Ma femme Odile
Histoire sortie de mon imaginaire, quoique pas tout à fait…
Entre un mélange de vécu, de fantasme et inspirée d’autres histoires.
Récit rédigé par moi-même, avec mes propres mots.
Ma femme Odile a 30 ans, une jolie blonde ambrée, 168 centimètres, 61 kilos. Elle n’est pas mince, de corpulence normale, mais elle a juste quelques petites formes au niveau de ses hanches, ventre et fesses. Le tout a un charme que j’apprécie énormément, et pas que moi d’ailleurs, vu le nombre d’hommes qui se retournent pour la mater dans la rue quand elle s’apprête un peu. Les blondes attirent très souvent les regards. Elle a une poitrine naturelle assez ferme 85C ou 90C, c’est agréable de les attraper à pleine main, et de sentir leur poids. Son derrière est à croquer, avec des formes, rien à voir avec les mannequins et les fesses plutôt plates, des fesses qui claquent bien.
Nous sommes en couple depuis six ans mais pas encore mariés. Nous habitons ensemble depuis trois ans dans notre petit appartement. Malheureusement pour moi, elle n’est pas très portée sur le sexe. Plutôt classique, et prude on va dire, nos ébats se résument souvent à la position du missionnaire, voire la levrette, et que dans la chambre, sur le lit et dans le noir. Elle n’assume pas son corps, elle ne le trouve pas assez joli, pourtant je l’apprécie énormément, ce qui a pour conséquence son manque de confiance lors de nos ébats.
Comme la plupart des relations, au début, avec la nouveauté, on se découvre, on baisait tous les jours, dès que l’occasion se présentait. Mais après années, avec la routine, on est plutôt sur un rythme de une à deux fois par mois, voire moins. Un peu frustrant pour moi, qui raffole du sexe, qui traîne souvent sur des forums et des sites pornographiques. Il n’y a pas cinq minutes, où je n’ai pas des pensées obscènes. Alors vous comprenez donc ma frustration. Impossible de lui dire, elle trouve le porno, l’exhibition et le libertinage, malsains. J’ai donc une double vie virtuelle, en me calmant via internet. La tromper ? Impossible. Je l’aime trop pour ça.
Apparemment, je ne suis pas seul dans ce cas. D’après les échanges sur les sites avec d’autres hommes, je me rencontre qu’il y a énormément de couples dans la même situation que la nôtre. Pourtant nous n’avons pas encore d’enfant, alors qu’est-ce que cela va être lorsque ce sera le cas ?
Il y a peu, ma femme m’a avoué qu’elle regrettait un peu de n’avoir pas assez profité de sa jeunesse pour faire des bêtises, mais qu’elle ne regrettait aucunement notre vie actuelle. Elle n’avait connu qu’un seul homme avant moi, mais que ce n’était pas fameux et cela n’a pas durer longtemps. Son dépucelage n’était pas un bon souvenir. Quel message voulait-elle me faire passer à ce moment-là? Elle aurait aimé avoir expérimenté d’autres hommes avant moi ? Cet aveu me laissa songeur.
A force de traîner sur les sites pornographiques, mes fantasmes ont peu à peu évolué. Du voyeurisme, de lexhibitionnisme, je rêve maintenant de voir ma femme se lâcher et être libertine, de la partager, de la voir se faire défoncer devant mes yeux, par de bon gros sexe. Mais hélas, entre le fantasme et la réalité, il y a un gouffre. Pourrais-je assumer de vraiment voir ça ? L’idée fait fantasmer mais la réalité du moment peut être à double tranchant. Le pincement au cur de voir sa belle avec d’autres hommes, comme dit le dicton: soit ça passe, soit ça casse.
Ce n’est pas faute d’avoir essayer de la débrider un peu au fur et à mesure lors de nos séances de sexe. Mais j’ai l’impression de faire 1 pas en avant pour deux pas en arrière. A chaque fois qu’elle se lâche un peu, juste après, c’est de nouveau la monotonie. Elle a eu sa petite période de fantaisie, grâce au phénomène 50 nuances. Elle était désireuse de tester le bandeau sur les yeux, les menottes, les petites claques sur les fesses. Mais hélas pour moi, cette période fut de court terme, pour retomber dans le quotidien.
Odile était à la recherche d’un emploi de commerciale. Mais malgré ses qualifications, elle ne trouvait pas un bon poste. Elle restait toute la journée à lappartement, dans des tenues cosy, jogging… ce qui n’était pas forcément excitant le soir venu. Le contact social se résumait aux voisins, aux livraisons et les courses. Après plusieurs mois de recherche, sa vie changea. Depuis une rencontre l’année dernière, notre vie "monotone" est devenue active et assez pimentée, en peu de temps je dois dire.
Tout commença au début du printemps, un week-end, nous étions invités à un mariage d’une ancienne collègue de ma femme avec qui elle s’entendait bien. Odile aime bien ce genre d’événement, car elle a l’occasion de sapprêter et de mettre de belle tenue. Elle était pour ce jour la, habillée d’une robe à bretelles couleur bleu avec un décolleté pas trop plongeant, et ample en bas qui s’arrêtait au-dessus des genoux, et des escarpins avec des talons de cinq-six centimètres. Le tout sans être vulgaire, pour ne pas choquer lors d’un mariage.
