence ou tu commences ?

Comme un automate Pierre empoigna sa queue et entama ses mouvements de va-et-vient. Monique le regarda quelques secondes et entama, elle aussi, sa masturbation. Ce spectacle m’excitait vous vous en doutez mais je ne savais pas quelle attitude adopter. Devais-je, moi aussi, me caresser ? Je pris la décision d’attendre car je voulais, moi aussi, j’avais envie de sentir sur moi leurs regards.

Monique avait débuté en passant son doigt tout au long de sa fente entre ses petites lèvres gorgées de sang, dépassant nettement de sa chatte, de vraies petites lèvres de femme ayant pratiqué la masturbation à dose élevée et qui la pratiquait certainement encore. Puis quand elle se sentit suffisamment humidifiée, elle plongea un doigt dans son vagin puis deux, puis trois. Nous entendions les clapotis que faisait son abondante mouille qu’elle ramenait sur son clito pour le lubrifier. Ses yeux ne quittaient pas la main de Pierre, comme fascinée et bien entendu, Pierre suivait les gestes de Monique sur sa chatte. Je ne sais pas si c’est l’éjaculation de mon ami ou les cris de jouissance de Monique qui déclencha l’orgasme de l’autre mais, pour tous les deux, le summum du plaisir avait été atteint.

Ce fut enfin mon tour. J’avais deux paires d’yeux pour me regarder mais c’était surtout ceux de Monique qui m’importaient. Je pris la position qui mettait le plus en valeur ma chatte et je m’attaquais directement à mon clitoris qui bandait depuis quelques minutes déjà. Nul besoin de me faire mouiller, j’étais littéralement trempée. J’ai joui très vite. Enfin tous trois repus, nous nous sommes souris dans un silence quasi monacale. Monique, la première, le rompit.

— Et bien, mes enfants quel pied ! Merci mes enfants, vous m’avez comblée. Je ne sais pas si nous reverrons, pour ma part je le souhaite, en tous cas encore merci.

Nous avons gardé des relations épisodiques. Généralement c’était Monique qui nous appelait.

— C’est vous Pierre disait-elle ou c’est vous Juliette ? Pouvez-vous passer me voir, je me sens si seule.

Nous comprenions qu’elle avait grand besoin de compagnie pour autre chose que bavarder. Ainsi nous convenions d’un rendez-vous mais avant nous nous amusions à l’exciter en lui parlant de nos frasques. Se piquant au jeu, elle nous parlait alors de qu’elle avait fait, elle aussi, durant ces derniers jours et, s’échauffant mutuellement, nous finissions toujours par une séance de masturbation téléphonique.

Comme Pierre et moi n’avions pas les mêmes horaires, il n’était pas rare de le surprendre, en rentrant à l’appartement, assis devant la télé sur laquelle passait un film porno, la braguette ouverte, la queue à la main. Plus rarement c’était lui qui me retrouvait dans cette position, particulièrement les jours où je n’avais pas cours. Ces jours-là, Pierre savait que j’étais dans de bonnes dispositions et que nous passerions une folle soirée. Nos débordements étaient bruyants mais nous n’avions aucune honte vis-à-vis de nos voisins et leurs sourires en coin lorsqu’ils nous croisaient sur le palier ou dans le hall ne nous importaient guère, jusqu’au jour où notre plus proche voisine, une dame d’âge avancé, vivant avec son fils, un attardé mental, m’invita à prendre le café un dimanche après-midi, après le repas. Nous n’avons trouvé aucune raison de refuser, au contraire, nous avons supposé que, vivant sur le même palier, elle désirait simplement faire plus ample connaissance.

Je vous passerais les formules de politesse ainsi que le cérémonial du café. Cela faisait presque une heure que j’étais chez elle parlant de tout et de rien mais je sentais toutefois un certain malaise comme si notre voisine qui se prénommait Gertrude comme elle me l’apprit, avait quelque chose à me dire. Je pensais tout d’abord qu’elle voulait parler de son fils qui, présent depuis le début, se tenait silencieusement assis dans le fauteuil. Je voyais bien qu’il n’était pas tout à fait normal bien que physiquement il n’était plutôt pas mal, dans la quarantaine, de taille moyenne, bien charpenté, mais son regard avait quelque chose d’enfantin. Mais elle ne me parla pas tout de suite de lui. Elle se racla la gorge, puis me complimenta sur notre jeunesse à Pierre et à moi, notre allant, bien que nos débordements de tendresse ne pouvaient pas échapper à leurs oreilles tant les parois qui séparait les appartements étaient minces.

