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Son seigneur, son maître – Chapitre 1




Cela faisait 2 semaines que Molly était rentrée dans cette maison en tant que servante …

Elle voulait absolument ne pas être renvoyée, car sans ce travail était sa dernière chance de pouvoir payer les médecins pour son père.

Alors qu’elle était perchée sur une échelle en train de nettoyer les livres de la bibliothèque du maître. Elle l’entendit arriver dans la bibliothèque.

Il se rapprocha peu à peu du pied de léchelle. Soudain, elle la sentit bouger sous son poids et comprit quil venait de grimper sur le premier barreau. Elle sefforça de garder son calme, espérant quil cherchait un ouvrage. Mais déjà, il gravissait un deuxième barreau et ses espoirs senvolèrent lorsquil referma la main autour de sa cheville. Un troisième barreau fut alors franchi et elle sentit sa main remonter sous ses jupes.

Je nai jamais eu loccasion dachever de taccueillir comme il se doit à Ashford Hall, dit-il. Il est temps dy remédier.

Elle savait quelle aurait dû Elle savait quelle aurait dû fuir, mais elle était coincée sur léchelle et il était le maître. Et, pour tout dire, elle néprouvait quune envie très relative de séchapper. Elle rêvait en secret de retrouver les sensations étranges et délicieuses qui lassaillaient dès quelle lapercevait ou quil passait près delle. Elle avait envie de la chaleur de ses mains sur sa peau nue. Alors, elle demeura là, sur léchelle, immobile, et le laissa la toucher.

Il grimpa derrière elle et elle sentit soudain son corps svelte et musclé presser le sien. Cette soudaine intimité et le contact de sa main sur sa jambe lembrasèrent tout entière. Il laissa ses doigts remonter doucement, caresser la courbe de son mollet, larrière si sensible de son genou, puis jouer avec le noeud de sa jarretelle. Elle sentait son coeur battre à tout rompre, et, lorsquil saventura plus haut, glissant sa main vers lintérieur de sa cuisse et trouva sa peau nue, elle crut défaillir. Mais ce nétait quun début. Un instant plus tard, il franchissait avec hardiesse la barrière de dentelle de ses sous-vêtements. Elle frissonna lorsque le maître glissa ses doigts experts dans le petit triangle de boucles humides et trouva son clitoris.

Le choc fut si grand quand il se mit à le caresser quelle faillit tomber de léchelle. Pourtant, très vite, elle se détendit sous la pression insistante mais si douce quil lui imposait. Bientôt, la corolle de son sexe devint toute chaude et gonflée tandis quavec une lenteur calculée, il décrivait de petits cercles hypnotiques dans sa chair. Il la toucha, la titilla, jusquà ce quil la sente ivre de désir, le corps enfiévré. Alors, il glissa un doigt dans le fourreau étroit de sa chair, ravi du petit cri de surprise quil lui arracha.

Il ôta son doigt de létroit passage, caressa de nouveau son clitoris, puis, tout doucement, il replongea en elle. Et il recommença, encore et encore, senfouissant dans la douceur de sa chair. Lorsquil sentit sa sève mouiller ses doigts, il accéléra le rythme et la prit alors, sans relâche, allant et venant en elle, possessif. Cramponnée à léchelle, elle se sentait chavirer. Bientôt, un besoin étrange, inconnu, assaillit son corps. Elle se mit à bouger contre sa main tandis quil continuait de la prendre, plongeant profondément son doigt en elle. Et soudain, elle oublia tout de son équilibre instable sur léchelle, tout entière absorbée par les sensations nouvelles, extraordinaires, quil faisait naître en elle.

Sa respiration se fit plus haletante, son souffle rauque. Le sang battait dans ses veines au rythme frénétique de son coeur tandis que son corps senvolait vers la délivrance. Soudain, comme un soleil perçant les nuages, quelque chose explosa en elle et, vague après vague, dans un éblouissement de lumière, le plaisir la submergea.

Elle agrippa les montants de léchelle pour ne pas basculer, mais nul nétait besoin. Le maître avait refermé un bras autour de sa taille et la maintenait fermement contre lui, le visage enfoui dans son cou, tandis quil continuait de la caresser, de lui donner ce plaisir qui fusait dans sa chair en longs spasmes, la faisant tout entière frissonner. Alors que, éperdue, tremblante, elle savourait les derniers soubresauts de la jouissance, les caresses cessèrent, il lui murmura de le rejoindre dès que possible dans sa chambre. Le maître retira sa main, elle entendit léchelle craquer sous son poids et, linstant daprès, la porte se referma doucement. Il était parti.

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