Lors du vin d’honneur, Odile partît chercher un verre, je la contemplais de loin, elle était belle au milieu des autres invités. Je me disais que j’avais de la chance d’avoir une belle femme comme elle. Sans me vanter, elle attirait le regard de bon nombre d’invités masculins, mais tous étaient discrets lors d’un jour comme celui-là. Pourtant j’en étais sûr, certains devaient avoir des images coquines en matant Odile. Ils devaient la désirer. Même moi je la comparais aux autres femmes. Puis un homme à côté de moi, me parla discrètement, et interrompu mes pensées:
Lui – Elle est belle cette femme, n’est ce pas ? Elle ne passe pas inaperçue.
Moi – Hein, comment ? De… qui ?
La blonde en robe bleu. Elle est magnifique.
Ah ? Euh… oui… bien sûr.
Si je n’étais pas marié, je n’hésiterai pas une seconde à faire connaissance avec elle.
C’est de ma femme dont vous parlez ?
C’est vrai qu’au premier regard, on ne peut imaginer cette femme est avec un homme comme moi, qui suis "normal", sans plus, de corpulence normale 172, 65 kilos, avec un visage normal, un monsieur passe partout, sans grand charme, mais pas moche non plus. Brun, 32 ans, assez sportif un temps, mais aujourd’hui, avec la routine, les abdominaux se sont transformés en un ventre avec des petits poignets d’amour.
Ah excusez moi, je ne voulais pas être impoli. Je disais que votre femme est très belle et que vous avez donc de la chance.
Merci.
Je m’appelle Roland. Ma femme est une cousine éloignée du marié.
Enchanté je suis Alex. Nous sommes des amis de la mariée, elle travaillait avec ma femme.
Roland est un homme de la petite quarantaine, cheveux court, un peu grisonnant, 1m80 environ, 75 kilos, plutôt bien conservé pour son âge, athlétique, les épaules larges. Il avait une femme Sandrine, qui n’était pas à nos cotés, 35 ans, 173 centimètres, 58 kilos, cheveux mi-long châtain, mince avec une forte poitrine, sûrement refaite. Bizarrement, Roland et moi, discutions bien, un peu de tout, du mariage, de nos professions, de banalités et de temps en temps de nos femmes. Cet homme inspirait la confiance, une aura se dégageait de lui, une prestance avec un charme particulier qui pourrait plaire à la plupart des femmes. On se croisa plusieurs fois durant la soirée. Il faut dire que je connaissais pas grand monde à ce mariage. On se présenta nos femmes respectives. Le feeling passait bien. Lors de la soirée dansante, nous regardions nos femmes se trémousser au milieu des autres convives. Odile aimait danser. Moi je préférais rester hors de la piste, je suis assez mauvais danseur.
Et je ne sais comment, notre discussion tourna autour du sexe.
Roland: nos femmes sont magnifiques.
Moi: oui, sublimes, elles s’amusent bien sur la piste.
Tu as vu comment elles bougent leur derrière ? Dis-moi, Odile a déjà eu une expérience avec une femme ?
Hein ? Comment ? Euh non, jamais, d’après ce qu’elle m’a dit.
Tu sais, ne voulant pas te choquer, Sandrine et moi, sommes plutôt un couple ouvert. Nous aimons découvrir de nouvelles expériences.
Je ne suis étonné qu’à moitié. J’avais eu cette pensée durant la soirée que cela pouvait être possible. Vous êtes plutôt un couple amical et avenant. Je me donc posais la question.
Je vois, donc si je te dis que j’ai envie de ta femme, ça te fait quoi ?
Que cela est flatteur, mais qu’hélas cela restera du fantasme.
Dommage, as-tu déjà imaginé ta femme avec un ou une autre ?
Euh, non, enfin, peut être, oui cela m’arrive.
Et si je te disais que je pourrais t’aider à réaliser ce fantasme ?
Ah ? Et comment comptes-tu t’y prendre ? Répondis-je amusé, ne prenant aucunement au sérieux ses paroles.
Tout est possible quand on s’y prend bien, étape par étape, petit à petit, et tu verras que tout est possible.
La discussion sur le sujet en restait là. La soirée suivit son cours, puis on ne tarda pas à partir. Juste après avoir féliciter de nouveaux les mariés, Roland me proposa d’échanger nos coordonnées afin de rester en contact, vu que le feeling semblait passer entre nous.
En rentrant du mariage, sur la route, dans la voiture, Odile et moi discutions de la journée:
Moi – Tu t’es bien amusé aujourd’hui.
Odile – Oui comme d’habitude. Et toi ? Tu n’as pas arrêté de discuter avec ton nouvel ami.
Oui, pour pas m’ennuyer vu que je ne connaissais pas grand monde. Et puis on s’entendait bien.
Sandrine est amusante aussi. On a bien rigolé sur la piste de danse.
Roland t’a trouvé très charmante, il m’a dit qu’il aurait bondi sur toi s’il était célibataire.
Mouai, un mec quoi, il ne peut se contenter d’une seule femme, charmeur en plus.
Tu le trouves comment ?