Voilà, me suis-je dit, elle arrive va nous demander d’être un peu plus discret. En effet.

— Je comprends, nous dit-elle, qu’à votre âge vous possédez une certaine énergie que je n’ai malheureusement plus, mais, certains soirs j’ai l’impression d’être présent dans votre chambre. Pour moi ce n’est pas grave, j’ai connu avec mon mari, il y a un bon bout de temps certes, les plaisirs de la chair mais, pour mon fils ce n’est pas la même chose. Je pense que vous savez qu’il est attardé mentalement mais dans son corps qui réagit comme un adulte normal. Avant votre venue, j’arrivais à canaliser ses pulsions en lui offrant des revues osées et en l’envoyant dans sa chambre où je savais qu’il se calmerait par la plus simple des manières, vous me comprenait n’est-ce pas ?

— Oui, je vous comprends et je vous promets, bien que cela va me coûter car j’adore m’extérioriser, que Pierre et moi allons faire en sorte d’être moins expansifs. Mais, murmurai-je pour que son fils ne puisse nous entendre, comment se comportait-il alors quand il entendait nos ébats ?

— Tout simplement chuchota-t-elle aussi, il se masturbait devant moi. J’ai beau avoir les idées larges quant à la sexualité cette situation devenait gênante. Pour l’éviter, c’était moi qui devais aller m’isoler dans ma chambre.

— Pour ne pas assister à la jouissance et éjaculation de votre fis je suppose ?

— Pas exactement répondit-elle embarrassée. C’est assez délicat, je ne sais si je dois en parler.

Je vis Gertrude rougir, aussi je mis tout en ouvre pour la rassurer. Je lui dis que ses confidences resteraient entre nous, que je sentais qu’elle avait un grand besoin de se confier et que j’étais heureuse qu’elle ait pensé à moi. Elle vint s’asseoir à mes côtés sur le canapé.

— Paul, dit-elle à son fils, tu veux bien nous laisser seules ! Prends un DVD et va le regarder dans ta chambre. Nous sommes plus tranquille ajouta-t-elle quand son fils eut quitté la pièce. Voilà commença-t-elle en me prenant la main, ce n’est pas une chose facile à aborder. Bon ! Je me lance, ne m’interrompez surtout pas sinon je risque de me bloquer. Quand je vous disais que mon fils se masturbait devant moi, si dans un premier temps je trouvais son geste déplacé et allais m’enfermer dans ma chambre, j’avoue que les fois suivante je n’ai pas pu m’empêcher de le regarder. Je voyais son sexe raide, sa main qui s’agitait et j’étais comme fascinée. Il faut dire, lorsque mon mari était encore de ce monde, j’aimais me trouver dans ses bras et que le devoir conjugal n’en était pas un, en un mot j’aimais faire l’amour. Alors vous vous doutez bien que mon veuvage m’a pesé et que la présence de mon fils m’a empêché de refaire ma vie. Aussi, dans les moments où mon corps réclamait son dû de caresses, je n’avais pas d’autres moyens que de me calmer seule. Cela pouvait survenir à n’importe quel moment de la journée, il suffisait qu’un événement extérieur me rappelait un moment excitant de ma vie pour que le besoin de me soulager ne pouvait attendre et cette hâte à me satisfaire me rendait imprudente. Je suis certaine que mon fils a du assister plus d’une fois à mes plaisirs solitaire mais, étant donné son retard mental, j’étais persuadé qu’il ne comprenait pas ce que je faisais. Ce n’est que, lorsqu’à mon tour je le surpris en train de se donner du plaisir que je devins plus discrète puis, les années passant, mes plaisirs solitaires se raréfièrent jusqu’à disparaître. Je vous dis tout ça pour que vous compreniez pourquoi je pris honteusement plaisir à regarder mon fils se masturber.

En me faisant ses aveux, Gertrude me serrait plus fortement la main et ses yeux d’un bleu très clairs me fixaient intensément. Malgré son âge, proche de 70 ans je suppose, elle était encore très belle avec ses cheveux blancs impeccablement coiffés, sa robe bleue qui épousait un corps svelte mais avec une abondante poitrine.

