Lucien arrive ; il me verra me masturber une fois de plus. Ça finira au lit avec sa queue dans mon ventre.

Toute pudeur est partie ; je maccoude à la fenêtre pour mieux voir. Ma main sest bien logée entre mes jambes, sur ma chatte. Je me caresse le bouton tout le temps. En face, la fille est maintenant couchée, en continuant à se masturber. Sa tête roule sur loreiller, sans doute avant une jouissance qui arrive bien vite.

Elle sort du dessous de son oreiller un gode assez costaud. Si elle le lèche, je pense que ce nest que pour le mettre à une bonne température. Si jen avais un sous la main, je ferais comme elle. Enfin elle se baise. Sa fente est juste en face de moi : je peux ainsi voir ce quelle se fait.

Si elle fait entrer le gode, elle le fait très lentement. Sa main droite tient la fausse bite. Au bout dun instant elle change de main pour que sa main droite se consacre à nouveau au bouton. Je ne peux pas voir la fin : je jouis avant elle.

Moi qui suis une femme sérieuse, hétéro comme pas une, je me prends à rêver dêtre avec elle pour nous branler ensemble. Il me semble que ce doit être formidable de baiser avec elle. Je peux prendre contact avec elle : je sais où elle habite, à quel étage. Je dois jouer au détective pour la rencontrer. Je verrai ça à partir de lundi. Je nen parle pas à mon homme qui aurait des envies que je comprends.

Je passe une bonne partie du lundi matin à farfouiller dans limmeuble voisin. Elle loge au 5° étage, cest certain. Les boîtes à lettres sont une source de renseignements extraordinaire. Je trouve une demoiselle X Rose, la seule au 5°. Ce soir, je prétexterai une réunion pour venir essayer de la voir. La suite ne mappartient plus.

Vers 21 heures je sors de chez moi pour ma « réunion ». Lucien, bien sûr, me laisse sortir. Je vais toquer en face au 5° à nimporte quelle porte pour demander mademoiselle X Rose. Une vielle dame répond gentiment : « en face ». Jai le cur qui fonctionne à 100 à lheure quand je sonne à la bonne porte. Une jeune fille ouvre : cest bien elle.

Je voudrais vous poser des questions.

Entrez donc.

De près, elle est encore plus sexy que je croyais. Elle a les yeux verts. Il faut que je lui dise la vérité, sinon je vais inévitablement me couper.

Samedi après-midi, jai vu votre masturbation ; je me branlais aussi en vous regardant. Jai envie de vous.

Je sens que je vais me faire jeter. Je suis bien plus vieille quelle, à supposer quelle aime les filles. Que ferait-elle dune vieille peau comme moi ? Elle va me prendre pour une couguar à la recherche de nouvelles sensations érotiques. En plus, je ny connais rien en amours féminins.

Pourtant elle me sourit. Elle ne va pas quand même me croire.

Entrez, venez vous asseoir ; nous allons bavarder pour mieux nous connaître.

Je la suis dans un séjour que je ne peux voir de chez moi. Malgré lheure, elle moffre un café que jaccepte. Pendant quelle prépare le breuvage, je me demande encore ce que je fais là à vouloir séduire une fille. Quand elle revient, en guise de bavardage, elle pose sa bouche sur la mienne. Au moins, la réponse est directe. Cest aussi sa langue qui vient à la recherche de la mienne. Nous échangeons un baiser damoureux. Après le baiser, ses lèvres sont encore sur ma bouche ; elle me lèche les lèvres. J’en mouille encore pas mal.

Tu aimes que je fasse comme ça ?

Bien sûr que j’aime ; j’ai envie de t’en faire autant. À mon tour de te lécher.

Ses lèvres sont douces sous ma langue. Elle profite de cet instant de caresses pour passer une main sur ma cuisse. Même si c’est à l’extérieur et par-dessus ma robe, je sens sa chaleur.

Je voudrais bien la caresser, mais où, sans passer pour une femme totalement dévergondée. J’aime baiser, mais avec une fille, ce serait ma première fois.

Je ne sais rien faire avec les femmes.

Moi je sais ; laisse toi aller, je vais de faire jouir. Je suis Rose.

Merci, Rose.

Je me laisse aller quand elle passe enfin sa main sur un sein, que l’autre passe sous ma robe. Elle commence par caresser doucement mon genou droit avant de monter doucement vers ma chatte. J’écarte les jambes quand elle me fait frémir d’avance en me caressant. Je suis carrément offerte. J’ai des frissons en la sentant passer. Enfin, je suis apaisée quand je sens sa main écarter ma culotte. À mon âge, je ne porte pas de string. Elle sait parfaitement trouver les endroits sensibles.

Mon clitoris l’attend depuis un moment. Rose commence à le branler, pas comme fait Lucien qui comme tous les hommes sans doute pense que les femmes prennent leur plaisir comme si elles avaient une bite. Elle est plus que douce. Ses doigts (je suis incapable de savoir combien) me masturbent vite mais légèrement. Elle appuie lentement pour m’emmener vers le point de non-retour. Je sens l’orgasme arriver dans mon bas-ventre, monter vers le haut, et éclater en un feu d’artifice.

J’en reste totalement inerte. Étonnée de la qualité de sa branlette, je suis prête à recommencer. Mais elle a d’autres idées en tête. Elle pose une main sur un sein, puis l’autre. Elle m’excite encore plus. Rose cherche l’ouverture de ma robe pour l’enlever. Je l’aide pour me retrouver en culotte et soutien-gorge peu modernes. Elle n’y prête pas attention ; elle arrive facilement à enlever le soutien-gorge. J’ai peur qu’elle se moque de moi : j’ai les seins qui ne tiennent pas comme quand j’avais son âge, même s’ils ne tombent pas.