Un bel homme. Bien entretenu pour son âge. J’espère que tu seras aussi en forme que lui à son âge hein ?
Et toi, aussi bien foutu que sa femme à son âge alors, répondis-je amusé.
Le retour se passa dans la bonne humeur. Mais hélas, arrivé à la maison, nous étions trop épuisés pour faire l’amour. Ce fut encore partie remise.
En milieu de semaine suivante, je fus surpris de recevoir un message par textos avec une invitation de la part de Roland à venir chez eux un samedi après midi et soir, afin de profitez de leur piscine avec le beau temps et pour dîner ensemble.
J’en discuta avec Odile, étonnement, elle me répondit pourquoi pas ? Cela nous changera un peu de la routine.
Comme convenu, deux semaines plus tard, le samedi, nous sommes allés chez Sandrine et Roland à 120 kilomètres de chez nous, ce n’était pas tout près. Sur place, dans un quartier résidentiel, nous vîmes la belle maison des années 90, avec une grande façade. Sachant qu’il y avait une piscine, nous pensions de suite que nos hôtes n’étaient pas dans le besoin. Par chance, il faisait assez chaud pour profiter de la piscine. Roland nous accueillit et nous dirigea directement dans la salle de bain afin de nous changer et mettre nos maillots. Ma femme avait apporté un deux pièces à mon grand étonnement me disant que c’était mieux pour bronzer. Nous rejoignîmes nos hôtes à l’arrière de la maison, dans le jardin. Sandrine nous attendait avec des cocktails. Elle aussi était en deux pièces. Elle avait un corps très bien entretenu pour 35 ans.
Mince, et avec le peu de tissu au maillot de bain au niveau de la poitrine, je pouvais confirmer qu’elle avait ses seins refaits, deux beaux seins bien ronds qui tenait presque tout seuls, un 85D minimum. On aurait dit une pin-up américaine comme on en voit à la télé. Odile s’allongea sur un transat.
Je ne pus résister longtemps, je plongeai directement dans la piscine d’une dizaine de longueur pour me rafraîchir comme un enfant. Sandrine demanda à Roland de l’aider pour lui mettre de la crème solaire sur le dos. Ce qu’il fît avec plaisir. Sandrine était allongée sur le ventre et avait détaché le nud de son haut. Dans cette position, ses faux seins étaient à peine écrasés, ce qui forçait la courbure de son dos. Quand il eut fini avec Sandrine, il proposa de lui même d’en mettre sur le dos de ma femme, en disant que c’était mieux au cas où pour les coups de soleil. Ma femme ne refusa pas la crème, mais elle s’arrangea pour s’en mettre elle-même. Elle ne connaissait pas encore bien Roland, pour autoriser un contact physique. Roland me rejoignît à la piscine avec une bière. Puis nous discutions de tout et de rien, de nos femmes qui bronzaient. La vue était magnifique, avec les deux derrières bombés qui s’offraient à nous.
Heureusement que nous étions dans l’eau, j’avais un début d’érection à force de regarder leur fesses, aussi bien celles de ma femme que celles de Sandrine.
L’ambiance était bon enfant. On s’occupa ainsi jusqu’au soir, un barbecue était prévu pour le soir. Odile partît se changer et se rafraîchir pour le dîner et croisa Roland dans le couloir amenant à la salle de bain.
Roland – tout va bien ? Vous vous amusez bien ?
Odile – oui je vais me rafraîchir.
Roland se rapprochant d’Odile.
J’en profites qu’on soit seuls, pour te dire que tu es une femme magnifique, et que si je m’écoutais…
Surprise Odile ne dit rien. Roland bloqua le passage du couloir pour la salle de bain en posant son bras sur le mur.
Tu sais, tu as un corps à réveiller n’importe qui, regarde l’effet que tu me fais, si ton mari n’était pas là.
Une bonne grosse bosse apparut dans le bermuda de Roland, Odile ne put sortir un seul mot de sa bouche, complètement prise au dépourvue, recula d’un pas, adosser au mur. Elle balbutia. Elle ne pouvait tenir le regard de Roland sur le moment, en baissant les yeux, son regard se portait inconsciemment sur l’entrejambe de Roland.
Je… Je t’en prie, laisses… laisses moi passer.
Je ne veux pas te mettre mal à l’aise. Je ne suis qu’un homme qui admire une jolie femme.
Je… Je te remercie mais laisses moi passer stp…
Odile se faufila en dessous du bras de Roland, en se baissant un peu et s’empressa de rentrer dans la salle de bain. Elle ferma la porte et la verrouilla. Elle était à la fois choquée et flattée par ce moment inattendu. Debout, face au lavabo, devant le miroir, souffle coupé, elle en avait la respiration forte. Elle ne savait pas si elle devait m’en parler ou pas. Elle ne voulut pas faire scandale. Les yeux fermés, elle essayait de se refaire la scène pour tout bien analyser. La bosse dans le bermuda et le fait qu’un homme lui parle ainsi, la désorienta. Elle sortît de suite de ses pensées, et s’habilla. Elle décida de ne pas m’en parler de suite.