— Le sexe de Paul n’est pas très épais mais très long, tout le contraire de celui de mon mari. Donc je restais de plu en plus longtemps moment à le regarder et j’avais la nette impression qu’il était heureux que je sois là, à assister à sa masturbation. Le problème est que mon corps ne restait pas insensible au spectacle qu’il m’offrait et des picotements dans le bas-ventre venaient me rappeler que j’avais un sexe moi aussi et s’in s’était quelque peu endormi, il était encore là, en état de fonctionnement. En un mot, excusez-moi de l’expression, je mouillais et si je quittais la pièce c’était dans un premier temps ne pas donner l’air d’être une mère incestueuse mais aussi pour me soulager. Juliette aimez-vous vous masturber ?

La question arrivait à brûle-pourpoint et me surprit. Je restais quelque seconde coite puis reprenant mon aplomb, je lui répondis :

— Oui, j’aime ça et à mon tour de vous faire une confidence, ma sexualité est presque entièrement basée sur la masturbation ? Cela ne pose aucun problème dans notre couple car Pierre est comme moi et, excusez-moi vous aussi pour l’expression, il adore se branler en me regardant le faire.

A ces mots Gertrude eut un sursaut.

— Ah Juliette ! Comme j’aime entendre ce mot, je n’osais pas l’employer par peur de vous choquer. Alors permettez-moi, à mon tour de vous dire j’aime me branler. Aussi loin que remonte mes souvenirs, je crois que je me branle. Adolescente, il ne se passait pas une journée sans m’avoir octroyé une petite gâterie. Pendant ms fiançailles ce fut pire ou plutôt mieux encore. Mon futur mari me chauffait tant et comme à mon époque on ne fêtait pas Pâques avant les rameaux, je n’avais que ce moyen pour calmer mes ardeurs. Après les noces, bien que mon mari m’honorait quasi quotidiennement, je ne pouvais pas résister à mes plaisirs solitaires. Puis je fus veuve et là, vous connaissez la suite.

— Vous avez à peu prés le même chemin que le mien sauf que je ne suis pas encore veuve et que mon compagnon aime autant que moi se branler.

— Vous en avez de la chance. J’aurais beaucoup aimé que mon mari se donne du plaisir devant moi mais je n’ai jamais osé lui demander. C’est peut-être la raison qui fait que j’ai du mal à résister à quitter la pièce quand mon fils se masturbe.

— Bon sang ! Qu’il fait chaud tout à coup se plaignit Gertrude en prenant une revue pour s’en servir comme un éventail.

Moi aussi je commençais à avoir chaud. Cette conversation prenait une tournure que je n’avais pas prévue mais ce n’était pas pour me déplaire. Je pensais à Monique et me dit qu’il serait de bon aloi de les faire se rencontrer mais avant il va falloir que j’amène Gertrude à partager notre passion pour la masturbation. Pour l’instant si j’arrivais déjà à se caresser, e serait un bon début.

— Vous avez envie n’est-ce pas ? Lui demandai-je insidieusement.

— Oui, répondit-elle dans un souffle.

— Je vais vous laisser alors. J’espère que notre conversation vous a fait du bien.

Je fis mine de me lever mais, comme je l’avais prévu, Gertrude me prit le bras et me força à rester assise.

— Non Juliette restez-là. J’aimerai tant que nous devenions de vraies amies, de véritables complices comme nous aurions pu l’être à notre adolescence. Combien de fois, dans ma jeunesse, j’ai regretté de n’avoir pas eu de copine suffisamment proche, avec qui j’aurais pu parler de mon vice et même, pourquoi pas, l’assouvir avec elle. J’aurais tant aimé que quelqu’un assiste à mes séances de masturbation, j’aurai tellement aimé les regarder aussi.

— Mais Gertrude vous avez votre fils, vous m’avez dit qu’il vous a sûrement épié lorsqu’il était plus jeune et vous moins discrète. Vous-même ne l’avez-vous pas déjà regardé ?

— Bien sur Juliette mais ce n’est pas une situation librement consentie surtout de ma part. Alors si là, maintenant, je vous demandais de vous branler, le feriez-vous ?

