Me voila complètement pris au dépourvu. Je ne sais que répondre et je vois ma Maitresse jubiler discrètement. C’est une position très inconfortable mais très excitante. Léa appuie sur le bouton du haut parleur.

— J’aimerais ne pas être déranger Charlotte.

— Désolé Monsieur, c’est votre client pour l’affaire du marché agroalimentaire. Il dit que c’est important.

    Je réfléchi un instant et interroge du regard ma Maitresse, qui sans un mot me fait signe de prendre l’appel.

— Très bien, passez le moi.

    J’attends quelques instants, suffisants pour comprendre que la situation va être compliquée. Je suis sous mon bureau, aux pieds de Léa, et cette dernière commence à se caresser gentillement devant mes yeux. Je suis terriblement excité et j’ai peur de perdre mes mots sur un sujet important.

— Allo, Mr Lefranc ?

— Bonjour Monsieur Dupont. Ma secrétaire m’a dit que vous aviez une affaire urgente ?

    Ma Maitresse se caresse de plus en plus et je la vois prendre son pied la bouche ouverte, me regardant pleine d’envie. Alors que mon interlocuteur se lance dans un discours des plus barbants, ma Maitresse lève ses fesses en prenant appui sur la chaise, et approche son sexe luisant de mon visage. L’ordre est clair et j’engoufre ma langue dans son sexe, m’abreuvant de son plaisir. Elle commence à gémir, ce qui devient très excitant.

— … Vous me suivez Benjamin ?

— Oui oui bien sûr, continuez je vous écoute.

    Léa laisse glisser l’escarpin de son pied droit, me sors la bouche de son sexe, et c’est de ses orteils nus qu’elle vient caresser mon entre-jambes. C’en est trop pour moi et je n’écoute plus un mot de ce que cet importun de Dupont me raconte. Je suis focalisé sur ma tendre Maitresse, me prodiguant des caresses divine de son pied agile. Elle se joue de moi divinement bien, mais je crains qu’elle ne se lasse. Elle se lève de la chaise, et m’attrappant par le col de chemise me sors du bureau. D’une poigne ferme elle me pousse dans mon siège et me laisse continuer.

— Vous souhaitez donc avancer l’intervention de nos équipe pour le déploiement du projet sur votre site ?

    Léa déboutonne son chemisier devant moi, juste quelques boutons en haut, me laissant admirer sa poitrine ferme et tendre qu’elle caresse sur son soutien gorge que j’avais deviné assorti à son tanga. D’un mouvement lent et sensuel, elle s’assoie alors sur mon bureau face à moi, les deux pieds posés sur l’accoudoir de mon siège et se laisse tomber en arrière sur le bureau.

— Très bien Mr Dupont. Pouvez vous me mettre par écrit tout ce qe vous venez de me dire ? Très bien, je vous remercie. A bientot !

    Je raccroche et fond sur son sexe comme un oiseau de proie, le déguste avec rage après ce qu’elle vient de me faire. Je lèche et suce son clitoris comme jamais. La situation l’a beaucoup excitée, et c’est avec un dernier coup de langue ravageur sur son sexe que ma Maitresse jouit bruyamment, son corps crispé et pris de spasmes. Je la lèche jusqu’à ce qu’elle me retire.

Elle me pousse la tête en se redressant et me sourit.

— Met toi nu mon chiot. C’est un ordre.

    Un ordre auquel j’obéis immédiatement tant mon envie est incontrôlable. Il ne me faut que quelques secondes pour me retrouver complètement nu, le sexe érigé devant moi, devant son sexe encore ouvert de plaisir. Je m’approche d’elle, mais elle me repousse en rigolant.

— Crois tu que je vais te laisser me baiser sur le bureau comme une vulgaire secrétaire en quête de promotion ?

    Je ne sais vraiment plus ce qu’elle attends. Je reste là, penaud, le sexe en mal de plaisir, attendant ses prochaines instructions.

    Nu, debout devant mon bureau et ma Maitresse qui de nouveau se caresse, mon excitation est à son comble, et ma main descends vers mon sexe tendu dans l’espoir de me soulager un peu, mais le hochement de tête négatif de ma Maitresse m’en empêche. Je garde les yeux baissés. Elle sourit et me dit :

— Tu es tellement attendrissant quand tu m’obéis… J’aime tant que tu sois celui que tu es !

    Elle prononça les derniers mots de sa phrase très lentement, très doucement, en approchant son magnifique pied manucuré, le droit, de mon sexe. Passant ses orteils délicatement sur mes couilles elle ajoute :

— Tu aimes beaucoup ces caresses n’est-ce pas Chiot ?

— Oui Maitresse, je les adores.

— Pourrais-tu jouir ainsi ? Sous les caresses de mes pieds ?

— Ils sont si beaux et vous êtes tellement douce et sensuelle Maitresse. Je ne pourrais m’en empêcher si vous le vouliez.

    Elle retire brusquement son pied droit, et tout aussi délicatement que ses caresses, elle amène son pied gauche à mon visage, ses orteils sur ma bouche et sa plante poussant mon menton pour que je la regarde dans les yeux.

— J’ai changé d’avis. Tu as cinq minutes pour que je prenne mon pied. Tu peux me prendre. D’ailleurs tu devrais déjà y être, cinq minutes, c’est court !