Le dîner se passa tranquillement. Odile était habillée d’une jupe courte noire patineuse, d’un débardeur blanc, avec un soutien-gorge. Tandis que Sandrine, était restée avec son bas de bikini, et avait mis un débardeur jaune clair à la place du haut. Elle n’avait pas mis de soutien-gorge. On distinguait facilement ses mamelles et ses tétons qui pointaient de temps en temps. C’était sur, elle n’était pas une femme pudique. L’alcool aidant, le dîner se passa dans la bonne humeur. Odile et Roland ne firent aucune allusion à la scène du couloir. Pourtant, Roland n’arrêtait pas de jeter des regards charmeurs à ma femme, qui essayait de l’ignorer. Nous continuâmes la soirée au salon. Sandrine se changea et avait mis une minijupe moulante noire très très courte. Le champagne fut ouvert. Nous rigolions à tout va, parla de tout. Roland faisait en sorte de faire pleins d’allusions sur le sujet du sexe, pour en parler, en discuter. Je voyais bien son manège.
Mais il faisait attention à ne pas être lourd. Sandrine était assise devant moi dans le canapé, de part sa position enfoncée dans l’assise, je vis depuis ma chaise qu’elle n’avait même pas pris la peine de mettre une culotte. Elle était complètement rasée. Une chatte toute lisse sans un poil. Mes yeux étaient souvent attirés par cette vue, cette exhibition. Je cherchais à cacher tant bien que mal mon début d’érection. Roland, jetait des regards insistants à Odile, pour la titiller, et la séduire. Mais ma femme continuait à l’ignorer, ou du moins, faisait en sorte de ne prêter attention à ses avances. Elle ne voulait pas en rajouter avec l’épisode du couloir. De mon côté, je savais où nos hôtes voulaient en venir, sachant que Roland m’avait confié qu’ils étaient plutôt libertins au mariage. J’avais pris soin de ne pas informer ma femme des tendances de nos hôtes, pour ne pas la choquer, et la dégoûter. Si elle l’aurait su, elle aurait sûrement refusé l’invitation de nos hôtes.
Il commençait à se faire tard. Malgré les allusions, les discussions, et l’alcool, nos hôtes n’eurent pas réussi à atteindre leur but. Nous voulions rentrer. Nos hôtes nous proposa de dormir dans la chambre d’amis, car la route était longue, et nous avions beaucoup bu. On hésita, essayant de refuser, mais la raison fut qu’on accepta. On n’était peut être pas en état de conduire avec tout l’alcool.
Cette nuit là, dans la chambre d’amis, qui se tenait juste à côté de celle de Sandrine et Roland, allongés sur le lit, Odile et moi entendions tout ce qui se passait à côté. Les gémissements, les coups de butoir et le grincement du lit. Définitivement, nos hôtes se fichaient de notre présence, ou bien le faisaient-ils exprès pour nous titiller. Cela dura une bonne demi-heure. Nous commencions à être exciter par ces bruits. Nous parlions à voix basses:
Tu sais chéri, je crois qu’ils sont libertins.
Ah tu penses, je le crois aussi. Faisant mine d’ignorer mes sources.
Roland m’a dit qu’il me désirait quand il était seul avec moi dans le couloir. Il avait la gaule en me regardant.
Sérieux ? Il t’as touché?
Non, je suis parti dans la salle de bain.
Et après ? Il s’est passé quoi ?
Rien de plus. Il est parti.
Sandrine n’a pas arrêté de m’allumer aussi. Elle portait même pas de culotte sous sa jupe.
Oh la salope, tu as kiffé hein ? De voir ça ?
Un peu. C’était amusant de voir ça dans une telle situation. Je pense qu’ils auraient bien voulu nous sauter dessus aujourd’hui.
Oui, mais pas de chance pour eux. On n’est pas aussi ouvert qu’eux. Par contre, toi, tu vas…
Odile attrapa mon sexe et dirigea sa bouche dessus. Ma queue ne mesurait que 15 centimètres en érection et trois centimètres de diamètre à peine. Elle me suçait avec désir. Elle faisait des va-et-vient avec sa main et sa bouche gobait le bout de ma queue. Le gland disparaissait dans sa bouche. Elle tournait sa langue tout autour de mon gland. La situation fît que je ne pus me retenir longtemps. Au bout de cinq minutes à peine, je lâchai tout ce que j’avais dans un râle de plaisir silencieux dans la bouche d’Odile. Elle n’aimait pas du tout avaler. Elle trouvait le goût âpre. Mais comme elle ne pouvait pas aller à la salle de bain sans éveiller de soupçon, elle me fît ce plaisir cette fois-ci. La journée dans la piscine, l’événement du couloir, la soirée, les gémissement de la chambre d’à côté, ont dû nous exciter. Nous aussi voulions du sexe. Je m’allongeai entre les jambes d’Odile, je voulais lui rendre la pareille.
Ma tête entre ses cuisses, jécartai sa culotte pour atteindre sa vulve. Je m’appliquais avec ma langue, de bas en haut, de haut en bas, sans oublier de jouer avec ses lèvres de chaque côté. Je pratiquais même des aspirations sur son clitoris. Je sentis Odile se contracter assez rapidement. Elle attrapa avec ses mains mes cheveux et me serra fort ma tête avec ses cuisses. Elle trembla de tout son corps. L’extase semblait intense. Sans un mot, nous nous allongeâmes l’un à côté de l’autre en tentant de reprendre nos esprits. On s’endormit rapidement juste après.