— Sans problème Gertrude, le voulez-vous vraiment ?

— Oh oui ! J’en ai tellement envie moi aussi.

— Alors je commence ? Vous commencez ? Nous commençons ?

— Commencez Juliette, vous avez certainement moins inhibée que moi. Je suis certaine une fois que je vous aurai regardé, ma timidité disparaîtra.

Je ne me fis pas prier deux fois tant mon envie était grande. Je soulevais ma jupe et descendis ma culotte jusqu’aux chevilles. Je séparais mes genoux et exposais ma chatte au regard de Gertrude. Le simple fait de m’exhiber me faisait mouiller. Comme nous étions côte à côte sur le canapé, j’eus l’impression que ma voisine n’était pas à l’endroit idéal pour admirer mon minou dans ses détails aussi je me levais et, enlevais entièrement la culotte qui m’entravait, je me positionnais devant ses yeux, jambes écartées. Je scrutais son visage. Gertrude semblait ravie de la situation.

— Allez-y Juliette, branlez-vous ! Je me branle souvent devant mon miroir mais ce n’est que ma chatte que je vois et depuis le temps je la connais trop bien.

— C’est cela Gertrude regardez-moi, montrez-moi la votre, je suis certaine que vous avez une vraie chatte de branleuse avec des petites lèvres qui pendent à force de tirer dessus, avec un vagin si vaste que ma main pourrait y entrer entièrement, avec un clitoris aussi proéminent qu’une petite bite. Oh, Gertrude je vais venir, ça me vient, très fort, je jouiiiis.

— Paul, crias Gertrude, tu peux venir, je crois que notre Juliette est à point. Entre et montre lui comment tu t’astiques ta grosse queue. Crache ton jus devant elle comme tu aimes le faire devant ta petite maman.

— Oui maman, je vais cracher devant Juliette, tu sais que j’aime me branler depuis que tu m’as appris à le faire. Tu te souviens maman, la première fois que tu as pris ma queue dans ta main, que tu as caressé jusqu’à ce qu’elle devienne dure puis jusqu’à ce que je finisse par cracher sa liqueur.

— Oui, mon petit Paul, je me souviens et toi, tu as tout de suite aimé me voir, le cul nu, en train de m’astiquer la moule.

Les spasmes de ma jouissance s’estompaient et je regardais Paul se branler ce qui, je l’avoue n’était pas pour me déplaire car il était plutôt bien membré mais, ce qui m’étonnait le plus, c’était les propos qu’il tenait avec sa mère et son fils. Ainsi, depuis le début, Gertrude m’avait menée en bateau. Ce qu’elle cherchait c’était de nouveaux compagnons de jeux pour agrémenter ses journées et celles de son fils. Voyant que je ne m’étais pas sauvée en courant, elle conclut que j’étais plutôt consentante. Il est vrai qu’agrémenter nos jeux, à Pierre et à moi, par j’adjonction de nouveaux personnages, me séduisait et pourquoi pas y associer Monique que serait ravie de voir une autre queue et une autre chatte que les nôtres. En parlant d’autre chatte, je n’avais pas encore vu celle de Gertrude.

— Bravo ma chère Gertrude dis-je en applaudissant, bravo pour ce merveilleux scénario que tu m’a servi mais j’attends avec impatience le moment où tu me montreras ta moule.

— Je vais te la montrer, tu verras, elle est telle que tu l’as décrite tout à l’heure.

— Oui maman, fais lui voir ta chatte, montre lui comment tu aimes de branler.

— N’aimerais-tu pas me la lécher avant, tu sais que j’aime ça !

— Oh si maman, j’aime quand ton jus me coule dans la bouche.

— Alors viens vite dit-elle en s’installant sur le fauteuil, jambes sur l’accoudoir, viens vite me faire du bien et si tu me fais jouir, je te ferais une petite gâterie comme tu aimes.

Je ne sais pourquoi mais voir la mère et le fils avoir des relations aussi intimes me mettait dans tous mes états. Ma chatte ruisselait et mon excitation si forte que je me branlais une nouvelle fois. La langue de Paul s’activait de plus en plus vite et sa mère couinait de plus en plus fort.