Rose n’hésite pas à poser sa bouche sur un téton : résultat, je réagis comme si c’était Lucien qui le faisait. Ce qui change beaucoup, c’est la douceur de sa main quand elle me caresse. Je resterais des heures à me faire caresser ainsi avec sa main. Soudain, elle me demande de participer aussi : elle a envie que je la branle comme elle m’a fait.

Je me redresse pour faire ce que je peux. Je l’embrasse pour commencer. Mes mains cherchent ses seins, pas longtemps : elle ne porte qu’un petit maillot de corps. J’arrive à le lui enlever. Ma bouche est aussitôt sur son sein. J’avoue prendre un énorme plaisir rien quen le suçant. Il me semble que je vais en faire sortir du lait. Son téton est bien plus gros, maintenant. Je sens même les petits renflements autour du sein. J’ai enfin de l’assurance ; je cherche maintenant à passer sous sa jupe courte.

Elle fait comme moi en écartant largement ses jambes. Que sa peau est douce, entre ses cuisses ! Je monte doucement en l’embrassant. Enfin, je suis au cur de sa féminité. Là, pas de culotte ou de string : directement son corps, son bouton sous mes doigts. J’agis comme pour moi quand je me branle. Sauf que ce n’est pas mon con. Je ne peux me retenir de porter mes doigts à ma bouche pur goûter sa cyprine : un peu sucrée et musquée. Un délice. Je retourne vers sa figue. Je ne pensais jamais lui faire cet effet. Elle gémit pendant la masturbation. Je la sens jouir ; j’arrête quand elle me demande de continuer. Malgré ses spasmes, je continue plus doucement.

Tu branles bien. Continue.

Je n’obéis pas ; je la branle à peine pour aller me perdre vers son cul. Mon doigt commence une privauté sur son périnée. Je vais très lentement pendant qu’elle tend son cul vers moi. Elle en a envie à cet endroit précis. J’arrive doucement sur l’anus. Là, je sais faire : je ne fais que passer plusieurs fois mon doigt sans appuyer.

Vas-y, n’aie pas peur ; encule-moi !

Attention, j’entre.

Je n’y vais pas doucement pour entrer deux doigts à la fois. Je les fais aller et venir jusqu’au moment où elle crie qu’elle jouit.

Pour quelquun qui ne connaît rien aux filles, tu m’as drôlement faite jouir.

Maintenant, elle change de position ; elle me tient debout sur le siège, sa tête s’incrustant entre mes jambes. Je sens sa langue commencer par entrer dans mon anus. C’est une découverte puisque mon mari ne m’a jamais fait ça autrement qu’avec sa queue.

C’est bon, sans valoir une vraie sodomie. Mais quand elle me masturbe le clitoris, là, je ne me gêne pas pour jouir. Elle me fait coucher non plus dans son séjour, mais dans la chambre. Je lui demande de fermer les rideaux pour ne pas être vue de mon mari. Elle me fait coucher ; j’écarte les cuisses, comme si un homme allait venir me baiser, ce que je n’aurais pas refusé. Sa tête à nouveau entre mes jambes, elle me fait un cunnilingus que je n’oublierai jamais. Tout mon abricot a droit à une visite de sa langue, décidément avec une tête chercheuse.

Encore une fois, mes orgasmes sont rapprochés comme jamais. Quand elle se tourne pour me donner sa chatte à lécher, je le fais volontiers. Je sens ses cheveux sur mes cuisses ; je les caresse longuement, tout le temps que dure ce qu’elle me fait. C’est bon, j’aime sa langue quand elle me donne ce genre de plaisir que je ne connaissais pas.

Moi, je fais ce que je peux quand nous sommes en 69. J’aime bien une queue dans ce cas, mais sa cyprine est si délicate… En plus, je fouille une chatte. L’ensemble m’excite continuellement. Il faut croire que je me débrouille pas mal, car elle jouit souvent.

Elle sort un gode particulier, à double tête. Elle ne me demande rien quand elle me l’enfile directement dans le con. Je soulève la tête pour bien voir ce qu’elle fait. Après en avoir logé une partie dans mon ventre, elle entre l’autre bout dans le sien. Nous avons l’une et l’autre les cons remplis. Elle prend l’engin par le milieu en faisant des allers et venues. J’avais des doutes avant ; je n’en ai plus maintenant. C’est exactement comme une bite véritable. Mon ventre fait les mêmes allers et venues qu’avec la bite de mon homme. Après tous ces orgasmes, je pensais ne ressentir qu’un simple plaisir. J’ai un orgasme des plus forts. Elle en a un elle aussi presque en même temps que moi.

Nous finissons par un long baiser sur la bouche avec une légère caresse sur nos chattes.

Si tu veux, je reviens lundi prochain.

Tu ne peux pas revenir avant ? Je suis libre tout le temps, quand mon amie n’est pas là. Et elle est partie. Deviens mon amante.

Alors, viens chez moi quand tu veux laprès-midi quand mon mari est absent.

On fait comme ça. À demain !

Depuis, j’ai toujours mon mari qui me baise de mieux en mieux et une jeune amante pour passer mes après-midis crapuleux.

Sexuellement, je suis une femme satisfaite.

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