Le lendemain matin, pendant le petit-déjeuner, personne ne fit d’allusion à ce qui se passa la veille. Lors de nos diverses discussions, Roland savait qu’Odile cherchait un emploi, il avait peut être un contact pour elle. Il prit donc les coordonnées de ma femme afin de la tenir au courant. Je suppose que c’était aussi une excuse toute trouvée pour contacter directement ma femme. Nous rentrions chez nous juste après le petit-déjeuner, en les remerciant de leur invitation, et qu’on avait passé un bon moment, avec nos nouveaux amis.
Quelques jours plus tard, Odile reçut un message de la part de Roland, il avait réussi à obtenir un entretien dans une boîte tenue par l’un de ses amis pour un poste dans ses cordes. Du bouche à oreille, rien de mieux pour trouver un travail. Odile était toute contente de cette nouvelle, elle espérait vraiment que son CV allait parler pour elle, même si elle ne connaissait pas exactement tous les détails du poste en question, seulement dans les grandes lignes. Le salaire environ envisagé, le lieu, le poste de commerciale dans une pme d’une cinquantaine de salariés.
Le jour de l’entretien, Odile se prépara avec un peu stress. Ça faisait un moment qu’elle attendait un entretien pour un éventuel poste qui lui conviendrait. Malgré ses recherches, elle n’en avait pas obtenu pour un poste intéressant. Donc elle voulait se donner les moyens de réussir celui-ci. Même si elle ne connaissait pas toutes les informations sur la société et le poste. Mais Roland lui avait garantie un poste dans ses cordes avec un bon salaire.
Elle commença part prendre une douche afin de se rafraîchir, puis elle décida de raser les jambes car elle avait l’idée de se mettre en jupe.
Dans le dressing, elle choisit un ensemble de lingerie blanc avec un peu de dentelles, un chemisier blanc qu’elle boutonna jusqu’au-dessus de sa poitrine et un jupe courte au-dessus de ses genoux, une veste noire, et des escarpins noirs avec des talons par trop haut. Une vraie tenue de secrétaire se disait elle. Un maquillage soft et pas trop appuyé. Un dernier coup dil devant le miroir, et il était temps de partir.
Arrivée sur place, l’entretien devait se passer dans une brasserie, pour que ça soit plus amical, sur un terrain neutre. A sa surprise, Roland était là, elle ne comprenait pas sur le moment. Comme c’était un ami de Roland, il voulait faire l’intermédiaire, pour que tout se passe bien. Thierry arriva. Homme de 45-50 ans environ, il avait les cheveux courts, grisonnant, pas de calvitie. Il avait une belle carrure, ancien militaire, 1m85 pour 85 kilos, encore très bien conservé pour son âge. Il s’entretenait physiquement.
Les présentations faites, ils rentrèrent dans la brasserie, et s’installèrent. Odile faisait face à Thierry et Roland se mit à côté d’Odile. Se retrouver avec deux hommes grands par rapport à elle étaient assez impressionnant pour Odile, mais elle se donna du courage et fait fi de leur carrure et prestance.
Thierry – Bien Odile, Roland m’a parlé de vous, je recherche éventuellement une personne pour ma société qui pourrait m’aider dans le pôle commercial, et gagner de nouveaux marchés. Je n’ai pas votre CV mais Roland me dit que vous êtes la personne idéale. Pouvez-vous me parlez de vous ?
S’en suivi un entretien normal, entre les expériences, le caractère, les objectifs, la vision du poste, la société et le salaire.
Thierry – J’ai ce qu’il me faut, je suis intéressé, avez-vous d’autres questions ?
Roland, posa sa main au-dessus du genou, un peu à l’intérieur du genou d’Odile. Assise, sa jupe était déjà un peu remontée à mi-cuisse. Odile fut surprise de ce geste déplacé de la part de Roland, mais ne sachant pas comment réagir, pour ne pas tout gâcher, elle laissa faire sur le moment. Thierry ne semblait pas prêter attention à ce geste sous la table.
Roland – Je pense qu’elle est la bonne personne, elle a le bon profil, le poste lui convient. Elle fera beaucoup d’effort, je te le garantie. Donne lui une chance et tu verras, tu ne seras pas déçu.
Odile intimidée par la main de Roland, ne put sortir un seul mot en réponse.
Thierry – OK Odile, je vous recontacte pour ma décision finale. Ce fut un plaisir de vous avoir rencontré.
Odile se leva et serra la main de Thierry.
Odile – Merci beaucoup pour l’entretien. Et merci Roland pour ton aide.
Roland – De rien, ce fut avec plaisir. Je reste un peu avec Thierry.
Odile sortit de la brasserie, partagée entre le sentiment satisfait de l’entretien et furieuse envers Roland pour sa main sur sa cuisse juste à la fin alors que tout se passait bien.
Thierry – Bon alors racontes moi, c’est quoi ton histoire avec elle. Et pas de connerie, je t’ai vu avec ta main sous la table.