— Vas-y mon petit, bien à fond, n’oublie pas mon clito ? Sent comme il est gros comme il bande pour toi ! Et cette vicieuse de Juliette qui s’astique la moule, je savais qu’elle aimait le cul. Continue mon chéri, tu vas me faire venir, après je te sucerais et quand tu seras bien raide, si tu le veux, tu pourras foutre ta bite dans mon con.

Le spectacle, les propos obscène m’amenèrent rapidement à l’orgasme mais au lieu de me rassasier, quand Gertrude eut hurlé sa jouissance et avait entrepris, sur Paul, la fellation promise, mes doigts repartirent à l’assaut de ma chatte et un troisième orgasme me foudroya lorsque la queue de Paul s’enfonça dans la chatte de sa mère.

Paul, après avoir envoyé son foutre dans la chatte de sa génitrice, s’endormit. Gertrude, encore essoufflée, me regarda avec un grand sourire et me lança :

— je vois que vous avez pris beaucoup de plaisir et, malgré vos deux orgasmes, vous m’avez l’air d’être en pleine forme. Moi, je suis flagada il faut dire que ce matin, déjà, Paul m’a fait grimper deux fois aux rideaux.

— Mais, demandai-je, profitant de cette accalmie, comment vous en êtes arrivée à atteindre cette intimité incestueuse.

— Tout simplement. Cela ne s’est pas fait d’un seul coup bien sur ! Comme vous le savez Paul n’est pas mentalement normal aussi je devais m’occuper de lui comme une mère l’aurait fait pour un enfant et parmi les tâches, je devais lui faire sa toilette. Tout se passait normalement jusqu’au jour où, lui lavant ses parties intimes, il eut une forte érection. Un peu surprise, je lui demandais si cela lui arrivait souvent ? Souvent le matin répondit-il. Sans m’en rendre vraiment compte, tout en parlant, ma main, munie du gant de toilette rempli de savon, faisait des va-et-vient sur sa queue dressée et soudainement, un jet de sperme jaillit. Gênée, ne voulant pas paraître outrée, je lui fis comprendre que, ce que je venais de faire il pouvait le faire lui-même chaque fois que son zizi devenait dur et que cela le soulagerait. Les jours suivants, je ne m’attardais le moins possible sur ses parties génitales mais, le souvenir de la première fois restait gravé en ma mémoire surtout que lors de cette fameuse première fois je fus obligée de me masturber dés que j’eus quitté la salle de bain et la jouissance que je ressentis cette fois-là, fut d’une rare violence. Il faut que je vous dise que c’était une première car mon mari n’a jamais voulu que je lui touche le sexe avec la main. La semaine suivante, ce fut plus fort que moi et je me mis à masturber mon fils ouvertement, sans le gant de toilette cette fois-ci et le contact direct avec la peau m’électrisa. Paul m’avoua qu’il avait suivi mes conseils et qu’il se caressait maintenant régulièrement mais que c’était meilleur avec ma main qu’avec la sienne. A chaque fois, une fois qu’il avait éjaculé, je m’isolais pour me faire jouir jusqu’au jour, à sa grande surprise, je me suis branlée en même temps que je le masturbais. Je lui ai montré comment était fait une chatte, je lui ai appris à me la caresser, à m’amener au plaisir avec les doigts d’abord puis avec la langue. Moi-même je lui fis des fellations qu’il apprécia énormément. Regardez-le Juliette, il dort comme un bébé mais admirez sa queue, qu’il n’a pas remise dans son pantalon et qui rebande à nouveau, n’est-elle pas magnifique ? Vous pouvez la toucher, je ne suis pas jalouse vous savez !

C’est avec lenteur que j’approchais ma main de cette bite en complète érection. Je l’empoignais, Paul émit un grognement, je la serrais et dégageais son gland qui avait une taille nettement plus grosse que la tige de sa queue. Gertrude regardait son fils s’éveiller lentement, un regard plein d’amour qui semblait lui dire « jouis bien mon chéri grâce à cette main qui n’est pas la mienne ». Je commençais mes va-et-vient, recouvrant et découvrant son gland à allure régulière, puis en accélérant mais quand je sentais que le plaisir montait trop, je m’arrêtais un instant pour repartir de plus belle. Gertrude s’était approchée de nous et s’occupait des testicules d’une main, l’autre se faufila sous ma jupe. Par réflexe je serrais les cuisses. Jamais une main féminine ne s’ét

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