    Et sur ces mots, Léa sorti ses orteils de ma bouche et posa sa cheville sur mon épaule. Elle fit de même avec son autre pied. La vue est pour moi totalement érotique. Et plus encore d’ailleurs. Ses jambes galbées sont tendues et relevées sur mes épaules, collées l’une contre l’autre, son joli sexe peu poilu serré entre ses cuisses., sa jupe est remontée jusqu’à ses fesses et son chemisier est ouvert du col au nombril, sa poitrine se balançant dans son écrin à chacun de mes mouvements. Et puis surtout son visage est si beau, harmonieux, qu’il m’en ferait oublier le reste. Ses cheveux d’or flottent sur le bureau tout autour de sa tête. On dirait le soleil, mon soleil.

    Je m’approche alors, jusqu’à ce que mon sexe viennent prendre contact de la chaleur et de l’humidité de sa vulve brûlante de désir. Elle ouvre alors le bouche et redresse son cou pour me fixer. Elle à déjà les joues rouges, ce qui m’amuse car son sexe témoignait déjà suffisamment de son état. Elle halète déjà. Embrassant ses chevilles de chaque côté de mon visage, je prends la base de mon sexe en main afin de le décalotter et le frotter sur le sexe humide de Léa afin que la première pénétration soit complète. À ces caresses sur son con, ma Maitresse laisse bruyamment retomber sa tête sur le bureau en fermant les yeux. Elle déglutit avec difficultés puis prends une grande inspiration.

    C’est le moment que je choisi pour avancer. Ça lui coupe le souffle. Enfin, ce n’est pas la taille qui fait ça, mais plutôt le moment choisi. Mon gland force l’entrée de son sexe, ses lèvres s’écartant sans difficultés, puis il disparu bientôt dans se confin chaud. Mais je continue et petit à petit mon sexe avançe dans le sien, jusqu’à ce qu’elle gémisse bruyamment, relâchant tout son air et prenant mes mains, que j’avais posées sur ses hanches , dans les siennes. Commençent alors de longs va-et-vients, profonds dans cette position du collier de venus. J’adore cette position et ma Maitresse aussi. Je l’aime parceque son nom représente bien la réincarnation de la divinité grec en Léa. Je l’aime ausi car ma Maitresse jouit ainsi.

Mon sexe coulisse en elle de plus en plus vite, et j’essaye d’appliquer un moivement de bas en haut lors de la pénétration pour stimuler son point G. Cela fait son effet et ses gémissement n’en finisse plus. Sa respiration est saccadé à chaque coup de reins et je sens son souffle sur mon torse, tant elle l’expulse fort. Mes mouvements sont de plus en plus rapide, et bien que certains détails, comme mes mains dans les siennes me rappellent à la tendresse, c’est baise littéralement ma Maitresse sur le bureau, comme une secrétaire qu’elle ne voulait pas être. Je prends aussi beaucoup de plaisir et je sens monter en moi le résultat d’une frustration poussée à l’extrême. J’accélère encore et je vois mon gland disparaitre chaque seconde dans sa chatte glissante et chaude. Ca y est, je la sens partir. Elle plante ses griffles dans mes mains, me faisant presque mal mais m’excitant beaucoup. Je ne retient alors plus mes mouvements et presque au terme des cinq minutes accordées, Léa jouit bruyamment son plaisir, complètement tétanisée, la bouche ouverte. Cela semble durer une éternité, et cette vision de plaisir à raison de moi. Je jouit également, presque en même temps qu’elle, dans un léger grognement, laissant mon sexe figé planté au fond du sien, ma tige secouée de spasmes déchargeant mon sperme au fond de ma Maitresse. Elle se jouait de moi depuis si longtemps que mon orgasme n’en finit plus, et mon sperme coule déjà de son vagin de long de ma queue encore au chaud…

Elle s’écroule, extenuée mais comblée, un sourire béat sur son visage, laissant tomber ses jambes sur le bord du bureau et reprenant sa respiration tranquillement.

— Tu es un bon chiot, me dit-elle les yeux encore mi-clos. Aide moi à me relevé ajouta-elle en me tendant la main.

    Je la tire alors délicatement du bureau pour qu’elle puisse se mettre debout. J’attrappe alors un mouchoir sur mon bureau et lui tend, pour qu’elle puisse essuyer ce qui ne va cesser de couler pour un metit moment. Elle me sourit, refusa silencieusement mon mouchoir, et remonta son tanga avec un air malicieux. Elle descend sa jupe, et en reboutonnant son chemisier, elle se hisse sur la pointe des pieds à hauteur de mon oreille et me glisse:

— Je ne veux pas m’essuyer, je veux te sentir couler sur mes cuisses toute la journée.

    Elle redescends, enfile gracieusement ses talons, et après un ultime coup de main dans les cheveux, pour les recoiffer un peu – ce qui est vain tant ils sont rebelles – elle m’agrippe les épaules, me dépose un délicat baiser au coin des lèvres, et je la regarde partir, fixant ses fesses vraiment parfaites jusqu’à ce que la porte de ferme derrière elle. J’en ai presque oublié que j’étais nu dans mon bureau.

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