Roland – HAHA rien de particulier pour l’instant, mais j’y travaille. Je pense que ça peut le faire. Engages la, et toi aussi si ça se trouve, tu pourras jouer avec elle.
Tu es vraiment démoniaque. Mais j’aime l’idée.
Vu comment elle est foutue, on s’amusera bien avec elle. Tu as vu, pour pas faire de scandale, et pour faire bonne impression, elle est capable de prendre sur elle.
Oui, mais quand même, j’ai une société à faire tourner. Faut pas faire n’importe quoi. Elle se doit d’être aussi sérieuse au travail. Et au fait, à quand ta prochaine soirée ?
Bientôt et je compte inviter nos nouveaux amis.
Le Lendemain matin, Odile reçu un appel de Thierry. Elle avait obtenu le poste. Ma femme allait commencer dès le lundi suivant. Bien sûr, elle serait en période d’essai comme dans tous les contrats. Elle allait devoir faire ses preuves. Surexcitée à l’idée de nouveau travailler, elle sentait que sa vie allait changer et sortir de cette routine de l’appartement. Le reste de la semaine fut une éternité pour ma femme, elle désirait tellement découvrir ses nouvelles fonctions.
Le lundi matin, Odile se réveilla tôt, afin d’avoir le temps de se préparer correctement. Elle choisit une tenue sobre pour aller travailler, pantalon chemise. Elle fit un maquillage discret. Elle était à la fois excitée de commencer ses nouvelles fonctions, et stressée par la nouvelle aventure qui l’attendait.
Arrivée sur place, le premier jour est toujours particulier, on fait les présentations entre les collègues, on sourit à tout le monde, on fait connaissance, on essaie de comprendre le fonctionnement de la société… Dans la journée, Odile fut convoquée dans le bureau du patron, Thierry. En entrant, ce dernier l’invita à sasseoir devant la table de réunion. Il lui fit la présentation de son poste de commercial, de ce qu’il attendait d’elle, de son rôle dans la société. Elle serait la référente commerciale. Elle serait en charge des clients, des contrats, des prospections… Bref il y aurait beaucoup de travail pour elle durant les mois à venir.
Thierry – As-tu des questions sur le poste ? Sur ce que tu as faire ?
Odile – Oui, je pense que oui. Si j’ai des doutes, je n’hésiterai pas à venir vous demander…
Bien, n’hésites pas. Je souhaite que tu donnes tout ce que tu peux dans ton travail. Il y a beaucoup de choses à faire. Et beaucoup d’opportunées. Montre moi que tu peux faire augmenter notre activité, à force de travail, ça paiera.
Thierry se leva, et posa sa main sur l’épaule d’Odile.
Tu en seras récompensée si tu y arrives bien.
Par ce geste, presque innocent, Thierry affirmait qui était le patron, et Odile ressentit la pression. Odile avait bien compris dans le ton et les mots de Thierry, qu’elle allait devoir prouver son implication, et qu’elle allait devoir travailler du matin au soir pendant un certain temps. Surtout durant sa période d’essai. Pourtant elle fut ravi de ce que le poste était.
La petite réunion fut finie sur ces termes. Odile commença à prendre ses marques durant les prochains jours et les prochaines semaines. Elle ne comptait pas ses heures. Elle était parmi les premiers à arriver le matin, et souvent la dernière à partir, sans compter Thierry.
Un jour, en fin de journée, Odile fut encore la dernière à partir. Juste avant de s’en aller, Thierry la demanda dans son bureau.
Thierry – Odile, je suis content de ton travail et de ton implication. On a eu plein de contacts, de nouveaux potentiels clients, et si cela se passe bien, il y aura des signatures de contrats. Mais je dois t’avouer une chose. Je sens qu’il y a des clients qui peuvent être plus facilement convaincus. Je repense au rendez-vous que tu as eu avec eux, tu es une femme, une femme charmante en plus. Est-ce que je peux de te demander, s’il te plaît, de t’habiller un peu plus… comment te dire ? Un peu plus… sexy. Cela faciliterait certaines choses, surtout avec les hommes, ils sont plus attentifs à ces petits détails.
Odile se dit rien, elle resta devant Thierry, à la fois choquée, et plein de questionnement sur ses tenues. Généralement, elle s’habillait en pantalon et chemise. Des tenues correctes, sans plus pour travailler.
Thierry – Ne t’offusques pas. Le monde tourne ainsi, et les hommes avec leur hormones. Ils sont généralement plus manipulables si une femme les titille un peu.
Odile – Euh… comment ça plus… sexy ?
Disons, oublies les pantalons. Tu es une femme, tu sauras mieux que moi comment t’habiller pour faire craquer la gent masculine. Ne soit pas trop aguicheuse non plus. Juste ce qu’il faut.
Sur ces mots, Odile comprit qu’elle allait devoir encore faire plus d’effort. Mais pas sur son travail en lui-même, mais sur ce qui est annexe à son travail. Son apparence.
Le lendemain, Odile changea sa manière de s’habiller. Dorénavant, elle allait privilégier les jupes et escarpins, et un peu plus de maquillage. Tout ce qu’il faut, pour attirer l’attention d’un homme. Elle savait le faire quand elle le voulait. Grâce à ces petits changements, elle remarqua en effet que les négociations étaient plus faciles avec certaines personnes, mais en contre partie, lorsqu’il s’agissait de femme à convaincre, c"était encore plus dur. Heureusement pour elle, que la plupart des clients étaient des hommes.
