Nous avons passé la nuit dans la boutique au premier. J’ai été baisé, enculé, léché. Comblée par un homme qui aime le sexe. C’est le père de mon copain. Ce qui est étonnant je n’ai pas pensé à ce dernier, et je me sens pas coupable du tout. Au petit matin, il me ramène chez lui. sa femme et Didier ne sont pas là toute la semaine, en déplacement à la Rochelle. On prend un petit déjeuner copieux, on discute, on rit et il me dit en souriant et avec le regard brillant "tu m’as vraiment épuisée, tes une vraie petite garce, je sens que cette semaine, tu vas en prendre pleins tes trous ma salope". Je le regarde en passant ma langue sur mes lèvres et lui rétorque que je suis à son service et que je me ferais un plaisir de le satisfaire. Le téléphone se met à sonner et j’entends, "oui si tu veux tu passes, t’inquiètes, je dois sortir mais je ne serais pas long, il y aura quelqu’un à la maison pour t’ouvrir, ok à tout à l’heure".
"C’est mon ami Steph qui passe, il doit me déposer des livres que je lui ai demandé, comme je dois m’absenter, tu peux lui ouvrir, je lappellerais en route et je lui expliquerais en gros que tu es en visite et que c’est toi qui lui ouvrira, par contre soit cool et reçois le bien, tu verras il est cool". Je lui promets et avant qu’il parte je me colle à lui, il m’embrasse longuement tout en me malaxant les seins. Je me mets à mouiller, envie de me lâcher encore. Mais bien sur, pas le temps.
Dès que la porte se referme, je m’installe sur le canapé et regarde autour de moi. Salon assez sympa, bien décoré. Je me laisse lentement aller et commence à somnoler. La sonnerie de la porte me fait sursauter, je vais tout doucement à la porte et voit un homme cinquantaine, grisonnant sur les tempes, assez bien de sa personne et assez musclé, bien conservé, il porte un carton dans les bras. J’ouvre et il entre, se dirige vers le salon et dépose le carton sur la table. Il se retourne vers moi, me tend la main et dit "salut moi c’est Steph, tu dois être Sara". On discute un petit moment et il me demande s’il y a un truc frais, je lui propose une bière et moi je prends un coca. Je vais chercher le tout et je reviens. On est assis sur le canapé et on discute.
"Alors comme ca tu es la copine de Didier" ; "oui, mais il est pas là, il est avec sa mère à la Rochelle". "Oui, c’est ce que m’a dit son père, d’ailleurs Daniel m’a dit que tu étais très gentille" ; "merci, mais bon, euh…". Je ne savais plus quoi dire, il avait glissé sa main sur mon genou qu’il caressait lentement. J’étais tellement surprise que je n’ai fais aucun mouvement de recul.
Il s’approche de moi, m’embrasse sur la joue, sur les lèvres, je ne sais pas quoi faire tant je suis statufié, mais cela réveil mon excitation, je sens un liquide chaud entres mes jambes. Il se sers contre moi, toujours en m’embrassant, me léchant, le cou. J’ai chaud, très chaud. Mon corps a du mal à se contrôler. Il me soulèves et me fais asseoir sur ses genoux. Il glisse ses mains le long de mon dos et de mes hanches, me faisant réagir à l’extrême. Sa bouche parcourt mon cou, descend entre mes seins avec des bisous tendres, chaud, allumeurs. Il écartes le décolleté de ma robe, la langue descend plus bas. Il attrapes un téton qu’il suces, tête, mange; Je réagis encore plus, mon corps n’arrive plus à maîtriser ce désir qu’il fais naître et je lui dis "Steph, vous faites quoi", tout en gémissant. Ce à quoi il me répond, "je sais très bien que tu baises avec Daniel, il me l’a dit, et apparemment il t’aurait dit d’être gentil avec moi, il m’a dit que tu étais une vraie chaudasse". Je suis étonnée de ces propos, mais ne peut rien faire, mes seins sont tendus, mes tétons ont gonflés de volume et son dures, ils pointent à me faire mal. Et entre mes jambes, mon excitation se fait sentir, je mouille terriblement.
Il me regardes avec un regard gourmand, car il sais qu’il me trouble plus que de raison. Il glisses une main entre mes jambes tout en gardant l’autre sur mes seins, qu’il caresse, masse, agace. Il me caresse la peau entre mes cuisses, Il remonte vers ma chatte, qu’il caresse lentement, sensuellement, puis il y glisse ses doigts d’un coup, ce qui me fait gémir de plaisir et il me dis "tiens salope, mes doigts dans ta chatte , t’aime ça comment je te doigtes petite pute, une vraie chienne en chaleur, qu’est ce que t’es mouillée salope" Je suis trempée, ma mouille coule sur sa main, mon souffle devient court, et je gémis de plus en plus fort. Il alterne accélération et ralentis avec ses doigts, ses caresses sont de plus en plus affolantes, je ne tiens plus je me mets à jouir violemment. Je reprends peu à peu mes esprits, Il me regarde avec une lueur de désir dans les yeux et il me dit "je n’en peux plus fais moi jouir dans ta bouche, suce moi petite pute"
Je glisse ma main entres ses jambes,il est dur. Je le caresse à travers son pantalon. Je le déboutonne, glisse ma main et prend une bite chaude, dure, tendue. Je le branle doucement dans ma main, puis de plus en plus vite. Ensuite, j’approche ma bouche et ma langue, je lui lèche le gland tout en continuant à le branler de ma main, avec mon autre main, je lui masse les couilles, je les caresse, je les fais rouler entres mes doigts. J’entends ses soupirs, ses gémissements et il me dis "prends moi ma salope, suce moi la bite, bouffe mes couilles ma cochonne, t’aime ca la bite oh oui tes une allumeuse, humm Daniel avait raison tes une vraie chaudasse". Je le regarde d’un regard malicieux et coquin et je continue à jouer avec sa queue, je la lèche de haut en bas, aspire les couilles, je les déguste. Je sens son énervement, car il veut que je le prenne, il m’attrapes par les cheveux, et me met direct sa queue dans ma bouche, et il accélère le mouvement, "bouffe moi la bite salope, tes bonne il parait, vas y suce moi pétasse". Je m’applique à faire montrer ma langue tout le long de sa bite, je le lèche, suce, il me regardes et il me dis "tu aimes ca, tiens prends la, goûte là, mange là, vas y ma petite salope, manges la bien, déguste là". Je gémis tout excitée par ce que je lui fais ressentir et par ce qu’il viens de me dire. Oui j’aime avoir sa bite dans ma bouche, la lécher, la sucer, le cajoler, elle est dure, chaude, douce, un vrai régal. D’un coup je le sens raidir, et explose dans ma bouche en gémissant bien fort. Il me dis "avale tous mon jus salope, lèche bien tout ma petite pute". J’avale tout ce que je peux, mais son liquide me coule de la bouche et vient se perdre entre mes seins. Je continue à le garder dans la bouche pour boire à son jus, humm c’est bon. Il me caresse les cheveux lentement et me dit "je vais prendre une petite douche et je reviens, j’en ai pas pour long, je vais m’occuper de toi".
Ce petit intermède pas mis en bouche, j’imagine déjà ce que je vais prendre, et ça m’excite au plus haut point.