Les contrats commençaient à augmenter durant les semaines qui suivirent. Thierry était amplement content d’avoir recruter ma femme.
Nous avions été invités à une soirée chez nos nouveaux amis Roland et Sandrine, une soirée chic apparemment. Donc nous avions eu la consigne d’avoir une "tenue correcte exigée", sans plus de détails. Pour moi, ce fut simple, un costard chemise. Pour Odile, elle mit une robe noire à bretelles assez moulante qui arrivait à mi-cuisses, avec des escarpins.
Arrivés sur place, on remarqua qu’il y a du monde, plusieurs voitures étaient garées aux alentours. On sonna à la porte, et Sandrine nous ouvrit la porte. Surprise,
Elle portait au visage un masque vénitien à dentelle noire. Elle était habillée d’une robe noir sans bretelle très courte, et escarpins noires. Incroyable comme vue. Elle nous tendit deux masques qu’on devait porter avant d’entrer. Ces masques ne cachaient pas l’identité de la personne, mais donnait simplement un côté mystérieux. On devinait bien facilement la personne si l’on la connaissait. Arrivés au salon, il y avait du monde dispersé un peu partout en petit groupe. Il y avait de la musique en fond pour mettre un peu d’ambiance. Dès les premiers instants, Odile et moi, nous nous posions la question dans quel genre de soirée étions nous ? Même si la réponse devenait de plus en plus évidente. Nous nous mîmes dans un coin avec un verre à main. Nous n’arrêtions pas de regarder, scruter le moindre fait et geste de chacun des invités. Au bout d’un moment, deux femmes masquées me mirent à danser lascivement au milieu du salon. Tout le monde les regardait.
Puis effectivement, il n’y avait plus de doute sur le type de soirée. Elles se mirent à se s’habiller l’une et l’autre, à se caresser et à s’embrasser. Un homme les rejoignit, puis un autre, et un autre…
Odile et moi étions bouche bée, nous assistions à une soirée libertine pour la première fois. Ma femme qui habituellement trouvait ce monde malsain, ne bougea pas, ne disait rien. Elle regardait. On était assis sur des tabourets. Ma femme croisa, puis décroisa les jambes assez souvent. Avec sa robe courte, cela donnait un côté sexy, allumeuse. Elle ne tenait pas en place. Apprécia-t-elle ? Était-elle écurée ? Pour ma part, j’étais plus intéressé à connaître la réaction de ma femme que le spectacle en lui même. Allait-elle me dire qu’on devait partir sur le champs ? Potentiellement participer ? Ce qui m’étonnerait. Ou simplement rester là et apprécier le spectacle ?
Ma femme et moi ne participions pas, nous étions à l’écart, alors que le reste des invités commençait tous à être nus pour la plupart en gardant leur masque.
D’un coup, Odile magrippa le bras et me chuchota:
C’est pas possible. Je ne le crois pas. Le mec sur la gauche. C’est Thierry mon patron ! Même avec son masque je le reconnais.
Quoi ? Non sérieux ?
J’hallucine, il est là, à poil en train de baiser devant mes yeux comme si rien n’était.
Il sait que tu es là?
Non je ne pense pas. Enfin, euh, je ne l’espère pas. Il connaît Roland, ils sont amis, mais de là à participer à ce genre de soirée. Merde, je vais le voir différemment au boulot maintenant. Je ne sais même pas si sa femme est là? Ou participe ?
Qu’est-ce qu’on fait ? On reste et on regarde ? Ou on s’en va ?
Pour partir, il va falloir traverser la pièce, on va se faire remarquer, c’est sur. Déjà qu’on est quasiment les seuls encore habillés.
Donc on se fait discret et on attend l’occasion de s’éclipser discrètement ?
Sans dire rien à Roland et Sandrine ?
De toute manière, ils semblent bien occuper actuellement.
Devant nos yeux, c’était une orgie. Il y avait une douzaine d’hommes pour cinq femmes. Ça gémissait, on entendait les claquements de leurs va-et-vient. Sandrine était occupée par trois hommes. Et Roland était semble-t-il avec Thierry le patron d’Odile, et une femme. Ça suçait, ça léchait, ça s’embrassait. Il y avait trop de monde pour suivre ce qui se passait en détail. Moi, la situation me donnait une érection tellement forte que cela se voyait, une bosse sur mon pantalon se distinguait. Je demandais à ma femme.
Tu en penses quoi ? Ça te dégoûtes ?
Bizarrement moins que je ne le pensais. Voir ça en vrai cela semble différent qu’à la télé et les reportages qui font glauques. Tout le monde est masqué, ça rend un côté mystérieux.
Hé bah, je suis vraiment étonné de t’entendre dire ça. Ca te trouble ? Tu es excitée ?
Euh non,… oui peut être. J’ai une sorte de boule au ventre. Je frissonne, et je tremble.
C’est la vue de ton patron nu qui te rend comme ça ?
Arrête, j’ai presque honte de le voir ainsi. Même s’il est bien foutu apparemment. Roland aussi d’ailleurs. C’est l’âge qui rend plus viril ? En tout cas, toi tu es excité, ça se voit avec ton sexe qui veut sortir de ton pantalon.
C’est la situation qui m’excite. Pas forcément ces femmes en train de baiser devant nous.
Soudain, Sandrine se retourna vers Odile, et nous tendit la main afin de nous inviter à participer. Elle s’approcha lentement d’Odile pour attraper sa main. Mais Odile prit de panique repoussa son invitation, et se tourna et partit en direction de la porte d’entrée à toute vitesse. Je la suivi un peu gêné, quasiment en m’excusant de son comportement, même s’il n’avait pas lieu de le faire. En sortant ainsi, nous avions dû bien nous faire remarquer. Sur la route du retour dans la voiture:
Tu veux en parler ?
Je ne sais pas, j’ai paniqué c’est tout. On ne va pas participer à ça quand même.
Je sais. Je ne te reproche rien.
Quoi ?? Tu voulais qu’on participe ? Hein ? C’est ça ? Me dit-elle sur un ton de plus en plus énervée.
Non je n’ai pas dit ça. Moi aussi, j’étais pris au dépourvu, je ne m’attendais pas du tout à ça.
En tout cas, ça t’a bien excité.
Je t’ai dit que c’était la situation. Et puis toi aussi je suis sûr que cela t’a fait un peu d’effet vu comment tu regardais.
Mouai un peu, mais bon bref. Passons. Va falloir surveiller et faire attention à Roland et Sandrine maintenant, avec leurs invitations et leurs sous-entendus.
Le lundi au bureau, Odile appréhendait de croiser Thierry. Après l’avoir vu en soirée, nu, en plein action, dans un univers bestial, Odile ne savait pas comment elle allait réagir en le voyant. Et puis surtout, si elle a pu reconnaître Thierry malgré son masque, elle se demandait s’il a pu la reconnaître en retour. En plus Roland a du discuter avec Thierry et lui parler de sa présence, surtout après leur départ précipité.
Malgré cette soirée, Thierry semblait normal. Comme si rien n’était.
L’après midi, lors d’une entrevue informelle dans le bureau de Thierry, elle se retrouva seule avec lui.
Thierry – bien, tu as toutes les informations pour ce contrat.
Odile – oui, oui, je planifie le rendez-vous.
Au fait, j’en profite qu’on soit seuls, pour te dire que j’ai apprécié te voir furtivement samedi, dommage que vous ne soyez pas restés.
Odile ne disait rien. Le moment qu’elle redoutait, arriva. La discussion sur la soirée. Plus de doute, Il savait qu’on était présent.
Écoute, je ne souhaite pas que tu parles de ce qui se passe en dehors du boulot. Et moi je ne dirais rien aussi. Il ne faut pas qu’il y ait un malaise entre nous. OK tu m’as vu nu en plein ébat. C’est normal d’avoir une gêne. Mais faut pas. Et puis, si ce n’est que ça, il aurait fallu rester et participer, la gêne aurait moins grande, on aurait été tous les deux sur un pied dégalité, dit-il en rigolant.
Odile était vraiment choquée, et trop gênée pour dire quoi que ce soit. A chaque fois qu’elle était dans une telle situation, elle ne disait mot, elle préférait ne rien dire.
Au fait, dans trois semaines, je t’informe que nous allons devoir partir au Japon, nous avons un client là bas, où il va falloir renégocier leur contrat. Ils sont assez coriaces en affaire. Il est préférable d’en discuter de vive voix avec eux. Par mail et téléphone, cela ne fonctionne pas avec ces gens la.
Mais je… partir combien de temps ?
Quelques jours, le temps de négocier le contrat, l’affaire de quelques jours. Et puis, vu la distance, on ne va pas pouvoir faire l’aller et retour en 1 jour.
Ah OK, mais je ne sais pas si je…
Pas de mais, coupa-t-il la parole. Tu n’as rien à payer en plus. Et puis je te rappel que tu es LA commerciale. Tu te dois de t’occuper de ce renouvellement de contrat.
Mais je ne pensais pas à avoir partir aussi loin.
Je te rappelle que tu es encore en période d’essai, ne me déçoit pas stp, dit-il sur un ton strict. C’est la dernière droite. Tu fais du bon boulot jusqu’ici. Je ne veux pas que ça soit une menace, il faut que cela vienne de toi.
OK c’est entendu. Dit-elle nonchalamment. Et qui sera du déplacement ?
Toi et moi seulement, on ne va pas quand même payer un voyage à toute la boîte.
Euh, OK. Répondit-elle tristement, avec une boule au ventre.
Odile fut très contrariée par le fait que Thierry l’ait menacé avec la période d’essai. Il ne restait à peine qu’un peu plus d’un mois à tenir. Avec cette dernière nouvelle, elle en oublia la soirée de samedi, Thierry nu, l’orgie. Sa nouvelle préoccupation était ce voyage d’affaires. Elle, qui ne voyageait jamais loin, seulement en Europe, allait partir à l’autre bout du monde en me laissant seul. En plus de cela, elle allait devoir se retrouver seule avec son patron pendant plusieurs jours.
A suivre…